Ma première expérience surprise de sodomie par un vieux a été concluante. J’ai réussi à exclure mon sentiment de honte et accepté d’offrir mes parties intimes au plaisir d’un homme.
J’ai moi-même eu des sensations nouvelles de frissons et de plaisir surtout lorsque j’ai ressenti le penis de cet homme me remplir totalement. Les vas et viens de cet engin dans mon intérieur et les frottements des poils de son bas ventre sur mes fesses ont été aussi une sensation de plaisir. J’étais abandonné aux mains et au sexe d’un étranger et ce fut presque un moment de changement de genre.
En effet je me suis comparé, pendant un long moment, à une femme quant le vieux m’a appelé salope au féminin, puis je me suis rendu compte que j’étais toujours un homme, alors j’ai compris ce qu’il voulait dire par gay et par autre chose que je n’ose pas encore répéter.
Mais les plaisirs que j’ai eu m’inclinent à continuer après ce premier pas réussi. Toutefois je suis resté pendant presque deux mois sans réagir, puis j’ai ressenti ce besoin comme une drogue, alors je suis retourné aux toilettes et j’ai attendu l’occasion.
J’ai observé par le trou les clients de la cabine voisine et au bout de trois gars, je suis tombé sur un homme avec un gros penis, long et avec un gland formidable qui m’a secoué les entrailles. J’avais besoin de cet engin rapidement. Je n’ai pas hésité et poussant quelques grognements assez éloquents pour l’appâter, j’ai constaté que le client m’observait par le trou.
Alors je lui ai présenté mes parties arrières en me caressant et mettant mon doigt dans mon anus. Puis j’ai fait semblant de découvrir mon espion et je lui ai cligné de l’il. Une minute plus tard, il était dans ma cabine. Il a sorti son engin que j’ai aussitôt entouré de mes deux mains, puis avec un peu de salive, j’ai commencé à le branler et même à le sucer.
Son large gland me fascinait et j’avais hâte de le sentir dans mes entrailles. Rapidement son pénis s’est allongé et devenu assez dure pour me contenter. Me tournant vers le mur, j’ai abaissé mon pantalon et avec mes deux mains, j’ai écarté mes fesses pour lui offrir le long sillon au milieu duquel se logeait mon trésor, le trou rouge de mon anus.
Il a plongé et a pointé son gland sur l’entrée et en poussant fortement il a réussi à le faire pénétrer. Malgré ma première expérience et mes habitudes d’assouplissement de ma noisette, j’ai eu un peu mal. Mais aussi étrange que cela peut paraitre, ce mal fut ressenti par moi comme un plaisir de déchirement, de pénétration et d’offrande sexuelle.
Puis il a commencé ses coups de reins en faisant claquer, chaque fois, ses couilles sur mes cuisses. Lui aussi avait des poils de pubis très fournis et cela a augmenté mon plaisir. J’étais obligé de m’appuyer au mur et de m’abaisser encore à cause de ses coups rageurs qui me secouaient tout le corps.
J’ai oublié de vous dire que cet homme était assez gros mais sa puissance était flagrante. Au début je ne me suis intéressé qu’à son pénis, mais maintenant j’entendais sa respiration rauque et sentait son souffle accéléré sur mon dos. Après une bonne quinzaine de vas et viens, il m’agrippa fortement et son pénis parut s’enfoncer encore plus dans mon intérieur.
Et soudain il lâcha plusieurs jets de sperme chaud dans mes entrailles. Encore une fois, cet acte désiré a eu tout le succès sur mon plaisir. Je voulais garder ce plaisir le plus longtemps possible, alors j’ai serré au mieux son penis avec les muscles de mes entrailles.
Hélas, dès qu’il a eu son plaisir, mon bienfaiteur a retiré son engin, trop rapidement à mon gout. Je me suis retourné pour admirer ce gros penis gonflé à bloc, brillant de sperme dont les dernières gouttes sortaient encore de son méat. J’ai voulu le sucer encore une fois et profiter de ces gouttes mais le gars a rapidement caché son penis, m’a posé un gentil baiser sur les lèvres et sorti de la cabine.
Resté seul, je me suis assis sur le bidet, j’ai alors constaté que mon pénis était bandé sans ma volonté et j’en ai profité pour me faire encore ce plaisir au bout de quelques masturbations mélangées au sperme de mes cuisses. Nettoyé devant et derrière je n’étais pas satisfait, je sentais mon besoin de sodomie incomplet, il faut donc que je drague tout de suite un autre pénis.
Je me suis installé dehors, devant les toilettes publiques et au bout de cinq ou six clients, j’en ai choisi un bien baraqué et très brun. Il est allé seulement uriner, alors je me suis mis à ses cotés et franchement je me suis intéressé à son penis qui correspond bien à la carrure du monsieur. Il m’a regardé d’abord avec étonnement et comme je lui fais le signe qu’il a avait un gros penis qui me plaisait, il a accepté ma proposition et nous avons rejoint la cabine de mes plaisirs.
Rapidement il a laissé tombé son vêtement et m’a présenté son engin, et de mon coté je lui tourné le dos pour offrir à son regard mes trésors. Il m’a peloté avec rudesse les fesses et les hanches, puis il a mis dans mon anus un doigt qui a pénétré avec trop de facilité. Alors il m’a frotté le sillon des fesses avec son gland, mais je lui ai demandé de faire autrement.
Assis sur le bidet et écartant ses jambes, je me suis placé entre ses cuisses en lui tournant le dos. Je voulais, d’une part, qu’il ait toujours devant ses yeux mon gros derrière, mes fesses et mon trou et d’ autre part, dans cette position, c’est moi qui dirige l’action.
Bien calé sur ses cuisses avec son penis bien enfoncé dans mon intérieur, je pouvais osciller du derrière, me soulever légèrement et me rabaisser à ma guise. Ainsi je voulais ressentir le maximum de plaisir.
Et en effet, malgré ses mains sur mes hanches, j’ai réussi à réaliser toute la danse que je voulais sur son engin, frotter mes parties internes choisies, accélérer ou ralentir selon le désir de mon besoin. Lorsque j’ai senti son souffle commencer à accélérer et ses mains s’agripper sur mes hanches et son pénis se gonfler encore plus, j’ai stoppé court et comme il voulait me garder, je me suis soulevé à quitter son pénis.
Il a hurlé de rage mais aussitôt j’ai replongé mon anus sur son penis et me suit enfoncé au maximum. Il a crié de plaisir cette fois, par un râle rauque et prolongé. Mais je savais que le plaisir s’était ralenti, alors j’ai repris mes vas et viens plus saccadées qu’avant. Je savais que ces mouvements allaient réchauffer et regonfler à fond son penis et enflammer le jus de ses gonades. Moi-même j’étais dans une situation de folie sexuelle.
Trois ou quatre mouvements ont suffi pour faire éclater son plaisir qui m’a inondé et rempli les entrailles. Il hurlait de plaisir et j’étais de même mais plus discrètement. Nous sommes restés accrochés l’un à l’autre un long moment. Le sperme coulait partiellement sur mes fesses et entre mes cuisses, mais je suis resté assis pour gouter totalement les frissons de mon corps et les désirs de mon esprit.
Heureux d’avoir satisfait mon désir, j’ai embrassé mon client sur la bouche malgré ses grosses moustaches qui me piquaient mais c’est moi, en ce jour merveilleux, qui me suis sodomisé et non les autres. Encore une nouvelle étape dans mon expérience sexuelle.