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Lilly et sa famille. – Chapitre 9




Chapitre 9 : Enfin ! Papa me prend le cul !

Revenons voir Lilly qui a surpris son amie Stéphanie avec son père et sa bite dans sa bouche

**************.

En voyant sa fille sembrasser passionnément avec Stéphanie, Jacques comprend que leurs relations ne sont pas seulement amicales. Il ne peut sempêcher dêtre de nouveau excité.

Stéphanie se dégage de son amie et presse ses seins entre ses mains.

— Maintenant tu as droit de lécher pour les rendre tout propre.

Mais voyant que Lilly est un peu réticente elle ajoute.

— Ton père à un goût vraiment sympa, je suis sûre que tu vas aimer.

Lilly est vraiment tentée de lécher le sperme de son père sur les seins de Stéphanie. Elle le connaît bien et elle ladore. Alors, devant son père, elle commence à lécher ce qui traîne sur les gros seins de son amie.

Stéphanie est étonné de la rapidité avec laquelle Lilly a accepté dobéir et la façon presque gourmande quelle a de récupérer le sperme de son père sur ses seins et Jacques reste figé et ne sait quoi faire ou dire. Pendant que Lilly se gave de sperme, Stéphanie sadresse à son père.

— Appréciez-vous ce que fait votre fille, Jacques ?

Elle sourit car elle na pas besoin de réponse. Il suffit de voir son membre se raidir à nouveau.

Une fois que Lilly a léché la dernière goutte du sperme de son papa sur les seins de son amie, elle pince ses tétons tout durs et dit.

— Maintenant, c’est mon tour…

Et en quelques secondes elle se retrouve en tenue dEve et elle fait discrètement un clin dil à son père.

Ses tétons sont aussi durs que ceux de sa copine et celle-ci les aspire profondément dans sa bouche pour les téter.

Jacques baisse les yeux pour voir la main de sa fille qui commence à caresser sa queue de nouveau en pleine croissance. Stéphanie le voit aussi et en est très heureuse.

— Oh, chérie, on dirait que ton papa est prêt à repartir.

Lily na pas le temps de faire ce quelle a envie car Stéphanie pousse son père sur le dos, lenjambe, et prend son énorme queue dans ses mains.

« Elle est vraiment très grosse, pense Lilly en regardant cette queue qui la déjà fait si bien jouir. » Et elle sent sa chatte qui devient chaude et qui mouille.

Jacques est super excité devant sa fille qui regarde son amie branler sa queue avec ses petites mains. Soudain, elle s’arrête.

— Que non

— Du calme Jacques, dit Stéphanie en tirant sa fille sur lui et se plaçant derrière elle.

— Jacques, regardez les beaux seins de votre filleDit-elle en lui prenant ses seins par derrière.

— Stéphanie, que fais-tu, demande Lilly en souriant, dun air complice, à son père.

— Détends-toi mon cur, on va samuser avec ton papa.

Stéphanie tire un peu sur les tétons roses de Lily et appuie ses seins contre son dos.

— Vous navez pas envie de ses jolis tétons Je suis sûre que ça vous démange de les sucer.

Lilly commence à gémir sous les attouchements de sa copine et Jacques en regardant sa fille peut se rendre compte que sa petite Lilly est devenue une belle jeune femme, et plus il la regarde plus il veut sucer ses tétons érigés.

— Oui, c’est ça ! Suce !

Dit Stéphanie en souriant quand elle voit les lèvres de Jacques sapprocher des seins de sa fille.

Et Lilly continue de faire semblant.

— Papa ! Quest-ce que tu fais !

Jacques ne répond pas et passe sa langue sur les seins de sa fille. Stéphanie enlève ses mains et Jacques, en tenant sa fille par ses épaules, aspire ses tétons et les suce savamment.

— Papa !

Lilly fait semblant dêtre choquée et fait mine de repousser son père, mais elle perd toute ses forces alors qu’elle commence à prendre du plaisir sous les lèvres de son papa sur ses seins et sous sa langue qui effleure ses tétons. Elle commence à gémir de plaisir et Stéphanie, toujours derrière son amie, glisse ses mains vers le bas de son corps pour trouver sa chatte.

— Dis donc, Lilly, tu mouilles comme petite salope.

Elle commence à masser la chatte humide de Lilly, qui sous ses doigts pousse un fort gémissement.

— Taime ça, hein petite cochonne. Tu aimes que ton papa te suce les seins. Dis-le salope !

— Oooh, ouiiiii, jaime !

— Eh bien pourquoi tu ne lui ferais pas quelque chose en retour ?

Et disant cela, Stéphanie prend les mains de Lilly et les pose sur la bite dure de son père.

— Stéphanie ! Arrête !

— Caresse la bite de ton papa, mon cur.

Son papa qui soupire quand sa fille, avec laide de Stéphanie, commence à branler doucement sa queue toute raide.

— Oui, cest bien Lilly. Tu es une salope obéissante. Maintenant il est temps de sucer cette merveilleuse bite que tu as bien préparé.

— Quoi ! Ça ne va pas la tête !

Dit-elle continuant son petit jeu avec son père qui sourit intérieurement.

Mais il était temps que Stéphanie la force en poussant sa tête. Depuis quelle a vu la bite de son père, elle ne pense quà ça ! Elle commence par donner des petits coups de langue sur la pointe de son gland et puis, lentement, elle laspire dans sa petite bouche.

— Lillynon geint doucement son père en voyant son gland disparaître dans sa bouche.

— Détendez-vous Jacques. Profitez-en !

Dit Stéphanie en contournant Lilly pour l’embrasser en plein sur la bouche. Là, jacques grogne vraiment de plaisir lorsque sa fille le suce et que son amie lembrasse, en cherchant sa langue avec la sienne.

Stéphanie se recule et admire son travail. Sa meilleure amie et amante suce avec énergie et une réelle satisfaction la grosse queue de son père. Celui-ci prend la tête de sa fille dans ses mains et commence à senfoncer de plus en plus dans sa bouche

— Ouiii, comme ça, chérie, suce la bite de ton papa.

Des gargouillis sortent de la bouche de Lilly, car elle est bien trop pleine pour articuler quelque chose daudible. Stéphanie remet sa main sur sa chatte de plus en plus humide et procède au massage du clitoris gonflé de Lilly. Elle chuchote dans l’oreille de son amie,

— Alors, nest-elle pas bonne ! Tu la sens cette énorme bite qui remplit ta bouche. Tu naurais pas envie de la sentir dans ta chatte humide et étroite ?

Lilly ne peut pas parler mais elle peut gémir et Stéphanie lui fait un clin dil en ajoutant.

— Vas-y ! Baise-toi avec la bite de ton père.

Lilly se redresse en pensant « enfin elle se décide à me le demander » et Jacques vicieusement lui dit, la regardant les yeux brillant de désir.

— Chérie tu ne vas pas faire ça !

— Si, papadepuis que jen ai envie je vais me baiser avec ta grosse bite.

Répond sa fille avec un clin dil.

— Ma puce je suis ton père !

— Justement ! Et je taime papa. Je te veux en moi !

Stéphanie se penche sur Jacques pour chuchoter à son oreille, tout en caressant la chatte de sa fille sous ses yeux.

— Dites-moi que vous ne voulez pas la baiser cette petite salope

— Maisje

Stéphanie pose sa main sur son sexe et continue son petit jeu.

— Aller, Jacques, ta fille le veut et toi aussi. Alors prend cette belle chatte toute humide.

Jacques regarde cette chatte rasée et douce qui dégouline de son jus et quil connaît parfaitement, ses seins fermes, couvert de salive, quil a tant sucé. Oui sa fille le fait bander comme jamais il a bandé pour sa femme et il désir sa fille. Il veut son jeune corps si chaud.

Il prend son long et épais pénis dans une main et de lautre il attire sa fille au-dessus en disant.

— Viens ma chérie, fais toi plaisir et à moi aussi.

Quand Lilly sabaisse sur sa bite et quil la pénètre en écartelant ses petites lèvres trempée il pousse un grognement.

— Ooooh, putain ! Tes brûlante ma chatte !

Lilly, elle, crie son plaisir quand la bite de son papa progresse dans sa gaine vaginale. Quand il arrive au fond de son vagin et frappe son utérus elle hurle.

— Oui papa ! Oui ! Baise-moi ! Baise-moi plus fort ! Fait-moi jouir !

Son petit cul saffole et elle va et viens, sur son pieux de chair, comme une damnée qui brûle sous les feux de lenfer.

Jacques attrape ses fesses pour accompagner sa cavalcade mais aussi pour enfoncer sa bite le plus loin possible dans sa fille chérie.

— Alors, Lilly, elle est bonne la bite à ton papa ?

— Oooooooohh, ouiiiiiiiii, quest-ce que je la sens bien ! Tu me défonce la chatte mais cest vachement boooonnnn !

— Papa ! Papa ! Je vais jouir. Ooooooohhhhhhhhhhh, Papaaaaaaa ! Je jouiiiis ! Je jouiiiiiiiisssssssssssssss

Elle ne crie pas, elle hurle sa jouissance sous lorgasme qui secoue son corps. Sa cyprine coule sur la bite de son père alors quelle continue de monter et descendre sur sa grosse bite bien dure.

— Ouiiiii, mon bébé ! Jouiiiiss ! Donne-moi ton jus damour ! Je taime ma puce

— Papa ! Donnes-moi ton sperme aussi, Jouis en moi papaje veux te sentir jouir papa.

Et dans un beuglement de jouissance, son père se lâche et rempli la chatte de sa fille de son sperme incestueux.

Lilly tombe presque en arrière sous les giclées de foutre de son papa, sa queue saute de sa gaine saturée de jus, et il se finit sur son ventre en la couvrant de sperme.

Lilly se jette sur sa bite comme une affamée, pour la sucer et puis, toujours incroyablement excitée, elle continue de le sucer, tout en récupérant avec ses doigts, ce quelle peut dans sa chatte dégoulinante. Elle nen revient pas que son papa soit toujours aussi dur dans sa bouche.

— Tu maime, papa  ? Tu aimes ta salope de fille, papa

— Oui, chérie, Je taime. Je suis fou de faire ça, mais je taime comme un dingue.

— Alors baise-moi encore, papa. Baise ta putain de salope de fille perverse. Fais-moi encore jouir, encoreencore

— Oui, mon amour

— Baise-moi avec ta grosse bite et remplis-moi encore de ton foutre paternel !

El Lilly se met à plat ventre sur le bord de la table. Jacques se colle derrière son cul magnifique et enfonce, dun seul coup destoc, sa longue bite au fin fond de sa chatte en attente.

Stéphanie est sidérée ! Cela va au-delà de ses espérances les plus folles. Sa copine sest fait prendre par son papa et elle en redemande ! De la façon dont son père la baisée et la facilité avec laquelle il la pénétrée, elle se demande si Lilly na pas déjà goûté à sa grosse queue

Accroupie, elle se doigte la chatte en les regardant, puis, ne pouvant résister à lappel de ces grosses couilles qui se balance devant son nez, elle les attrape, et se met à les sucer pendant un petit moment, avant de se mettre debout à côté de Jacques. Elle qui avait quelques craintes de forcer son amie à se faire sauter par une si grosse bite, elle est rassurée de voir avec quelle facilité, Lilly absorbe dans sa petite chatte, la grosse queue de son papa qui la prend par derrière.

Comme un fauve en chaleur, Jacques pilonne la chatte de sa fille, si gourmande de son sexe depuis peu et elle ne met pas longtemps pour crier une nouvelle fois sous sa jouissance. Spasme après spasme, le jus intime de Lilly sécoule librement sur la bite de son papa et plus bas entre ses jambes, quand son nouvel orgasme balaye son corps. Stéphanie retire ses doigts de sa chatte et étale son jus sur la corolle plissée de Lilly, qui palpite aux rythmes de ses contractions. Puis elle les enfonce lentement dans le cul de son amie et Lilly pousse un grand cri.

— Taime ça, salope ! Cest bon, hein Lilly…

C’en est trop pour son père qui la baise à fond et il éjacule profondément à l’intérieur de la chatte de sa fille en beuglant.

— Tiens putain, prends moi encore ça !

Lilly pousse un couinement à chaque giclée de sperme de son père.

— Papa, que cest bon ! Jaime que tu me baise comme ça, par derrière. Ta grosse queue me remplit encore mieux.

Son père se retire lentement mais Lilly crie.

— Non ! Attend ! Laisse là encore un peu…

— Oui, Jacques profite bien de ta fille… Tu devrais même lenculer maintenant. Je suis sûre quelle adorerait…

Surenchérit Stéphanie en caressant son trou du cul palpitant.

— Oooh, oui papa ! Prends-moi par le cul ! Je toffre mon cul vierge de toute bite. Dépucelle-le, papa. Avec ta putain de grosse bite !

Jacques manque de sétouffer. Décidément elle a de la suite dans ses idées. Et sa copine lencourage !

Il repense au cul de sa tante Christine et ce souvenir le fait bander aussi sec. Mais là cest sa fille. Certes, il la baisée plus d’une fois, elle la sucé aussi plusieurs fois et goûté à sa douce chatte, mais le sexe anal… C’était quelque chose de plus…fort… et il pourrait lui faire mal, même la déchirer.

Lilly sent son père qui se fige et elle ne va pas perdre encore une fois, pas maintenant ! Elle regarde par-dessus son épaule et les yeux implorant.

— Sil te plait, papa, dune voix enfantine comme lorsquelle réclamait une friandise…

— Tu nas quà la mettre dans mon petit cul tout rose et le baiser. Je veux savoir ce que ça fait davoir un morceau comme le tien dans le cul, bien enfouit profondément dans mes entrailles.

Sa queue est maintenant entièrement sortie de la chatte brûlante de Lilly et regardant sa fille dans les yeux, écoutant sa plaidoirie pour quil prenne son cul, il réalise quil en a aussi envie quelle. Son gland remplit de sperme et de jus féminin glisse entre ses fesses et vient se poser sur son petit trou plissé.

— Oui, papa, tu y es ! Maintenant pousse et encule ta salope de fille.

Ses mots vulgaires boostent sa libido et regardant son gland qui repose sur son trou du cul il se dit

« Je pousse juste un petit peu et se suis à l’intérieur… Juste un petit coup de pouce… »

Et en pensant à ça, involontairement, son corps cest avancé et son gland a disparu, comme aspiré par les sphincters de lanus de sa petite fille chérie, puis ils se sont refermés dessus.

Lilly doit saccrocher à la table sous lintroduction de ce gros champignon, et heureusement, sa jouissance précédente à bien lubrifiée tant son cul et que bite de son papa. Mais cela ne signifie pas que cest facile pour lui dintroduire une bite si épaisse dans son cul vierge. Elle serre les dents et se mord la lèvre pour ne pas effrayer son père avec un cri qui réveillerait les morts.

Douleur et plaisir se mélange. Elle na jamais ressenti un plaisir de cette sorte même si elle a limpression quil va la fendre en deux.

De son coté, Jacques, semble sortir de sa transe que lorsque sa queue senfonce un peu et quil sent lanus de sa fille lui broyer sa bite. De ses mains il écarte ses fesses le plus quil peut et il pousse encore. Il a la sensation d’être dans le trou le plus étroit de sa vie, il ne pouvait laisser passer cette chance, même si cest sa petite fille chérie qui en prend plein le cul et il se promet de le faire quune seule fois… pour acheter sa conscience.

Saisissant ses hanches, Jacques se retire un peu et laisse la nature faire les choses. Son anus se détend et un léger mouvement de bascule de Lilly lui permet de reprendre très lentement son chemin avec plus d’aisance.

Quand la moitié de sa grande bite est à l’intérieur de sa fille, il sarrête de nouveau car il a senti une forte contraction de son cul et elle a poussé un cri. Pendant 2 secondes, Jacques est inquiet, est-il allé trop loin ? Mais Lilly a juste besoin de temps pour s’habituer à cette énorme bite avant de commencer à pousser elle-même son cul sur son sexe.

— Continue, papa. Ça va. Tu me défonces le trou du cul mais il commence à prendre ta mesure. Vas-y, pousse !

Il ne se retient plus et il ne pousse pas, il force cette citadelle vierge. Lilly couine, mais il ne sarrête que lorsque ses lourdes couilles viennent frapper la chatte dégoulinante de Lilly.

— OOOOOhhhhhhh, putain ! Lilly !

— Unngreeeehh ! Mieux… que tante… Christine ?

Réussit à dire Lilly entre les spasmes du plaisir quelle ressent à être complétement bourrée par sa bite, avant de penser, quelle va mourir de bonheur.

— Chérie ! Lilly, mon ange… mon bébé…tu es tellement serrée…

Grogne son père en restant bien enfoncé, à fond dans son bébé.

— Imagine que je suis une putain de salope et rempli moi le cul avec ton foutre ! Crie Lilly

– Ouiiiiii ma Lilly, ma salope de fille, je vais te bourrer le cul maintenant.

— Vas-y papa, fais-toi plaisir ! Encule ta fille et fais-moi jouir par le cul ! Défonce-moi ! Fais-moi mal !

Jacques à son esprit dans un brouillard, le plaisir qu’il sent dans sa queue aveugle son jugement. Ce que dit Lilly n’a aucun sens. Quelques coups de queue ne lui feraient pas mal, il est déjà complétement dans son cul qui accepte sa queue exceptionnelle.

Il soulage son trou du cul en se retirant lentement, par petit déplacements successifs sous des gémissements d’extase de Lilly. Quand il ne reste que son gland prisonnier, Lilly à limpression dêtre complétement vide à lintérieur de son corps, mais ce nest que fugace car, glorieusement, elle est rempli à ras le bord, une fois de plus.

Jacques commence à aller venir de plus en plus vite et sa fille hurle sous un autre orgasme qui dévaste son corps. Mais son père nen a cure. Il lui semble quil peut lenculer sans fin, pris dans son propre plaisir, alors que vagues après vague son orgasme s’écoule à travers elle. Il est collé au cul de sa fille, comme un étalon sur une jument, et il baise son cul, encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort !

Lilly à orgasme sur orgasme, si proches lun de lautre quils fusionnent en un seul et quelle jouit sans arrêt. Sa cyprine bouillonne dans sa chatte et coule sur ses cuisses et elle perd tout sens de la réalité. Elle crie des obscénités pendant que son père viol son cul et que sa jouissance approche, sa bite n’ayant jamais été dans un trou si serré et si chaud avant.

Lilly jure comme un charretier et elle resserre son cul quand elle sent la bite de son père tressauter et déverser son torrent de sperme.

Elle hurle son bonheur sous cette sensation unique dêtre remplit par le cul avec le sperme épais et brûlant de son père. Pour lui cest fantastique, il peut enfin se libérer de cette pulsion sexuelle qui le rend fou lorsquil baise sa fille. La force de lorgasme de Lilly et les mouvements désordonnés de son cul ont poussé sa bite hors de son trou du cul !

Tout en gémissant des salope, putain, enculée il se finit en crachant le reste de son sperme sur son cul, alors que ses premières giclées commence à suinter hors de son trou grand ouvert, comme le cratère dun volcan, pour se mêler au jus intime de sa chatte qui coule en continu.

Lilly na jamais eu des écoulements intimes aussi importants. Elle est écroulée sur la table, les cuisses écartée et Jacques regarde sa fille et son cul recouvert de sperme.

— Alors, ma puce damour…tu as eu ce que tu voulais…

— OH PUTAIN… OUIIII ! Cest… cest tout simplement incroyable ! Unique ! Je le savais dès que jai vu Tante Christine gueuler comme une chienne !

Père et fille restent comme ils sont, reprenant leur souffle. Après un certain temps, Lilly se redresse et se tourne pour prendre la bite molle de son père pour la nettoyer avec sa bouche et sa langue. Jacques la prend dans ses bras et avant de lembrasser Lilly lui murmure dans le creux de son oreille.

— Tu vois papa, jai gagnétu mas dépucelé le cul. Je t’aime papa, toi et ta belle grosse queue.

Et elle lembrasse passionnément.

— Hum ! Hum !

Ils avaient complétement oublié Stéphanie.

— Merci pour ce spectacle grandiose mais jai un rendez-vous très important. Jespère vous revoir, Jacques, car vous mavez délaisséepour le plus grand bonheur de votre fillemais A plus

Et après un au revoir intime et des murmures étouffés, elles se séparent et Stéphanie se sauve.

A suivre ?

Phantome

,

Jacques se demande bien ce quelles se sont dit dans le creux de loreille et il lui semble avoir entendue le nom de Christine.

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