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Chantage en famille- La Cage – Chapitre 2




La soumission- le fils

Je savais que maman était facilement manipulable, mais je n’imaginais pas qu’elle se donnerait aussi vite. J’ai bien fait d’immortaliser sa jouissance, une bonne vidéo sera toujours plus efficace que toutes les photos et accusations du monde. Pourtant, mon plan n’en est qu’à sa première phase.

Pendant deux semaines, je n’ai pas touché ma mère. J’ai fait comme si de rien n’était et si elle est restée distante les premiers jours, elle est vite revenue vers moi de manière tout à fait normale. Je voulais lui faire croire que ce n’était qu’une erreur, un évènement passager, vite oublié de nous deux. Une fois qu’elle a baissé sa garde, je me suis mis à observer la réaction de mon père, et à montrer des signes de bienveillance. Je rangeais ma chambre, faisais du sport et me « reprenais en main ». Tout était finement orchestré pour que personne ne nous suspecte et que ma mère se sente plus à l’aise. Sans aucun doute, mon père, dans sa stupidité maladive, allait également l’encourager à continuer de me soutenir.

Tout s’est joué ce mardi matin, alors que ma mère savoure son congé et son petit déjeuner dans la cuisine. J’entre doucement, et dépose mon téléphone devant elle, sur la table.

–    Bonjour mon chéri, me dit-elle toute souriante.

–    Salut maman. J’aimerais que tu déverrouille le téléphone, que tu regardes la vidéo, et que tu enlèves tous tes vêtements.

Son regard change, elle me regarde avec un air de surprise et de désespoir en même temps, un délicieux cocktail dont je ne me lasserai jamais.

Elle déverrouille le téléphone, et la vidéo démarre. C’est la fin de notre expérience de la dernière fois. On la voit s’introduire son dildo vibrant, crier et jouir bruyamment pendant que son visage se recouvre de sperme. Alors que la vidéo vaut une fin de carrière à elle toute seule, on m’entend dire « tu es parfaite maman ».

–    Je pense que je t’ai demandé quelque chose, lui dis-je d’un ton ferme, pour couper le silence.

Pas besoin de lui en dire plus, elle sait qu’elle n’a pas le choix. Elle enlève doucement ses vêtements un à un, dans un silence de mort. Je profite de chaque seconde, et je pense à mon cocu de père qui se croit encore supérieur à moi. Elle se retrouve en sous-vêtements. Un ensemble rouge et blanc qui met sa poitrine bien en valeur, couplé à un string fin mais pas obscène. Ma mère a des gouts de luxe quand il s’agit de se faire désirer.

–    J’ai dit « nue », et met toi à quatre pattes.

–    C’est trop, me répond-elle, en implorant ma clémence d’une manière pitoyable.

Devant mon inflexibilité, elle se décide à tout enlever. Je ne sais pas si c’est à cause du froid ou de la situation, mais ses seins pointent. Elle décide enfin de se mettre à genoux. Je me retourne et marche vers le salon, elle me suit naturellement.

–    Dans le fauteuil maintenant.

–    Oui, d’accord.

–    Oui qui ?

–    Oui, mon chéri.

–    Bien. Dans trois minutes, je vais pénétrer ton vagin sans lubrifiant. Tu as trois minutes pour faire tout ce qui est en tout pouvoir pour rendre ça plus agréable, autant pour toi que pour moi. Je te conseille de ne pas traîner en préliminaires et de commencer tout de suite, je dis ça pour toi.

Comme la première fois, mon plan fonctionne à merveille. Elle ne prend plus le temps de discuter et glisse ses deux mains vers sa chatte alors que je lance le chronomètre. Une main commence directement à caresser le clitoris, tandis que l’autre écarte ses lèvres. En trente secondes, un doigt se retrouve directement dans sa chatte. Le deuxième entre après seulement une minute. L’autre main n’arrête pas de stimuler son clito, qui gonfle à vue d’il. Je la soupçonne d’être excitée par la situation. De mon côté ma trique me fait mal, et je profite des deux minutes qui me restent pour me déshabiller.

Ma mère regarde toujours ma bite avec autant de surprise. Je sais que même papa n’en a pas une si grosse. À une minute de la fin du compteur, elle est déjà à trois doigts dans sa chatte. Moi, je prends un peu pitié et propose humblement mon aide dans ce travail collectif : je présente ma bite face à sa bouche. Ma mère est une femme intelligente, elle sait qu’une bite lubrifiée rends la pénétration plus simple. Elle engloutit mon manche avec une facilité déconcertante. À peine a-t-elle le temps d’en profiter que le chrono sonne.

D’un coup, je retourne ma mère à quatre pattes sur le sol, et la pénètre en levrette. Sa mission est accomplie, puisque je rentre comme dans du beurre. Elle crie de plaisir, et je dois admettre que la sensation m’avait manqué. Sans attendre, je commence à faire des allers-retours vigoureux. J’ai l’impression que sa chatte aspire littéralement la moitié de ma bite. Petit à petit, son vagin se détend et je peux aller plus profond.

–    Oh putain c’est trop bon ! me hurle-t-elle.

Elle s’est transformée en vraie trainée. Sa cyprine coule le long de ses jambes et elle en redemande. J’en ai facilement fait mon esclave sexuel, presque trop facilement

Je sors ma bite de sa chatte, mais je la maintiens par les hanches. Je viens appuyer mon gland sur sa rondelle.

–    Non pas là ! Je ne suis pas préparée !

–    Il fallait y penser. Au moins, c’est lubrifié grâce à tout ce que tu mouilles, salope.

L’insulte de fin de phrase était coordonnée avec la pénétration sèche et brutale. Elle hurle, mais de douleur, elle est beaucoup moins ouverte de ce côté-là.  Je ne m’arrête pas pour autant et la pilonne toujours aussi brutalement.

–    Tu es un monstre, tente-elle d’articuler avec le souffle coupé.

Moi je prends mon pied, et je prends aussi le temps de tout filmer, on ne sait jamais. Son trou commence à se dilater de plus en plus, et la pénétration se fait plus agréable. Sans que j’ai le temps de le remarquer, elle avait descendu ses mains vers son entre-jambe et elle se touchait le clito ! Une vraie pute.

Je me retire d’un coup et lui ordonne de se mettre sur la table, sur le dos. Je lui ré-enfonce ma bite dans l’anus, plus facilement que la première fois. Cette fois, j’y vais direct à fond. Elle me regarde avec un regard vide, et se re-masturbe de plus belle ! Ça confirme ma théorie : ma mère perd tous ses moyens quand elle se fait baiser.

Soudain, la porte s’ouvre.

–    Hello ! fait une voix féminine dans l’entrée.

Merde, ma sur. Je n’avais pas pensé à ça. Pas le temps de se cacher, je sais que ma mère va tout tenter pour se planquer mais il faut que je l’en empêche. Je continue de la baiser.

–    Mais arrête putain ! me dit ma mère à voix basse.

–    C’est quoi ces bruits ? Vous faites quo

Elle ne finit pas sa phrase. La situation est indescriptible. Ma sur vient de me voir en train d’enculer notre mère, sur la table. Tout le salon pue la baise sale, ce mélange de transpiration, de sperme et de cyprine. Je la regarde avec un grand sourire, sans interrompre mes vas-et-viens. Ma mère se cache le visage de honte.

Le silence dure une seconde, mais semble durer des heures. Seuls le bruit du frottement gâche ce moment parfait. Ma sur se retourne et claque la porte. Je ne sais pas où elle va, mais ma mère est affolée. Elle ne prend plus du tout de plaisir et semble furieuse. Elle ne comprend pas ce que je ressens, cette excitation suprême de l’interdit, de la domination mais surtout de la future soumission de ma sur. Quand ma mère m’a regardé dans les yeux, elle n’a pas vu le plan parfait que je venais de concevoir. Elle n’a pas senti mon excitation à l’idée de baiser ma salope de sur quand je lui ai enfoncé ma bite au plus profond de sa gorge. Elle n’a pas compris pourquoi je ne m’arrêtais pas après ce moment alors que c’était la partie la plus excitante !

Ma mère tousse, du sperme coule sur le sol. Je la regarde d’un air méprisant et elle se met naturellement à le lécher pour ne laisser aucune trace. De mon côté, je saisis mon téléphone pour envoyer un texto à ma sur :

« Je sais ce que tu veux faire. Foncer au travail de papa pour tout lui raconter est un très mauvais calcul. Je t’expliquerai tout ça. En attendant, je te conseille de tenir ta langue ».

Ça devrait suffire pour la calmer ce soir. Je m’occuperai de tout ça demain.

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