J’ai rencontré Léna dans un réseau social, et à force de discuter sexe, elle a fini par devenir "ma chose", un jour, je vous raconterai comment dans le détail. Léna est une jeune fille d’une vingtaine d’année, toute ronde comme une pomme, avec un cul énorme. Une belle chevelure brune, bouclée désordonnée, de grands yeux vert, et toujours une expression gourmande. Etudiante, célibataire, en attendant le grand amour, elle comble son vide affectif en se faisant remplir par son généreux amant, c’est-à-dire moi…

Moi, Félix, j’ai 46 ans, cadre dans l’industrie, marié avec 2 enfants, le mari parfait, le papa parfait, j’ai parfois besoin de fuir ce quotidien en léchant le gros cul de Léna, même si je dois faire 300 bornes et inventer un déplacement bidon chez un client imaginaire.

Un jour, j’ai le caprice de la voir dans une tenue hot, histoire qu’elle me fasse un strip-tease pour m’exciter. Donc nous nous rendons main dans la main dans une boutique de vêtements sexy. Nous sommes accueillis par une charmante vendeuse, une grande pimbêche blonde parfaitement apprêtée qui nous offre son sourire le plus radieux. Ma petite Léna se glisse dans les rayons et commence à farfouiller pour trouver une petite culotte et un sous-tif à son goût. Moi j’en profite pour mater son cul. Les fesses de Léna sont magnifiques, les courbes généreuses sont parfaitement dessinés, le tissus léger de sa jupe en épouse parfaitement les formes. Je m’imagine déjà y planter mon dard et entrer profondément en elle. Cette pensée me fait monter des chaleurs dans tout mon corps. La vendeuse me surprend dans mes rêveries. Elle s’est approchée de moi et me toise avec son superbe sourire, en réajustant sa coiffure. Elle doit être coquine celle-là, c’est sûr. Je lui rend son sourire. Elle est très différente de Léna, une grande blondasse au tailleur parfaitement ajusté. Je contemple ses bas résilles et ses escarpins, je remonte mes yeux sur tout son corps et je m’arrête longuement sur sa poitrine. Houlala, entre le cul de Léna, et le sourire de la vendeuse coquine, je me prends une putain d’érection.

Léna a trouvé son bonheur, elle se glisse vers les cabines d’essayages. Elle entre dans l’une d’elles en fermant brusquement le rideau. J’attends, j’entends les doux bruissements des vêtements qui glissent sur la peau. Je croise encore le regard de la vendeuse qui nous a suivi. Je regarde encore son décolleté, son sourire s’agrandit davantage. Je jette un coup d’il sur le bas du rideau je vois les petits pieds nus de Léna qui se démènent pour retirer sa jupe qui traine au sol.

Je ne sais pas ce qui me prends, entre le sourire coquin de la vendeuse, la chaleur de la boutique, l’idée que Léna est juste derrière le rideau et à moitié à poil, mon érection devient encore plus forte… Poussé par une pulsion qui me dépasse, j’ouvre le rideau et entre brusquement dans la cabine. Léna pousse un hoquet de surprise. Ses jambes sont découvertes, elle à juste eut le temps de vêtir une guêpière en dentelle noire. Avant qu’elle pousse la gueulante et me foute dehors, je couvre sa bouche avec une main, de l’autre j’attrape sa nuque.

Je lui murmure à l’oreille: "ferme là et laisses toi faire, tu vas prendre cher espèce de salope"

Tout en la maintenant Baîllonnée, je plaque Léna contre la paroi de la cabine.

Ma main attrape sa culotte et la fait glisser sur ses cuisses. J’accède à son petit duvet et je commence à le caresser, je sens la mouille qui vient très vite qui humecte mes doigts. Léna gémit au travers de mon autre main. Sans retirer mon baîllon, je retire complètement sa culotte, j’ouvre ma braguette et écarte l’élastique de mon slip. Mon sexe en jaillit aussitôt, raide de désir.

En un mouvement, je l’enfonce dans la chatte de Léna. Il rentre tout seul tant la mouille a lubrifié les parois du vagin. Léna écarte les cuisses pour me permettre de pénétrer davantage. Je balance de puissants coups de reins.

La position n’est pas très confortable, tout en maintenant sa bouche prisonnière de ma main, je dois plier mes genoux pour que mon bassin soit bien en face de celui de Léna.

Mais j’envoie les plus forts et les plus rapides coups de bite qu’il m’est possible de donner. Cette chienne a l’air d’adorer cela tant elle se contorsionne et gémit à chacun de mes mouvements. Mon corps est tout en tension, je ne tiens pas longtemps, au bout d’à peine dix coups de queue, je tire trois grandes giclées. Ma jouissance est extrême. En se retirant de sa chatte béante, mon gland est tout recouvert d’un gel blanchâtre, mélange de mon foutre et de sa mouille, qui s’étire comme du chewing gum avant de retomber mollement sur la Jupe de Léna qui traînait par terre.

Léna remet sa culotte et sa jupe souillée, sa coiffure est toute ébouriffée. Je range mon sexe dans mon slip et referme la braguette de mon pantalon.

Nous sortons de la cabine sous l’il médusé de la vendeuse. Cette cochonne nous a certainement espionné. A la caisse, je règle les petits achats de Léna. Et je me régale de la tronche de la vendeuse, quand elle voit le petit filet de sperme qui recouvre la dentelle noire de la lingerie… Elle ne pipe pas un mot, mais on voit bien qu’elle est troublée.

Nous sortons, main dans la main, un petit bisou dans le cou, Léna ressens mon sperme chaud dans son ventre, moi je sens mon sexe collé dans mon slip par le jus de nos ébats. Je tourne la tête et je vois la vendeuse qui nous voit partir. Je ne peux pas m’empêcher de lui faire un clin d’il, la vendeuse me répond par un petit signe de la main. Un jour peut être je reviendrais pour m’occuper d’elle.

Ooooh je me remets à bander, en pleine rue, alors que nous nous dirigeons vers la voiture, je caresse les fesses de Léna et ma main se souille de mon propre sperme…

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