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Au magasin de Bricolage – Chapitre 2




LE DEVIS DE FLORENT

    Cher lecteur, tu las bien compris, le beau gosse que jai allumé hier au magasin de bricolage, jai très envie de baiser avec lui. Tu as vu, il me parait timide Linconvénient des timides, cest que je dois faire les premiers pas, et là, parfois, ça les bloque, ils ont peur, se sentent dépassés et prennent la tangente. Si je veux me faire sauter par ce coco là,, je dois y aller cool. Mais là, il risque davoir fini son devis avant que je narrive au but. Ou alors, linverse, faire du rentre dedans ; un comble pour une femme !…

  Lorsque jentends sonner, jai choisi la deuxième stratégie : cest celle que je connais

le mieux. Jai laissé ma porte ouverte, et le temps quil monte, je minstalle dans mon jacuzzi. Jentends frapper.

— Entrez et fermez la porte derrière vous.

— Où êtes-vous ?

— je suis dans mon bain. Mais vous ne me gênez pas. Il ma vue, mais reste à lentrée du living .

— Avancez  !.. il se décide à venir me saluer. Je me lève alors, il reste bouche bée. Je lui demande ;

— Passez moi mon peignoir sil vous plait. Je lui fais face en pleine lumière. Sans me lâcher de yeux, il me tend le peignoir que jenfile sans le fermer.

— Vous prendrez bien un café ?

— Avec plaisir, merci. Je mets à couler les deux cafés et lui propose de venir voir la salle de bain. Peu bavard le coco. Il me suit. Je lui explique ce que je veux :

— Jaimerai une large cabine. Assez confortable pour y tenir à deux, comprenez-vous ? je veux pouvoir my allonger, avec des poignées pour saccrocher. Vous savez, quand on fait lamour en levrette, cest bien de pouvoir saccrocher.

    Il a lair absent, ne me regarde pas et ne sais dire que oui, oui !..Rien de plus. Nous revenons dans le living boire le café. Je minstalle face à lui au bar, laissant volontairement mon peignoir ouvert. Là, penché en avant, il plonge son regard non seulement sur ma poitrine mais aussi sur mon ventre et finit par me dire.

— vous êtes fort belle et fort désirable. Excusez moi si je vous choque, mais depuis hier, il y a une question que je me pose et que je vous pose : êtes vous une allumeuse, une perverse ou une baiseuse ?

— Vous ne me choquez pas, vos questions sont légitimes. Je vous réponds franchement, jallume pour baiser. Cest sans perversité. Je suis fière de mon corps, jadore me montrer nue et jadore faire lamour.

— Avec nimporte qui ?

— Non !…, seulement avec ceux que jallume parce que je les ai choisis.

— Alors hier, le vieux, vous lavez allumé, vous allez baiser avec lui ?

— Sil vient à notre rendez-vous, et sil veut bien, évidemment.

— Et avec moi ?…Vous voulez baiser avec moi ?

— Mais oui, bien sûr. Tu es beau, tu es jeune, tu me plais, je te désire, je te veux, fais moi lamour mais attention, pas nimporte comment, pas à la va vitetu dois me mériter, tu dois me cajoler, me caresser, bien me préparer mes orifices avant de les pénétrer. Tout ça, cest mon devis à moi. Maintenant va faire le tien dans ma salle de bain, et ensuite on passe aux choses pas très sérieuses, Ok ?

— Ok, je suis ton homme. Au fait, moi cest Florent et toi je sais depuis hier que tu es Carole. Je dois tavouer que ma copine, et oui, jen ai une, sappelle aussi Carole.

— Tant mieux, tu ne feras pas de gaffe. Mais dis-moi, tu vas lui dire à ta copine que tu baises avec les clientes.

— Cest la première fois je vais pas tout lui raconter. Tu es tellement canon que je peux pas louper ça !..

    Florent part dans la salle deau, je quitte mon peignoir et nue, je me glisse derrière lui. Il doit mesurer la pièce, examiner la plomberie et prendre des notes. Je lui propose mon aide, ce qui lenchante. Je lui propose également de se mettre à laise : il nhésite pas une seconde et se retrouve très vite en slip.

    Il me demande de lui tenir le boutdu mètre aux endroits quil me désigne et il assure la lecture de la mesure, notant consciencieusement sur son calepin. Il est souvent accroupi et moi souvent debout à côté de lui, ce qui ne manque pas de le distraire. Bien quil jette des coups dil furtifs sur mon intimité, il nose pas me toucher. Parfois, moi aussi accroupie, je me glisse derrière lui, et nos corps se frôlent, mes seins glissant légèrement sur son dos, ce qui mexcite terriblement !.. Enfin, il se relève pour prendre des mesures à la hauteur. Là, il utilise un télémètre, et je découvre avec satisfaction lénorme bosse de son slip. Je me colle alors à son dos, et lentourant de mes bras viens poser mes mains sur son ventre. Je le sens tressaillir, et comme jai posé mon menton sur son épaule, il me susurre à loreille ;

— Hum, comme ta peau est douce et tes mains caressantesje crois que jai fini mon travailsi jai oublié quelque chose, je peu revenir, nest-ce pas ?

— Viens dans le living, maintenant nous avons mieux à faire, tu dois honorer ton autre devis !…. Et le prenant par la main je lemmène avec moi.

Tous deux face à face devant le canapé, nous nous étreignons le temps de goûter nos caresses, nos odeurs, notre chaleur, puis je massois le laissant debout devant moi. Mes mains descendent sur ses hanches et je me saisi de son slip que je descend lentement libérant un beau braquemart épais et trapu, déjà en bonne forme. Je le besogne habilement de mes doigts, de ma langue, de ma bouche, le finissant en gorge profonde. Même si je sens très bien sa fébrilité, il ne semble pas réagir à mes gâteries

Les proportions de son membre, me semblent avoir augmentéIl saccroupit devant moi, pose ses larges mains sur mes cuisses, les écarte jusquà mamener au grand écart, et là, appuyé sur lintérieur de mes cuisses, tête baissée, il balai de son souffle et de quelques léchouilles mon entre jambes, puis, ayant ouvert délicatement de ses doigts mon coquillage, il vient le pénétrer dune langue vigoureuse qui visite toutes les chairs turgescentes de mon intimité. Il aspire habilement mes petites lèvres quil serre entre ses lèvres tout en les suçant, me procurant ainsi un délicieux orgasme. Dun dernier coup de langue il recueille la cyprine qui minonde, et relevant la tête, me lance avec un beau sourire tout en se léchant les lèvres ;

— Hum !.. Comme elle est bonne !..

Malgré sa jeunesse, ce détail me révèle toute lexpérience et la délicatesse de Florent. Maintenant, jai très envie quil me baise. Javance mes fesses sur le bord du canapé, jai les cuisses ouvertes et relevées. Lui à genoux parterre, présente son épais braquemart juste devant ma vulve épanouie, prête à le recevoir ;

— Viens, je te veux, maintenant, défonce moi !…

Alors, doucement et lentement, il fait glisser son gland sur mes petites lèvres, puis sur mon clitoris quil décalotte de suite, et me fait languir encore de cette promenade impromptue, mais tellement voluptueuse, avant de senfoncer profondément dans mes entrailles en feu. Ses merveilleuses manières me provoquent très vite un nouvel orgasme. A ce signal mon bel amant accélère la cadence de ses va et vient et me laboure le ventre avec entrain, marrachant de petit cris de jouissance. Nous changeons plusieurs fois de position et à chaque fois quil se retire, le vide que je ressens me semble insupportable, et à chaque nouvelle pénétration je vis lextase. Après une bonne demie heure de baise furieuse par tous mes orifices, il me prend en levrette, ma position préférée. Sa bite toujours raide sengouffre jusquà la garde dans mon vagin ruisselant de cyprine. Retenue fermement par les hanches il me fait coulisser en cadence sur son chibre et claquer mes fesses sur son ventre. Je ne compte plus les multiples orgasmes que jéprouve à ce jeu. Puis dans un râle profond il menvoie enfin la sauce, se retirant avant la fin pour honorer mes fesses de quelques jets de foutre en réserve.

    Merci Florent. Quel merveilleux amant tu fais pour mavoir fait jouir si intensément !…

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