Il pleuvait averse dans cette rue étroite du Vieux Marseille et je m’étais réfugié sous un abri de magasin pour m’abriter des bourrasques de vent qui m’arrosaient copieusement. J’aperçu en face un homme d’une cinquantaine d’années me faire signe de m’approcher. Je traversais, je le saluais et il me m’invitait, avec un fort accent maghrébin, à entrer dans un couloir qui menait à son logis… l’endroit était plutôt sordide mais je le suivis sans me poser de question, poussé par la crainte de détériorer mon beau costume. Il me fit entrer dans son logis en me tenant par l’épaule. Son geste me surpris et éveilla en moi une sorte d’émotion qui accéléra ma respiration. La pièce était chaude, accueillante. Il m’invita à m’assoir dans un large canapé et il m’offrit avec gentillesse une tasse de café que j’acceptais avec plaisir. L’homme était d’une carrure imposante, grand, les épaules larges, les membres musclés.
Il me raconta qu’il était seul depuis quelque semaines car son épouse était rentrée au pays et que cela lui manquait beaucoup. Il brancha la télé après avoir inséré un DVD il vint me rejoindre dans le canapé. Les premières images se montrèrent très chaudes, il me demanda si j’aimais. Oui, bien sûr, j’aime toujours découvrir et alors je me laissais aller.
Mon hôte ne tarda pas à se manifester… Il posa sa main sur son entre jambe et se caressa… je m’aperçu qu’une bosse grossissait, et comme je ne manifestais aucune gêne ou réprobation, il défit sa braguette et en sortit un sexe de bonne taille et commença à se masturber en mouillant le bout de ses doigts de salive. Il était maintenant gros et dur, son gros gland violacé brillait de ses sécrétions…. je surveillais du coin de l’il ce que mon hôte ne manqua pas de remarquer.
Il passa son bras autour de mon cou, força doucement ma tête vers le bas et me demanda avec un ton assez autoritaire de le sucer. Son gland toucha mes lèvres, son odeur de mâle me fouetta les narines, il força son gland, mes lèvres s’ouvrirent et accueillirent le sexe du mâle.
Je me mis à téter ce beau gland lisse et doux, à prendre cette tige dure au fond de ma gorge, à goûter la sève salée qui suintait…. hummm, quel délice. Je tâtais ces grosses couilles, qui semblaient bien pleine, les aspiraient dans ma bouche, pendant que je branlais fermement sa bite.
L’homme gémissait de bien être… tu fais bien ,me dit-il. Très bien comme une salope.
Puis, le sexe toujours planté dans ma bouche suceuse, il défis ma ceinture, baissa mon pantalon, l’ôta et me caressa les fesses que j’ai bien rondes et profondes… il glissa ses doigts tout le long de ma raie appuya et rentra un, puis deux doigts dans mon anus qui est bien ouvert. Je gémissais, il se mit à me lécher l’anus, à rentrer sa langue profondément, à injecter sa salive…. tu aimes ça salope me dit-il , couche toi sur le dos que je te prenne comme une femelle. Ouiii, je ne me fis pas prier, le ventre tenaillé par l’envie de sentir ce mâle s’occuper de moi.
Je me retrouvais sur le dos, les jambes bien écartées , les jambes relevées posées sur ses puissantes épaules. Il enfila maladroitement la capote que je lui tendis. Je sentais son sexe dur et puissant appuyer sur mon anus qu’il ouvrait progressivement donnant de petits coups secs, je gémissais de douleur et de plaisir…. puis son gland passa l’entrée et je sentis la profonde pénétration de sa bite dure qui se mit à me pistonner… plus je gémissais, plus l’homme me baisait profondément, Je sentais ses grosses couilles frapper contre les miennes. Il glissait bien, bien profond… il me laissait une sensation de femelle prise par un animal. Dans un miroir placé près du canapé, je voyais ses fesses
marteler mon ventre entre mes cuisses ouvertes… il regardait aussi le spectacle et accélérait sa cadence et forçait à fond tant il était excité par ce qu’il voyait. Je sentis son membre dur se contracter et il lâcha de nombreux jets de sperme bien chaud.
Il resta dur, planté entre mes fesses de salope pendant au moins dix minutes. J’étais exténuée par la force de cet homme. Il se retira, retira la capote bien pleine et déversa le sperme sur mon visage, et l’étala avec ses doigts. J’adorais cette odeur, je me pourléchais les lèvres.
Puis, je me nettoyais rapidement. L’homme me dit qu’il avait des copains et qu’on pourrait se revoir si je le désirais.
Je me retrouvais dans la rue, avec son numéro de téléphone… encore tout excité, émoustillé par de futures rencontres.