Je m’apprêtais à fermer la boutique quand une jeune maman (la trentaine environ) entra avec son bébé dans la poussette.
"-Je vais bientôt fermer madame.
-D’accord. Je veux juste essayer un jean que j’avais repéré hier.
-Très bien."
Pendant qu’elle cherchait son pantalon sur les étagères, je fermais la porte à clef et baissais le store à moitié pour éviter qu’une autre personne n’entre. La jeune maman était très mignonne: brune aux cheveux courts, grands yeux marrons, mince, taille moyenne. Elle portait une mini jupe: elle avait de jolies jambes. Quant à ses seins, je les devinais petits sous son chemisier. Alors que je rangeais un peu le magasin, la cliente dit:
"-Je peux essayer ces 2 jeans?
-Je vous en prie (en lui désignant la cabine)."
Elle entra dans une cabine et tira le rideau. Son bébé me regardait, assis dans sa poussette stationnée devant la cabine de maman. Je m’agenouillais devant lui et commençais à faire des grimaces pour le faire rire: gagné! le gamin riait à gorge déployée. Tout en faisant le rigolo pour bébé, du coin de l’oeil, j’aperçus un joli spectacle dans la cabine par l’entrebâillement du rideau . La belle avait ôté sa jupe et me dévoilait innocemment son joli cul. La ficelle du string reposait entre les 2 fesses. Mes yeux ne se détachaient pas. Oublié le bébé. Puis le jean vint recouvrir ce joli fessier et je revint sur terre. Lorsqu’elle sortit de la cabine, je me redressais. La jolie brune passa devant moi et se posta devant un grand miroir. En se mirant et en tournant sur elle-même, elle demanda:
"-Je vous plais?
-Oh oui parfait. Il vous va à merveille.
-Je parle pas du jean. Je vous ai vu tout à l’heure, dans la cabine. Vous me matiez. Je vous plais?
-Heu oui (répondis-je hésitant et stupéfait), vous êtes superbe.
-On baise?" Me demanda-t-elle.
Ni une ni deux, je me ruais sur elle. On entra dans la cabine et je tirais le rideau. Nos jean tombèrent au sol. Nos langues s’entremêlaient tandis que mes mains parcouraient son corps. Je lui enlevais son chemisier et dégrafais son soutien-gorge. Ma bouche avala un des tétons qui s’offraient à moi. De son côté, la belle inconnue me branlait doucement. Je lui enlevais son string et elle se tourna dos à moi et se cambra. Ses mains s’accrochèrent au portemanteau au dessus d’elle. J’introduisis mon sexe dressé dans son vagin:
"-Vas-y mon chéri baise moi bien. Tu matais mon cul, tu l’as, profites-en!"
J’entrais et sortais, mes mains posées sur chacune de ses fesses.
"-Oh oui, vas y c’est bon, han ha ha, t’es un bon vendeur, tu sais t’y prendre avec tes clientes
-T’aimes ça ma cochonne?! Hein? C’est bon de se faire baiser…"
Elle se tenait maintenant face à moi, debout contre la cabine. J’étais contre elle, lui tenant une jambe. Je léchais ses seins tout en la pénétrant un peu plus énergiquement.
"-T’arrêtes pas chéri c’est bon ce que tu fais, oh oui! ha ha ha.
-Je veux ton cul ma jolie! Tu me l’offres?
-Ok!"
Ma cliente se tourna une nouvelle fois et se cambra, posant un genou sur le petit banc. Je mouillais le bout de mes doigts avec ma salive et humidifiais son anus. J’approchais ma queue et tentais d’entrer.
"-Hou! Doucement! tu es un peu gros." Dit-elle un peu craintive.
Je décidais de mettre ma langue pour détendre l’ensemble (la maman et son anus). Le bout de ma langue titillait ce petit trou. Elle se laissa aller:
"-Hmmmmm, c’est bon ce que tu fais là. Ha oui, hmmm…."
Puis vint le moment où je pus entrer physiquement. Ma queue pénétra enfin son cul. Mon va et vient d’abord lent s’accéléra petit à petit jusqu’à la défoncer copieusement.
"- Ho oui, salaud! défonce-moi la rondelle, vas-y encule-moi, je te sens bien là!
-Tourne toi je vais jouir dans ta bouche!"
Elle s’assit sur le banc et me prit dans sa bouche en me branlant énergiquement. Je giclais en elle et sur elle. Elle en avait partout.
Au bout de quelques minutes on sortit de la cabine, comme si de rien n’était. Bébé dormait dans sa poussette.
"-Je prends le jean. J’ai droit à une petite ristourne quand même?
-Une grosse remise même. Et ça c’est cadeau." Je lui tendis un string que je pris en rayon.
Elle régla son achat puis on s’embrassa langoureusement avant qu’elle ne sorte avec bébé.