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l'initiation de Clairette – Chapitre 5




LINITIATION DE CLAIRETTE 5.

Dans le cinquième chapitre, linitiation de Forent se poursuit vers des contrées toujours plus surprenantes. On apprendra que le jeune Forent nest pas le novice quil essai de le faire croire. Nous découvrirons aussi hélas quil nest dépourvue ni de cynisme ni de perversité. La pauvre Domi en fera les frais mais elle y trouvera à assumer sa par de masochisme.

Forent se réveille seul dans le lit. Il veut rejoindre Clairette pour le petit déjeuner. Il cherche un vêtement mais ne trouve rien à se mettre. Larmoire ne contient que des tenues féminines. Dans la salle de bain, il ne trouve quun grand drap de bain très humide. Il retourne dans la chambre et finit par enfiler un déshabillé de soie rose. Il sen couvre. Son corps réagit aussitôt à la voluptueuse parure.

En abordant lescalier, il surprend une conversation entre Claire, son père et une voix féminine, qui doit être Christine. Le grand miroir de lentrée me renvoi limage de deux femmes qui dévissent dans la cuisine autour dune tasse de café. Claire a revêtue une légère liquette de coton qui laisse deviner sa poitrine. Christine est de profil, entièrement nue. Cest une brunette aux cheveux très foncé, coupés court, le visage rond, les pommettes saillantes. Le coude appuyé la table, une main soutient le menton. Elle expose le profil dun sein plein et généreux. Elle doit faire face à Charles qui est caché de sa vue mais dont il entend distinctement sa voix. Il sadresse à sa fille.

— Tu nes pas daccord avec moi ?

— Charles a raison, appuie Christine. Coucher avec un adolescent est très dangereux. Même en prenant toute les précautions. Je sais de quoi je parle

Clairette sétonne :

— Tu as eu une liaison avec un adolescent ?

— Non mais cétait pareil. Il fallait se cacher

Florent sassied sur lescalier, curieux et intrigué.

Charles intervient.

— Je peux expliquer, Christine ?

— Oui, cest prescrit

— En mai 44, Christine a eu des faiblesses pour un officier alsacien un « malgré nous » de larmée allemande. Elle a manqué de perspicacité !

Christine poursuit :

— Jétais réfugié dans une grande ville du sud. Nous nous sommes rencontré au concert. Il était charmant, distingué, très cultivé. Jétais sans homme depuis quatre ans ! Je suis tombée amoureuse. On prenait des précautions inouïes. Pas par craintes des patriotes, mais parce que nous étions tous les deux mariés ! Avec le recul, quelle inconscience ! On pensait que personne ne pouvait connaître notre liaison. Pourtant, deux jours après la libération, jai été arrêtée. Cest son chauffeur qui ma dénoncé pour sauver sa peau. Avec dautres filles, ils nous ont promenées nue dans les rues et nous avons été tondues. Cest le chef de la résistance qui ma sauvé : Charles. Il ma caché dans sa famille en montagne. Mon mari nest pas revenu de la guerre. Charles et moi, on ne sest plus quitté.

Le papa confirme.

— Je détestais les résistants de la dernière heure et encore plus leurs exactions.

— On ne va pas me tondre ! Réplique Claire avec un rire un peu contrits.

— Non, bien sur mais tu seras inculpé de détournement de mineur et incarcérée.

— Il a presque dix huit ans, il est très mature.

— Oui, je le crois mais ses parents

— Ses parents ne diront rien. Lépicerie souffre. Je les aide au niveau des factures.

— Encore mieux ! Coupe Charles. Tu y ajoute la corruption. Florent risque des ennuis, et Pierrot, tu y as pensé à Pierrot ?

— Je ne pense qua çà. Mais il est de plus en plus distrait. Il ne pense quà sa candidature de président de la chasse. Tu comprends avec Florent cest tellement Je fais des choses, si tu savais

— Jimagine Sourit Christine.

— Je sais que tout ça doit avoir une fin mais « laissez le moi, encore un peu, mon amoureux »

— Ce nest pas moi qui vais te blâmer. Lui souffle Christine.

— Moi non plus. Je suis mal placé pour çà. Ajoute Charles. Mais jai peur pour toi. Je sais trop comment ce genre de situation se termine.

— Il me vient une idée, intervient Christine. Je pourrais engager Florent à la librairie pour les week-ends et les vacances. Vous pourrez vous voir tout à loisir quand tu viendras chez ton père… Cest moins dangereux quà St Marcel.

— Cest une bonne idée répond Charles.

— Oui, vous avez raison. Je vais lui parler. Je vais aller le rejoindre

— Tu as raison profites-en ! Il est là pour çà ! Encore que tu pourrai partager ? Appuie la compagne de Charles Dans un grand rire.

— Moi aussi jen prendrai bien une tournée.

— Pas touche les deux ! Pas touche à mon minet.

Je bondis comme un chat me réfugier dans le lit où Clairette viens me rejoindre. Je fais semblant de dormir mais elle nest pas dupe.

— Mais tu es tout froid !

— Je viens de la salle de bain. Je nai pas trouvé mes vêtements.

— On va se réchauffer me dit-elle. En me montant dessus.

Tout à coup, jai deux gros boutons devant les yeux. France Inter et Europe 1 ! Je les tourne mais cest une toute autre musique fait de miaulements et de soupirs qui se fait entendre.

Ses doigts explorent mon bas étage.

— Comment va ton petit cul ? Il na pas trop souffert ?

— Oh si, il est tout endolori.

— Oh le pauvre ! Je vais le consoler.

Elle remonte mes cuisses sur ma poitrine pour exposer ma petite pastille. Mon petit trou souvre spontanément sous sa langue habille. Qui est suivie par un doigt inquisiteur.

— Mais cest tout net ! Pas la moindre rougeur. Tu mas mentis. Je vais te faire goûter ton petit cul!

Elle me fait sucer son doigt au relents épicés , puis elle membrasse longuement mélangeant mes senteurs acides à son écume parfumée.

— Prend-moi. A fond !

Après une bonne heure débats interdits, nous nous levons enfin. Clairette ne mautorise quun déshabillé transparent.

— Christine a bien le droit dapprécier. Non !

Christine et Charles nous accueillent avec un sourire généreux. Cest une femme épanouie dune cinquantaine dannée. Elle est dévoilée dune fine chemisette transparente, mon regard est capté par les belles outres un rien affaissées doù émergent deux énormes tétines dilatées. Les yeux noirs enfoncés par des pommettes expriment malice et générosité. Les hanches semblent prêtes à soutenir tous les sièges. Le ventre légèrement bombé est une ode à la femme. Mes yeux se baissent malgré moi, le visage de la coquine séclaire, elle entrouvre ostensiblement les cuisses. Et là, au milieu du monde, une cicatrice parfaitement lisse. Les grandes lèvres sécartent encore un peu. Je suis stupéfié : Une petite médaille brillante repose sur le siège ! Elle samuse de ma surprise. Se lève pour se rapprocher de moi. Elle vient membrasser sur les joues en tirant sur la ceinture de mon déshabillé. Mon sexe la salut dune magistrale érection.

– On ne ma pas menti ! Tu es beau. Je comprends Claire !

— Met-le en cage ! On va te le voler ! Sexclame-t-elle en sadressant à Clairette.

Je suis troublé par le pendentif qui flotte à quelques centimètres. Le médaillon pend au bout dune petite chaîne en or. Elle ajoute près de mon oreille :

— Et oui, je me suis fait ferrer par amour pour Charles. Tu peux la prendre en main.

Je lis : « Réservé à Charles »

Je me demande ce quil reste à me montrer dans cette famille ?

Clairette interrompt la revue de détail :

— Tu dois avoir faim !

— Euh, oui.

Christine nous salut pour aller shabiller et rejoindre sa librairie. Elle nous invite à la visiter. Charles annonce quil part faire son jogging. Claire et moi partageons un agréable déjeuner..

— Mon père vit une retraite heureuse, tu ne trouve pas ?

— Oui, sûrement.

Avec beaucoup de précaution, Clairette mexplique que notre liaison est très imprudente.

Quil sera de plus en plus difficile de se voir. Jimite une mine déconfite un peu forcée.

Elle me console de baisers puis faisant semblant de sinterroger, elle me suggère de travailler à la librairie de Christine. Je la laisse mijoter des explications apaisantes. Puis je la délivre dun seul coup en exigeant un dédommagement charnel.

— Je te permets des moments encore plus brûlants.

Nous nous rendons à la librairie où Christine me confirme quelle a un job pour moi les week-ends et les vacances.

En fait tout çà marrange bien. Je pourrai me constituer un pécule en prévision de luniversité.. Baiser Domi certains mercredis sans devoir la supporter les week-ends. Mais aussi parce que jen ai ma claque de l’entraîneur de rugby qui me cherche depuis le début de la saison. Sous prétexte quil naime pas les vedettes alors que je suis premier buteur du département en junior. Avec mon pote Jean-Paul, nous sommes la meilleure charnière de la région. Après celle des frères Camberabero bien sur ! Je vais planter ce gros con, il pourra se mettre son championnat départemental ou je pense. Je vais minscrire à Grenoble ou dans le coin, ce ne sont pas les clubs qui manquent. Mon ami Popaul sera un peu orphelin, mais il est amoureux frustré de Domi. Je la lui livrerai pieds et poings liés comme lot de consolation.

Je neu pas de difficulté à convaincre mes parents qui virent avec soulagement que je deviendrai beaucoup plus autonome sur le plan financier.

Le mercredi suivant, cest une Domi vibrante damour que je retrouvais. Je voulais être odieux pour quelle se persuade de me quitter. Elle vint en jeans et gros pull col roulé.

— Je ne tai pas vu vendredi dernier ?

— Je ne suis pas monté à St Marcel. Je jouais à lextérieur.

— Pourtant il y avait match. Jy suis allé.

— On ne ta pas dit que je change de club.

— Ah ! Non Répond-t-elle dépitée.

Je lui explique la situation, le rugby, le travail du dimanche. Cest comme si « La cabané était tombée sur le chien », mon amoureuse est dévastée.

— Tu ne viendras plus à Saint Marcel ?

— Pas souvent. De toute façon, cest fini les pelotages dans le car !

— Si tu crois me faire bander avec ton froc et ton col roulé. il me faudra beaucoup dimagination !

— Mais il fait froid ! Je ne peux pas venir nue sous ma robe ! Je nai rien en dessous.

— Tu seras punie !

Elle me lança de gros yeux humides.

— Tu ne me feras pas trop mal. ..

Je la pousse dans la chambre :

— A poil et vite ! A quatre pattes sur le lit !

Elle fut nue en dix seconde. Elle prit la position demandée. Je me déloquais puis jappuyais sur sa tête pour quelle me présente bien ses fesses. Je passais une main sur la vulve trempée et frissonnante. Cette conne aime lhumiliation. Me dis-je.

— Je taime, viens je t !aime !

— Pas très original !

— Baise-moi, je suis à toi. Je veux que tu me prennes !

Plus mes doigts fouillent cruellement le con de la conne, plus elle inondait ma main .

— Oh, oui, met ta main ! Je la veux bien à fond !

— Tu es folle ! Répliquais-je. Déchire lemballage ! Lui ordonnais-je en lui lançant une capote.

Je prélève dans labondante sécrétion de quoi lubrifier mon vit et la petite corolle. Je force un doigt dans le petit trou. Je capotais mon pénis.

— Oh, non, pas par là ! Tu ne vas pas Réagit-elle en se relevant.

Je lui plaquais la figure sur le traversin et dune magistrale tape je lui intimais de se tenir tranquille. Elle poussa un cri horrifié. Essaya de se redresser.

— Tu te rebelles !

Elle reçue une dizaine de claques toutes aussi violentes. Le derrière Domi se colora dun rouge vermillon. La petite pleurait à chaudes larmes. Tout en la maintenant avec fermeté, je baladais mon sexe à lorée de la pastille. Il nen fallut pas plus pour que les pleurnicheries se transforment en vibrations. Je forçais un peu le passage. Ma partenaire essaya de se dérober à lodieux mais, ses mouvements désordonnés ne firent quinciter au crime sodomite. Finalement, ma pinne put sengagea nettement dans le conduit. Elle poussa un couinement horrifié.

— Jai trop mal ! Arrête !

— Pousse ça ira mieux ! Pousse fort !

Dun seul coup, comme si un bouchon avait sauté, mon membre se ficha à fond dans lintestin.

Elle récita des lamentations dagonisante. Je restais quelques instants sans bouger. Elle shabitua un peu. Puis, très lentement, jeffectuais des petites impulsions Le gros chagrin se changea en gémissements. Attentif à apaiser ses tourments, jaccélérais progressivement. Cest ainsi que, petit à petit loiseau fait son nid ! Je fus conforté par la transformation de la voix de ma partenaire.

— Doucement, je ten prie. Oh mon dieu, où tu me la mets ! Oh, tu me détruis. Continue, cest bon. Cest bien.

Ses deux mains écartaient ses fesses pour faciliter lenfilage. Mes allers et venues samplifièrent.

— Elle se mit à pousser des vociférations hystériques.

— Oh, cest bon ! Tu mencules !

Je glissais la main sous son ventre. Et je roulais son clitoris entre mes doigts. Aussitôt, elle poussa une plainte et exprima un orgasme tonitruant. Voulant la contraindre jusquau bout, je sortis rapidement. Elle retomba sur le dos alors, sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je quittais la capote et lui fourrais ma bite dans la bouche restée ouverte. Dans un haut le cur, elle voulu la recracher mais, lui prenant la tête, je contraignis la gorge. Enfin, elle accepta mes allers venues et mit ses mains autour de mes couilles. Je ne pu résister bien longtemps. Je sentis mon jus refluer alors, magnanime, je me retirais et lui arrosais la poitrine et le menton.

— La prochaine fois, tu avaleras !

Elle mit un bon moment à refaire surface. Puis, elle se lova contre moi en murmurant.

— Jai fais ce que tu voulais, tu es fière de moi ?

Je ne répondis quen cajolant ses seins recouverts de mes sécrétions. Elle prit mon sexe en main. Je me remis à durcir.

— Tu as un autre préservatif ! Me demanda-telle.

Alors là ! Elle me la coupe ! Jattrapais mon pantalon et lui tendit une nouvelle capote. Avec beaucoup dapplication, en me lançant quelques sourires dapprobation, elle me revêtit. Puis, en femelle lascive, elle rampa sur moi et senfila le con sur mon pieu. Me couvrant de baiser, elle se plaça à genoux et secoua son bassin alors que je lui étreignais durement des tétons. Insatiable, elle ne retint pas sa jouissance. Instinct grégaire oblige, je remplis son vagin.

Nous restâmes quelques minutes blottis dans les bras lun de lautre. Ce fut le moment des confidences.

— Jamais jaurai cru que cétait possible Cest dur. Mon derrière est douloureux. Mais ce nest pas grave parce que je taime. Tu ne me mépriseras pas ?

— Bien sur que non. On ne peut aller aussi loin que si on saime Répondis-je hypocritement.

— Alors, je suis fière dêtre ta petite enculée. Jaime bien finalement.

Incroyable, cette nana est complètement givrée ! Cà va être plus difficile que prévu de la planter.

Mais il y a un dieu pour les forbans. Mon pote minforma le lendemain que des voisins avaient rapporté à sa mère que des hurlements de dépravés perturbaient leur tranquillité les mercredis après-midi. Ils avaient même vu sortir une jeune fille blonde avec un garçon emmitouflé qui ne pouvait quêtre leur fils.

Les mouches changèrent dânes, comme on dit au rugby. Il fut mis fin aux rendez-vous du mercredi de deux à quatre.

Domi sen désola dautant plus que je lui confirmais que je ne passerai plus mes week-ends à Saint Marcel.

— On ne pourra plus se voir alors ? Répondit-elle les yeux embués.

— On se verra encore mais ce sera plus difficile de coucher ensemble. A cet instant, je pensais à Clairette.

Devant sa mine effondrée, je la rassurais autant que possible.

— Je passerai de temps en temps. On se débrouillera pour se rejoindre à la station si tu peux te libérer.

Mais, dans les semaines qui suivirent, nous ne pûmes nous retrouver quà quelques reprises. Ce fut aussi le cas avec Clairette. Car, après la saison des fruits et des châtaignes, lactivité dexpédition était au ralentie. Jypy était alors très présent à la maison. Difficile de trouver une fenêtre de tir !

Enfin, ce fut le congé de la Toussaint. Le mari à la chasse en Écosse, promesse de folles débauches.

Clairette expédia son Pierrot dans lavion de Glasgow puis courue me rejoindre à la gare de Grenoble.

Comme il lavait promis, son père avait déserté le chalet. Jen été plutôt soulagé. Je pu enfin garder pour moi seul, ma libertine brûlante de désirs trop longtemps refoulé.

— Enfin, mon petit étudiant ! Sexclama-t-elle en membrassant fougueusement devant la gare. Ce qui ne manqua pas doffusquer quelques bourgeois du cru.

— Vite, cachons nous dans les montagnes

Nous arrivons au chalet vers midi. Une fois dans la place Clairette mannonça le programme :

— Déshabille-toi entièrement ! Tu resteras nu toute la semaine.

Elle enfourne mes vêtements dans mon sac et sort de la pièce.

— Clairette ! Je vais avoir froid !

— A-t-on âge on na pas froid et sil le faut, je te donnerai de quoi te réchauffer. Le soir surtout.

Me voila dans le plus simple appareil. Devant mon embarra elle éclate de rire.

— Oh, le minot, il ne sait plus que faire de ses mains.

Elle retire son imperméable !

— Vient donc les poser où tu sais !

— Tu es folle !

— Oui, de toi, de ta queue surtout mais jai été sevrée pendant des années! Je me rattrape.

Par rage, autant que par désir, je me jette sur elle.

— Tu veux de la bite ! Tu vas en avoir !

— Vantard !

Avant quelle nait eu le temps de dire Strasbourg, je retrousse sa jupe déchire la culotte et la force comme un soudard. Quoique la belle soit déjà bien humide. Mon pieu glisse dans la fente comme le savon sur le lavabo.

Elle a un hoquet quand je touche le fond de la matrice.

— Doucement ! Implore-t-elle.

Mais sourd à ses cris, je la pilonne violemment.

— Ah, oui ! Oui ! Cest bon, oh que cest bon sexclame-t-elle secouée comme un Orangina. Baise-moi, viole-moi, défonce-moi !

Elle laboure mes fesses de ses ongles mais la souffrance ne fait quaugmenter ma fougue. La tête dans le vide, je la termine en déchirant ses tétines arrogantes. Elle a comme une convulsion. Après deux ou trois soubresauts, elle pousse une longue exhortation où elle me maudit.

— Salaud, quest-ce que tu me baise bien. Dit-elle en recommençant son manège !

— Et là doucement ! Je dois recharger mes batteries

Elle membrasse goulûment.

— Voyez-vous çà ! Ce pauvre petit, si jeune et déjà vidé ! Sa vielle maîtresse va lui faire le bouche à bouche !

La gueuse enfourne sa langue.

— Tu vas voir si je suis épuisé. Ai-je encore la force daffirmer.

Nous roulons lun sur lautre. Mon pieu laboure le ventre à la cherche dune cavité. Il repère une grotte largement ouverte quoique très humide dans lequel il se précipite. Sourd aux émois de ma partenaire, il la ramone violemment pendant près de dix minutes. Elle retombe sur le lit en agonisant. La donzelle a présumé de ses forces. Elle est out !

— Cette fois tu mas eu

Après un long moment, nous prenons une douche commune où chacun prodigue lexquise caresse dun savon à la lavande.

Clairette me conduit dans sa chambre. Elle me passe une courte chemise de nuit en coton. Jai un pyjama propre. Protestais-je pour la forme.

— Oui mais tu es plus beau comme çà. Je peux te deviner en transparence.

Elle enfile une nuisette de dentelle satin noir et or.

— On va préparer le souper.

Je lave des légumes devant lévier pendant quelle nous sert un apéritif.

— Tu sais que tu es appétissant comme çà dans ta chemise de nuit. Si mon père était là, tu y passerai illico.

Je me retourne, outré.

— Quoi ! Ton père nest pas un

— Il est bi !

— Bi ? Cest quoi ?

— Bisexuel. Il aime les femmes et il ne déteste pas les hommes. Tu ne tes pas aperçu du regard quil te fixait lautre jour ?

— Enfin Non Pas vraiment

— Pas vraiment mais un peu non ? Petit hypocrite ! Jai bien vu que tu ne semblais pas plus choqué que ca !

— Et toi, ca ne te choque pas que ton père soit bi ?

— Je my suis habituée. Mais avoue que tu a déjà pensé à des garçons ? Dit-elle en me prenant les parties en main.

— Un peu et même plus

— Ne me dit pas que tu las fait Au pensionnat ?

Elle me mijote comme le steak qui cuit sur la poile.

— Non, pas au pensionnat

— Dans le vestiaire !

— Où ? Raconte-moi !

— Mais non !

— Accouche ! Tu en dis trop ou pas assez.

— Avec le Pat (Patrice de son vrai nom)

— Le Pat ? Le projectionniste du Foyer. Le ciné qui a brulé ? Mais il est en prison ! Cest un tordu ! Il est pédéraste ! Il aime petits garçons ! Tu as Ah ! non !

— Non, pas vraiment

— Pas vraiment ? Explique ! Ca cest passé quand ?

— Il y a quelques années. Cétait avant la pension.

— Que sest-il passé ?

— Pas grand-chose

— Comment, pas grand-chose ? Tu fricote avec un pédéraste et tu me dis : Pas grand-chose ! Raconte !

— Il ma juste caressé pendant le film. Cest tout

Jespère que le souper va faire diversion mais ma maîtresse ne sen laisse pas compter.

— Tu dois aller jusquau bout !

— Non, cest tout

Son regard noir me fait comprendre que je ne men tirerai pas à si bon compte.

— Cétait le dimanche après-midi. Un jour où il ny avait presque personne. Son père tournait. Le Pat sest mis à coté de moi et a mis la main sur ma cuisse, puis au milieu.

— Tu nas pas hurlé ? Tu nes pas parti ?

— Non, je ne sais pas pourquoi. Jétais curieux. Il voulait que je le suive Mais jai refusé.

— La semaine suivante, il ma surveillé. Avant que je rentre au ciné, il ma fait signe. Il ma invité dans la salle de projection

— Du coup je ne payais pas Je me suis glissé par la porte de service. Le fonctionnement mintéressait. Cest lui qui tournait. Il ma tout expliqué le fonctionnement. Puis il ma montré le miroir quil avait bricolé. On pouvait zieuter les amoureux.

Il ma montré ce que faisaient les amoureux au dernier rang. Quand il y a peu de monde, les garçons ouvrent leurs braguettes et certaines filles remontent leur robe. On en voyait qui caressaient leurs copains. Jai vu, même des bourgeois avec la main dans les cuisses de leurs femmes. Si je te disais qui

— Ne me dis pas. Cest du propre ! Mais je suppose que vous ne vous contentiez pas de regarder ?

— Après, je devais me mettre tout nu.

— Bravo ! Tu trouvais çà normal. Tu ne savais pas que cétait un PD.

— Je ne savais pas ce quétait quun pédé. Tout çà cest la faute de la fille du docteur

— Marie ! Quest ce quelle a à voir là dedans ?

— Elle était au dernier rang avec Gaétan le fils du maire ?

— Et alors ?

— Marie a carrément remonté sa robe et enlevé sa culotte. Le Gaétan il lui a retiré son soutien !

— Le Pat ma dit de surveiller les baguettes. « Je reviens. On va bien samuser »

— Cest quoi les baguettes ?

— On doit toujours les maintenir rapprochées pour que larc lumineux se fasse dans le projecteur. Bref il est descendu quelques secondes dans la salle. Je lai vu se placer à coté des amoureux. Marie a rabattue sa robe et repoussé ses dessous sous le fauteuil. Le Pat les a ramassés puis il est remonté. « On va bien rigoler ma-t-il dit ».

— A la fin de la séance, Gaétan et Marie sont montés, honteux et craintifs.

« Alors, on sexhibe dans un cinéma familial » A-t-il ricané en agitant la culotte et le soutien. « Je crois que je vais les porter au docteur » « Oh non ! Patrick, ne fais pas çà » Implora Marie. « Tu crane moins aujourdhui ! Ce nest pas comme au bal où tu mas envoyé promené en te foutant de ma gueule ! Et toi Gaétan ! Toi aussi tu mas remballé ! Il est temps de payer : A poil tous les deux !

« Oh, non, pas ca ! » Implore Marie en larmes. « Regarde la mijaurée ! Dit-il en soulevant la jupe. Il y deux minutes elle était à poil dans un cinéma à se faire reluire la moule par son puceau. Jai dit à poil tous les deux sinon je porte un de tes soutifs au docteur et lautre au maire ».

Marie soulève timidement sa robe fait apparaitre une toison foncée. Plus haut ! Explosent à ma vue de belles outres écartés. Cest la première fois que je vois une fille nue !

Le fils du maire baisse son futal. « Allez plus vite ! Et jusquau bout ! On ne va pas y passer la nuit !»

Ils sont nus. Ils essaient de cacher leurs organes. « Mains sur la tête ! » Marie pleure. De grosses larmes lui ravagent la figure. Elle est belle et émouvante.

— Salaud ! Tu te rinçais lil.

Son compagnon semblait beaucoup plus à laise. Les vertus des scouts cathos, sans doute ! Moi, Je nen menais pas large. Cest vrai quelle était belle marie. La poitrine déjà bien lourde contraste avec les hanches fines. Je suis fasciné par le minou aux poils noirs. Vraiment belle. Je te salue Marie pleine de grâce

— Il blasphème en plus ! Continu au lieu de faire de lesprit. Mécréant ! Feint de se fâcher Clairette.

— Le Pat semblait surtout attiré par Gaétan qui découvrant le corps entièrement nu de son amie, arborait un engin droit et rigide. Marie est trop bouleversée pour y prêter attention. Le Pat prend la pinne du gars dans ses mains. « Je vois que ta copine ne te laisse pas indifférent. Mais en dehors des touches-pipis, tu las baisé ? » Le garçon ne répond pas. « Je vois, toujours puceau. Bon, le Pat est généreux. Vous allez passer dans la pièce dà coté. Tu vas lui faire sa fête. Nous on regarde. Pas vrai Flo !

— Oh, non Implore, Marie.

A coté dans la salle de rebobinage, le Pat a aménagé un matelas. Il pousse les amoureux devant lui en leur tapant sur les fesses.

— Non, je ne veux pas !

— Je compte jusquà trois. Si tu ne bouges pas tes fesses, je te mets dehors à poil !

La pauvresse sexécute.

— Allez ! Mets-toi sur le lit !

Elle sallonge en serrant les cuisses. Le Pat les écarte largement. « Je suis sur que vous navez jamais vu une chatte de près ! » Les yeux hors de hors de la tête la langue pendante à la Tex Avri, on mate le con dans lequel il introduit les doigts. « Cà, cest la vulve » nous dit-il en glissant la main sur la toison. Il tire un peu sur les poils provoquant un miaulement chez sa victime anéantie par la honte.

— « Cà cest le vagin » Nous explique-t-il. En plongeant deux doigts dans la fente. Il agite sa main. La pauvre pècheresse au comble de la contrition.

Il roule le petit bouton situé au dessus des lèvres, les miaulements font place à des soupirs et des allaitements. « Elle est vierge, il faudra faire doucement ».

— Elle est sèche à cause de la peur. Explique-t-il.

Il sempare dun tube de vaseline.

— Vas y Gontran, tartine lui le conteur.

Le garçon applique la gelée précautionneusement. Marie ferme les yeux. Elle geint, commence à se tordre mais ce ne semble pas être de la douleur ?

— Elle est mouillée, tu peux y allez.

Affirme le tortionnaire en agitant le doigt à lintérieur de la vulve. Il prend Gaétan par les fesses et le pousse sur le lit.

— Toi, tu garde les cuisses bien ouvertes et toi me dit-il, passe derrière, tu vas voir la bite entrer dans le con.

Le garçon enfile sa pinne dun seul coup. Marie se met à crier « Jai mal » Dune magistrale claque sur les fesses le Pat calme le forcené. Attend ! Tu es un goret ! Je vais te mettre une capote, Sinon tu vas lui faire un petit » Il le sort, déchire un étuis en plastic en extrait un espèce de ballon quil gonfle un peu, puis, il lenfile sur le sexe du Gaétan, non sen avoir caressé un peu les burnes. Il replace le garçon sur son ouvrage. « Doucement! Tu gâte la marchandise ! Je te dis quelle est vierge. Prend-lui le cul à deux mains ! Voilà, impose ton rythme, tranquille » Le garçon est bon élève. . « Tout doux ». Les pleurs de Marie se transforment en gémissements. Japerçois quelques gouttes de sang suinter aux parois du vagin. « Ce nest rien, cest la membrane qui lâche » Tout à coup, le Patrick applique une poussée brutale sur le cul du garçon. Marie pousse un long cri.

— Cà y est, tu es une femme !

Comme fou, Gaétan accélère ses vas et viens. Les deux novices poussent une longue plainte à lunissons puis retombent lun sur lautre.

— Et toi ? Me demande Claire.

— Le Pat ma déshabillé et ma poussé la tête entre les cuisses de Marie. Il ma masturbé. Lodeur de fille, les poils doux, enfin tout je me suis vidé très vite.

— Les hommes, vous êtes tous des dégoûtants! Juge Clairette.

— Jaurai voulu ty voir !

— Impossible ! Continue !

— Le Pat chasse les deux tourtereaux qui ne demandent pas leur reste. Puis, il baisse son pantalon, il sassit sur une chaise. Me prend par le cou pour et sa bite écarte mes lèvres

Clairette est indignée.

— Quel salaud, tu fais Moi qui croyais avoir initié un minet Tu las fait souvent ?

— Une ou deux fois Pas plus

— Je ne vois pas pourquoi tu dis que cétait la faute de Marie alors quelle a quand été forcée, non ?

— Ils y ont prit goût. Marie et Gaétan, ils sont revenus de leur plein gré dans la cabine, la semaine suivante. Même une fois, On la baisé ensemble. Enfin, à tour de rôle ! Elle en redemandait alors on inversait. Cetait ma première fille, une sacrée chaude.

— Cest incroyable ! On élève une jeunesse dans lhonneur et la vertu. Et voilà ce quils font derrière notre dos Moi qui croyais que tu étais puceau On ne my reprendra plus, jai lair de quoi.

— Mais non, jai jouis trop vite. Je suis parti. Jétais dégouté. Mais le Pat a menacé de tout dire à mes parents.

— Il ne risquait pas de le faire !

— Pendant un an, je nai plus osé draguer une fille, je ne pouvais oublier la scène. Je te jure ! Jai fuis le Pat et les autres. Cest pour çà que jai demandé à mes parents de me mettre en pension dès la cinquième. Cest toi qui mas redonné le gout de lamour. Je te jure que cest vrai.

— Cà me touche, ce que tu me dis. Je te crois. Il nempêche, vous êtes de fichus pervers.

— Et eux, les parents, ils font quoi, a-t-on avis. Le Pat men a raconté des vertes et des pas mures !

— Si tu le crois Il est en prison. Sil en avait raconté, il ne serai pas en taule.

— Je suis sur que les flics ne lont pas cru ou quils ont fait semblant. Il ma raconté quil était invité à des parties Avec des notables et des enfants.

— Et l ! Tu ne veux pas me dire que tu as participé à des partouzes !

— Non, mais il men a parlé Il se croyait intouchable.

— Allez, au lit ! Jen ai assez entendu pour ce soir ! On dort !

Au matin, nous trainons au lit. Claire semble renfrognée.

— Je ne suis pas bien. Cest toujours comme çà quand mes règles arrivent.

— Oh ma pauvre Claire.

— Ce nest pas une maladie. Je suis en règle, jenseigne comme dit le prof arrêté par la police ! Cest tout.

Elle ajoute après quelques instants :

— Jai repensé à ce que tu mas dit hier soir. Ta relation avec Patrick. Ca cest passé quand ces bêtises. Quand jétais en sixième.

— Javais douze ans.

— Tu mas dit que tu le voyais régulièrement.

— Tu sais, avec le rugby le samedi et le dimanche, je ne lai pas vu beaucoup. Trois ou quatre fois, plus les deux fois avec Marie et Gaétan. Pas plus, je te jure.

— Et tu es allé Jusquoù ?

— La seconde fois, il ma dénudé. Il me caressait pendant que je regardais le film. « Cest normal entre garçons » me disait-il. La preuve, regarde ! Il ma montré des films où il y avait des hommes qui baisaient ensembles et pire des vieux qui enfilaient des gamins ! Il a sorti son sexe. Il ma demandé de le caresser. Jai refusé. Il ma menacé de tout raconter Je lai cajolé maladroitement. Il ma obligé de poser mes lèvres, puis il la enfoncé dans ma bouche. Jai cru étouffer Il grognait comme un cochon. Après quelques vas et viens il a déchargé dans ma bouche.

— Il ta violé ?

— Lavant dernière fois. Il a baisé Gaétan devant Marie et moi. Il la baisé à fond. On était choqués. Au début, le Gaétan, il criait alors le Pat lui a mit de lhuile, il sest calmé. On voyait la bite qui rentrait de plus en plus vite. Alors, le Gaétan, il ouvrait ses fesses avec ses mains en gémissant de plus en plus. « Viens, plante-moi quil disait. Cest bon » et tout des trucs comme çà. Ils se sont vidés ensemble. « Je savais bien que tu aimais te faire mettre ». A-t-il conclu. Ce nest pas la première fois. Je me trompe ? « Non, cest chez les scouts avec labbé ! » Marie était effondrée. « Quest ce que tu crois, lui a dit le Pat. Tous les garçons font çà un jour ou lautre » Alors, elle sest couché sur le dos et a dit. « Prenez-moi, allez, prenez-moi tous ensemble ! »

— Jétais retourné. Je savais que tout çà nétait pas normal. Je nai plus osé aller au cinéma. Mais le Pat ma coincé à la sortie de lécole. Il ma montré des photos où jétais nu avec Marie et Gaétan. Je ne me souvenais pas quand il les avait prises. Il a dit quil les enverrait à mes parents et à lécole.

— Je métais blessé au rugby. lai retrouvé le dimanche. Il na pas trainé. Il ma fait mettre nu. Il ma déposé sur la table puis il a essayé de menculer mais il était trop gros. Malgré son huile, il na pas pu. Je hurlais trop. Alors, il sest adoucis et ma percé avec un petit sexe en plastique. Comme toi lautre jour.

— Et tu as aimé ?

— Il y allait doucement Mais jétais mort de peur. Cà a duré un long moment puis, il a porté mes mains sur ses burnes et sest soulagé sur moi.

— Quelques jours après, le Gaétan et moi, on a cherché à récupéré les photos. Cest là quon mit le feu à la cabine. ..

— Quoi ! Cest vous lincendie dy a deux ans ? De mieux en mieux !

— Oui, cest nous mais on na pas fait exprès. Le lundi après le nettoyage. Je savais où les bénévoles cachaient la clef. On est entré dans la cabine puis on essayé de fracturer larmoire en fer grillagé où je lavais vu mettre ses films de cul mais, impossible de louvrir.

— Alors, on a essayé de chauffer la serrure. Le feu est parti dun coup à cause des bobines qui se trouvaient à lintérieur. Tu ne peux pas savoir comme ca brûle. On sest échappés de justesse. En deux minutes la cabine a disparue malheureusement le ciné y est passé avec

— Et tu me dis çà comme ça, tout simplement !

— Il ny a pas eu de blessés. Il était vide puis avec les assurances, il ont un cinéma tout neuf.

— Le Pat a été questionné. Les gendarmes on fouillé son appartement. Ils ont trouvés des livres et des photos de petits garçons à poil. Nous navons jamais sus sils ont trouvés des photos de De Marie, de Gaétan et de moi. Toujours est-il que le maire et le docteur ont tout étouffés. On a mis le couvercle. Le Pat à disparu du pays. Ce nest que lan dernier quon a appris quil sest à nouveau fait prendre avec un petit garçon. Il était devenu surveillant du collège !

— Cest incroyable ! Sexclame Claire en secouant la tête.

— Incroyable mais rigoureusement vrai ! Tu es la première et la dernière à qui jen parle.

— Tu te rends compte de ce que tu me dis ?

— Tu te rends compte à quel point jai confiance en toi !

— La conclusion de tous ca cest que tu es un enculé de longue date !

Elle passe les mains sous ma chemise. Un doigt inquisiteur taraude mon petit illet. Bien que la douleur soit tout à fait acceptable, jexagère délibérément mes plaintes. Ah Ouille ! Ouille !

— Avoue que le projectionniste te la mise bien profond.

— Non, ouille, il ne me la pas mis. Enfin, pas très profond

Elle prend le flacon dhuile pour me beurrer la raie. Le doigt est beaucoup plus tolérable. Pour facilité laccessibilité au doigt de ma concubine, je me place à cheval sur elle à lenvers. Maintenant deux doigts sont enfoncés dans mes boyaux. Elle ne peut que constater que jai une trique phénoménale. Elle commence à me traire de lautre main

— Quel enculé tu fais, moi qui voulais faire de toi un Don Juan. Me voilà avec une pétasse.

Cest plus que mon orgueil de jeune mâle ne peut supporter. Je me retire brusquement et avant quelle nait pu esquisser un geste, je retourne ma Clairette et la plaque sur le lit en main tenant fermement ses poignets dans le dos.

— Tu vas voir si je suis une pétasse !

Elle essai de se dégager mais ma poigne de rugbyman ne lui donne aucune marge de manuvre. Je réussi à memparer de la ceinture de sa robe de chambre pour lier ses poignets. Frêle contrainte mais ma gourgandine vient à mon secours.

— Oh oui, mon chéri attache-moi ! Prend les menottes dans le tiroir de la commode. Cest beaucoup plus efficace.

Décidément, je vais de surprises en surprises. Dans le tiroir je trouve plusieurs objets de contention dont une paire de bracelets en cuir reliés par une chaine.

— Cest à toi ?

— Mais non, cest la chambre de Christine Allez attache-moi !

Elle me fait face, me tend docilement ses poignets. Je lui passe les bracelets tout en faisant deux tours à un barreau de la tête de lit. Je remonte sa nuisette au dessus des seins. Que je commence à frictionner.

— Doucement, quand jai mes règles mes seins ils sont douloureux.

Magnanime, je me contente de sucer ses tétines bien excitées. Je descends vers le nombril mais quand je veux explorer le lis dans la vallée, elle se trémousse de plus en plus. Ses jambes partent dans tous les sens.

— Non ! Je te dis que jai mes règles ! Je ne veux pas

Je mempare de deux autres bracelets de cuir, lui ceint les mollets que je relie à ceux de ses poignés à la tête du lit.

Dans cette position, elle expose toute la longueur de sa vulve doù dépassent un petit cordon ainsi que son petit illet.

— Alors, je suis un petit enculé ? Lui susurrais-je à loreille tout en forçant son cul.

— Ah, non, tu ne vas pas On ne me la jamais fait ! Je ne veux pas.

— Ce sera très bon Tu vas la sentir. Fois denculé !

Elle se radoucie.

— Doucement, je ten prie. Cest la première fois.

— Ais-je jamais été violent avec toi !

Mon pieu est dur comme une bille de chêne. Les doigts trempés dans lhuile, Je fiste longuement le fion de Clairette.

— Oh, cest bon, attaché comme çà avec tes doigts. Cest bon.

Deux doigts coulissent presque librement dans la gaine. Je pointe le gland à lentrée pour lui agacer les muqueuses. Bien que solidement entravée, ma partenaire donne des coups de reins incohérents.

— Si tu ne te calme pas, je prends la cravache que jai vue dans le tiroir. Tes fesses vont prendre la chaleur et la couleur dun couché de soleil !

— Non, ne me bât pas Je serai docile. Mais jai peur. Tu es gros.

En effet, elle semble attendre résignée, la virile immixtion. Mon dard se présente à la porte secrète. Je force un peu le passage. Cette fois cest moi qui linitie comme je lai vu faire par le Pat sur la fille du docteur et pratiqué avec Domi.

— Pousse ! Ca va rentrer tout seul.

Avec laide de lhuile jinvesti le conduit. Jai bien retenue les leçons du Pat. Je marque un temps darrêt pour quelle shabitue à la compression. Ma dulcinée proteste mollement.

Jentame un lent mouvement alternatif.

— Oh, doucement. Cest spécial Cest fort Cest dur. Salaud, on ne me la jamais fait

Jaccélère régulièrement les allé-retours jusquà ce que mes bourses butent sur ses fesses. Elle se contracte dun coup. Poussant un long râle, elle se gratifie dun fabuleux orgasme. Leffet chez moi est immédiat. Je bénis copieusement le fond de ses entrailles.

— Oh, jai une crampe. Détache-moi.

Je la délivre. Je lui masse les cuisses tétanisées.

— Alors, ma grande enculée. Cétait bon ?

— Cétait bon ! Mais tu mas cassé le cul ! Je vais te sentir pendant au moins trois jours.

— Mais non. Mais non. Je suis sur que tu as un baume apaisant dans ta trousse. Je vais tadoucir la rondelle. Et puis, comme je passerai par là tout au long de tes règles, dans les trois jours tu ne sentiras plus rien.

— Crois-moi, jétais vierge de ce coté.

Je me doigte avec le contenu dun tube dont jenduis le petit trou un peu tuméfié. Après quelques instants ma Clairette roucoule comme une tourterelle en chaleur.

— Ca devrait aller. Jarrête sinon tu vas repartir et je serai obligé de te remettre une dose.

Nous restons le reste de la matinée enlacés dans le lit. En nous embrassant. Clairette sendors. Je me lève torturé par la faim.

Nous nous aimerons toute la semaine. Faisant lamour plusieurs fois par jour. Comme la voie principale nétait pas accessible, je passais souvent par la petite porte. Clairette sembla en être heureuse. Au point que même après louverture de la grande porte, elle me proposa volontiers une visite par celle de service de plus en plus accueillante.

— Tu te rends compte, en quelques semaines tu as pu visiter mon minou, ma bouche et mon cul, me lier et me battre. Et cest moi qui te paye en plus comme tu dis. Je paye pour apprendre à un jeune à baiser ! Ahurissant !

— Note quen échange, tu as mis un jeune dans ton lit avec sa pine, ses fesses sa belle gueule et son jus qui est un vrai filtre de jeunesse, damour et de jouissance. Tu reste largement débitrice.

— Et modeste avec ca ! Sesclaffe-t-elle.

Nous nous promenions dans la forêt toute proche. Nous dévissions sur tout et rien. Simplement heureux dêtre ensemble. Je sentis quand même perler un léger trouble chez Claire lorsque la conversation glissa sur son époux. Je lui en fais la remarque.

— Cest normal non que je culpabilise un peu Il fait tout pour moi

— Normal et sain. Acquiesçais-je. Deux faces dune même pièce ?

Enlacés tendrement, nous nous asseyons sur un banc. Je lâchais la question qui me brulait les lèvres.

— Tu vas me trouver curieux mais jaimerai savoir comment tu as décidé de coucher avec moi ?

— Je nai rien décidé ! Quest-ce que tu timagines ! Il ny avait rien de prémédité. Je ne suis pas une salope. Je tai rejoint dans le lit parce que jétais épuisé. Je ne dormais plus.

— Depuis des mois, je demandais à Pierrot de parler à un docteur de ses ronflements. Il a pris des médicaments mais rien ny a fait. Comme je me couche après lui, jai un mal de fou à mendormir. A mon tour jai pris des médicaments mais je ne les supportais pas. Javais pris lhabitude de me réfugier dans la chambre dami. Quand il ta invité à dormir à la maison, je nétais pas très heureuse mais jen comprenais les raisons. Jai retrouvé la chambre nuptiale et le cauchemar a recommencé.

— Nen pouvant plus, je me suis dirigée comme un automate vers la chambre que tu occupais. Sans même penser que tu ty trouvais. Je tai vu, jallais repartir mais tu dormais si paisiblement que je me suis glissé dans les draps en faisant attention à ne pas te déranger. Jai senti une odeur caractéristique. Tu venais de te donner du plaisir. Sur le coup, çà ma déplu. Javais le son, maintenant jai lodeur ! Me disais-je amusée. Jai vite sombré dans le sommeil.

— En faisant le lit le lendemain, jai découvert une de mes chemises de nuit que javais oubliée sous le traversin. Elle était imprégnée de ton odeur. Jai été bouleversé. Un bien-être charnel endormi depuis des années refluait à la surface. Jen avais des frissons jusquau creux des reins.

— Ce nétait pas concevable. Je pris la ferme résolution de mettre de la distance entre nous et en premier de ne plus partager ton lit. Mais cette pensée ne me quittait pas. Il mest alors apparu que depuis quelques temps tu ne me regardais avec des yeux différents. Je compris à ce moment là que les regards et les s

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