Le lendemain matin, Lisette est réveillée par la musique de son radio réveil. Elle sétire. De se trouver nue dans un lit étranger la surprend.
— Ah oui ! Je me souviens.
La veille après sa douche, elle était tellement fatiguée quelle na pas eu le courage denfiler son pyjama. Les détails de la soirée affluent à son esprit.
— Tu parles dune entrée en matière ! Quest-ce que jai joui !
Elle fait une toilette rapide au lavabo. Elle ouvre sort des vêtements propres.
— Oh jallais oublier ! Le matin le patron est là, donc, pas de jeans !
Elle observe sa jupe. Elle nest pas trop froissée, ça ira pour ce matin. Elle la lavera dans la journée, ainsi elle sera propre ce soir pour le retour de Luc. Elle va enfiler un slip et se ravise.
— Cest vrai ! Pas de culotte quil ma dit !
Elle met la jupe et tourne sur elle-même, admirant ses fesses dans la glace avec un petit rire. Elle complète son habillement dun chemisier quelle ferme incomplètement sur sa poitrine nue.
— Bon, allons-y !
Après le petit déjeuner, Luc se prépare à partir. Il prend sa serviette. Il attire la jeune fille contre lui et passe la main sur les fesses.
— Je te remercie, tu nas pas oublié mes recommandations, cest bien, continue ainsi.
Il tapote la jupe.
— Bon, je vous laisse. Soyez sage.
— Oui papa !
Luc agrippe Elodie qui fait mine de fuir. Il lui inflige un baiser première catégorie sous le regard bienveillant de Lisette. Dès quil a fermé la porte Elodie, se retourne vers la jeune fille.
— Au travail ! Je te conseille de monter te changer. Enfile un jeans, ce sera plus commode pour faire le ménage. Ensuite nous irons à lagence pour régler ton cas puis nous ferons les magasins. Il est temps de compléter ta garde robe.
— Cest que je ne suis pas riche.
— Aucun problème, considère-le comme des frais professionnels !
Elles consacrent laprès-midi aux achats. Elodie doit souvent intervenir car les choix de Lisette sont trop sages, trop classiques pour son âge, et surtout peu conformes au goût de Luc. Elle sest presque fâchée pour que la jeune bonne accepte de quitter le dernier magasin en mini jupe. Le premier moment de gêne passé, la jeune fille a pris plaisir à surprendre le regard des hommes et même des femmes sur ses cuisses dorées. Elle nimaginait pas comme il est agréable de se sentir admirer.
Lisette juchée sur un escabeau époussette les rayons de la bibliothèque. Elodie rentre dans le salon.
— Lisette ! As-tu vu lheure ? Luc va bientôt arriver et tu es encore en jeans !
— Jai presque fini.
— Monte te changer, cest plus prudent. Tu termineras ensuite.
La jeune fille descend de son perchoir et gravit lescalier. Quelques minutes après, elle apparaît dans sa jupe, le chemisier ondulant sur sa poitrine. Elodie sourit. Cest vrai quelle est plus mignonne ainsi, Luc a raison de vouloir quelle porte des jupes ! pense-t-elle.
— Bien, tu peux continuer de nettoyer la bibliothèque. Je moccupe du repas dans la cuisine.
A ce moment, le bruit de la porte dentrée qui souvre linterrompt.
— Voilà Luc. Tu vois, nous avons bien fait de prendre nos précautions !
Il entre en véritable maître de maison et claironne :
— Bonjour tout le monde !
— Bonsoir, Luc.
— Bonsoir Monsieur.
Il embrasse ses « femmes ». Elodie se dégage.
— Tu rentres tôt dis donc ! Ton arrivée précoce nous surprend en plein travail. Je dois aller à la cuisine finir le repas pendant que Lisette termine le nettoyage de la bibliothèque.
— Je men voudrais dinterrompre de si bonnes résolutions. Laissons Lisette à son époussetage.
La jeune bonne grimpe sur lescabeau. Quand elle se penche pour atteindre un coin retiré, sa jupe remonte sur ses cuisses jusquau début des rondeurs fessières. Luc, sourit au spectacle. Il se félicite davoir interdit à la jeune fille de porter culotte. Une riche idée quil a eue, se congratule-t-il. De la cuisine, Elodie commande :
— Prépare-moi un gin tonic.
— Oui ma chérie.
A sa voix Lisette se retourne. La vision de son cul disparaît. Dommage, pense Luc.
— Ne te dérange pas pour moi, continue ton travail.
Il se dirige vers le bar. Lisette lui offre de nouveau la vision de son postérieur. La vue des rondeurs titille la libido de Luc. Cest trop tentant. Il défait sa ceinture. Le pantalon glisse sur ses hanches. Il le soutient et se déplace sans bruit jusquau pied de lescabeau. De là le spectacle est encore meilleur ! Lisette ne se rend compte de rien et continue son travail. Le pantalon tombe sur les talons de Luc. Le slip suit. Il se place derrière la bonne les yeux à hauteur du cul. Il prépare sa queue dune main et soulève la jupe de lautre.
— Oh !
La jeune fille vacille. Luc abandonne son engin et la maintient par les hanches.
— Eh ! Ne tombe pas !
— Excusez-moi, vous mavez surprise.
Elle se rétablit sur lescabeau. Luc ne desserre pas les bras.
— Descends doucement.
— Que je descende ? Mais je nai pas fini !
— Cela suffit pour ce soir, descends te dis-je.
Luc lâche Lisette dune main quil utilise pour guider sa verge. La jeune fille descend une marche et sent la grosseur glisser entre ses cuisses.
— Oh !
— Tu peux continuer.
Elle comprend ce que Luc a en tête.
— Oh ! Vous alors !
Lisette descend une marche supplémentaire. La queue ne se présente pas bien.
— Attendez !
Elle se soulève et place lengin en bonne position.
— Comme ça, ça va Aaarrgh !
La jeune fille atteint la marche inférieure. Le membre de Luc senfonce sans résistance.
— Tu peux si tu veux monter et descendre.
— Oh oui !
Luc tient lescabeau à deux mains pendant que Lisette saidant des pieds et des mains sur les marches monte et descend sur la verge qui la transperce.
— Cest ainsi que tu prépares mon apéritif ?
Lisette surprise cesse ses mouvements. Luc rouspète :
— Ne tarrête pas, continue !
— Continue Lisette. Je sais bien que ce nest pas de ta faute.
Tout en parlant, Elodie sapproche du couple. Elle se place à coté de lescabeau. Sa main sous la jupe, prend possession du clitoris de la jeune bonne.
— Aaah !
— Allez Lisette, je taide.
La jeune fille reprend sa chevauchée, doucement dabord, puis avec détermination. Luc ahane comme un forcené. Elodie est forcée dabandonner la caresse pour maintenir lescabeau qui tangue. Enfin Lisette se tétanise sur ses marches, les bras et jambes raides et Luc éjacule dans ses derniers coups de reins.
Les deux jouteurs sagrippent à lescabeau pour ne pas seffondrer. Elodie inquiète regarde sils vont tenir debout, puis rassurée se sert son gin tonic.
— Un petit apéritif Lisette ?
— Non, merci, je ne prends pas dalcool.
— Une goutte dans létat où tu es te fera le plus grand bien.
Luc réclame :
— Sers-moi un whisky, sil te plaît.
— Sers-toi toi même. Je moccupe de Lisette.
Il se détache de la bonne. Elodie aide celle-ci à descendre de son perchoir, la conduit au canapé et lui met un verre dans les mains. La jeune fille avale une bonne gorgée et manque de sétouffer.
— Oh ! Cest fort !
— Fini ton verre tu verras ça ira mieux après.
Luc a récupéré slip et pantalon. Il est satisfait. Une bonne petite baise au retour du boulot, ça cest sensationnel ! Et en plus Elodie a oublié de se moquer de sa tenue ! Il se verse un bon whisky et vient sasseoir entre ses deux femmes comme il dit
Lisette se réveille de bonne humeur. Elle saute du lit toute nue et sadmire dans la glace. Depuis quelle est dans cette maison, elle na pas fait beaucoup de frais de pyjama ou de chemise de nuit ! Elle se débarbouille au lavabo. Elle prendra une douche après le ménage. Son nouvel emploi lui plaît bien. Le travail nest pas désagréable et elle peut enfin étancher sa soif damour. Mon dieu ! Que cela lui avait manqué dans ses précédentes places ! Ici, heureusement, ce nest pas le cas ! Il ne se passe pas de jour ou Luc et Elodie ensembles ou séparément ne la sollicitent pour un intermède amoureux. Cest le pied !
Lisette esquisse un pas de danse sur le plancher. Elle enfile machinalement une petite culotte. Devant son armoire, elle contemple ses nouvelles acquisitions. Elle choisit une jupette quelle passe et un chemisier quelle laisse bâiller sur sa jeune poitrine. Ainsi vêtue, elle descend dans la cuisine, préparer le petit déjeuner. Elle est surprise de voir Luc installé à table. Dhabitude Elodie descend la première. Elles ont le temps de déguster une première tasse avant larrivée du maître de maison.
— Lisette, sers-moi le petit déjeuner, sil te plaît.
— Oui Monsieur, tout de suite !
Il la regarde avec attendrissement évoluer dans la cuisine. Ils nont jusquici quà se féliciter de la jeune fille. La maison na jamais été si bien tenue. Elodie est satisfaite de laide apportée et tous deux sont content de sa euh comment dire sa docilité, et sa disponibilité, oui cest ça, de sa disponibilité.
Lisette dispose le pain et le beurre sur la table puis apporte une cafetière fumante. Tout près de Luc elle remplit la tasse. Son chemisier bâille sur un sein impertinent dont le téton joue à cache-cache avec le revers du col. Il pose dun geste naturel la main au bas de la cuisse. Lisette se raidit brusquement et verse quelques gouttes hors de la tasse. Il est surpris de sa réaction.
— Fais donc attention, Lisette, tu taches la nappe.
— Pardon, Monsieur.
Elle pâle et tremblante. Luc remonte la main le long de la cuisse et comprend la raison du trouble de la jeune fille. Elle a oublié de quitter sa culotte ! Quil soit descendu le premier a surpris la jeune fille. Tout cet émoi pour si peu ! Il va la réconforter, lexcuser, mais se ravise. Non ! Il ne faut pas laisser lincident sans punition ! Cela en serait fini de la discipline ! Dailleurs lattitude contrite de la jeune fille montre quelle sattend à une remontrance, il ne faut pas la décevoir. Il adopte une grosse voix.
— Lisette !
— Oui Monsieur.
— Posez cette cafetière !
Elle obtempère, plus inquiète du brusque vouvoiement que du ton.
— Je croyais mêtre bien fait comprendre, mais je vois quil nen est rien. Je ne suis pas content du tout !
— Quest-ce quil y a. Pourquoi cries-tu ? demande Elodie, en déshabillé vaporeux qui ouvre la porte de la cuisine.
— Il y a que cette petite désobéissante napplique pas mes instructions, regarde !
Il jette Lisette en travers des genoux et soulève la jupe sur une culotte blanche de petite fille sage. Il ponctue chaque mot dune maîtresse claque sur le postérieur.
— Regarde (Aïe !) cette petite (Aïe !) désobéissante (Aïe !) a enfilé une culotte (Aïe !) malgré mon
— Aïe ! Aïe !
— interdiction.
— Aïe ! Aïe !
Elodie le contemple incrédule. Les yeux de Luc sourient, démentant le ton de sa voix. Elle se mord les lèvres pour ne pas éclater de rire.
— En effet cest très grave.
— Oui, cest très grave, le premier manquement à la discipline.
Lisette se débat sans résultat. Luc la tient bien.
— Je vous promets, je ne le ferai plus !
Il la déculotte dun coup sec.
— Aïe !
La vue des fesses rosies par la correction lui donne une idée. Il repense à sa dernière acquisition à la brocante, un superbe martinet ancien, avec de belles lanières en cuir, un manche poli et des incrustations de pierres à la collerette. Il ne trouvera pas de meilleure occasion de létrenner ! Elodie qui lui a déjà demandé ce quil voulait en faire, naimera pas. Elle râlera mais cela ne le décourage pas.
— Elodie, va me chercher ce que tu sais.
— Quoi ?
— Oui, ma dernière acquisition !
Elle le fixe, une lueur dincompréhension dans le regard.
— Tu sais bien, ce que jai acheté le week-end dernier !
— Oh, ça ?
Elle comprend quil veut parler du martinet.
— Oui, ça !
La jeune femme trouve que la punition est disproportionnée.
— Crois-tu que cela en vaille la peine ?
— Que si ! Et vous, Mademoiselle, finissez denlever votre culotte et relevez votre jupe.
Elodie hausse les épaules. Bah ! Une petite fessée na jamais fait de mal à personne et elle veillera à ce quil nexagère pas.
A son retour, Luc et Lisette nont pas bougé. La jeune fille, la jupe retroussée sur les hanches, gît en travers des genoux de lhomme, attendant son bon vouloir. Un sanglot mal contenu soulève ses épaules. Cela ne détourne pas Luc de son objectif. Il tend la main vers Elodie.
— Donne-le moi.
Il attrape lengin hors de la vue de la bonne qui sinquiète et se demande ce quil va lui arriver. Elle se trémousse devinant quune autre punition se prépare.
— Voulez-vous rester en place !
Un bon coup de martinet lui arrache un cri :
— Aïe ! Aïe ! Que faites-vous ?
— Rien de tel que quelques coups de martinet (Vlan !) pour mettre du plomb dans la cervelle (Vlan !) des filles désobéissantes (Vlan !)
Elodie vérifie quil retient son poignet. Lisette nest pas de cet avis et sursaute à chaque coup :
— Aïe ! Aïe ! Aïe ! Arrêtez, aïe ! Arrêtez, je vous en prie, Je vous, aïe ! Je vous jure que je ne le referai plus, je vous jure !
Le postérieur se zèbre de rayures roses. Luc lève encore le martinet. Elodie bloque son bras :
— Je crois, Luc, que la punition est suffisante. Lisette sen souviendra et ne recommencera pas.
— Oh non ! Je ne recommencerai pas, jamais !
— Je veux bien pour cette fois, mais à la prochaine incartade je serai moins indulgent, compris ?
Lisette renifle et ravale ses larmes.
— Compris ?
— O Oui Monsieur.
— Non, je mappelle Luc et non pas Monsieur. Alors comment dit-on ?
— Oui Luc.
Elodie sagenouille et donne un baiser sur la joue mouillée.
— Moi, tu peux mappeler Elodie, daccord ?
— Oui.
— Oui qui ?
— Oui Elodie.
Lisette ne peut maîtriser un gros sanglot. Elodie effleure le postérieur en suivant les traces laissées par le martinet. La peau se couvre de chair de poule. Elle dépose des petits baisers sur les fesses endolories. La jeune fille se calme, mais renifle encore.
— Allez, ne pleure plus, tu es une grande fille, Luc na pas tapé très fort. Dailleurs je len aurais empêché.
Il promène la paume sur larrière et lintérieur des cuisses. Lisette frémit puis se met à trembler. Ce nest plus de crainte ni de douleur, car ses jambes sécartent. Elle repose pantelante, la respiration haletante, nosant bouger malgré la position inconfortable, de peur que les caresses cessent. Le couple échange un clin dil complice. Leur petite bonne succombe au charme qui suit le stress dune correction. La main de Luc remonte sous son corps, vers le sexe dans lequel il trempe ses doigts. Elodie agenouillée soccupe des fesses. Les lanières de cuir y ont dessiné des traînées roses sans blesser ni égratigner. Elle sera vite remise. Du doigt, Elodie suit les traces. Elles mènent vers la raie qui sépare les deux globes. Elle y promène longle, Lisette grogne doucement. Ses jambes sécartent encore plus, autorisant le couple de poursuivre ses investigations. Les deux époux en profitent samusant des frémissements que leurs doigts déclenchent.
Quand lindex de Luc pénètre le vagin, la jeune fille est secouée par un spasme de plaisir qui lui arrache un cri et perd conscience. Il salarme et interroge sa femme du regard. Elle le rassure dun sourire. Ils transportent la jeune fille sur le canapé et la raniment à force de caresses.
— Quest-ce qui marrive ?
— Tu as perdu connaissance Non, non, ce nest pas grave, la réconforte Elodie. Reste tranquille quelques minutes, ça va aller.
— Excusez-moi, je ne sais pas ce qui ma pris.
— Mest avis que tu as joui.
Luc est tout fier de lui avoir fait connaître ce plaisir :
— Vois-tu ? Rien de tel quune petite fessée pour remuer les sangs, nest ce pas ?
— Tu navais jamais reçu le martinet ? interroge Elodie.
— Non, jamais ! Même quand jétais petite. Des fessées, ça oui, mais pas le martinet. Oh là-là ! Ça fait mal !
Elodie câline la joue :
— On ta à peine caressée après et tu tes mise à jouir avec une grande intensité.
— Je nai jamais joui de cette façon.
Luc insiste :
— Cétait bien ?
— Oh ! Plus que bien. Enfin non, je veux dire simplement après, parce que, avant, Ah là, là ! Ça non ce nétait pas bien !
— Et pourtant cest parce que tu as reçu la fessée que tu as tant joui.
— Oh !
Cette découverte la déconcerte : Jouir à cause dune fessée !
— Je je suis je serais une
Elodie linterrompt en souriant :
— Non rassure-toi, tu nes pas masochiste, pas plus que nous sommes des sadiques. Simplement une petite correction
— Pas si petite que ça, mes fesses peuvent en témoigner !
Luc se récrie :
— Mais si, je confirme, une petite correction, sinon tu naurais pas joui après !
Elle nest pas convaincue. Elle se redresse :
— Aïe ! Je ne peux pas encore masseoir, cela fait mal. Elle nétait pas si petite que ça votre correction !
Elodie la prend aux épaules :
— Tu ne nous en veux pas ?
Lisette lembrasse, se lève du canapé et, mutine, quitte la salle en leur envoyant un baiser. Luc, ému, la regarde sortir.
— Tas vu, elle est drôlement sensible ! Je vais laisser le martinet en évidence. Cela lui rappellera les bons
— Bons ? Jen doute.
— Si ! Les bons souvenirs.
— Je nen suis pas sûre. Elle est saine et normale cette petite. Cela métonnerait quelle goûte la plaisanterie. Une fois par hasard, passe, mais pas plus.
Luc réfléchit et accepte les arguments dElodie.
— Tu es meilleur juge que moi, je te fais confiance.
— Où placeras-tu ce martinet ?
— Ah ! Tu vois, ça tintéresse !
— Oui, je pourrais avoir lenvie de lutiliser sur toi !
— Essaye !
— Où vas-tu le mettre ?
— Au-dessus de la commode sur le palier. Il sera en vue de tout le monde tout le temps. Je vais laccrocher tout de suite. Je prends mes outils.
Il se lève plein de zèle. Sil pouvait être aussi déterminé quand par hasard elle réclame un petit bricolage, pense la jeune femme. Limportance quil donne à ce martinet, linquiète. Pourvu quil ny prenne pas goût ! Elle se promet dy veiller. En attendant, quand Luc sera parti travailler, elle aura une petite discussion avec la jeune bonne : il ne faudrait pas que les plaisanteries douteuses de son mari la fassent fuir. Une perle comme elle on nen trouve pas à tous les coins de rue