Après notre soirée en trio chez moi, Bastien et Lise sont partis, chacun de leur côté.

Je n’avais pas réussi à discuter avec Lise de ce qu’il venait de se passer, et la nuit suivante, j’ai eu du mal à dormir. Je me demandais ce qui arrivait à mon amante, et je craignais que notre relation et l’équilibre que je croyais avoir trouvé soient mis à mal. Non sans raison…

D’habitude, si nous ne voyions pas, il ne se passait pas une journée sans que, avec Lise, nous nous téléphonions ou que nous échangions des messages.

Le lendemain, j’ai essayé en vain de la joindre sur son portable. Elle ne prenait pas l’appel, et j’ai laissé plusieurs messages sur son répondeur, sans qu’elle y réponde.

J’ai recommencé le lendemain, sans plus de résultat. J’ai tenté de joindre Bastien, mais son portable était également sur répondeur. J’ai pensé que je les avais perdus, tous les deux, mais c’était surtout la rupture avec Lise qui me dévastait.

Aujourd’hui, nouveau message à Lise. Je la supplie de me répondre. J’accepterai tout d’elle. Et enfin, le vibreur de mon smartphone m’annonce l’arrivée d’un SMS. C’est Lise…

"Bonjour Ambre. J’ai bien eu tous tes messages. Je suis d’accord pour poursuivre une relation avec toi, mais je veux inverser les rôles. Je ne veux plus être ta soumise. Dis-moi si tu acceptes. Si oui, ce sera dorénavant à toi de m’obéir. Lise"

Je relis plusieurs fois le texte, sans parvenir à y croire. Tout s’embrouille dans ma tête…

Comment peut-elle avoir changé à ce point ? Est-ce Bastien qui lui a monté la tête ? Ou est-ce moi qui suis allée trop loin ? A quoi pense-t-elle, lorsqu’elle m’écrit que je devrai lui obéir ?

Mais finalement, je ne veux retenir qu’une chose : elle est "d’accord pour poursuivre une relation avec moi" !

Alors, je suis prête à tout accepter. Je tiens trop à ma Lise.

Je lui écris aussitôt.

"Ma Lise. Tu ne sais pas à quel point j’ai été heureuse de te lire. Je ferai tout ce que tu voudras. Je t’aime, et je t’embrasse. Ambre."

Il m’a fallu attendre près d’une heure, sans quitter mon écran des yeux, mais un message finit par arriver.

"Je viendrai chez toi ce soir, à 19 heures. Prépare moi un bon dîner. Je t’enverrai des instructions juste avant d’arriver chez toi, et tu devras les suivre à la lettre."

Je saute de joie. Lise me revient ! Et tant pis si je dois me soumettre à ses désirs. Je lui renvoie aussitôt un "D’accord ma chérie. Je t’attends ce soir. Je t’embrasse… là où tu aimes. Ton Ambre."

La journée me semble interminable. Je vais acheter des plats chez le traiteur, pour un véritable festin, et je passe la fin de l’après-midi à me préparer. Douche, vernis à ongles, maquillage léger, parfum capiteux, bijoux… Puis je passe un petit string en dentelle, arachnéen, et une mini-robe en lin légèrement transparente, sans soutif.

Ma montre affiche enfin 19 heures. Mon cur bat à tout rompre, mais ni message de Lise, ni coup de sonnette. 19 heures 15. 19 heures 30… Se serait-elle moquée de moi ? Mon portable sonne enfin à 19 heures 40. C’est Lise…

— Bonsoir Ambre. Tu es prête ? Me demande-t-elle sur un ton sec.

— Oui ma Lise. Je t’attendais ?

— Tu es habillée ?

— Oui, j’ai mis ma robe en lin que… Mais elle m’interrompt.

— Tu vas l’enlever. Ainsi que tout ce que tu portes. Tu gardes juste tes hauts talons. Tu vas prendre tes clés et ton portable, et tu vas sortir sur le palier, pour m’attendre. Lorsque tu y seras, tu me rappelleras pour me dire que tu es prête, et tu fermes ta porte à clé.

— Tu veux que… Est-ce que tu te rends compte ?

— Bien sûr que je me rends compte.

— Mais pourquoi me demandes tu de fermer ma porte à clé ? Si quelqu’un sort sur le palier en même temps…

— C’est bien pour qu’il te voit, et que tu ne puisses pas te cacher. A toi de savoir si tu veux me garder. Je viens de me garer sur le parking. J’attends ton appel, et sinon je repars dans deux minutes.

— Ne pars pas ! Je vais faire ce que tu veux, dis-je, vaincue.

Je ne sais pas si Lise a entendu ma dernière réponse, tant la communication a été coupée brutalement. Mes jambes flageolent. Je n’ai pas le choix. J’aime trop Lise. Je ne peux pas reculer.

En tremblant, j’enlève la robe et le string que j’avais si soigneusement choisis. Un regard dans le miroir de l’entrée : je suis nue, juchée sur des talons de 12 cm, avec mes bijoux pour seuls vêtements. L’angoisse m’étreint. Si je me retrouve nez à nez avec un voisin… C’est bien plus honteux que d’être aperçue nue sur ma terrasse !

Ne plus réfléchir. Je prends mes clés et mon smartphone, je respire un grand coup, et j’ouvre la porte. Aucun bruit. Deux secondes après, je referme la porte à clé, comme Lise me l’a demandé, et je l’appelle sur son portable. Et cette salope qui prend tout son temps pour décrocher ! Enfin, j’entends sa voix…

— Alors Ambre, tu m’as obéi ?

— Oui, je suis nue sur le palier. Viens vite !

— Tu as bien fermé ta porte à clé, au moins ?

— Oui. Oui, j’ai fait tout ce que tu voulais. Dépêche toi.

— Tu n’as encore vu personne ? Et je devine au son de sa voix qu’elle sourit.

— Non. J’ai la trouille. Dépêche toi, je t’en supplie.

— Bon. Je vais venir te rejoindre

— Fais vite !!

Elle raccroche. Et juste au même moment, j’entends des pas dans l’escalier. J’ai l’impression que le sol s’ouvre sous mes pieds… Pourvu que ce ne soit pas le couple de vieux, qui habite juste en face de mon appartement, et qui me fusille du regard quand je suis habillée sexy !

Les pas continuent. J’essaie de me cacher dans un recoin, mais il est trop exigu pour me dissimuler. Et puis, j’entends que ça s’arrête à l’étage du dessous. Jamais je n’ai éprouvé un tel soulagement !

Le temps passe. Toujours pas de Lise. Les secondes me paraissent interminables. Et puis, d’autres pas résonnent, des talons de femme. Je retiens mon souffle, et soudain, les cheveux de Lise apparaissent à travers le garde-corps de l’escalier.

Je me dis que mon supplice va prendre fin, mais elle prend tout son temps pour monter les dernières marches. Elle porte un sac en bandoulière. Elle me prend par la taille, et m’embrasse à pleine bouche.

Lorsqu’elle me libère enfin, j’introduis la clé dans ma serrure. Mais au même moment, j’entends la porte de mes voisins s’ouvrir. Je n’ose pas me retourner. Je me précipite à l’intérieur, mais mon voisin a tout le temps de me voir nue, de dos. Surtout que Lise ne se presse pas pour refermer ma porte…

— Qu’est-ce que tu me fais faire, lui dis-je, rouge de honte, en la regardant dans les yeux.

— Mais c’est toi qui m’as poussée la première à m’exhiber, me répond elle avec un sourire mauvais. Maintenant, les rôles seront inversés. Ce n’est qu’un début !

C’est alors que je réalise le changement qui s’est opéré, dans sa tenue.

Elle est habillée tout en cuir noir. Un petit perfecto, une minijupe au ras des fesses, des bottines à très hauts talons. Et sous son blouson, un débardeur profondément décolleté, qui moule ses seins libres.

Mais elle ne me laisse pas le loisir de l’admirer.

— Allons sur la terrasse. Tu vas me servir à boire, m’ordonne-t-elle sur un ton dénué de toute tendresse. Une vodka orange.

Pendant qu’elle s’installe, je lui prépare son cocktail dans la cuisine. A mon retour, je la trouve assise dans un fauteuil profond. Elle a enlevé son blouson, et elle a posé une jambe sur un accoudoir. Son autre pied repose sur une table basse, sur laquelle je dépose son verre.

Dans cette position, ses cuisses sont largement écartées, et je découvre qu’elle ne porte pas de culotte. Elle dégage ses seins, et ouvre son petit abricot, du bout des doigts, en me souriant avec cet air ingénu qui m’avait bouleversée à notre première rencontre.

— A genoux ! Lèche-moi, salope, me dit-elle.

Sans protester, je m’exécute. Elle empoigne mes cheveux, et plonge ma tête entre ses cuisses. De la pointe de ma langue, je parcours sa fente. Elle est déjà trempée ! Lise a du fantasmer et s’exciter, en attendant cet instant, et en imaginant la scène.

Mes lèvres s’écrasent sur sa chatte, et je bois sa sève. Je ne l’ai jamais trouvé aussi bonne, je me rends compte que cette situation de soumise me trouble comme je ne l’aurais jamais imaginé.

— Continue ! Bouffe mon petit bouton, m’ordonne-t-elle d’une voix voilée par le plaisir.

Je ne me fais pas prier. J’embrasse son clito, je le lèche, je le prends entre mes lèvres pour l’étirer, avant de le mordiller.

Sur son siège, Lise essaie de se contrôler, mais le rythme de sa respiration, et les ondulations de ses hanches la trahissent. Elle aime ça. Elle a envie de jouir. Alors, je commence à la doigter, et je sens ses ongles se planter dans mon crâne lorsque j’introduis deux doigts dans son minou. Ce minou que j’adore.

Lise se tortille sur son fauteuil, ses cuisses se contractent, je sens les frissons qui la traversent à travers mes doigts. Trois doigts dans sa fente, maintenant. Mon autre main se glisse entre ses fesses, qu’elle soulève légèrement, pour me faciliter l’accès à son joli petit cul.

Bientôt, je fouille ses deux orifices. Quatre de mes doigts coulissent entre ses petites lèvres, deux dans son petit trou. Un orgasme la secoue, et elle est obligée de mordre sa main pour ne pas hurler.

Elle gicle dans ma bouche, et moi, je coule aussi comme une fontaine, lorsqu’elle m’oblige à me relever.

Je me retrouve face à elle, nue, avec mes seins gonflés et durs. Au bout de quelques instants, elle se ressaisit, et ouvre le sac qu’elle portait en bandoulière à son arrivée. Je blêmis…

Elle en sort un large collier de cuir, muni d’un gros anneau métallique, et une laisse, en me lançant :

— A genoux ! Et baisse la tête.

Subjuguée, je me remets à genoux. Lise passe le collier autour de mon cou, et y accroche la laisse. En un éclair, je pense que des voisins peuvent m’apercevoir, sur cette terrasse, et la honte me submerge.

— Avance à quatre pattes, reprend Lise. On va rentrer. Et je vais te baiser comme une petite chienne que tu es.

Je suis presque soulagée. Je me traîne à quatre pattes, maintenue par la laisse que Lise tient serrée très court. J’enjambe le seuil de ma porte-fenêtre. Me voilà à genoux, au milieu du salon.

Elle détache la laisse de mon collier de cuir, et éclate de rire devant ma mine piteuse. Après m’avoir intimé l’ordre de ne pas bouger, elle commence à se déshabiller, devant mes fenêtres restées ouvertes.

Mon regard reste scotché sur son corps, qu’elle dévoile lentement. Je suis fascinée, chaque fois que je le vois. Le débardeur et la minijupe de cuir atterrissent sur mon canapé, elle enlève ses bottines, et elle sort de son sac un gode double, monté sur un harnais, que je ne lui connaissais pas.

Avant d’attacher la ceinture autour de sa taille, elle me fait sucer les deux extrémités du gode. Qu’il est gros ! Ma Lise me surprend un peu plus à chaque instant mais ce n’est plus "ma" Lise, il faut que je me fasse une raison.

Elle me regarde avec un sourire carnassier, en introduisant une extrémité du sex-toy entre ses petites lèvres. Seuls ses seins qui pointent trahissent le plaisir qu’elle ressent, pendant qu’elle s’agenouille derrière moi.

Et puis, j’oublie mon humiliation, au moment où le gland de silicone se fraie un chemin dans mon intimité. Je m’ouvre, sans résistance, et je sens le priape distendre les parois de ma grotte, qui s’inonde instantanément de mouille. C’est si bon…

Sans me faire grâce d’un centimètre de l’énorme tige, Lise me pénètre, jusqu’au plus profond de ma petite chatte. Elle marque une pause, et je retiens mon souffle. Puis, brutalement, elle se retire presque entièrement, avant de me démonter d’un grand coup de reins. Je hurle. A la fois de surprise, de plaisir et de douleur.

Elle empoigne ma chevelure, et se met à faire coulisser le gode dans mon antre d’amour, comme si elle voulait le faire éclater.

— T’aimes ça, hein salope, me demande-t-elle ?

— Oui… Oh oui, continue…

— Mais ma parole, ça ne te suffit pas.

Elle se déchaîne, et ses coups de boutoir me font avancer en glissant sur mes genoux. Je suis obligée de me cramponner à un meuble pour ne pas tomber, et je sens l’orgasme qui monte, inexorablement.

— Je vais jouir !!!! Putain, ça vient !

— Je ne t’ai pas autorisée à jouir, Ambre, aboie Lise.

— Je ne peux pas me contrôler… Ooooooooh je jouiiis !

— Salope, je vais t’apprendre !

Des jets de cyprine giclent entre mes petites lèvres. Je ne suis pas encore redescendue sur terre, des spasmes continuent de me secouer, mais je sens le gode sortir de ma fente.

Le gland gluant remonte, jusqu’entre mes fesses, que Lise écarte sans ménagement. Je sais ce qui m’attend. Lise va m’enculer, sans autre préliminaire. Je pousse un cri de douleur, lorsque l’olibos force le passage de mon anus serré. Mais il y a du plaisir, derrière cette douleur.

Ma rosette se dilate. Pour m’aider, je passe une main entre mes cuisses, pour m’exciter en branlant mon petit bouton. Le gode peine à trouver sa place, puis en quelques secondes, mon illet plissé s’ouvre entièrement, et il est comme aspiré.

Petit à petit, le plaisir remplace la douleur. Je doigte ma chatte, et je sens à travers la mince paroi la verge de silicone aller et venir au plus profond de mon ventre. Et pour couronner le tout, Lise passe une main sous me poitrine, pour pincer et tordre mes tétons. Jamais je n’ai eu aussi mal, moralement et physiquement. Jamais je n’ai éprouvé autant de plaisir…

L’orgasme qui monte ne ressemble en rien au précédent. Il me tétanise, et je reste contractée un long moment, en le sentant me submerger. J’ai l’impression de me noyer. Je ne suis plus capable de proférer autre chose que des cris inarticulés, et une sorte de couinements d’animal qu’on égorge.

Lise jouit aussi, en redoublant ses coups de reins, avant de s’immobiliser, le gode fiché dans mon petit trou dilaté.

Puis notre plaisir reflue, et nous nous écroulons toutes les deux sur le parquet, haletantes, ruisselantes de sueur, nos cuisses maculées de mouille.

Avant de se relever, elle me gratifie tout de même d’un long baiser, titillant ma langue. Mais aussitôt, elle commence à se rhabiller. Je la regarde désappointée, et je lui demande d’une voix suppliante :

— Tu ne restes pas à dormir avec moi ?

— Non. Ce sera seulement quand je le déciderai.

— Mais quand veux tu me revoir ?

— Après-demain. La météo prévoit du grand soleil. Bastien et moi, on t’emmène à la plage.

— Mais j’ai cours !

— J’en ai rien à faire. Tu es notre petite pute, tu fais ce qu’on te dit et tu nous suis. Ou alors… adieu.

— Non, non ! C’est d’accord. Après-demain.

— On viendra te chercher à 8h30. Tiens toi prête.

Et elle s’en va sans avoir touché au repas que je lui avais préparé, sans presque me regarder, me laissant anéantie.

Le pire, c’est que je commence à compter les heures avant d’aller à la plage avec Bastien et Lise. Je suis totalement accro et dépendante de Lise…

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