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L'erreur – Chapitre 1




— Cest la suite dun pari me dit cette jeune femme.

Étonnée je lui demande de quel pari il sagit.

— Votre mari a parié qu’il pourrait me baiser devant vous.

— Lui ? Il a dit ça, et quand ?

— Je ne sais pas cest seulement moi qui devait venir : mon ami me la demandé, jai accepté parce que jaime bien baiser.

Je suis furieuse dentendre cette pimbêche et aussi contre mon mari qui me cache ce genre de saloperie. En plus elle a lair sincère. Je connais bien les envies de mon mec : nous parlons souvent de faire lamour à trois, jusquà présent ce nétait que des fantasmes partagés, sans plus.

Jai une idée, pourquoi pas accepter, la fille est belle, sexy avec tout ce qu’il faut. Seulement mon mari nest pas encore entré du travail. Pas grave, je fais venir la fille dans le salon, la fais asseoir sur le divan.

— Vous savez, nous lattendrons ici, en attendant nous pouvons commencer à deux, le trio sera pour plus tard.

— Je veux bien pour nous mettre en chauffe.

A croire que je suis un moteur diesel. Je vais bien voir ce qu’elle fait, elle serait ma première fille. Elle enlève son manteau pour être à laise. Je suis étonnée de voir qu’elle porte une robe légère que je ne mettrais jamais tellement elle est courte et transparente. Je comprends que si Jacques, mon époux la voit ainsi, il aurait envie delle.

Je ne comprends toujours pas cette histoire de pari : il nest pas joueur, ne fréquente aucun bistrot, à moins que dans son travail ?

— Jai complètement oublié de me présenter, je suis Nancy. Je suis la femme d’Antoine un copain de votre mari. Jaime bien les hommes et aussi les femmes, Surtout si elles sont comme vous, aussi séduisante et sexy.

Je suis flattée, mais je ne connais pas dAntoine, Jacques m’en aurait parlé. Elle tient à baiser, je vais me donner à elle, autant en profiter pour me faire dessaler par une qui connaît son affaire daprès ce que je comprends. Si Jacques me voit nue dans les bras dune autre, il ne fera pas d’esclandre. Je suis prête à tout, sans en avoir lair elle m’a excité. Si elle a enlevé sa robe, je ne peux pas en faire autant : en jean ce serait difficile. Je ne fais que sortir mon t-shirt du pantalon.

Ça doit suffire puisqu’elle me prend dans ses bras, ses lèvres prêtes à membrasser. Je suis surprise de cette initiative. Et bof, pourquoi pas après tout, autant que jy passe complètement : jai pu voir sans intérêt un ou deux films pornos, je crois me souvenir que des femmes sembrassaient presque toujours.

Sa langue entre dans ma bouche : cest agréable, presque autant quavec Jacques. Elle me tient le menton comme si jallais lui échapper. Moi, j’ai les bras ballant, ne sachant pas trop quoi faire. A tout hasard je la tiens pas les épaules.

Elle vient me caresser les seins. La, je commence à être bien excitée. Elle sait bien faire monter la sève dans les tétons. Elle passe vite sur mon soutien gorge pour le défaire et libérer ma poitrine. Jai une main sur mon sein et mon téton. Je bande des seins. Cette fois je mabandonne.

— Tu n’as jamais baisé une autre fille ?

— Non.

— Tu te branles, non ?

— Des fois, devant mon mari qui aime me voir.

— Tu me branleras tout à lheure quand je te le ferais.

Cette fois je suis parti dans un autre monde. Surtout qu’elle défait la fermeture éclair du jean pour passer sa main sur mon slip. Je me soulève un peu : elle fait descendre et le jean et la culotte.

Me voila exposée devant cette fille que je ne connais pas encore. Sa main monte lentement entre mes cuisses que jécarte instinctivement. Elle me fait mouiller la garce. Jaccepte ses doigts dans ma chatte : elle caresse le clitoris. Je me régale. Si Jacques était là, il maiderait. Tant pis je la laisse faire ce qu’elle veut. Elle passe son pouce sur et dans mon petit trou. Jaime ça, jaime me faire enculer par mon mari, jaime me branler en même temps. Là, elle fait tout à la fois. Je me laisse aller dans un orgasme rare.

Nancy me met nue rapidement, je me laisse faire. Pour qu’elle soit elle aussi apte à recevoir mes caresses je commence à enlever cette robe magique. Je peux la voir en entier : quelle paire de miches, quelle paire de fesses. Si jétais un homme je la lui mettrais partout, dans tous ses trous.

Elle prend ma main pour quà mon tour je la branle. Si je sais me masturber, je ne lai jamais fait à une autre. Pour un homme je sais bien faire çà. Heureusement qu’elle me guide un peu. Je prends son clitoris comme une petite bite : ça lui convient puisque je la sens gémir avant de jouir.

Elle reprend le dessus en me couchant les jambes bien ouvertes. Sa tête est sur ma foufoune. Je sens sa langue aller sur mon anus. Elle le lèche un peu avant dentrer légèrement : cest agréable mais ça ne vaut pas la bite de mon mari. Je mouille de plus en plus quand elle insère sa langue dans mon étui.

Nancy connaît les endroits sensibles chez une femme. Mon point G est vite léché : je pars rejoindre les nymphes antiques. Elle continue son travail de sape. Mon clitoris est entre ses lèvres. Je ne sais pas exactement ce qu’elle y fait : moi ça me fait toujours du bien.

Enfin elle vient sur moi : je sens ses seins contre moi. Ils sont durs, comme les miens certainement. Quand elle menjambe je me trouve avec sa chatte juste sur mon visage. Je connais mon sexe pour l’avoir vu dans un miroir il y a longtemps, là jen vois un autre tout près. En plus ce nest pas le mien : cest excitant de voir cet endroit sensible d’une fille. Tellement excitant que je fais comme un enfant devant un pot de confiture : j’y mets la langue. Surprise sa cyprine a le même goût que la mienne. Ce nest pas écoeurant comme je le craignais. Je ne me débrouille pas mal en passant ma langue dans son intimité. Je la sens jouir : jen suis fière.

— Tu me suce bien, jai aimé.

— Toi aussi.

Nous nous remercions du plaisir échangé. Oh, pas longtemps : Jacques entre du travail. Jai peur quil ne pique une colère. Quand il nous voit il est interdit avant de nous regarder. Le tableau doit être joli : deux filles nues enlacées comme dans un tableau du quattrocento.

— Qui est cette femme ?

— Cest Nancy, elle est la suite du pari que tu as perdu : elle est venue pour que nous la baisions tous les deux.

— Je nai jamais rien parié, mais si elle est daccord, je veux bien la baiser avec toi. Vous venez de le faire, non ?

— Oui.

— Cétait aussi bon que dans nos délires ?

— Meilleur encore.

— Je vais me la farcir.

— Viens nous baiser.

Ce nest pas la peine de le lui répéter. Il ne se jette pas sur Nancy il se dénude rapidement. Je vois sa queue bien bandée. Quand il est près de nous, Nancy ouvre ses bras. Il va contre elle pour dabord l’embrasser. Je suis presque jalouse de voir quil met sa langue là où javais la mienne un moment avant. Je voudrais prendre sa bite dans une main pour le branler. Cest trop tard, elle est déjà en main, Nancy sait fort bien le masturber : il semble se régaler aussi.

Pourtant Nancy remplace sa main par sa bouche : je connais mon Jacques, il ne résiste jamais à mes pompiers. Le sien ne dure pas, elle se donne totalement à lui. Il est entre ses jambes, prêt à entrer. Je me permets simplement de lui caresser les fesses et chercher son petit trou où jaime assez entrer un doigt.

Il la pénètre très lentement comme s’il profitait de loccasion de la baiser. Je sais par expérience quil va faire durer les allers et venues. Nancy est ouverte complètement, elle encaisse sans broncher, sinon positivement la grosseur de la bite. Elle accompagne les va-et-vient de la queue.

Elle fait comme avec moi en gémissant. Elle se crispe souvent en jouissant.

J’encourage mon époux :

— Vas-y, baise la cette salope qui ma faite jouir. Baise la fort, à fond, comme tu me fais.

— Oui j’en veux encore, baises moi, répond Nancy.

Il va à fond dans la grotte : je la vois fermer les yeux souvent quand elle jouit.

Je les laisse faire cette femelle et mon mari, je les regarde en devenant toujours plus excitée : jécarte bien les jambes pour me mettre trois doigts dans le val des plaisirs. Je jouis comme elle. Je fais durer ma masturbation longtemps, tout le temps de cette baise qui n’en fini pas. Les va-et-vient de ma main sont calqués sur ceux des reins de Jacques.

Dun seul coup il veut changer d’orifice, il la tourne la met en levrette pour l’enculer. Mais pour une fois il entre sans avoir humidifié le cul. Je le vois forcer sur la pastille pendant que Nancy gémit de douleur. Il la lui met à fond. Il entame ses allers et retours quand je me décide à venir au secours de Nancy en me mettant sous elle comme pour un 69, ce qu’elle accepte ; Je vois la bite de Jacques entrer et sortir. Enfin Nancy commence à jouir à nouveau. Je vois les spasmes de jouissance de Jacques.

Il sort du cul de Nancy tout petit. Je le veux aussi au même endroit. Cest Nancy qui soccupe de le faire bander encore. Je la regarde faire étonnée : elle ne le masturbe pas, elle caresse seulement d’une drôle de façon la queue et les couilles de Jacques qui bande bien.

Cette fois je m’occupe de mettre ma cyprine sur l’anus. Il entre merveilleusement bien dans mon ventre. Je me sens remplie par sa queue. Je nai même pas besoin de me masturber : je jouis comme une folle.

Il faut bien cesser de baiser ; nous sommes à peu près morts tous les trois. Prise un peu tard d’un doute Nancy me demande confirmation :

— Est-ce que nous sommes au troisième ?

— Non ici cest le deuxième étage.

— Je me suis trompée d’étage.

— Tant pis, on en a profité, dit Jacques.

— Vous baisez bien tous les deux

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