Aussi loin que je m’en souvienne, je rêve de me faire prendre par mon père, mes frères et mes cousins.. Mais jamais je n’aurais cru que cela arriverait un jour. Du moins, en parti..
Nous étions tous réunis pour une fête de famille. L’anniversaire de ma mère. Mes frères, leurs femmes, enfants. Mon mari, mes enfants aussi. Le repas ce passa dans les rires, les anecdotes et autres. Comme souvent, j’imaginais des petits scénarios avec mes frères et mon père et comme souvent, on me sortait de mes songes avant d’aboutir à une jouissance mental ! L’alcool dans les veines, les heures défilants, mon mari me préviens qu’il rentre avec nos enfants et après avoir embrassé tout le monde, s’en va.
L’alcool gagne du terrain, bientôt, l’un de mes frères s’endort sur le canapé, rejoint par la femme de mon autre frère et ainsi de suite. Il ne resta plus que mon père et moi même devant une bonne bouteille de shnaps ! Assise a côté de lui, épaule contre épaule. Je me souviens de notre petite conversation.
— Tu sais ma fille, tu en as fait des bêtises, mais aujourd’hui, je suis fier de toi !
C’était la première fois qu’il me disait cela. Il faut savoir que l’une de mes bêtises, nous à plus ou moins séparés. Jamais mon père ne m’avait serré dans ses bras, ni même dit qu’il m’aimait. J’ai souri timidement et embrassé sa joue.
— Je t’aime papa et surtout ne m’en veux pas de ce que je vais te dire, mais… j’ai envie de coucher avec toi.
L’alcool délie les langues, c’est bien connu ! Mon père resta muet. Devant ce silence, je me suis levée et pris les verres vides. Sans dire un mot j’ai rejoint la cuisine et me mis à laver la vaisselle. Je me sentais à la fois soulagée d’avoir dit ce que je pensais, mais mal aussi.. Peut-être qu’il ne voudrait plus me voir ? Du moins, c’est ce que je croyais jusqu’au moment ou je senti les mains puissantes de mon père entourer ma taille. Mon père est un grand homme. Les cheveux poivre-sel, les yeux brun/vert. Il a un petit ventre, mais il est beau à mes yeux. Je sursauta légèrement et ferma les yeux lorsqu’il me murmura contre l’oreille.
-Essaie de pas trop faire de bruits..
Il embrassa ma tempe, descendit jusqu’à mon cou. Ses mains passèrent sous le tissus de mon débardeur et remonta sur mes seins. Je frémis, me détendis. Doucement je pressais mes fesses contre son entre jambes ou je senti une présence imposante. Mordillant mes lèvres, je murmurais par la suite.
— Je t’en pris papa, baise moi tout de suite.. Y a trop longtemps que j’attends.
Je ne pus le voir sourire, mais je le devinais. Il s’écarta un peu de moi et je l’entendit baisser sa braguette.
— Descend ta culotte et cambre moi ton cul. Me dit il.
J’obéis. Descendant mon string sur les genoux, je pris appuis sur le bord du lavabo et cambrai mes fesses vers lui. Il s’approcha, conduis son membre que je savais épais vers l’entrer de ma fente humide par l’excitation. Il pressa son gland et me pénétra d’un coup de hanche. Un soupir de plaisir fit vibrer ma gorge.. Il posa une main sur ma hanche, l’autre écarta mes fesses et il commença un mouvement de va et vient en moi tout en jetant des coups d’il vers le couloir.
— Mmh, papa ! Plus fort, prend moi plus fort !
— Chut, on va t’entendre !
Mais cela ne l’empêcha pas d’enchaîner les coups de queue bien plus fort, plus profondément. Je sentais ses couilles claquées contre mon clitoris, sa colonne de chaire emplir ma chatte mouillée. Je dus faire un effort pour ne pas qu’on m’entend gémir !
— T’es encore plus bonne que je le pensais !
Il remonta une main jusqu’à ma nuque et m’agrippa les cheveux. Le dos creux, le cul cambré au maximum, je gémis plus fort.
— Oh, papa, oui ! Bordel, j’aime ça !
— Salope ! Geint-il.
Ne pouvant se retenir plus longtemps, tout comme moi, sûrement à cause de l’alcool que nous avons ingurgité. Nous jouissions rapidement.
Nous nous sommes rhabillés, nous sommes embrassés et je suis rentrée avec la certitude que ce n’était qu’un début..