Chapitre 27 : Nos adieux à Tante Lilly.
Maman et moi approchons tranquillement de Martine pour nous mettre à genoux de chaque côté d’elle. Maman tend sa main pour recouvrir celle de Martine posée sur le marbre et entrelace ses doigts avec les siens. Nous restons là, silencieux, chacun de nous avec le souvenir de tante Lilly dans nos vie jusqu’à ce que Martine se lève en essuyant les larmes de ses yeux rouges et gonflés avec la paume de sa main.
— Je ne suis pas censée pleurer. Lilly m’a fait promettre de ne pas pleurer,, mais …
Martine laisse échapper un grand soupir. Des larmes coulent encore sur son visage et elle ajoute.
— Mais quand ce jour vient j’aioh elle me manque tellement!
Elle se retourne et tombe dans les bras de maman, son visage enfoui contre sa poitrine et elle se met à sangloter. Maman l’étreint et la serre contre elle.
Moi aussi je ne peux m’empêcher de verser quelques larmes, pour Lilly et aussi pour Martine, car si je perdais maman, je serais incapable de surmonter la profonde douleur de la perte d’un être tant aimé.
Maman embrasse Martine et lui dit.
— Lilly est là, elle veillera sur nous tout le long de notre vie avec papa et maman Paulie. Et nous aussi.
Martine sourit et murmure.
— Je sais. Dieu m’est témoin, vous avez raison, Sabine, je vous aime.
Son sourire est contagieux et maman se penche pour lécher ses lèvres et dit.
— Lilly nous dirait tout simplement en secouant sa tête. Pour l’amour de Dieu, arrêtez de pleurnicher et faites plutôt l’amour !
Martine laisse échapper un petit rire sarcastique et ses yeux écarquillés elle nous regarde tous les deux en nous tirant vers elle. Maman et moi nous la serrons entre nous pour l’embrasser sur la bouche en mêlant nos langues dans un baiser passionné.
Tante Lilly est décédée le premier Octobre après huit ans de mariage avec Martine.
Quelques semaines après l’enterrement de Lilly, sur la plage près de son bungalow, nous avons organisé un service commémoratif. Même Martine, qui au fil des ans a découvert l’étendue des amis, connaissances et anciens amants, a été surprise par le nombre de gens qui ont fréquenté Lilly. Je me suis arrêté de compter lorsque je suis arrivé à une centaine.
Je déambulais parmi tous ses gens qui se souvenaient de tante Lily, savourant par moment une bride de conversation sur une histoire salée avec ma tante. J’ai rencontré un certain nombre d’hommes et de femmes qui disaient fièrement que Lilly avait pris leur virginité.
J’entendis un murmure courir dans cette foule de gens lorsque Martine et maman sont descendues vers la plage. Martine portait une robe noire à la limite de la décence, ultra courte et dévoilant par instants sa toison noire qui brille au soleil car elle n’a pas mis de slip. Le haut de sa robe outrageusement décolletée dévoile ses seins et ses aréoles foncées. Bien que son visage soit pâle par un manque de sommeil et ses yeux rouges d’avoir tant versé de larmes, elle est belle, main dans la main avec maman qui a choisi une robe rouge coquine qui contient à peine ses énormes seins et qui laisse deviner qu’elle aussi, n’a pas de slip.
Il me plait d’entendre les murmures d’approbation de la foule de gens qui comprennent qu’elles se sont habillées ainsi pour honorer Lilly. Plusieurs femmes ont commencé à déboutonner leur robe et les hommes leur chemise pour être plus à l’aise et détendues dans la chaleur de l’été. Je vois même une femme qui retire son slip sans vergogne au passage de Martine pour la jeter sur le sable.
Martine tient dans ses mains une petite urne qu’elle serre si fortement que ses doigts sont blancs sous l’effort. Elle se retourne et regarde lentement les personnes autour d’elle comme si elle essayait de mémoriser les visages de tous ceux qui sont venus dire au revoir à son amante et à sa femme. J’ai rejoint maman et je lui donne un baiser sur sa joue.
Martine ouvre la bouche pour parler et se fige. Elle secoue sa tête et prend une longue respiration. Tout le monde est parfaitement immobile et calme. Essayant de sourire, Martine leur dit.
— Lilly a toujours dit qu’elle essaierait de baiser tout le monde en Floride, mais je ne savais pas jusqu’à quel point elle irait pour le faire.
La vague de rire qui a suivi a fait disparaître une bonne partie de la douleur et les marques de tension sur le visage de Martine et quand les gens se sont tus de nouveau, elle a continué.
— Lilly contrôlait parfaitement ses émotions et l’amour qu’elle donnait aux autres. La colère, la haine, la jalousie ne faisait pas partie de ses préoccupations et elle les à évités à peu près toute sa vie. Elle a toujours dit qu’il faut saisir l’amour partout où vous le trouvez et c’est comme ça que nous nous sommes trouvées et qu’elle m’a emmenée chez elle.
Martine s’arrête quelques secondes au milieu de hochements de tête approbateurs et de compréhension.
— Lilly m’a appris ce que c’est d’aimer quelqu’un, totalement et sans réserve. De donner son cur et son âme à quelqu’un pour ne faire plus qu’un dans une passion qui nous brûle chaque jour.
Elle caresse inconsciemment l’urne dans ses mains et continue.
— J’ai rencontré plusieurs d’entre vous au cours des années. J’adore certains d’entre vous plus particulièrement. La dernière chose que Lilly aurait voulu c’est que nous pleurions pendant cette cérémonie. Au lieu de ça elle veut qu’aujourd’hui soit un jour de joie et d’amour … et si vous ne comprenez pas bien faites-vous un nouvel ami ou comme Lilly préférait direun nouveau tendre ami.
Elle s’est tournée et elle a marché dans l’eau, ouvert l’urne et versé le contenu dans sa main. Elle tend la main en hauteur et laisse le souffle du golfe diffuser dans l’air et dans la meret sur nous.
— JE T’AIME LILLY ! crie-t-elle.
Les cendres tourbillonnant dans l’air nous avons tous repris son cri.
— ON T’AIME LILLY !
Martine tombe dans mes bras, se met à sangloter et le cur gros, je ne peux que la serrer contre moi.
Malgré que nous sommes très libérés sur le plan sexuel et ayant eu quelques expériences au-delà de la famille proche, Maman et moi et même Martine nous n’avons jamais assisté à des orgies sexuelles sur une grande échelle. Ce jour-là et dans la soirée, maman et moi avons eu un aperçu plus profond de la vie de Lilly lorsque les personnes présentes ont pris les paroles de Martine et les souhaits de Lilly à cur. La plupart de ses amis réunis se sont attardés sur la plage ou sur le chemin de retour à la petite maison de Martine et Lilly et je pense qu’une bonne partie des célibataires de ce jour ne sont pas repartis seuls.
La nourriture et l’alcool coulaient à flots, livrés à domicile par un traiteur chinois qui déambulait entre les couples qui s’assemblaient ou se défaisaient.
Maman, Martine et moi n’avons pas participé à cette orgie monstre. Autour de nous, les gens faisaient l’amour ou baisaient à plusieurs. Les cris de passion et d’orgasme, mélangés avec des cris de tristesse pour le décès de Lilly, fusaient de tous côtés. J’imaginaisnon, je voyais ma tante Lilly, grande et fièrement nue, ses seins pointés en avant, se promener parmi ces corps enlacés pour partager avec eux sa passion pour la vie, pour l’amour, et pour cette communion du sexe pour ceux qui étaient venus célébrer sa vie.
En dépit de notre propre douleur et de la perte de cette femme que nous avons tant aimée, il n’était difficile de ne pas rester éveillé et lorsque la soirée tirait à sa fin, mon sexe était en érection et douloureux.
Maman assise à côté de moi devait être dans le même état car elle avait sa main entre ses cuisses écartées. Son excitation augmentait et lorsqu’elle tressaillait en ouvrant ses cuisses, ma queue sursautait à chaque fois que je respirais le doux parfum de sa chatte humide.
Martine tout aussi excitée que nous, une main posée sur ma cuisse, ses ongles se plantaient dans ma peau à travers mon pantalon lorsqu’elle entendait des mots ou des brides d’histoires incroyablement érotiques sur sa maîtresse, mari ou femme suivant son humeur. Quand elle ouvre ses jambes sans y penser, je peux voir sur ses cuisses des traces brillantes de son jus de chatte en chaleur. Tard dans la soirée, nous avons finalement fermé la porte sur le dernier des amis fatigués et repus en mémoire de Lilly,
Martine se tourne vers moi et maman et avec des larmes dans les yeux, elle nous prend par la main pour nous conduire vers sa chambre ou elle couchait avec Lilly.
Sans un mot, elle laisse sa robe tomber sur le sol. Maman et moi nous enlevons rapidement nos vêtements pour prendre Martine dans nos bras et la porter sur le lit. Nous couvrons son corps sublime de doux baisers, de caresses intimes, avant d’écarter ses cuisses pour lui faire l’amour avec ma bouche pendant que maman l’embrasse en lui caressant sa poitrine. Puis je lui fais l’amour jusqu’à ce qu’elle crie de plaisir en criant.
– Lilly ! Je jouis pour toi !
Aujourd’hui devant cette pierre tombale, Martine sanglote, pleure, frissonne et gémit jusqu’à ce qu’un orgasme libérateur enlève toute la tension accumulée dans son corps. Elle geint doucement et murmure le nom de Lilly entre deux baisers passionnés que je lui donne pendant que maman fait tourbillonner sa langue sur ses lèvres de chatte, taquine et suce le clitoris gonflé de Martine.
Son premier orgasme commence à décliner et maman et moi échangeons nos positions. Lorsque nos visages se croisent, nous échangeons un baiser, avec les lèvres et la douce langue de maman baignées du jus de chatte de Martine. Les yeux de maman sont brillants avec ses propres larmes. Elle poursuit son chemin sur le corps de Martine en faisant une pause pour embrasser et mordiller les tétons dilatés de cette belle et encore jeune femme pendant que ma bouche file vers le bas de son ventre lisse. Ma langue caresse ses lèvres de chatte sans poils, écarte les grandes lèvres plus largement, et j’enfonce ma langue dans son sexe brûlant en plaquant mon visage sur sa chatte chaude et lisse.
Sous l’action conjuguée de maman, de mes doigts et de ma langue, Martine est de nouveau au bord de l’orgasme et en seulement quelques minutes, elle se tord de jouissance, ses cuisses serrées contre mes oreilles et en maintenant mon visage bien en place pour que ma langue fouille son sexe dégoulinant de cyprine chaude.
Je sens les spasmes de sa jouissance aux contractions de ses muscles qui écrasent mes joues et bien que mes oreilles soient étouffées par ses cuisses, je peux entendre Martine crier.
— Lilly ! Encore ! Encore ! OOOoohhh Lillyyyyyy
Tout au long de son orgasme elle jouit en pensant à Lilly pour alléger sa douleur et balayer ce sentiment de perte, se retrouver dans cette passion torride et débridée que nous avons partagé tous les trois avec Lilly, avec amour et luxure.
Ses doigts entrelacés dans mes cheveux, elle me maintient en place pendant que je lape sa chair lisse et délicieuse. Puis Martine me tire vers le haut jusqu’à ce que mon sexe terriblement dur frotte sa chatte palpitante. Martine, ses yeux remplis de larmes me supplie de la prendre et de m’enfoncer en elle.
— Baise-moi mon chéri, gémit la mère de mon fils. Baise-moi maintenant et pour toujours s’il te plaît, Danyviens !
Je fléchis mes hanches et laissant ma bite en érection au bord de sa chatte humide et entrouverte, je lui réponds sous le regard plein d’amour de maman.
– Pour toujours mon amourpour la vie entière
Les yeux rivés l’un dans l’autre, les jambes de Martine s’enroulent autour de mon dos et ses talons s’enfoncent au sommet de mes fesses. Elle soulève ses hanches vers le haut et sous mon coup de reins, ma queue gonflée à mort s’enfonce entièrement dans sa chatte moelleuse et ardente.
Maman est à genoux à côté de nous, magnifique dans sa nudité. Ses seins charnus se balancent quand elle se déplace pour embrasser Martine, puis moi, dans un baiser avec le jus de chatte épais de Martine sur mes lèvres avant de me pousser Martine que je baise avec passion.
Entre ses baisers, maman mord et suce les tétons gonflés de Martine. Avec ses dents elle tire sur ces bouts de chair dure et caoutchouteux jusqu’à ce que Martine sanglote de plaisir. Entre la semi tendresse de maman et moi qui la baise profondément, Martine appelle Lilly pour lui dire combien nous lui donnons du plaisir pour l’aider à effacer sa douleur et sa tristesse refoulée pendant une autre année sans elle, son époux(se) bien-aimé qui avait prit son cur.
Malgré la douceur de la journée, sous nos efforts, nos corps sont en sueur leur permettant de fusionner en un seul, à la fois lisse et collant en même temps, augmentant notre plaisir pendant que je la baise, encore et encore.
Malgré tous mes efforts pour retarder l’aboutissement de notre accouplement je ne peux plus me retenir. J’ai envie de jouir. Sous le regard fier et heureux de maman, j’enfonce profondément mon sexe dans le ventre de Martine et j’inonde son vagin de mon sperme chaud.
Mon orgasme déclenche un nouvel orgasme de Martine et elle crie.
— LILLY, je t’aime ! Regarde, on s’aime !
D’une voix remplie d’extase et d’’amour alors que je remplis sa chatte avec de longues giclées de sperme frais à chaque poussée au fin fond de son sexe.
Enfin, je me retire d’elle et je m’effondre à côté d’elle avec seulement assez d’énergie pour l’embrasser pendant que maman saisi ce moment, comme elle le fait toujours, pour entretenir notre plaisir en alternant sur nos sexes, pour lécher mon pénis et mon gland et siphonner mon sperme dans la chatte bien baisée de Martine.
Nous n’avons pas négligé maman. Avec ses genoux écartés, nous l’avons léchée tour à tour, mordillant son clito dressé et ses lèvres de chatte humide et encore parfumée par ma semence plus tôt dans la journée. Nous nous sommes arrêtés que lorsque maman nous a baptisé avec son propre jus, inondant nos visages après que Martine experte en amour a harponné le trou du cul de maman avec un index fureteur pendant que nous sucions son clito long et tout excité.
Ensuite, nous nous prélassons sous les chauds rayons du soleil de l’après-midi, partageant le déjeuner pique-nique de maman en évoquant des souvenirs assez salaces au sujet de tante Lilly avant de faire notre chemin de retour à la maison avant que les enfants ne rentrent de leurs cours.
Quand maman plie la couverture, Martine se mis à genoux une dernière fois et embrasse sa paume avant de la poser sur la pierre tombale de sa femme amante et mari.
Nous marchons la main dans la main vers le bas de la colline, en appréciant les sons d’oiseaux dans les arbres et le frissonnement des feuilles colorées d’automne et avec l’esprit de Tante Lilly qui planait au-dessus de nous.
Phantome