Partie 16

 

Seb et Frack regardaient avec une certaine envie, cette "petite pute" devant eux. Léa s’était faite baiser comme une chienne et ça leur donnait des envies.

Je m’adressai alors à Léa.

— Dis, tu en veux encore ? Parce que j’ai là, 2 potes qui te regardent avec une certaine envie. Tu en dis quoi ?

Elle me regarda avec un air de chien battu et me répondit :

— Fais comme tu veux Fabien. De toutes façons, je ne suis pas en état de dire quoi que ce soit.

— OK. les gars, elle est à vous. Faites en ce que vous voulez, mais ne l’abimez pas trop quand même.

Seb et Franck se jetèrent sur elle. Seb la releva et lui malaxa ses beaux seins, tirant sur ses tétons bien durs. Franck passa derrière elle et fessa son petit cul bien cambré. Il se colla à son dos et de sa main droite, il lui releva le menton afin qu’elle regarde bien Seb dans les yeux. Seb lui dit alors :

— On va te faire couiner "petite truie". Tu vas déguster… A genoux, et suce nous !

Elle se mit à genoux et attaqua sa "tâche", alternant les 2 belles bites qu’elle suçait avec envie et délectation. On les laissa à leur distraction. Dans les mains des 2 mecs, elle n’était devenue qu’un objet.

De notre côté, avec Steph et Fabienne, on alla prendre un bain à 3. C’était l’occasion de débriefer la soirée et de discuter de tout et de rien.

La baignoire était un tant soit peu petite pour 3. Pas génial, mais on réussit à se faire un place. Je m’installai en premier, dans le fond de la baignoire. Steph vin ensuite s’installer, contre moi, dans le même sens, collant son dos à mon torse. Fabienne, quant à elle, s’installa à l’inverse de nous, et faisait donc face à Steph.

— Bonne soirée les filles ? leur dis je.

— Oui, excellente ! En plus j’ai revu ma copine Léa. Et tes potes sont super sympas. Me répondit Steph.

Fabienne restait muette, songeuse.

— Tu n’as pas aimé Fabienne ?

— Si Si. C’est juste que je suis songeuse, perplexe.

— C’est à dire ?

— Je ne sais pas, je ne sais plus. Quand je vois Steph, elle a l’air si heureuse maintenant… alors que c’est une soumise. Elle devrait en baver. Non, au lieu de ça, elle semble ravie, épanouie.

— Je reconnais. C’est vrai qu’elle semble heureuse. Steph, ton avis sur la question.

— C’est vrai, je suis heureuse, épanouie, comme tu dis. Le pas vers la soumission a été difficile. Les débuts sont très difficiles, puis, on finit par accepter et de ne regarder que le côté positif. Et Fabien est bon avec moi. Il me fait faire des tas de choses, mais au final, il sait que je vais prendre mon pied et me régaler. Je lui fais pleinement confiance et je crois que cela a été le déclic pour que je profite pleinement.

— Pas trop jalouse, ma puce ?

— Au début, si. Beaucoup même. Et de toi Fabienne. J’ai beaucoup pleuré. Mais au final, à quoi bon. Prendre et apprécier ce que tu me donnes. De plus, je sais que je ne pourrais pas t’empêcher d’aller voir ailleurs. Alors, à quoi bon lutter.

— J’aime ta philosophie de vie, lui rétorquais je !

— Moi, je t’aime toi, mon Maître… caresse moi les seins, stp.

— Avec plaisir… et donc Fabienne ?

— Donc, je suis indécise. Je t’avais fait part d’une certaine envie de devenir soumise moi aussi. Ca fait son chemin. J’ai envie de me laisser tenter par l’expérience.

— Tu as une vie assez libertine, tu fais ce que tu veux. Pourquoi en arriver là. Je ne sais pas si c’est dans ton caractère d’être soumise. Chez Steph, ça se sentait. Chez toi, non.

— J’aimerais essayer quand même, je pense. Tu penses qu’on pourrait essayer ?

— Toi et moi ?

— Oui.

— Steph, tu en penses quoi ? Tu aimerais que j’essaye avec elle ? Qu’on essaye avec elle ? Car il va de soi que Steph sera présente… Voire même, qu’elle devienne aussi ta maitresse. Tu arrives après…

— Je me doutais que tu me dirais ça. J’y ai déjà pensé. Que tu sois mon maître, oui, elle, non.

— Au pire, ce que je pourrais faire, c’est de vous traiter à égalité. Après, cela ne reste qu’un essai. Si cela te plait, il te faudrait trouver un maître, car je vais avoir du mal à m’occuper de deux… Quoique ?? Si tu participes aussi, comme Steph, pourquoi pas ?

— OK. Tu me laisses réfléchir à ça et je te dis.

— Pas de soucis. Cependant, je tiens à préciser certaines petites choses, histoire que tu mènes ta réflexion avec tous les éléments possibles.

— Je t’écoute.

— Ce n’est pas parce que je te connais très bien et depuis très longtemps, que tu auras des passe-droits. Tu seras traitée comme l’a été Steph, voire pire dans le côté sexuel, vu ton expérience de la chose.

— Tu veux dire que j’aurais aussi droit à me faire raser la tête, anneler, etc…

— Oui, bien sûr. Il faut que tu en sois consciente. Bien entendu, je prendrais soin de toi, mais tu subiras tout. Juste, sache le.

— Je le note pour ma réflexion.

— Parfait ! Par contre, Steph, penses-tu que ta copine soit tentée, elle aussi. Elle est sacrément mignonne. Elle a de magnifiques seins, un superbe petit cul bien cambré et elle semble être bien chienne.

— Je ne la connaissais pas du tout comme ça. Après, je ne sais pas si elle pourrait être tentée. A voir.

— On peut toujours la faire chanter… On a des vidéos !! Les filles, j’aimerais avoir encore plus de vidéos d’elle. Et si vous alliez vous en occuper ? Faites la jouir tout ce qu’elle peut, mettez là à terre. J’aimerais qu’elle me supplie d’arrêter les choses, qu’elle se mette à genoux en m’implorant, qu’elle fasse n’importe quoi pour moi.

Ce à quoi Fabienne répondit :

— Mas tu es vraiment un pervers manipulateur. J’adore !!! Allez Steph, on y va.

Steph semblait un peu embêtée. Ça se lisait sur son visage. Je le compris.

— Steph, dis-toi que c’est pour la bonne cause. Que c’est pour moi. Pour me faire plaisir.

Elle me sourit.

— Mouais… C’est ma copine quand même.

— C’est juste pour faire des vidéos…

— Tu ne t’en serviras pas contre elle ?

— Je ne sais pas. Je ne te promets rien. Si elle m’implore et me supplie avant, pas besoin. Elle fait sa "prude" comme ça, mais c’est une bonne chienne, crois moi.

— C’est vrai qu’à la voir faire, c’est une chaudasse… OK, on y va Fabienne.

C’est ainsi qu’elles sortirent du bain, se séchèrent et retournèrent dans le salon.

Léa était en train d’être prise en double. Une bite dans sa chatte, une autre dans le cul. Elle couinait fortement. Son maquillage de début de soirée était devenu inexistant. Elle n’était qu’une loque en train de se faire démonter et qui gueulait tant et plus.

J’arrivais sur cette entrefaite.

— Putain, mais elle va réveiller tout l’immeuble, tout le quartier. Faites la taire.

Fabienne récupéra le shorty de Léa et lui fourra dans la bouche. Un certain silence était revenu. Les 2 gars nous avertîmes qu’ils allaient jouir.

— Allez-y les gars, jouissez à l’intérieur d’elle.

— Steph, toi va récupérer un bol.

Seb et Franck se vidèrent en elle, à longs jets, lui maculant la matrice et le fond de son cul de sperme gluant.

— Steph, va poser le bol sous elle et fais glisser dedans tout ce qui tombe. Vous, les gars, faites-vous nettoyer la bite par la petite pute.

Seb lui enleva son shorty et fourra sa bite dans la bouche de Léa. Elle lui nettoyait la queue comme elle pouvait. Franck fit de même. Pendant ce temps, Fabienne et Steph, la soulevèrent légèrement par les bras pour remettre son torse droit.

Steph vint se placer dessous et lui écarta les lèvres afin de faire glisser le sperme éjaculé dans le bol. Elle fit pareil avec son anus, qu’elle dilata de ses doigts. Pour finir, elle vint avec sa langue récupérer tout ce qui n’était pas tombé, insérant sa langue le plus profondément possible, ce qui ne manquait pas de faire repartir Léa…

Je m’approchais d’elle. Je bandais légèrement.

— Prends moi en bouche et fais-moi bander comme il faut ! Lui dis-je.

Ce qu’elle fit avec les forces qui lui restaient.

Fabienne se mit a genoux et vint lui lécher les seins, lui mordiller les tétons. De temps en temps, elle s’arrêtait pour lui gifler les seins.

Steph, elle, continuait son travail du bas.

Je dis aux gars que s’ils voulaient se soulager en pissant, ils devaient le faire dans le bol. Ce qu’ils firent avec sourire.

Pour ma part, je recommençais à bander. Je lui tenais fermement la tête avec ma main droite. Je rêvais de raser cette tête blonde…

— T’en as marre ? T’en peux plus ? Tu veux qu’on arrête ? dis-je, en lui libérant la bouche.

— Oui, j’en peux plus, arrête, stp.

— A une condition. Tu feras tout ce qu’on te dit. Que ce soit n’importe qui dans cette pièce, tu feras tout ce que la personne te dira. Attention, tu es enregistrée.

— Non, hors de question. Laissez-moi tranquille.

— Fourrez lui le plug de Steph dans le cul ! Pendant ce temps, je me refais sucer…

Elle refusa d’ouvrir la bouche. Je lui mis une claque. Puis une deuxième. Finalement, elle ouvrit la bouche et je m’y installai de nouveau. Franck récupéra le plug dans le cul de Steph et l’inséra, non sans quelques difficultés, dans le fion de la blonde.

Les filles la chauffait au maximum. Elle n’en pouvait plus.

— Alors, c’est toujours non ?

— Ok, OK, c’est bon. Je ferais ce que vous voulez.

— Je veux que tu le dises, haut et fort.

— Quoi ??

— Répète après moi. Moi, Léa et ton nom de famille

— Moi, Léa Dupont

— Ne suis qu’une petite chienne en rut, une bonne petite pute, bonne a se faire tringler par n’importe qui.

— Ca va pas non !!

— Répète, j’ai dit, en lui mettant une claque.

— Moi, Léa Dupont, ne suis qu’une petite chienne en rut, une bonne petite pute, bonne a se faire tringler par n’importe qui.

— et je jure, ce jour, date, d’obéir à toutes les demandes de Fabien, Franck, Seb, Steph et Fabienne.

— Et je jure , ce jour, vendredi 18 juin, d’obéir à toutes les demandes de Fabien, Franck, Seb, Steph et Fabienne.

— Ben voilà !!! Laissons là se reposer un instant les gars.

Son plug lui fut retiré… et remis illico dans celui de Steph. Je libérais sa bouche et me branlait au-dessus du bol pour me finir. Les filles la laissèrent tranquille.

Léa reprenait son souffle.

Je regardais alors Léa qui en ressemblait plus à rien…

— C’était pas drôle votre jeu.

— Ce n’était pas un jeu, lui répondis-je, fermement !

Elle me dévisagea, stoïque. Elle se tourna vers Stephanie qui lui dit qu’elle était désolée, mais que si elle acceptait de bien prendre les choses, ça serait bien pour elle.

— On t’a bien enregistré. Vidéos et voix. Tu peux toujours te défiler, mais on montrera tout ça aux bonnes personnes, voire on diffusera sur Internet. C’est comme tu veux.

— C’est bon, je vais faire ce que vous dîtes. Mais pour une durée d’un mois, pas plus. Marché conclu ? Et à la fin, vous me rendez tout. Vidéos, etc…

— Ca marche. Deal ! Allez, pour sceller notre accord, voilà pour toi, dis-je en lui tendant le bol bien rempli. Avale moi tout ça.

— Mais putain, c’est dégueulasse !

— Fais-le et ne discute pas.

— Non !!

— Bon, alors, on va t’aider. Les gars, tenez là.

Seb et Franck lui bloquèrent les bras. J’allais à la cuisine chercher un entonnoir.

— Fabienne, pince lui le nez pour l’empêcher de respirer. Ca lui fera ouvrir la bouche.

Dès qu’elle eut la bouche ouverte, j’y insérais l’entonnoir et déversa l’intégralité du bol dedans. Elle n’eut d’autre choix que d’avaler tout ce mélange.

— Tu vois, c’était pas si compliqué. Allez, file te laver et t’habiller. Ce soir, tu passes la nuit chez Franck.

Léa passa devant Steph, avec un regard noir.

— Je croyais que tu étais mon amie…

 

Fin partie 16

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