J’avais 15 et déjà une poitrine généreuse. Ce soir la mes parents partais en soirée et ne rentrerai que le lendemain tandis que moi je rentré justement d’un week-end mouvementé
(Sans sexe j’étais vierge mais très alcoolisé) et j’avais décidée de passé cette soirée tranquillement devant la télé avec une bonne pizza et de l’aspirine pour ma tête.
A 23h seulement je décidais d’allé me couché j’éteignais toute les lumière, verrouillais la porte et montais a ma chambre. C’étais l’été et il faisais chaud je décidais donc de dormir nue.
Je me glissais dans les draps lorsque j’entendis du bruit en bas, j’enfilais rapidement une robe se boutonnant à l’avant, elle était courte et moulante m’étant mes courbes en valeurs. Je descendis l’escalier a pas de loup persuadée qu’il y avais quelqu’un, arrivait a l’encadrement de la porte du salon je vis un homme vêtu d’un t-shirt noir moulant des épaules athlétiques et un dos musclé a souhait. Ses bras étaient eux aussi musclé et je le regardais chercher des objets de valeur quand il sentit mon regard sur lui. La scène avait du duré 10 petites secondes, en trois pas il fut face à moi et il sortit un cran d’arrêt qu’il pointa vers moi. Il mesurait une tête de plus que moi et était donc en position de force. Je le regardais dans les yeux. Ses yeux étais bleu, glaciale, calculateur… Tellement ’mauvais garçon’. Il observais mon corps et j’y prit du plaisir, j’étirais mes bras vers le haut pour qu’il puisse admiré mes seins superbes et j’ondula légèrement pour que ma silhouette lui soit mieux dévoilé. Il avança d’un pas et je reculai moi-même d’un pas. J’étais dos au mur, il était le dominateur j’étais la dominée et sa ne me dérangée nullement. Il caressa mon visage de sa main libre tout en me regardant droit dans les yeux. Il mit son couteau contre mon ventre et ouvrit les bouton un a un. J’étais excitée, je savais qu’il allait être le première homme a profité pleinement de mon corps et quel homme ! Toujours de la pointe de son cran d’arrêt il ôta le haut de ma robe qui me tomba aux chevilles.
Ne tenant plus il me souleva et me posa sur son épaules tel un kidnappeur. Nous continuions à jouer le jeu du viol sachant l’un comme l’autre que cette étape était passée. Il embrassa ma cuisse a porté de sa bouche et trouva ma chambre. Il me balança sur le lit, je m’étendis sur le dos et écarta très légèrement les cuisse tout en l’observant retiré son t-shirt, il s’avança au dessus de moi prit mes mains et les maintien au dessus de ma tête puis passa son couteau glaciale sur l’intérieur de mes cuisses me provoquant un frissons, il remontait toujours la lame et arriva a ma chatte très peu humide mais palpitante (je ne voulais pas m’excité comme une folle pour rien et y perdre en plaisir) en prenant soin de ne pas me coupés il fit allé sa lame glacée sur mon clitoris le caressant, le chatouillant, lui donnant des sensation inconnu. A ce moment je mouillais réellement et je m’aperçus que malgré son pantalon de toile lâche son pénis était en érection. Avec ma jambe je commençais donc à le caresser pour lui donner encore plus envie de mon corps. Depuis le début nous avion tout fait en silence simplement avec des mouvement et des regards et sa me convenais. C’était intense. Il décida de me faire jouir avec sa langue. Il la passé sur mon clito et sur ma vulve, il l’inséré légèrement en moi, il retourné a mon clito et l’aspirait puis reprenais son parcours. N’y tenant plus je jouit et je poussa un léger gémissement de plaisir et mon corps fut parcourus d’un frisson de plaisir. Il remonta le long de mon ventre le couvrant de baiser, il me suçota les seins tout en parcourant mes fesses de ses mains. Il me retourna violement et me mis a quatre pattes, il se déboutonna et plaça sa bite entre mes fesses, je les serra et me mis a le branler de cette manière qui m’excité réellement, sentir son manche si dure contre moi… Son regard lui-même avait changé il me regarder avec convoitise.
Finalement il mi sa bite sur mon clito, s’y frotta pour mouiller sa grosse queue qui me donner des frissons et qui me faisait poussé de petits cris. Sans prévenir il me pénétra d’un coup.
Quelle douleur ! Je pris un coussin et mordit dedans en hurlant.
J’entendis alors sa voix pour la première fois : ’ ta chatte est serré tu va avoir mal encore un peu de temps mais tu jouira tout de même, laisse toi allée je vais te donner du plaisir ma beauté. ’
Il commença son va et vient doucement de façon a me faire le moins mal possible. Il me limé la chatte et c’est vrai que malgré la douleur j’avais du plaisir. Il me jouit dedans pour soulager ma douleur. D’un coup de reins je me dégagea de lui, il fut surpris et pensa que je voulais le fuir mais rapidement je prit les commandes, je l’allongea sur mon lit et commença a lui faire une branlette espagnol. Il reprit de la vigueur d’un coup et en même temps que je le branler de mes seins je lui sucé le gland. L’entourant de ma langue et l’aspirant. Il me dit de le chevauché se que je fit de bon grès car je le voulais de nouveau en moi. Il mit ses mains sur mes hanches et m’aida à m’empaler sur son pieu, je jouis de nouveau mais cette fois ci je ne pus m’empêcher de crier un ’ ouiiiiiiii ’ de plaisir en lui griffant le torse. Quand il se sentit venir il se retira et m’éjacula sur les seins que je me mis à lécher pour goûter à son sperme. J’étais épuisé pour ma première fois mais lui été encore en pleine forme. Il me mit sur le ventre et me caressa le dos. Je penser me reposer mais je sentit ses mains écartés mes fesses et sa queue se posa a l’entré de mon anus. D’un grand coup il me rentra dedans. Une fois encore je hurlais de douleur mais cette fois ci pas de parole réconfortante. Il me prit et sous ses assaut répété je commencé a éprouvé du plaisir. Il alterna cul et chatte, il retenait son érection un maximum et me donnais a moi plusieurs orgasmes à la suite.
J’étais épuisé et j’ai cru mourir de plaisir quand je compris se qu’il voulait.
Il ne me laisserait pas en paix tant que je ne l’aurais pas supplié. J’allais le faire lorsque je jouit a nouveau. Il m’avais remise a 4 pattes et me caresser le clito en me prenant par le cul.
: ’ Pitié laisse moi me reposer, je n’en peux plus tu va me tué, je jouit mais je suis en feu pitié.
pitié qui ?
maître pitié !
bien, bonne petite chatte. ’
Il me donna une claque sur la fesse et m’éjacula sur le dos. Je sentit qu’il c’était retenus un maximum au moment de son éjaculation puissante.
Il s’allongea sur le dos et m’ordonna de m’allonger sur lui. Il me regarda encore une fois de ses magnifiques yeux bleus, me caressa les cheveux et m’embrassa. Il me dit de dormir, que quand je me réveillerai il ne seras plus la. Que ma robe serait dans ma chambre et ma porte fermée.
Effectivement le lendemain en me réveillant j’entendis mes parent rentré il été midi passé ma robe été dans ma chambre tel qu’il me l’avais dit.
Je vous souhaite à toutes un tel cambriolage
Lapine folle.