Presqu’un mois s’était passé depuis cette douce après-midi auprès de Maryse. Comme je n’avais pas été contacté depuis, je ne gardais de ce couple, qu’un souvenir charnel merveilleux de douceur, en ayant perdu l’espoir de réitérer cette rencontre. Ma surprise fut grande quand, ayant répondu à un appel d’un numéro non connu, je reconnus la voix du mari.
-« Bonjour, je suis René l’époux de Maryse. Je ne vous dérange pas.
— Non, bien sûr que non.
— Voilà. Je me permets de vous appeler pour voir s’il était possible de se retrouver, vous et moi, sur le chemin, là où l’on s’est rencontré pour la première fois ?
— Heu maintenant ?
— Oui, si vous pouvez, j’aimerais bien.
— Heu, Si vous me laissez une demi-heure, je peux me libérer. »
Le rendez-vous pris rapidement, la conversation se termina et nous raccrochâmes rapidement. J’étais un peu étonné, à la fois d’être rappelé un mois après notre dernière rencontre, et qu’il voulait me voir seul, enfin si j’avais bien compris. En même temps, il m’avait, en quelque sorte, invité à faire l’amour à sa femme, je lui devais bien ça. Je mis donc de côté ce que j’étais en train de faire, pour me rendre à ce rendez-vous mystère.
J’arrivai donc là où, un mois auparavant, je fis la rencontre de ce couple. Il n’y avait personne, ce qui était un peu normal en cette fin de matinée de Mai, en pleine semaine. Je m’assis sur le banc sur lequel je voulais m’assoir lors de cette journée et attendis en profitant de cette belle journée. Au bout d’un petit quart d’heure, je vis au loin venir vers moi, René, seul. Arrivé près de moi, il s’assit et me serra la main.
-« Bonjour, merci d’être venu et veuillez m’excuser de mon retard. Je devais m’assurer que Maryse ne vienne pas.
— Ah bon, pourquoi ça ?
— Disons, qu’elle a beaucoup apprécié le moment qu’elle a passé avec vous. Elle aimerait bien recommencer mais elle est gênée de me voir mis sur la touche.
— Oui je comprends.
— Donc je viens vous demander si vous voudriez bien revoir ma femme et que, lors de vos ébats, je puisse vous regarder ?
— Vous savez, c’est ce que je pensais qu’il se passerait lors de la première fois chez vous. Et puis, ça ne me dérange nullement au contraire. Vous pourriez même me conseiller ou dire quoi faire.
— Vraiment ? Ça serait excitant en effet. C’est un fantasme de pouvoir regarder ma femme faire l’amour.
— Si je peux vous aider à réaliser vos fantasmes
— J’en ai un autre J’aimerais aussi, si cela ne vous dérange pas, vous faire une fellation ? Là, maintenant, et aussi une fois que vous aurez possédé Maryse.
— Comme je vous l’ai dit, je suis bisexuel, ça ne me dérange absolument pas qu’un homme me suce. » Lui dis-je en souriant.
Je me levai et entrai dans les bois bordant le chemin. René me suivait. Une fois assez loin du chemin, je m’arrêtai et me mis devant lui. Il s’approcha lentement de moi, un peu fébrile de ce qu’il allait faire. Il tendit une main sur mon jean au niveau de mon entrejambe. La situation excitante ne me laissait pas indifférent et il put sentir à travers le pantalon, mon sexe se tendant légèrement. Je vis ses mains essayer de déboutonner mon pantalon sans grand succès. Cette maladresse m’excita un peu plus. Je l’aidai à me défaire de mon jean et rapidement je me retrouvai avec le pantalon à mes chevilles.
Il regardait avec désir mon caleçon noir où l’on devinait mon sexe grossissant. Il caressa doucement mon caleçon depuis ma cuisse vers mon pubis. Je sentais ses doigts parcourant lentement les contours de ma verge. Arrivée en haut de mon caleçon, sa main le fit descendre, dévoilant à ses yeux mon sexe raidi. Il caressa ma queue enfin à l’air libre. Il prit la hampe de mon sexe entre deux doigts, il les fit remonter vers mon pubis, les laissant se perdre dans ma toison sombre. Il les fit remonter vers mon gland en imprimant une légère pression dessus. Sa caresse et l’excitation de ce moment firent accroitre la raideur de mon chibre. Il décalotta mon gland et le caressa du pouce.
Il se baissa pour venir déposer ses lèvres autour de mon prépuce. Je ressentis l’humidité de sa langue entrer en contact avec la sensibilité de ma queue. Il fit tourner sa langue et je me laissai aller sous ses caresses buccales. Je fermais les yeux pour ressentir les bienfaits de sa bouche et de ses doigts sur mon sexe devenu droit et rigide. Mes bourses furent aussi caressées avec douceur. J’écartai mes cuisses pour lui permettre de venir caresser l’ensemble de mon scrotum, et de lui donner accès à mes fesses et anus si l’envie lui prenait de déplacer ses caresses sur moi.
Je fus un peu déçu qu’il s’attarde que sur mon sexe, mais très vite l’excitation de me faire sucer en plein air, additionnée par le fait que ce soit un homme, d’un certain âge, qui me demande de faire l’amour à sa femme, m’emmena vers la jouissance. Je lui indiquai que j’allais bientôt me déverser sous ses baisers pour qu’il se retire et que je puisse laisser ma semence exploser dans la nature. Il me se retira pas et continua de plus belle à me masturber tout en aspirant mon gland dans sa bouche. Le fait de savoir qu’il voulait que je jouisse dans sa bouche me fit perdre les derniers contrôles que je pouvais avoir sur ma jouissance. Je ressentis un éclair de plaisir m’envahir quand je lui délivrai mon sperme. Je sentis sa langue lécher le sommet de mon gland, récupérant les gouttes perlant dessus.*
Il quitta finalement ma queue pour se redresser. « Merci ». me dit-il. Je lui retournai le remerciement et lui plaquai ma main sur son entrejambe. Je sentis un léger recul de sa part, mais, passé ce réflexe, il se laissa faire. Je caressai son pantalon au niveau de son sexe. Je le vis fermer les yeux et ressentis à travers le tissu une certaine raideur poindre. Je retirai le bouton et descendis la fermeture éclair pour laisser passer ma main vers son slip. Je passai la main à l’intérieur de son slip, mes doigts rencontrèrent sa queue. Elle semblait longue malgré sa mollesse. Je fis mine de sortir son sexe mais il arrêta mon geste.
-« Non, s’il vous plait. Pas ici, pas maintenant »
— D’accord. » Répondis-je un peu vexé.
Il me donna rendez-vous le lendemain après-midi chez eux et s’en alla rapidement en me laissant en plan. Je restai sur ma faim, sur une pipe excitante mais ayant le sentiment d’avoir été qu’un jouet sexuel. Je rentrai chez moi. Au moins, je me suis fait vider les bourses.
*
**
Le lendemain, je me retrouvai donc devant la porte de leur maison, prêt pour une nouvelle expérience excitante. Je sonnai et cette fois-ci, c’est René qui m’ouvrit la porte.
-« Bonjour. Veuillez entrer.
— Bonjour, merci. Comment allez-vous ? » Répondis-je en entrant dans le couloir.
Il m’accompagna dans la salle à manger et m’invita à m’assoir.
-« Bien merci. Je voulais m’excuser de ma conduite d’hier. Je suis gêné de la situation.
— Je peux comprendre.
— Je n’arrivais plus à avoir ou maintenir une érection depuis une quinzaine d’années. Mais, depuis votre rencontre, quand je pense à ce que vous avez fait avec ma femme, mon excitation m’a permis d’honorer ma femme, à deux reprises.
— Je suis content pour vous.
— La seconde fois c’est parce que j’ai eu comme fantasme de vous voir faire l’amour à ma femme et que vous obéissez à ce que je voulais que vous fassiez.
— Et vous souhaitez que je le fasse ?
— Cela ne vous dérangerait pas ?
— Non
— En effet, cela m’exciterait énormément.
— Et votre femme est d’accord ?
— Oui, l’idée lui plait. Et puis, je lui ai aussi raconté notre entrevue d’hier, comment ça m’a donné envie.
— D’accord, alors. Une question ? Pourquoi êtes-vous parti rapidement ?
— Pour tout vous dire, j’étais terriblement gêné de retrouver une érection devant vous, un homme. Et gêné à ce qu’un homme m’excite plus que ma femme. J’avais des choses à vous dire et demander mais je suis parti rapidement, honteux de sentir une érection montée.
— Je comprends. Et maintenant, comment voyez-vous les choses ?
— Je vais monter retrouver Maryse dans la chambre, la même que la dernière fois. Je vous inviterai à nous rejoindre.
— Bien ».
Je le regardais gravir les escaliers et disparaitre dans l’étage du haut. Je tendis l’oreille à ce qu’il pouvait se passer en haut. Des bruits de pas, des échanges verbaux étouffés, où, à défaut d’entendre clairement ce qu’il se disait, je reconnus la voix de Maryse. Puis, un « Vous pouvez venir » me donna le signal pour que je vienne les rejoindre. Je montai les escaliers et me retrouvai devant la porte ouverte de la chambre.
La pièce était un peu plus lumineuse que la dernière fois. Cette fois-ci, les volets roulants n’étaient pas totalement fermés et laissaient passer un mince filet de lumière permettant de mieux distinguer la chambre. Au milieu d’elle, Maryse était debout, avec pour seul vêtement une paire de bas noir et un bandeau de la même couleur autour de ses yeux. Elle attendait là, devant moi, les bras dans son dos, dans une nudité sensuelle. Sur le côté, assis sur une chaise en bois, René, se délectait à l’avance du spectacle. Il était totalement nu, les jambes croisées, et qui parla.
— « Vous voilà. Maryse vous est offerte et comme convenu, vous allez faire exactement ce que je vous dis. Ok pour tout le monde ?
— Oui » Dis-je alors que Maryse hocha de la tête.
— « Déshabille-toi. »
Je me défis de mes vêtements, me retrouvant nu rapidement, ma queue presque droite d’excitation. Je sentais que la séance allait être moins sensuelle que la dernière fois, et plus sexuelle.
« Ma Chérie, ta vue semble ravir Monsieur. Approchez-vous pour qu’elle puisse saisir votre virilité de sa main, voulez-vous ? »
Je m’exécutai, m’approchant du corps nu, désirable et offert. Je dus me retenir de ne pas prendre à pleine main cette poitrine offerte. En m’approchant, je pus voir que Maryse semblait tout aussi troublée que moi de cette expérience, ses joues étaient roses et ses tétons, comme de douces framboises rouges, s’élevaient fièrement. Je sentis sa main venir à tâtons vers ma verge. Elle prit dans sa paume ma queue et de ses doigts, en prenait possession.
« De l’autre main, caresse-lui les couilles. »
Elle s’exécuta. Sa seconde main vint rejoindre la première et prit mes bourses dans sa paume, soupesant le paquet. Au mot « couilles », je sus qu’en effet, René souhaitait une relation bien plus bestiale. Cette confirmation et les premières caresses manuelles de Maryse finirent de me tendre au maximum. Les gestes étaient cependant mesurés et doux. Je me laissais caresser sans rien faire, Maryse explorant du bout des doigts ma verge et mes bourses.
Obéissant à de nouvelles injonctions de René, elle se mit à genoux et déposa ses lèvres contre mon scrotum rabattu sur ma queue. Je sentis sa langue parcourir mes couilles. Elle ouvrit sa bouche pour accueillir mes testicules qu’elle aspira en elle. Je fermai les yeux pour mieux ressentir cette douce humidité sur mon intimité. Elle remonta sa bouche sur ma queue et lécha mon gland sous les mots et le regarde de René. J’ouvris les yeux pour, justement, le regarder, Il ne perdait pas une miette de ce spectacle et l’excitation était bien visible. Il avait une queue bien plus grande que la mienne. J’avais envie de gouter à ce membre qui retrouvait de la vigueur.
A sa demande, j’écartais les cuisses pour laisser mes mains de Maryse caresser l’intérieur de mes fesses. Nous bougeâmes un peu de place pour qu’il puisse, depuis sa chaise, observer les mains caresser mes fesses, les écarter et dévoiler mon intimité, tout en regardant la bouche de sa femme s’activer sur mon sexe. Je me délassai des caresses buccales et des attouchements, pressentant avec envie le moment où son doigt attendrait ma rondelle. Je tressaillis enfin lorsque je sentis la pulpe d’un doigt dessiner lentement le contour de mon anus.
« Bien, Maintenant Maryse, monte sur le lit et met toi à quatre patte pour qu’il puisse admirer ta croupe ». La voix de René retentit dans la chambre telle un coup de fouet, tant les caresses reçues me faisaient du bien. Je vis Maryse se redresser, les joues toujours aussi rouges. Je la regardai se mettre à quatre pattes sur le lit. Ses seins pendant vers la couette du lit étaient magnifiques. Elle écartait les cuisses pour me laisser voir son intimité. J’avais une vue imprenable sur son sexe luisant et son petit trou.
« Veuillez lui mettre un doigt, votre majeur, directement dans sa chatte »
J’obéissais avec plaisir à ces mots crus et me dirigeai vers la croupe de Maryse. J’introduisis mon majeur directement. Il entra sans difficulté dans sa chaude moiteur. Je le fis tourner à l’intérieur de son vagin et commençais les va-et-vient sous les remarques de René. Très vite, l’intimité de Maryse devint plus accueillante et moins étroite. A la demande de René, j’y ajoutai mon index qui alla rejoindre le majeur avec un peu de difficulté mais qui prit place quand même, avec un léger tressaillement du bassin de Maryse.
« Arrêtez de bouger en elle, c’est elle qui va bouger sur vos doigts maintenant. »
Je lui obéis et regarde Maryse faisant bouger ses hanches sur mes doigts. La vue de son sexe venant engloutir mes deux doigts était extraordinaire. Son sexe luisant s’ouvrant sous mes doigts et tout en entendant sa respiration s’accélérer et ses gémissements devenir de plus en plus forts.
« Ressortez vos doigts pour lui caresser sa rondelle »
Je lui obéis. Alors que Maryse cesse ses mouvements, je ressortis mes doigts mouillés pour les poser dans sa raie. Je fis monter et descendre mes doigts entre ses fesses, allant de l’entrée de son vagin à la naissance de ses reins, en prenant le temps de caresser son anus qui s’humidifiait lentement. Puis j’introduisis la première phalange de mon majeur dans son fondement. Cette fois-ci, ce fut plus difficile, mais lentement, j’enfonçais mon doigt en elle. Puis, après l’avoir gardé ainsi quelques instants, je repris ma pénétration pour explorer entièrement du doigt ce petit trou. Je refis tourner mon doigt en elle, caressant ses parois internes.
« Bouffez-lui le cul et la chatte. »
René usait de vulgarité, et cela l’excitait. Maryse était dans le même état, gémissante sans discontinuité. Je me baissai pour venir déposer ma langue sur ses fesses, arrivant sur sa raie, descendant sur son anus. Elle gémit lorsque je retirai mon doigt pour pouvoir embrasser son petit anneau. Mes lèvres contre son anus, je dardai ma langue pour obéir à son mari. Jamais, je n’avais aventuré ma langue dans un tel endroit. L’excitation du moment avait totalement fait tomber mes barrières et j’étais maintenant en train de rouler une pelle au fondement d’une dame, encouragé par ses gémissements et les mots de son propre mari.
Je sentis une main sur mon sexe. René s’était levé et s’était approché de nous, nu et dressé. Il prit ma queue d’une main et de l’autre tenait sa queue. Je me retirai des fesses de Madame et regardais nos queues proches. Il avait en effet une plus grande bite que la mienne. J’avais envie de la goûter. Mais, il me demanda un peu d’espace. Je m’éloignai donc pour le voir se mettre en position pour planter son dard entre les fesses de Maryse.
Elle le regardait avec amour « Viens en moi mon chéri » Dit-elle d’une voie langoureuse. Il la pénétra lentement et entièrement, ses mains tenant fermement les larges hanches de sa femme. Je les regardai faire l’amour.
Puis assez rapidement, René lâcha un « merde, encore ». Il débandait.
-« Attendez » Dis-je en passant sous Maryse. J’avais la tête entre ses cuisses avec une vue imprenable sur sa chatte rouge et luisante, sur les bourses de René et sa queue entrée dans le cul de sa femme. Je pris ses bourses en main et commençai à les malaxer tout en déposant mes lèvres sur les cuisses de René.
« Merci » entendis-je alors que je voyais sa queue regrossir en Maryse. Je levai ma tête pour lécher les bourses alors que les vas et vient de René reprirent ainsi que les gémissements à l’unisson du couple. Je restai ainsi à lécher les testicules, puis ayant vu que mon approche plaisait, je tendis une main entre les fesses de René et l’autre vers les seins de Maryse qui se frottaient contre mon corps. Je pris un de ses tétons entre mes doigts et tirais dessus. Elle lâcha un petit cri et puis baissa ta tête entre mes cuisses, gobant mon sexe dressé.
Un doigt vint caresser l’anus de René, qui accepta cet attouchement en écartant ses cuisses, m’aidant à atteindre son petit trou. Avec surprise, je m’aperçus que mon doigt s’enfoncer facilement dans les entrailles du mari. Je pus ainsi sentir sa jouissance quand il déchargea sa semence entre les fesses de sa chère et tendre femme. Il s’éloigna de la croupe pour s’allonger sur le lit près de sa femme qui laissa ma queue pour embrasser son mari.
J’avais une superbe vue sur l’anus vibrant et duquel le sperme commençait à couler. Du bout du doigt, je pris de tartiner de semence les fesses de Maryse tout en dirigeant mes doigts vers sa vulve. Je la sentis réceptive à mes caresses car très vite, ses mouvements du bassin reprirent. Elle n’avait pas eu son compte.
René me demanda alors de la prendre en levrette. Je me dégageai d’elle, non sans avoir flatté ses superbes seins pendants et me mis en position, debout devant l’entrée de son vagin. Je guidai mon sexe entre ses lèvres rougis. Je la taquinai du bout du gland avant de la pénétrer sans ménagement, assouvissant un plaisir longuement attendu.
Je pris beaucoup moins de précaution dans mes va-et-vient et bientôt la chambre se remplit des bruits de chocs de la chair humide contre la chair humide. Maryse gémissait, ses cris étouffés par la bouche de son mari qui l’embrassait toujours. Soudain, elle se dégagea des lèvres de René, pour crier sa jouissance. Je continuais à la ramoner alors qu’elle posait sa tête contre le matelas, subissant mes assauts. René posa sa main sur le sexe de sa femme, caressant son clitoris. Je sentis sa main la stimuler et en même temps appuyer pour sentir ma queue en elle.
Elle jouit une seconde fois mais beaucoup plus fortement, en criant, déversant en un jet puissant un liquide chaud sur moi. Je la suivis dans la jouissance, excité par ce jet d’une femme fontaine. Je m’allongeai près d’eux. Tous exténués et emplit de satisfaction.
Je m’éloignai, les laissant un peu d’intimité et les quittai.
(A suivre ?)