LES AVENTURES SEXUELLES DÉBRIDÉES DE PATRICK.
Je fais la connaissance de Christine, la mère d’Emilie.
Pendant les mois qui suivirent, je les rejoignais souvent dans leur studio ou bien elles venaient le week-end car après avoir goûté à ma queue elles ne pouvaient plus s’en passer.
Aux vacances de Noël, Emilie veut me présenter à ses parents mais son père Pierre, représentant de commerce, ne sera pas là avant quelques jours.
Emilie et venue me chercher à la gare et nous arrivons chez ses parents.
Elle me présente à sa mère Christine, une très belle femme:
– Maman, je te présente Patrick, c’est avec lui que je veux vivre.
Christine me serre la main en me dévisageant d’un air assez austère avant de dire brutalement :
— Alors c’est toi que ma fille a choisi pour faire sa vie. Je te souhaite la bienvenue sous notre toit !
Nous nous installons puis nous retrouvons au salon pour faire plus ample connaissance.
Je prends la parole et flatte un peu ma future belle-mère en pensant vraiment à ce que je dis :
— Vous êtes très belle Christine, vous passeriez sans problème pour la grande sur d’Emilie à part peut-être la différence de taille. Vous êtes beaucoup plus grande !
Christine me remercie du compliment :
– Merci Patrick, pour te mettre à l’aise je veux que tu me tutoies.
Et comme pour sceller mon entrée dans la famille, elle s’approche de moi et m’embrasse sur la joue pour la première fois.
Je lui rends sa bise mais m’attarde peut-être un peu trop, elle essaie de tourner la tête et nos bouches se frôlent.
Le contact de nos lèvres lui fait de l’effet car elle rougit légèrement en murmurant :
– Oh qu’est ce qui m’arrive ? Je me sens toute drôle.
Elle s’affale sur le divan, le regard un peu dans le vague. Je m’approche d’elle inquiet.
-Ça ne va pas Christine ?
— Je me sens toute chose, tu peux m’aider à me relever ? dit-elle en me tendant ses bras.
Elle pose ses mains sur mes épaules et je passe mes bras autour de sa taille pour la remettre debout, nos visages se frôlent et nos lèvres se touchent à nouveau mais au lieu de s’y opposer, elle s’accroche encore plus fort à moi passant du baiser chaste de tout à l’heure à un bouche-à-bouche sans équivoque avant de réaliser ce qu’elle est en train de faire.
Elle me repousse horrifiée en regardant sa fille :
— Oh mon…! Je suis désolée Emilie. Je ne sais pas ce qui m’a pris!
– Non, maman, il n’y a rien d’anormal que tu réagisses comme ça et tu n’as pas à être désolée non plus. Je suis sûre que Patrick te fais envie, il fait cet effet à toutes les femmes qu’il approche d’un peu trop près. Il ferait tourner la tête à une bonne sur!
— Et tu acceptes ça sans broncher ? Je te mentirais si je te disais le contraire mais tu as raison, je n’ai jamais ressenti avec un homme un tel pouvoir de séduction. Mais comment peux-tu te réjouir de devoir être en concurrence permanente avec toutes les Nymphos de la planète ?
— J’ai toute confiance en Patrick mais je te ferai des confidences plus tard !
Pour un premier contact, je peux dire qu’il a été assez « chaud » avec ma future belle-mère.
Le soir venu, Emilie fait des confidences à Patrick quand ils se retrouvent seuls dans la chambre.
J’ai bien vu que maman avait un comportement bizarre, elle a fini par me dire cet après-midi que papa la trompe depuis de nombreuses années et qu’elle ne le supporte plus. Que c’était un coureur qui saute tout ce qui passe à portée de sa queue. Elle m’a enfin avoué ce dont je me doutais depuis quelques temps :
— Je me suis vengée avec la 1ère queue sur patte qui passait et ça a suffit pour que je me retrouve enceinte de toi, je suis une mère indigne!
— Non, maman, tu voulais vivre ! Connaître le grand frisson. Tu ne l’as pas trouvé mais je crois que moi si !
Elle m’a fixée les yeux dans les yeux en m’affirmant :
— Non, j’ai peur que tu te fasses des illusions, comme la plupart des hommes, il ne pense qu’à son plaisir et se lassera un jour de toi !
— Contrairement à ce que tu crois, je sais déjà quel homme et amant il est, il est très spécial et j’espère que tu t’en rendras rapidement compte, laisse-lui le temps de te le prouver maman!
— Je veux bien te croire mais je ne promets rien, combien de couples ne restent ensemble que par habitude sans amour comme ton père et moi!
Patrick me fait remarquer :
— On dirait que ta mère m’a accepté mais elle doit être sevrée de sexe, j’ai bien crû qu’elle allait me sauter dessus.
— Oui je sais que ma mère recherche toujours le mâle de ses rêves mais ce soir préoccupe-toi plutôt de moi !
Il s’approche du lit, me tournant le dos et se retourne.
-Allez, viens t’étendre.
Je retire mon tee-shirt et ma jupe et me jette sur le lit jouant la dévergondée, je cambre mon dos en m’appuyant sur les coudes, faisant saillir ma poitrine de manière provocante. La position ne le laisse pas de marbre, il s’est agenouillé entre mes jambes et a ouvert son pantalon pour mettre à l’air son service 3 pièces.
Je peux contrôler son état d’excitation en regardant d’un il d’experte la croissance exponentielle de sa verge qu’il branle rapidement jusqu’à sa complète érection.
Il se penche encore plus, passe ses mains dans mon dos, et s’attaque à mon soutif. Il essaie de crocheter la fermeture mais n’y arrive pas, il maugréé, reluquant la dentelle de mon soutien gorge qui ne peut dissimuler mes tétons qui durcissent sous le tissu transparent.
Je reste stoïque, le regardant agir ne voulant pas le déconcentrer. Son regard est perdu dans sa concentration.
— Putain, j’y arrive pas.
— Attends, je vais le faire.
Je libère ma poitrine et il me dit d’une voix enjoué :
— Tes tétons pointent comme ma bite mais elle cherche un havre plus chaud et humide !
Je n’essaie même pas de formuler une réponse intelligente, savourant d’avance mon plaisir.
Ses mains malaxent la peau tendre de mon arrière train avec force.
L’une d’elles quitte ma fesse droite et s’attaque férocement au string, tirant sur la ficelle qui scinde mon cul en deux, le tissu tendu exerce une pression contre mon pubis en épousant de plus en plus ma moule.
Mais le tissu résistant ne cède pas. Patrick relève mes jambes à la verticale et les posent sur ses épaules. Une fois les mains libres, il caresse mes cuisses puis mes fesses, leur donnant des claques, comme on flatte un cheval sur la croupe avant de le monter.
Une main s’égare dans mon entrejambe et se glisse sous le string récalcitrant.
Sa tête vient la seconder sur ma chatte et entreprend d’endiguer à grands coups de langue le début d’inondation qui risque de tremper les draps.
Le nez dans ma fente, il lape comme un petit chien. Je suis incapable de me retenir sous ses coups de langues, mes mains dans ses cheveux pendant que je grimace de plaisir.
J’emprisonne sa tête entre mes cuisses sous la violence de l’orgasme et hurle à pleins poumons :
— OUIIII…AAAHHHH…OH mon Dieu, ooouuuiii ! JE JOUIIIIISSSS ! Ah que c’est bon !!!
Il me faut un bon moment avant de réaliser que j’ai toujours les jambes qui ne veulent plus libérer l’outil de mes tourments. Je délivre sa tête de la fourche de mes cuisses.
Ayant fini de me dévorer la moule, il se redresse et remonte mon string à la hauteur de mes genoux, tout en guidant de sa main sa queue vers mon antre dégoulinante.
Sans difficulté aucune, son sexe se retrouve au fond de ma cavité. Après quelques secondes, il se retire en entier et recommence.
Ses lents et puissants coups de reins m’amènent toujours plus haut vers le Nirvana, plus rien d’autre ne compte autour de moi.
Un coup de butoir particulièrement violent me fait redescendre sur terre.
Je suis toute trempée, des perles de sueur ruissèlent du haut de mes seins et se rejoignent dans le creux de la vallée qui les sépare.
Ses mains empoignent avec force ma poitrine ferme, pétrissant mes seins douloureusement.
Il me possède, je suis sa chose. Tel un métronome, ses coups de bite dans ma chatte rythment mon existence. Mes yeux suivent le mouvement, je les ouvre quand il se retire après chaque coup au fond de ma matrice et les referme à chaque fois que son gland vient abouter sur le col de mon utérus.
De temps en temps, mon regard croise le sien :
– OH Patrick, je n’en peux plus, je n’arrête pas de jouir, remplis-moi de ton sperme !
Et je recommence à hurler comme une louve.
Mais il n’en a cure et continue inlassablement son travail de sape avant d’enfin me murmurer :
— J’y suis presque Emilie, encore un peu de patience, je sais que tu le peux et que tu le veux.
Il reprend son pilonnage mais je suis si hystérique que je trace dans son dos des sillons sanglants avec mes ongles quand mon corps convulse sous des spasmes interminables:
— Oh, je n’arrête plus de jouiiirrrr ! Aaaahhhh ! Enfin tu me remplis, que c’est boooonnnn !
Il vient enfin de lâcher sa première salve.
— MON DIEU OUI, OOOOOOOHHH OUIII JE JOUIIISSS !
Il continue à se vider en moi tout en continuant à me pistonner avant de s’écrouler sur moi et de m’embrasser :
— Oh Emilie, il n’y a qu’avec toi que je ressens une telle plénitude après l’amour mais que va penser ta mère ? Si la maison n’était pas si isolée, tu aurais réveillé tous les voisins !
-Ne t’inquiète-pas, j’ai un projet pour elle et je pense qu’elle n’a aucun doute sur ce que nous faisons et c’est ce que je voulais. D’ailleurs tu ne l’as peut-être pas remarqué, mais à un certain moment, j’ai vu la porte de la chambre se refermer. Je veux m’endormir avec ta queue toujours en moi.
-A vos ordres, maîtresse !
Le lendemain matin, je ne peux résister à l’envie de connaître à nouveau le plaisir et réveille avec mes muscles intimes la jauge de Patrick toujours en moi.
Sa virilité sans faille à tôt fait d’être de nouveau au top et j’en profite sans masquer ma joie, attendant ma première dose de semence matinale.
-Baise-moi ! Je veux que ton soc laboure ma chatte, défonce moi… Oh oui !
Nos corps claquent à chacune de ses poussées. Si maman n’est pas encore réveillée, les cris que je pousse ont du le faire !
Finalement, un jet puissant met fin à cette instant irréel. Son liquide d’amour inonde ma chatte, arrosant mon intimité encore souillée des débordements de la veille.
Quand il a fini de se vider, il retire sa bite fichée en mon ventre lentement, il se lève et va prendre une douche. Comme à son habitude, il lui faut quelques minutes avant que sa verge ne perde lentement mais sûrement de sa fermeté, signant la fin du premier round.
Une fois douchée moi-aussi, je vais le retrouver dans la chambre et lui explique mon plan :
— Comme je te l’ai dis cette nuit, je veux que maman retrouve la joie de vivre. Tu t’es bien rendu-compte de l’effet que tu produis sur elle et comme je sais que tu ne dis jamais non à une femme en manque de sexe, il faut que tu la séduises.
— …Quoi, qu’est-ce que tu racontes ?
— Patrick, je te partage déjà avec toutes les femmes de ta famille, pourquoi ma mère n’en profiterait-elle pas elle aussi ? Ecoute, voilà ce que je te propose
A suivre