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un soir d'été, ma belle fille – Chapitre 2




Je passe la journée à la fois en colère que ma belle-fille est pu me faire ce coup là, honteux davoir trompé ma femme avec sa propre fille qui plus est et frustré car je navais pas eu dorgasme de la sorte depuis des années et je minterrogeais sur mon équilibre psychologique.

Les jours qui suivirent javais mis des distances avec Eline voulant marquer mon désaccord même si je dois bien lavoué son corps mattirait de plus en plus.

Je retrouvais souvent ses strings quelle laissait dans la salle de bain et me surprenais à les porter à mon nez pour sentir son intimité. Cette petite menvahissait lesprit de plus en plus mais jarrivai néanmoins à garder la distance.

2 semaines plus tard, ma femme Emilie devait partir pour affaire en Chine pour un salon international lié au textile, jallais donc être seul avec Eline et le petit.

Le premier soir se passa très bien, nous sommes allés au cinéma puis retour pour 10h30 car le petit avait classe le lendemain.

Pendant que je suis dans la salle de bain et après avoir couché le petit, on frappe à la porte de celle-ci, jenfile un peignoir et demande dentrée. Cest Eline qui dune voix honteuse me dit quelle a un gros problème et que je suis le seul à pouvoir laider.

Je la suis dans sa chambre et lui demande quel est son problème.

Elle me répond quelle a emprunté le mac (ordinateur) de sa mère et quelle a voulu recharger son iphone dessus mais quune application cest ouverte et a télé-chargé toutes les photos de son iphone sur lordinateur.

La dessus je lui dis que ce nest pas grave que sa mère les retirera à son retour et je me lève pour retourner dans la salle de bain. Là elle me saisit le bras et me dit à voix basse quil ne faut surtout pas que sa mère voit les photos car elle pourrait avoir une attaque.

La dessus elle me répond quelle a fait des photos coquines. Je pouvais lire la peur sur son visage et elle me supplia de laider.

A cela je réponds : ok Eline ce logiciel est simple mais je vais devoir afficher chaque photo pour leffacer, tu es consciente de ça ? oui daccord mais je ten supplie ne me juge pas cétait juste un délire et la je vois une larme qui coule sur sa joue, je lui essuie et la rassure car jai fait moi aussi des conneries à son age.

Je saisis lordinateur et lance le programme photo ou sétaient télé-chargées toutes les nouvelles photos.

Et là, mon cur sarrête de battre, je vois ma belle fille, celle que je désirai tant et avec qui javais eu cette aventure bizarre, complètement nue dans une posture suggestive en noir et blanc dans laquelle le corps est mis en lumière et ou je devine les grandes lèvres de celle-ci.

Devant mon regard médusé elle minterroge et me demande pardon, la dessus je lui dis : tu sais Eline, je veux bien retirer ces photos de cet ordinateur mais tu devrais les garder elles sont très belles et cest vraiment de lart.

Je comprends mais ce qui est érotique au départ a basculé et là je fais défiler les autres photos et me rends compte quEline est en train de se caresser devant son photographe et plus je fais défiler les photos et plus ça devient chaud, excitant et pornographique.

Je reste scotché complètement lorsque je vois Eline un sexe en bouche avec une langue qui suce cette belle bite et là sen men rendre compte jai une érection comme jamais ma belle fille sen aperçoit et me souligne que ces photos ne me sont pas indifférentes.

JE lui explique quelles sont très belles et que je ne limaginais pas capable de faire des choses pareilles à son âge. Alors que je termine à peine de dire ça je vois une photo sur laquelle elle chevauche son partenaire et me rends compte que celui-ci a au moins 20 ans de plus quelle.

Et là, elle me déballe tout, que depuis la nuit ou je lai prise pour sa mère elle a compris quun garçon de son âge ne ui donnerait jamais autant de plaisir quun homme mur que lorsque quelle a vu cet homme qui tient un magasin de photo il lui faisait penser à moi.

Elle pleure de plus en plus en sexcusant et en me disant quelle a honte pour sa mère mais quelle ne contrôle pas ses envies, quelle se masturbe tous les jours en pensant à moi.

Elle me dit et moi jai la tête baissée et je vois ses pieds magnifiques, jai le réflexe de les prendre et de les masser un peu. La dessus je lui explique quon ne peut pas faire de bêtise et lodeur de ses pieds comme une effluve monte jusquà mes narines. Ses pieds sentent très bons avec cette légère macération de la journée dans des ballerines trop sérrées.

La dessus mon érection est plus grosse et sort de mon peignoir, elle le voit et me demande de la ranger car elle en a trop envie et que cest une torture et je lui réponds que je ne peux rien faire pour contrôler ça.

Je porte ses pieds à ma bouche pour leur faire un petit bisou avant de partir et elle me demande de rester puis elle tend sa main vers mes couilles et les effleure du bout des doigts. Sen est trop je remonte directe jusquà son short que je déboutonne et lui retire tout en même temps. Elle se retrouve en tee shirt, les jambes écartées et le sexe lisse et luisant de mouille. Elle respire rapidement, se redresse et retire le nud de ma ceinture pour ouvrir mon peignoir. Tout en glissant sa main sur mon torse pour mallonger, elle glisse un doigt entre ses lèvres pour y recueillir de sa semence et la porte à ma bouche.

Je me surprends à penser quelle a le même goût que sa mère et là me voyant dans linterrogation me dit : « personne, ne saura jamais lamour que nous avons lun pour lautre et je ne ferai jamais aucune histoire mais je ten supplie vivons à fond ce moment".

Cette petite me surprend par son aplomb et la elle baisse sa tête vers mon sexe et glisse sa langue de mes testicules jusquà mon gland, jai cru que jallais exploser. Ensuite elle a entamé une fellation comme je nen ai jamais eu et je peux dire quà ce moment elle me suçait avec beaucoup damour plus que dexcitation.

Pendant ce temps ayant abandonné toute forme de lute je tends ma main et lui caresse la vulve et chatouillant son clitoris. La scène est surréaliste, ma belle fille me suce et moi je la doigte et tous les deux nous gémissons devant cet interdit .

Après un long moment ou elle a joui au moins deux fois et moi me suis retenu au moins trois, je la pousse sur le lit, lui écarte les jambes, elle ferme les yeux et moi je lui demande des les ouvrir, puis je lui plonge mon sexe dardé à mort au fond du vagin lui arrachant un cri strident à peine retenu car elle ne voulait pas réveiller son frère et surtout que lon soit dérangé.

Jai joui en elle 3 fois cette nuit là et nous sommes fait lamour comme deux amoureux.

Au petit matin, je me suis réveillé pour moccuper de son frère.

Lorsque je suis revenu de lécole, elle était encore là dans la cuisine à déjeuner.

Tu ne pars pas à lécole ? non je commence quà 11 heures et toi ? je devais faire de ladministratif ce matin. Devais ? oui avant je voudrai te faire lamour avec toutes tes odeurs et jai très envie de te faire découvrir lamour anal, tu las déjà fait ? non tu vas prendre ma virginité de ce côté et cela me fait très plaisir.

Elle se lève, essuie ses lèvres et me demande si jaime labricot et je réponds oui et la elle membrasse et je sens le goût de la confiture dabricot.

Je la prends dans mes bras (comme elle est légère) je la mets sur le lit à plat ventre, la déshabille et lui lèche le sexe pendant au moins 10 bonnes minutes en faisant attention de ne pas la faire jouir. Une fois bien excité, je prends avec mes doigts beaucoup de mouille et le dépose sur son anus. Je saisis mon sexe tendu et gonflé denvie puis le présente doucement au bord de lanus. Jenfonce celui-ci un peu et le ressors pour encore plus lubrifier son cul avec de la salive et de sa mouille puis je rentre très doucement dans ses entrailles.

Je vois à la grimace quelle a sur le visage quelle a mal et lui demande si elle veut que jarrête. Elle me dit que non et que si jaime ça elle apprendra à aimer aussi. Je lui laisse alors le temps de shabituer à mon sexe et commence à la limer doucement.

Tout à coup elle me regarde et me dit quelle na plus mal et quelle commence à apprécier. La dessus jaccélère et elle commence à jouir sans retenu, jaime comme elle jouit fort, aigue. Je lui caresse à peine le clitoris et là elle explose très fort et un jet de cyprine gicle sur le lit et moi je jouis plusieurs jets dans son cul exceptionnel de beauté.

Je me retire, elle est en panique et me dit quelle sest pissée dessus, la dessus je la réconforte et lui explique quelle est une femme fontaine et que cest normal.

Elle me prend dans ses bras et me dit quelle maime et me remercie pour tout, quelle ne me fera aucun mal, jamais et que sa mère ne se doutera de rien.

Je lembrasse et je pars au travail.

Cette petite a eu ce quelle voulait moi je culpabilise à mort pour sa mère mais je sais que je suis devenu accroc à ce corps parfait qui demande à être éduqué.

Bientôt je vous raconterai comment jai dépucelé sa cousine

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