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Itinéraire d'un voyeur – Chapitre 7




Un conseil avant de lire ce chapitre lisez les précédents car il m’a fallu du temps avant de poster cet ultime chapitre de la première partie de mes souvenirs.

Dernier Chapitre : un final à plusieurs que du bonheur !

Le lendemain matin, je me levais l’âme en peine. A l’inverse de ma tante qui semblait radieuse. Lorsque je descendis à la cuisine pour le petit-déjeuner je ne pus m’empêcher de la contempler un long moment.

Elle portait une petite jupe en accordéon blanche qui ne dépassait pas la moitié de ses cuisses avec un petit haut en lin blanc à bretelles. Ses cheveux n’était pas coiffés. Et sans ses lunettes ni maquillage, elle paraissait plus jeune. Elle était vraiment désirable .

L’absence de soutien-gorge renforçait d’ailleurs l’envie de la caresser.

Lorsqu’elle me vit, elle se retourna et se cambra pour ramasser un torchon par terre. J’eus une vue dégagée sur son string blanc et surtout sur ses fesses relativement fines et surtout fermes pour son âge.

Puis, elle se dirigea vers moi et m’embrassa sur le front. Je m’enivrai de son parfum et frôlai avec mon bras gauche « par inadvertance »  son opulente poitrine .   

Mais je fut vite remis face à la réalité, lorsqu’elle m’annonça que mon père avait téléphoné pour confirmer qu’il venait bien me chercher à 19h ce jour.

Par la suite en prenant ma collation, Catherine m’expliqua que Bernard était parti surfer tôt ce matin. Qu’elle devait le rejoindre dans une petite heure sur le spot qui se trouvait proche de la plage naturiste. Elle accentua l’intonation de sa voix avec un sourire en coin et un petit regard coquin sur ce dernier point.

Mon petit-déjeuné se passait plutôt bien puisque je me retrouvais seule avec ma Tante. Ce que je préférais par dessus tout. Elle, elle s’affairait à la vaisselle.

Avec cette petite jupe légère, je voyais son bassin bouger au rythme des coups d’ éponges. Comme c’était bon de la voir comme ça.

Très rapidement, je sentis le désir d’en avoir plus. Je voulais tellement la toucher.

Aussi, après une forte respiration je me levai précipitamment pour aller directement poser mes mains sur ses fesses.

Elle fit mine de rien et continua sa  tâche ménagère.

Prenant son manque de réaction pour un accord, j’accentuai mes gestes en massant littéralement sa croupe. Puis, je l’enlaçai et montai mes mains jusqu’au niveau de sa poitrine. Je sortis ses deux seins de leur écrin de tissus et les agrippait fermement.

« humm, dit donc ! Que fais tu coquin ?. C’est bon…  Je vois que tu as bien retenu la leçon d’hier après-midi. Tu te débrouilles bien…N’arrêtes pas mon chou. »

J’obéissais alors à sa demande. et tout en replaçant mon sexe déjà bandé dans mon caleçon, je me collais à elle.

je caressais délicatement les extrémités bien pointues de ses globes majestueux en même temps que je frottais ma verge bien calée en ses fesses.

« oh la la Tu es déjà au garde à vous ! retires ce caleçon ridicule. Laisse la respirer »

Le ton de sa voix avait changé. Elle commençait à avoir du mal à articuler fort et clair.

Je sentais son trouble monter. Pour son plaisir, je m’exécutais. Pour le mien, je me remis aussitôt contre son postérieur et repris mes caresses et mes frottements.

Avec ce genre de mouvement, je me retrouvais rapidement à être branlé par le corps de Catherine. Mon sexe allait et venait de haut en bas entre son joli cul bien ferme.

Des petits gémissements commençaient à sortir de nos deux bouches. Nous étions en pleine fusion.

Plus j’accélérais, plus je sentais son corps prit de spasmes.

« Mon cur ,tu donnes beaucoup de plaisir à tata. Hum, oui j’aime sentir ta queue contre moi Dommage que tu sois si jeune, j’aurai aimé te sentir en moi Oh oui… Comme ça. Vas- y… Joues avec mes seins en même temps.. Humm oui, oui J’ai envie de voir ta queue. Je veux que tu te branles  pour moi, devant moi !!!

Sur ces derniers mots, elle se retourna et me poussa violemment vers une chaise.

Une fois assis, elle me redemanda de me caresser devant elle.

Je pris alors mon sexe à pleine main et commençais mes va et vient. Ma verge était bien dure et bien rouge. le fait de me donner du plaisir devant elle m’excitait davantage.

Elle se posa alors contre le plan de travail. Elle retira sa jupe et fit glisser son string.

Je me retrouvais assis devant ma tante, la bite à la main entrain de me branler tout en contemplant sa belle poitrine en forme de poire et encore bien tenue ainsi que sa délicieuse chatte bien taillée,

ruisselante de mouille.

Elle y glissa deux doigts. Puis elle se cala sur le rythme de mes mouvements pour sa masturbation vaginale.

Quand j’accélérais, elle accélérait. Quand je ralentissais elle en faisait de même.

Quel délicieux moment !

Pendant 5 bonnes minutes on était en symbiose. Sans se parler on se regardait, chacun se caressant pour l’autre. Je sentais venir la jouissance. J’avais du mal à me retenir.

Elle le vit et m’ autorisa à jouir.

Je lâchai de gros jets de spermes bien puissants venant se loger sur ses pieds.

Lors de mon éjaculation, elle accéléra elle aussi le mouvement et rentrait au maximum ses doigts en elle.

Elle poussa de grand cris de plaisir. J’avais peur qu’on l’entende de l’extérieur. Mais elle ne s’arrêtait pas et d’un coup sortit de son vagin un grand et long jet de cyprine. Ce fut si puissant que ça  m’éclaboussa le visage.

Tout d’abord j’ai eu peur que ce soit de l’urine. Mais en léchant mes lèvres je compris que ce n’était point cela. C’était amer mais bon.

Ma Tante, d’une voix douce me rassura. Elle m’expliqua que c’était naturel. Qu’on appelait ça des femmes fontaines. Et pour elle s’était très bon quand ça se produisait.

Le temps était passé vite et le plaisir nous avait transporté loin. Mais Catherine reprit ses esprit. Elle rangea sa grosse poitrine, remit son string, sa jupe et endossa ses lunettes. Elle était en retard. Elle devait partir rejoindre mon Oncle.

Je l’accompagnais sur le pas de la porte pour lui faire la bise. Mais là, elle m’ embrassa sur la bouche.

C’était la première fois que je sentais la langue d’une autre personne contre la mienne. Ce fut un long baiser langoureux qui me refit bander rapidement.

J’étais aux anges. J’étais comblé.

 

Juste avant de partir, elle m’expliqua où exactement elle avait rendez-vous. Elle me suggéra de venir les voir une fois mon sac terminé.

Elle ajouta que je ne serai pas déçus du spectacle et me fit un clin d’il.

Mon cur battait à toute vitesse. Ma tante parti je me précipitai dans ma chambre et fit mon sac très très rapidement. Trente minutes plus tard, j’étais fin prêt pour les rejoindre.

je suivais à la lettre les instructions de Catherine. Arrivée à la plage naturiste, je retirai mes vêtements pour passer inaperçu. Je scrutai les lieux pour repérer mon oncle et sa très belle femme.

Ne les voyant point, je fis comme prévu et m’engouffrai dans les dunes. Je vis l’arbre indiqué. Je m’y dirigeai lentement.

A quelques encablures de là, je voyais un certain nombre de personnes,dont la majorité d’hommes, alignées en rond.

Ma curiosité me poussa à aller voir ce qui se passait.

Je m’intercalais alors entre deux femmes d’une cinquantaine d’années.

Elles étaient toutes les deux brunes aux cheveux longs et biens bronzées. Le poids des années avait fait jouer la gravité sur leur corps. Mais malgré des rides, des fesses un peu flasques, des poitrines tombantes (mais biens fournies), leur bronzage intégral en faisait des femmes désirables.

Elles m’avaient laissé me mettre entre elles. Je les remerciai par un large sourire.

Les huit autres personnes étant des hommes. Comme je ne voulais pas revivre l’expérience de la veille, je les gratifiais de mon regard le plus compatissant.

Je m’attardais plus précisément sur le corps des ces deux femmes. L’absence de poils pubiens me surpris et m’excita. Cela leur faisait des minous d’adolescentes qui tranchaient nettement avec leur âge.

A côté de chacune se trouvait un homme. Elles tenaient dans leur main respective les membres bandés de leur compagnon.

 C’était deux personnes de la même génération avec des cheveux bruns, un embonpoint certain et deux queues relativement moyennes en taille mais bien dures.

Les autres, eux aussi tenaient chacun dans leur main leur sexe. Frénétiquement, tout en regardant au centre du cercle, ils se branlaient.

Qu’est ce qui les mettaient dans cet état ?

Je le compris quand moi aussi mon regard se posa sur le spectacle.

Je vis alors quatre personnes se donnant mutuellement du plaisir.

Il y avait un couple d’origine africaine d’une trentaine d’années Mais surtout mon oncle et ma tante. Ils étaient entièrement nus.

Les deux hommes agenouillés côte à côte recevaient de part leur conjointe respective une fellation appliquée et gourmande.

De ma place, je ne voyais que les fesses des femmes. Le joli cul musclé de Catherine tranchait avec le postérieur plus rebondis et volumineux de la demoiselle noire.

En ce qui concerne les hommes, je distinguais clairement à chacun leurs rangés d’abdominaux et les muscles saillants.

 Les deux planches de surf  me firent comprendre que c’étaient des compagnons de vagues.

J’eus naturellement un geste de recul. Mais les deux femmes  m’en empêchèrent tout en me souriant et en continuant la branlette des sexes de leur mari.

Bernard me vit.

Il me sourit également tout en prenant la tête de ma tante pour l’enfoncer bien profondément sur sa verge.

J’étais stupéfait par la situation. Mais je sentais aussi le désir monter en moi. Je commençais à bander.

Catherine et l’autre femme, après s’être embrassées langoureusement, échangèrent leur place. A ce moment là, je vis au combien le black était impressionnant.

Cheveux rasés, il semblait mesurer au moins 1m90. Il était bien musclé et élancé.

Ce qui me frappa le plus ce fut la taille de son sexe. Je n’avais jamais vu une bite aussi grande et grosse. On aurait dit un serpent. Elle devait frôler les 30 centimètres facile !

Ma tante avait du mal à le mettre en bouche. Mais tout en s’appliquant, elle gobait son gros gland et caressait de ses mains les deux grosses couilles bien foncées et dépourvues de poils de son amant du jour.

Mon oncle, lui, allongea la belle demoiselle et commença à l’embrasser sur tout le long du corps. Elle était belle. Ses cheveux noirs étaient coiffés à la "Jackson five". Elle avait une corpulence plus importante que ma tante.

Toute en rondeur, elle pouvait se vanter d’avoir une paire de seins bien ronde et imposante. Ses tétons foncés et dressés finissaient des auréoles prépondérantes et tout aussi noires que sa peau.

Bernard descendit en dessous de son ventre arrondi et glissa sa tête entre ses cuisses.

La couleur rose de l’intérieur de sa vulve tranchait avec la couleur de sa peau et me fit bander davantage.

Une des femmes à côté de moi prit alors la parole.

"regarde mon petit, comme elle est belle ! Elle est enceinte. Comme c’est beau."   

En y regardant de plus près, je remarquai que son ventre généreux et bien rond cachait un événement heureux futur.

j’en pouvais plus. Mon sexe me faisait mal tellement il était dur. Et, comme les autres je commençais à me caresser.

L’une des dames spectatrices s’agenouilla et suça la petite queue de son mari.

L’autre continuait à caresser la verge de son homme tout en le laissant lui aussi la toucher.

Le reste des spectateurs se branlaient en regardant mon oncle revêtir un préservatif et venir s’empaler dans le con bien lubrifié de sa partenaire allongée sur le sol.

Il la pénétra d’un coup. Il alla directement jusqu’au fond.

Elle poussa un grand cri mélangeant la douleur et le plaisir.

Ma tante, elle, se retourna. Nos regards se croisèrent. Elle me fit un clin d’ il. Puis, elle se positionna à quatre patte en face de moi.

Son amant pris alors son énorme pénis et le présenta aux bords des lèvres détrempées de Catherine.

Lui aussi la pénétra violemment. Il la pistonna tout en lui donnant des petites tapes sur les fesses.

Les deux femmes crièrent leur plaisir à l’unisson.

Certains voyeurs éjaculèrent devant le spectacle.

L’homme à côté de moi se déversa dans la bouche de sa femme puis l’embrassa amoureusement.

Une fois qu’elle avait tout avalé ils partirent vers la plage.

Pendant ce temps, Bernard changea de position.

Son amante vint s’asseoir sur lui ; sur son membre fièrement dressé.

Tout en faisant des allers et retours rapides, il lui mangeait littéralement ses gros seins. Un liquide blanc en sortit.

Voir mon oncle téter ce breuvage m’excita davantage. Je me caressais ardemment.

L’autre couple à côté de moi venait eux aussi de s’allonger. En 69, Madame était entrain de se faire fister par son homme tout en le suçant avec application.

Les cris, les gémissements, venaient de toute part. Ils étaient impressionnants et de plus en plus forts.

Des hommes partaient. D’autres arrivaient et commençaient à se caresser comme tout le monde.

La femme noire sous les coups de butoir de mon oncle semblait être parcourue de spasmes.

Ma tante, aux vues de son regard et de ses cris, appréciait elle aussi l’énorme membre qui la pénétrait.

Catherine venait de se redresser. Son étalon toujours derrière elle, prenait maintenant entre ses mains sa belle et grosse poitrine. Il la massait, la pétrissait. Il jouait avec les tétons ; les faisant rouler entre doigts;s’amusant également à les pincer.

Elle me regardait dans les yeux. Elle se léchait les lèvres tout en me voyant me caresser devant ce spectacle.

Son regard avec ses lunettes me perçait au plus haut point.

J’aimais la voir comme ça : prenant du plaisir et appelant le plaisir chez les autres.

Elle était en sueur, décoiffée.

Son air malicieux lui donnait un côté salope qui m’excitait de plus en plus.

De l’autre côté, mon oncle venait de se retirer de sa belle qui dans un dernier soupir venait de jouir intensément.

Il la laissa là, allonger devant tout les autres hommes.

Deux d’entre eux s’approchèrent et vinrent jouir sur son corps.

Ils furent immédiatement imiter par trois autres.

Elles était recouverte de semences et en récoltait pour l’amener à sa bouche.

Il ne restait plus que deux voyeurs, le couple allongé en 69 et moi pour profiter du spectacle qui allait venir.

En effet, mon oncle s’approcha de ma tante et l’embrassa. Puis il s’allongea et l’invita à venir sur lui.

Ma Tante se retira de l’étreinte du black et s’empala sans mal sur Bernard.

Les va et vient recommencèrent.

l’autre, avec son énorme queue à la main vint se placer derrière elle. Il prépara délicatement le petit trou de ma tante pour sa pénétration prochaine.

Il lui titillait l’anus. Il la pénétrait avec un doigt, puis deux, et enfin trois.

A côté de moi, bien fistée, la femme fut prise d’un orgasme et ne put se retenir. Tout en hurlant son bonheur elle fit jouir son homme par la même occasion.

Je les regardais. j’aimais bien les voir dans cet état. La femme me sourit.

Elle se releva et assista tout comme moi à la double pénétration de ma chère tata.

Catherine poussa un hurlement qui tout d’abord me fit peur. On avait l’impression qu’elle venait de se faire déchirer de l’intérieur.

Puis, ses cris de douleurs devinrent des "oui" de plaisir. Elle en avait les larmes aux yeux. Mais elle semblait jouir.

la black les avait rejoint.

Tout en se caressant les seins, elle amena sa belle chatte rasée à la bouche de ma Tante.

Cette dernière s’entreprit de la lécher,  d’aspirer le liquide, de mordiller le clitoris bien bandé.

Ma Voisine vit que j’avais de plus en plus de mal à me tenir sur mes jambes et que j’allais très certainement jouir.

Elle s’agenouilla au niveau de mon sexe et remplaça ma main par la sienne.

Je fus surpris. Mais c’était agréable.

J’étais entouré d’autres personnes entrain de se caresser. Je regardais ma tante se faire prendre en double pénétration par son mari et un étalon noir. Je la reluquais entrain de prendre du plaisir tout en léchant en même temps sa compagne de jeu.

Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps. La vieille le remarqua aussi.

C’est alors qu’elle mit mon sexe dans sa bouche et alla d’avant en arrière.

C’était la première fois que je vivais ça. C’était tout nouveau et fort agréable. Je me sentais partir. Tout en regardant ma tante jouir à son tour, j’éjaculai tout mon sperme dans la bouche qui venait de s’offrir à moi.

Elle avala tout et me parla.

"Merci mon petit, ça faisait longtemps que je n’avais pas goûter à du sperme de jeune homme. C’est un véritable nectar. J’espère que ça ta fait plaisir aussi ?"

J’aquiessai de la tête. Elle m’embrassa sur la joue et accompagné de son homme, ils repartirent vers la plage.

Mon oncle et son ami jouirent simultanément dans Catherine. Qui poussa un ultime râle sous les derniers coups de reins.

Sa copine noire se dirigea vers les deux voyeurs restant et se mit à genou la tête au niveau des deux bites.

Elle ouvrit la bouche et recueillit leur sperme. Puis elle le laissa dégouliner de sa bouche vers son ventre arrondi de femme enceinte pour l’étaler comme si c’était de la crème.

Cinq minutes après, ma tante et mon oncle se rhabillèrent, embrassèrent leurs amis et vinrent me rejoindre.

"Alors ça t’a plus petit coquin ? Me demanda mon oncle.

_ Oui beaucoup, j’espère que ça ne vous à pas choqué que je regarde.

_ Oh non, l’important c’est que tu as pris du plaisir. Rajouta ma tante.

_Oui énormément et surtout lorsque la Dame m’a sucé pensant que vous faisiez l’amour. C’était nouveau.

_ Je savais que tu aimerais. Tu sais c’est une idée de ton oncle. Je lui ai parlé de tes aventures et de tes regards sur moi.

_Et oui cher neveu, J’avais remarqué comment tu reluquais ta tante et j’ai vu aussi que tu avais pioché dans ma collection de film pornographique. J’avais envie que tu vois comment on sait s’amuser dans la famille. Je voulais que tu gardes un bon souvenir de ses vacances. Et j’espère que tu reviendras nous voir. Tu pourras peu-être participer davantage.

_Merci tata, merci tonton, je suis vraiment sur un petit nuage. Tout ce que j’ai vécu cet été restera à jamais gravé dans mon esprit.

_Surtout ne le répète à personne. Ni a ton père, ni a ta mère, ni à tes amis, A personne !" Conclua Catherine

Puis nous rentrâmes. Comme prévu mon père était là à 19h. Après un court repas et des adieux riches en émotion, je quittai mon oncle mais surtout ma tante. Avant de partir, dans la cuisine, alors que nous étions seuls, je ne pus m’empêcher de lui caresser une dernière fois sa poitrine par dessus son tee shirt blanc transparent. Elle m’embrassa sur le front et leva quelques secondes son haut pour que je puisse déposer deux baisers délicats sur chacun de ses seins Je partis avec le sexe tout dur et des images plein les yeux.

Fin

Voilà c’est la fin de mon premier été de voyeur. Je venais de pénétrer dans un monde merveilleux qui durant toute ma vie ne m’aura jamais déçu.

La suite vous la trouverez sur mon compte dans mes histoire elle s’intitule souvenir dune enfance heureuse tome2 »

Bonne lecture

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