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la mere de macherie – Chapitre 1




Donc, après cette première fois avec ma belle mère, comme ma femme travaille, j’ai tout le temps devant moi pour la baiser régulièrement, notre deuxième fois s’est déroulé chez moi dans le salon; je venais de rentrer, je l’ai trouvée toute seule assise devant la télévision, je lui demande ou est sa fille; elle me dit au boulot; alors je luis dis, kif kif, elle ou toi mais je suis revenu spécialement pour toi, tu as un grand retard à récupérer, elle me sourit et devient toute rouge, je me dirige vers ma chambre pour mettre mon jogging comme d’habitude, mais cette fois avec la bosse en plus, je reviens au salon je me mets face à elle, ma queue bien tendu: et un détail ma queue mesure 20cm et 6 de diamètre. Elle me caresse et me prend en bouche, je lui prodigue des conseils, je lui caresse la tète en la complimentant, tu le fais comme ta fille, j’aurais du te niquer il y a longtemps, question de détendre l’atmosphère, en cinq minutes je sens mon sperme monter alors je lui ouvre ses cuisses, et vraiment de belles cuisses pleines, je la lèche à la chatte, le trou du cul, elle m’avoue jamais connaître ce plaisir, je met mes doigts un après l’autre: un trou que je trouve magnifique et détendu, je lui demande sa position préférée et me répond par la levrette, je la met en levrette et la pénètre d’un seul coup, sa chatte ressemble à une grotte elle est trop spacieuse, je lui demande si je peux par derrière, elle me répond que pas tous les jours, mais j’insiste et positionne ma queue à l’entrée de son anus , et j’appuie doucement et je le sens se dilater jusqu’à la pénétration totale , je lui demande de se masturber pour bien me sentir ce qu’elle fait, je m’installe dans son anus tout en lui parlant et la complimentant, tout d’un coup je la sens bouger et je commence mes va et vient doucement pour ensuite aller plus vite et sortir carrément pour la repénétrer , je sens son anus se refermer sur ma queue, et j’ai senti qu’elle jouissait ce qui a provoqué ma jouissance pour décharger dans son trou, tout en lui promettant que la prochaine sera meilleure, que je lui achèterai des habits, elle me répond l’essentiel je suis bien chez vous la chose qui me manque le plus tu me la donnes: mais pour sa fille elle s’inquiète; je lui réponds que j’en ai pour trois même

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