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Le frotteur de ma cousine Valérie – Chapitre 1




Dans tous les petits villages, au moment des fêtes, il y a des quinzaines commerciales. Et cette année c’est ma grand-mère qui a gagné : deux places pour une journée au parc Eurodisney, départ et retour en car. Nous sommes trois petits enfants en âge d’en profiter selon elle, et c’est naturellement qu’elle a acheté une troisième place. Et c’est ainsi qu’au printemps nous nous retrouvons le vendredi soir chez ma grand-mère, avec mon petit frère et ma cousine, Valérie, de six mois ma cadette.

Valérie est une grande blonde 1.7m, avec des yeux très bleus et une jolie bouche pulpeuse. Elle est jolie mais très coincée : jamais maquillée, je ne connais même pas la forme de son corps ses vêtements ne permettent pas de le deviner.

Le soir venu, une fois le dîner passé, chacun regagne sa chambre, le départ doit se faire vers cinq heures du matin et si on veut profiter de notre journée il faut se reposer.

Vers 11 heures je descends aux toilettes, qui sont occupées. Je m’assieds dans le couloir sur un fauteuil et patiente. Ce couloir est juste éclairé par une lampe posée sur un guéridon juste en face de moi.

Après quelques minutes le loquet se déverrouille et la porte s’ouvre je vois Valérie sortir. Elle porte un pantalon blanc très ample et un t-shirt qu’il l’est au moins autant. Elle est dans les vapes et me distingue à peine. Je la salue, amusé de son endormissement. Elle s’arrête juste en face le guéridon, et pour la première fois je distingue son corps en ombre chinoise sous le peu d’étoffe qui la recouvre.

Elle est de profil. Ses seins sont beaux, ronds, lourds, en poire ils tiennent parfaitement et je distingue même le long du tissu un téton court mais volumineux. Ses fesses : elles sont hautes et rondes superbes ! Son ventre est plat et je devine même le renflement de son mont de Vénus et le poil qui l’orne…

— Eh bien le réveil n’est pas facile !!?

— Hummm.

Elle émet un son qui ne doit pas être un mot, et se tourne pour me faire face. Je vois maintenant le galbe de ses cuisses que je parcours du regard du bas en haut : quel émoi !

Je vois les contours de son sexe ! Je vois nettement ses lèvres se joindre en un léger « bourrelet », un tout léger duvet me laisse tout le loisir de l’admirer : je bande !

— Tu fais quoi ici en pleine nuit ?

— Eh bien comme toi je vais aux toilettes, mais j’ai dû attendre.

— Désolée…

— Ce n’est rien, crois-moi ce n’est rien, cela ne me gêne pas.

— Eh bien la place est libre maintenant…

— OK bonne nuit.

J’attends qu’elle se retourne pour me lever afin qu’elle ne voie pas l’état de ma queue qui déforme mon pyjama. Je redresse, me dirige vers les toilettes.

— A quelle heure on se lève au fait ?

Je me retourne et lui réponds « quatre heures ».

Je vois ses yeux s’écarquiller. Aucun doute possible elle vient de voir mon érection sous mon pantalon que je n’ai pas pensé à cacher mieux que cela. Je me retourne vite faite.

— Tu viendras me réveiller s’il te plaît, je ne suis pas sûre d’entendre le réveil ?

— Oui bien sûr.

Elle regarde une dernière fois mon bassin que j’ai mieux dissimulé, puis elle remonte.

Une fois recouché dans mon lit, je revois tous les souvenirs que j’ai de son corps ! En obsédé que je suis mon cerveau a pris comme une photo de chaque centimètre, chaque relief que j’ai pu distinguer ou deviner. Je bande comme un âne, je ne peux pas résister et je me branle en pensant au corps de ma cousine qui dort dans la pièce à côté. Tout un tas de scénarios m’amène très rapidement à inonder de sperme le t-shirt que j’avais pris à cet effet. Puis je m’endors en pensant au corps de cette petite mégère coincée qui devrait le montrer beaucoup plus à mon goût…

quatre heures : le réveil sonne, je suis fatigué j’émerge doucement : où suis-je ? Pourquoi si tôt ? OK mes idées se remettent en place. J’entends le réveil de Valérie sonner dans la pièce voisine, puis je l’entends s’arrêter. Je me lève et je vais vérifier qu’elle est bien réveillée.

Je passe la tête par l’ouverture de la porte, ce qui apporte un léger halo de lumière.

— Valérie ! Valérie !

Pas de réponse. J’entre. Elle est sur le dos les bras relevés au-dessus de la tête, complètement découverte, la couette est à ses pieds. Je m’approche et je vois le t-shirt remonté jusqu’à la naissance de ses seins, je vois même très nettement un téton sortir, il est planté au milieu d’une large aréole rose. Je la regarde et cette garce me fait encore bander.

— Valérie ! Il est l’heure d’aller voir Mickey !

Elle ronchonne et se tourne sur le côté, en chien de fusil, elle me laisse voir la forme de son cul qui est magnifique ! Ma queue est raide ! Je m’approche de son oreille et ainsi mon gland frotte contre ses fesses, séparées par les deux tissus que nous portons respectivement.

— He cousine il est l’heure de se lever !

— J’arrive…

Pour ce « j’arrive » elle tend les bras et les jambes en avant pour s’étirer, et cela n’a pas d’autre effet que d’écraser ma bite sur sa fesse. Je me recule et descends déjeuner. L’organisation fait que nous ne nous croisons plus jusqu’au départ.

Nous attendons dehors avec mon frère, lorsqu’elle sort. Elle est vêtue d’un gros pull, d’une écharpe encore plus grosse, le tout enfermé sous une parka huilée. Un jean et une paire de Parabout… Pas sexy pour un sou !

Dans le bus, nous sommes séparés, elle avec mon frère et moi derrière avec une dame que je ne connais pas. C’est parti pour 2h30 de route. Je ne peux m’empêcher de me demander si, ce matin, cette petite séance d’exhibition n’était pas volontaire : après tout j’avais entendu son réveil quelques minutes avant de me rendre dans sa chambre sur sa demande… Je me fais sûrement des films !

Une fois arrivés sur place, l’objectif est simple faire le plus d’attraction possible. Mais nous découvrons rapidement que pour une attraction de huit minutes, il faut parfois attendre une heure !

Les files d’attente sont longues et inconfortables : on est serré pendant des heures…

Mais rapidement j’y vois un avantage certain : les attouchements ! Je croise les bras, et de la pointe du coude j’écrase de temps en tant les seins de Valérie. Je pose ma main sur la lisse et par le mouvement de mon corps l’oblige à appuyer ses fesses dessus. Je frotte aussi la bosse de ma braguette sur ses hanches… Sa passivité m’excite, m’invite même à aller plus loin.

Valérie est devenue mon attraction, et du coup, moi, je suis à huit minutes d’attente pour 1 heure d’attraction.

L’après-midi, la météo aidant elle ouvre sa Parka. Je continue, les bras croisés, à frotter ses seins. Je m’enhardis et je pose la main à plat sur son sein. Ce n’est plus du frottement : je la pelote…

Mes doigts pétrissent de manière à peine perceptible cette chair protégée par d’épaisses étoffes, mais je sens son téton sous son pull, son polo et son soutien-gorge. Par ses mouvements j’ai parfois l’impression qu’elle m’encourage. Mais il y a trop de monde autour de nous pour que je sois plus direct et je ne veux pas qu’elle m’affiche si je me méprends sur ses intentions…

Du coup pour valider ma démarche je me retourne et cherche son regard, elle est rouge écarlate, cela tranche avec sa peau blanche. Je n’arrive pas à savoir si c’est de la gêne ou de la colère… Je ne pense même pas à de l’excitation ! Elle fuit mon regard puis recule dans la file et finit par passer sous les lisses et disparaît dans la foule. Je suis conscient que mes gestes étaient déplacés, mais l’excitation m’a fait manquer de discernement.

A la fin de l’attraction, elle nous attend à la sortie tout sourire.

— Ça va Valérie ?

— Oui cela va mieux, j’avais une envie urgente que je ne pouvais plus contenir…

— J’ai cru que cela n’allait pas…

— Non pourquoi.

Elle a toujours cet air un peu cruche ou naïve, est-elle consciente de mes abus ?

Nous nous dirigeons vers l’attraction suivante. Dans la file, je me retrouve devant elle, et je croise les bras machinalement. Et j’ai l’impression que c’est elle qui se rapproche. Je sens de nouveau son sein contre ma main, mais il a changé de texture, la sensation est différente. J’ouvre ma main, elle regarde à droite puis à gauche et du coup, par ce mouvement, elle fait rouler sa poitrine contre ma main… Elle a retiré son soutien-gorge ! J’en suis presque sûr.

Je sens son téton s’ériger sous le tissu, cette fois je le pince, le malaxe. Puis un homme vient derrière elle, je la sens mal à l’aise. Je crois qu’il se frotte aussi du coup elle passe devant moi pour s’éloigner de lui et je mets mon corps en rempart pour ne pas qu’il l’approche.

Moi ma queue est dure à en faire mal. Elle recule un peu et se retrouve avec le poignet le long de ma tige. Elle a elle aussi de petits mouvements à peine perceptibles mais qui stimule mon érection. Le ciel s’assombrit et j’en profite pour donner de petits coups de reins contre son bras imitant un coït.

Le repas du soir laisse peu d’opportunités au frottement. Puis nous trouvons une place pour la parade, il fait maintenant presque nuit. Je vais aux toilettes et j’en profite pour faire passer mon sexe et mes couilles dans une jambe de caleçon pour qu’elle aussi sente mieux les reliefs de mon anatomie. Je peine mais je parviens à me faufiler derrière elle. Doucement je me rapproche, aidé par la pression du public, j’ai maintenant mon corps contre le sien. Mon sexe contre ses fesses. Elle se trémousse et se dandine sans arrêt. Sautille pour voir si la parade arrive. Si elle avait voulu me branler sans les mains c’était la meilleure des solutions.

Mon sexe me fait mal, coincé dans mon jean. Je porte mon pull devant moi et j’en profite pour essayer de replacer ma queue de manière plus confortable dans mon pantalon. Je n’y parviens pas, j’enlève donc deux boutons de la braguette pour pouvoir passer mes doigts et mieux me mettre. Elle frotte son cul contre ma main et son air innocent et surtout de ne pas y toucher ont raison de mes limites morales et je sors ma bite de mon froc. Et je lui pose contre les fesses comme si j’allais la prendre.

Je mets de petits coups de hanches ce qui fait glisser ma queue contre sa raie du cul. Un joli cul, un cul de cochonne… J’ai tellement envie de plus.

Quand d’un coup je sens un contact de peau contre mon sexe turgescent. Je baisse les yeux pour voir elle a mis sa main à plat contre ses fesses, comme une protection. Je frotte mon gland contre sa paume. Je sens de temps en temps ses doigts se crisper, comme une caresse étouffée dans l’uf. Ce jeu dure de longues minutes.

Avant que je m’en sois rendu compte, la parade s’éloigne. Je me réajuste.

Nous nous dirigeons vers le bus. Nous ne nous parlons pas, on ne se regarde même pas.

Malgré tout, je m’assoie côté fenêtre et elle vient s’assoir à côté de moi. Rapidement le chauffeur éteint les lumières et ne laisse que quelques veilleuses.

Valérie se plaint de froid et elle nous recouvre de sa parka. J’approche la main de son sein et à peine j’ai le temps de constater qu’elle a remis son soutien-gorge, qu’elle se tourne.

Position ftale face à moi. La position ne permet ni attouchement ni frottement. Elle s’endort.

Je profite de la parka pour sortir ma queue qui depuis le matin n’en finit pas de bander. Je commence même à sentir une certaine lourdeur dans mes couilles pleines. Je me branle doucement, de manière invisible et imperceptible. Elle dort… je vois son visage angélique, bouche entrouverte, délimitée par ses lèvres pulpeuses. Je ne pense à aucun moment à l’embrasser en revanche j’aimerais inonder son visage de mon foutre…

L’excitation n’est plus tenable je vais jouir. C’est le moment qu’elle choisit pour se tourner, laissant ma bite dressée à la vue de tous… même si tout le monde dort.

Elle a la même position mais dos à moi. Ses fesses sont à quelques centimètres de ma queue et son gland violet prêt à cracher son bonheur.

Je me tourne légèrement vers elle et approche ma bite de son cul. Je me branle sur son cul, je vais l’asperger de foutre. Si elle est un tout petit peu consciente elle ne peut pas ignorer mon manège. Elle se recule et tend encore plus les fesses. Juste le temps de glisser mon gland sous ses fesses entre ses cuisses et je jouis. Le plus silencieusement possible, mais avec quelques coups de boutoirs.

Elle sursaute. Je pense que l’humidité vient de traverser ses vêtements. Elle passe sa main entre ses cuisses, et ressort sa main pleine de sperme qu’elle observe dans la pénombre…

Je me redresse, me renculotte, puis finis par m’endormir moi aussi.

Arrivés à destination, tout le monde descend du bus. Retour chez notre grand-mère dans le silence.

Arrivés à la maison, on passe à tour de rôle à la salle de bain pour se mettre en pyjama et se brosser les dents. Valérie passe avant moi, puis ressort en pyjama pour aller aux toilettes.

— Allez à la salle de bain si vous voulez, j’irai me brosser les dents après.

Je m’empresse de rentrer et je ferme derrière moi. Je vois le tas de vêtements qu’elle portait aujourd’hui. L’entrejambe de son pantalon est couvert de foutre à peine séché. Je cherche sa culotte… et finis par la trouver dans la poche de son jean. Elle est marquée d’une grosse tache au niveau de son sexe. Je suis sûr qu’elle a mouillé toute la journée. Je la sens, je bande à nouveau. Je me branle à la hâte, je jouis dedans et m’essuie avec. Puis je la replace dans la poche.

Je fais ce que j’ai à faire et enfin je libère la place pour le suivant.

Aujourd’hui nous avons plus de 40 ans l’un et l’autre, nous sommes mariés, parents… Jamais nous navons parlé de cette journée. Nous habitons loin l’un de l’autre mais à chaque fois que nous nous voyons, je ne peux pas m’empêcher de me dire que j’ai joui entre ses cuisses et que j’ai souillé sa culotte. Et pour être honnête c’est avec plaisir que je recommencerais. C’est toujours une très belle femme !

Je tiens à m’excuser auprès de toutes les femmes victimes de harcèlement, d’attouchements ou de frotteurs. Beaucoup de communication est faite sur ce genre de violence. Mais je vous avoue que même si je ne pratique pas, cela m’excite malgré tout terriblement. Loin de moi l’intention de choquer ou d’indigner mais l’espace d’une journée j’ai été le frotteur de ma cousine Valérie, et j’en rêve encore…

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