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Lèche-minette au basin public – Chapitre 1




À l’approche de la saison froide, les fanatique de la natation dont je fais partie troquent la plage et les piscines extérieures pour les bains publics intérieurs. Mon nom est ?. Brune, dans la vingtaine, j’ai les yeux pers. Je mesure 5 pieds 6 pouces et pèse 125 livres. Les gars disent que j’ai un cul bandant et des boules mangeables!

Je suis une hétéro en évolution, cherchant à connaître de nouveaux feelings dans ma sexualité déjà fort active. En principe, pour y arriver, je voulais vivre ma première expérience avec une femme; et voilà comment j’y suis parvenue…

Depuis quelques semaines, Laurence, la life-guard du bain public municipal, me dérange. Elle a les cheveux blonds, yeux foncés et doit faire sûrement dans les 5 pieds 7 pouces, 130 livres. Dans son maillot mouillé, elle a une méchante belle paire de boules bien fermes et dures, probablement des 38D.

Plusieurs fois j’ai rêvé d’être à la place de son sifflet pour me laisser aller dans la douce fente, entre ses deux gros seins. Son Speedo trop serré cache à peine des fesses superbes et une minette dont j’ai de la difficulté à me détacher des yeux. Spécialement quand l’eau lui coule entre les cuisses et qu’elle s’accroupie pour venir nous parler. Je fantasme sur le fait d’être à la place de l’eau qui glisse sur ses partie intimes.

Je pense qu’elle sait que j’ai une fixation sur car je suis quelqu’un de sincère et passionnée qui ne peut cacher facilement ses sentiments.

Je suis toujours la dernière à quitter le vestiaire de la piscine. Je prend une bonne douche chaude pour enlever le chlore et relaxer. J’en profite pour me balader nue une grosse demi-heure au vestiaire; les autres filles m’observent, c’est sûr. Mais cela me plaît; ça m’excite de m’exhiber toute nue devant elles! Puis, c’est tellement beau de voir les différentes couleurs et formes de minous, les petits gestes de pudeur ou de sans pudeur…

Je sais très bien qu’une partie d’entre-elles me jettent des petits regards furtifs ou… hypocrites. J’essaie alors de bien me rappeler lesquelles car il y en a de vraiment belles.

Je rêve souvent que Laurence va venir me rejoindre à poil pour qu’on fasse quelques longueurs de piscine nues toutes les deux et qu’on se mette d’accord pour quelques longueurs de lit ensemble. Un soir, j’ai fait une femme de moi. Je lui ai avoué mon attirance pour elle, mon désir! J’ai eu bien peur de l’avoir complètement refroidie. Laurence m’a répondu qu’elle est hétéro et n’a pas ce petit penchant bisexuel comme moi. Par la suite, il n’y avait pas de froid entre nous mais elle avait l’air timide.

Certains maillots de bain sont d’une transparence fort agréable une fois détrempés. Afin de séduire Laurence, j’ai décidé de ne porter que ceux-là désormais. Puis, j’ai attendu sa réaction. Je sais, pour l’avoir vérifié chez moi, que mouillé, mon maillot laisse voir facilement mon poil pubien et la fente de mes fesses. La brassière est malheureusement trop bien doublée pour laisser voir mes mamelons.

Soit en sortant de la piscine par l’escalier, ou en m’essuyant, je faisait volontairement des flexions exagérées à la vue de Laurence, dans le but de susciter un quelconque intérêt. Je sentais qu’elle commençait à m’observer et n’était pas insensible à mes manoeuvres mais elle demeurait distante.

La semaine suivante, un soir que ses yeux m’ont accordé beaucoup plus d’attention que d’habitude, j’ai opté pour une autre carte. Au vestiaire, à la fermeture, je me suis assise à poil sur ma serviette de plage, face à la caméra de surveillance, jusqu’à ce qu’elle vienne m’informer de la fermeture. Pour augmenter mes chances de la séduire et arriver à mes buts, de temps à autre, je me caressais les seins et laissais vagabonder mes doigts de ma bouche à ma noune tout en regardant la caméra.

Tel que prévu dans ma stratégie, Laurence est venue me dire que je devais quitter les lieux, la piscine fermait et le concierge, de toute façon viendrait barrer les portes une heure plus tard.

Ce soir là, elle m’a donné un premier espoir de conquête en me disant qu’elle trouvait bien sexy le tatouage en c?ur sur mon sein gauche; elle s’est même permise une observation flatteuse sur ma chatte qu’elle disait parfaitement trime en ajoutant : il faudrait bien que je m’occupe de la mienne, ça commence à presser!

Je me suis contentée de ce progrès inattendu de Laurence et devant elle, je me suis habillée très lentement et sensuellement en lui montrant mes seins, mes fesses et ma minette le plus possible.

Quand elle m’a demandé s’il m’arrivait souvent de me caresser de cette façon là, j’ai deviné qu’elle m’avait vue sur son écran de surveillance. En lui disant qu’une bonne dose de masturbation était vitale à l’équilibre de toute personne, elle a enchaîné en approuvant la chose et en avouant qu’elle le faisait très souvent elle-même.

Laurence, toujours dans son maillot, s’est assise auprès de moi sur le grand banc du vestiaire. Spirituelle, elle m’a dit qu’elle sentait un bon karma entre nous ainsi que des vibrations permettant de prévoir une belle amitié. On a parlé longtemps de liberté d’action, d’épanouissement et on s’est embrassées chaudement avant de se quitter. Il me semble même avoir senti sa langue sur mes lèvres.

Tant qu’à moi, le stade de l’amitié était déjà dépassé depuis longtemps. J’étais en amour avec Laurence et je la sentais mûrir pour moi. J’anticipais le moment où je l’aurais dans mes bras. C’est arrivé enfin!

La semaine suivante (il y a bain libre tous les jeudis soir), Laurence portait un maillot blanc et la beauté de son corps ne faisait qu’augmenter mon désir pour elle. Je n’avais de regard que pour son entrecuisse et voyais bien la ligne de sa vulve. J’ai aussitôt senti mes lèvres se mouiller légèrement mais j’ai réussi à ne pas trop laisser paraître mes émotions troubles. On a échangé des sourires complices et je pense qu’à cet instant on espérait déjà échanger bien d’autres choses…

Discrètement, elle m’a offert de réaliser un de mes rêves: faire quelques longueurs de piscine à poil toutes les deux, à la condition que cela demeure secret. Se baigner à poil dans un bain public est trippant, mais avec quelqu’un qu’on désire, c’est le summum.

Nous étions deux collégiennes en pleine découverte de nos corps, de nos sexes. Sous l’eau, je pouvais voir son petit triangle foncé, ses fesses adorablement rondes et ses seins qui semblaient toujours pointer orgueilleusement vers moi.

Nous ne pouvions plus nous quitter des yeux. La baignade terminée, nous sommes allées nous savonner dans la douche et ce moment a été divin car la chaleur de l’eau chaude et celle de la rencontre de nos deux corps ont rapidement transformé ne simples baisers en caresses de plus en plus profondes. L’odeur du shampooing aux huiles essentielles et celle de nos sexes enflammés faisaient comme un parfum dans l’air.

Quand le moment est venu de nous sécher, Laurence m’a fait des massages magnifiques avec sa serviette de ratine de velours. Ses mains aussi douces que la ratine, m’écartaient les fesses et caressaient les mamelons. Ma seule pensée était de lui sucer les pétales de sa rose mais j’ai préféré attendre l’instant propice.

Le plaisir trouble s’est changé en complicité lorsqu’on s’est aperçu qu’on mouillait toute les deux comme des cochonnes! Nos respirations devenaient plus profondes. J’ai glissé mes doigts entre ses jambes, à la rencontre de ses lèvres, pour ensuite les porter à ma bouche et goûter son délicieux nectar droit devant elle. On gémissait de plaisir et nos lamentations faisaient de l’écho.

Malheureusement, Laurence m’a informé qu’elle devait partir car elle avait un rendez-vous qu’elle ne pouvait pas annuler. J’était frustrée de ne pas pouvoir poursuivre cette lancée des plus prometteuse mais je me suis consolée en prenant conscience des progrès accomplis.

Au bain libre suivant, c’est elle qui ma carrément donné rendez-vous dans son bureau, à la fin de la soirée, pour une lèche-minette! Elle trouvait un peu audacieuse la position 69 et a réussi à me convaincre de vivre un plaisir à la fois. Je lui ai proposé un petit solo de masturbation chacun de notre côté avant même de se toucher.

Laurence se débrouille très bien dans ce domaine; ses doigts curieux ont vite trouvé le petit trou juteux à travers ses tendres replis. Ils sont rentrés et sortis plusieurs fois d’affilée à une vitesse qui lui a fait soulever le bassin à force de plaisir. Voyant que je me permettais de rejoindre mon anus, elle a imité mon geste. J’ai saisi la main qui était enfouie dans sa chatte pour la sucer et goûter son jus.

Elle devenait follement excitée. Elle s’est levée debout, a appuyé l’un de ses genoux sur son bureau pour s’ouvrir et s’offrir toute à moi. J’ai immédiatement enfoncé mon visage entre ses jambes et commencé à lui lècher toute la vulve qui dégoulinait comme un ruisseau.La belle criait et jouissait à fendre l’âme. Les parois de son vagin et son clito étaient comme de la soie sous ma langue.

Pour que nos clitos se frottent ensemble, on a fait un ciseau de corps; on a d’ailleurs trouvé cette position délirante.

Vu que nous ne pouvions faire l’amour toute la nuit dans son bureau, on a convenu de poursuivre à mon appartement. En bonne hôtesse, j’ai offert à Laurence une sucette à l’ananas. Des rondelles d’ananas sur chacun de mes mamelons et une sur ma chatte. J’ai réussi à la guider pour qu’elle réalise un autre de mes rêves : elle m’a sucé le petit pois à travers le trou de l’ananas.

Sans qu’on s’en rende vraiment compte, en l’espace de dix minutes, on s’est installée en position de 69 pour vivre par la suite plusieurs orgasmes. Au début, c’est moi qui était sur elle et lui écartait largement les cuisses pour qu’elle s’offre au maximum pendant que, couchée sous moi, elle me léchait le clito et avalait mon jus qui lui coulait sur le visage.

Un peu plus tard dans la soirée, elle s’est décidée à se laisser aller à fond dans nos ébats et c’est elle qui s’est mise sur le dessus pour me manger et me pénétrer, avec l’un de ses doigts, dans l’anus ce qui me faisait jouir aux dix minutes.

Pendant que sous elle, je m’exclamais de plaisir et me laissais aller dans des orgasmes délirants, elle se frottait la vulve sur ma bouche et continuait de prendre son plaisir en se masturbant sur mon nez comme une cochonne insatisfaite. Se lamentant et se tortillant dès que ma bouche la quittait, elle m’invitait à reprendre le plus tôt possible les mouvement de ma langue pour que je la fasse encore jouir.

On a joué aux fesses comme cela toute la nuit et au petit matin, c’était l’heure des aveux! Elle m’a avoué qu’elle m’avait trouvé très aguichante dans mon maillot transparent. Elle m’a ensuite déclarée, de façon un peu crue, que c’est ma petite plotte qui l’avait séduite.

Par la suite, plus tard, elle m’a avoué que grâce à notre rencontre, elle s’était épanouie sexuellement avec son ami, surtout au niveau de l’amour oral. Maintenant, je lui bouffe tout, disait-elle.

Maintenant, à chaque fois que nous nous voyons, on s’assure maintenant que nos minettes sont complètement rasées avant de faire l’amour. Comme première expérience avec une femme, laissez-moi vous dire que j’ai connu l’extase et ma partenaire aussi. On s’est entendue pour avouer nos tendances bisex à nos chums qui depuis ce temps, nous réclament un show érotique. ?a se fera sûrement lors d’un beach party qui se terminera par un jambon sexy à l’ananas!

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