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Claudy – Chapitre 3




Nous sommes maintenant le dimanche matin.

    Comme promis à Pierre je me rends chez lui. En revanche ce que je n’ai pas suivi son conseil puisque Claudie est avec moi.

  Ma petite femme me préconise de me faire un lavement avant de partir. Je vous passe les détails de ce lavement avec le tuyau de la douche car ce n’est vraiment pas très glamour.

    Je ne lui dit pas que Pierre m’a demandé de porter de la lingerie. Je dois l’avouer cette lingerie n’est pas très sexy car, afin d’éviter qu’elle ne me surprenne, je prends la 1ère pièce sur la pile. Il s’agit d’un shorty noir à dentelles. Je ne tente même pas de prendre un sous tif car j’ai la certitude que la taille ne me conviendra pas.

    Nous voilà cheminant vers le domicile de Pierre. De temps à autre, je laisse Claudie passer devant moi car d’une part, j’ai la sensation que mon shorty dépasse de mon short de coureur de fond et aussi, et surtout, parce que je contemple la tenue de Claudie. Elle porte le même short que moi et le même débardeur de footing mais avec beaucoup plus de grâce mais surtout de sexe appeal.

    Je sonne au portillon de de la maison de Pierre, il active la gâche électrique et nous entrons. Il nous attend sur le perron pour nous accueillir. Je vois à sa mine contrariée qu’il est mécontent que je sois avec Claudie. À ce moment j’imagine qu’il voulait me déglinguer entre hommes et je ne suis pas mécontent d’être avec ma petite femme adorée.

    Surprise lorsque nous pénétrons dans le salon, la présence d’une autre femme. Et quelle présence !

Il s’agit de Sabine, la femme du docteur Pâtre. Au fil des ans elle est devenue une copine. Je l’ai rencontrée grâce à une amie que nous avons en commun. J’admire (tout comme Claudie) sa beauté, sa gentillesse, sa féminité, son sourire et son empathie envers les plus faibles. Claudie et moi fantasmons sur elle tout en nous faisant le reproche d’avoir une attirance sexuelle envers cette femme remarquable. Elle a dix ans de moins que le docteur Pâtre (Jacques) qui est notre médecin de famille depuis notre adolescence. En tant que médecin de famille, il connaît notre corps. Un peu plus celui de Claudie que le mien, car je ne sais pas si vous avez remarqué mais un médecin homme à un peu plus tendance à faire déshabiller une femme qu’un homme, lol. Physiquement je dirais qu’il est banal. Ni grand, ni petit, un peu de bide à 66 ans mais pas trop.

  Le dernier personnage de cette assemblée est Sébastien, 48 ans, cheveux poivre et sel. Lui est grand en revanche. Je dirai plus d’un mètre 90. Il est très grand mais aussi très moche. Lunettes à double foyer, nez crochu, tête un peu penchée, dos voûté (peut être à cause de sa taille). Mais tout ça ne l’empêche pas d’être joyeux, jovial, blagueur et très sympathique.

    Pierre nous présente mais ça ne dure pas longtemps car hormis Sébastien nous connaissons tout le monde. Il appelle quelqu’un qui vient servir des flûtes de Champagne. Elles ne sont pas encore servies qu’il me demande de le suivre. Il me conduit dans une chambre, il me reproche tout d’abord d’être venu avec Claudie et je lui rétorque que je ne cache jamais rien à me femme. Il se radoucit et m’embrasse à plein bouche. Cette fois je ne recule pas, bien au contraire j’accepte et amplifie son baiser sauvage. Il passe sa main sous mon short et caresse la dentelle de mon shorty.

— viens ma chérie .

  Je suis un peu surpris et flatté qu’il me nomme sa chérie.

— enlève ce que tu as et mets ça ma puce .

  Sur le lit il y a un slip blanc brésilien à dentelles et un magnifique soutien gorge. Ça doit coûter une fortune cet ensemble. J’enfile le slip et il m’aide à mettre le soutien gorge.

— attends ma chérie mets ça aussi .

    D’un étui, il sort une perruque blonde à cheveux courts.

— non pas ça Pierre, je ne peux pas 

« mets ça je te dis ». Le ton se fait plus sec, autoritaire, il ne permet aucune contrariété.

    Là encore il m’aide. Lorsque la perruque est en place, il me dit que je suis belle. Je dois avouer que le reflet dans le miroir me fait penser aussi que je suis belle, enfin beau, enfin pas mal quoi.

     Nous retournons dans le salon, j’ai chaussé des chaussures blanches, les talons ne sont pas très haut (3 à 4 cm) mais c’est suffisant pour faire remuer un peu mes fesses musclées. Je ne me souviens pas d’avoir ressenti une telle angoisse. Avant de faire mon apparition dans le salon j’ai le cur qui bas à 100 à l’heure. J’ai mal à l’estomac tant j’ai le trac. J’embrasse encore Pierre pour qu’il me donne du courage, il me caresse les fesses en me répétant que je suis magnifique. Il parvient à me faire humidifier mon gland.

    Il me précède et ouvre la porte.

— entre ma petite chatte .

    Je suis accueilli pas des applaudissements, mais ces applaudissements émanent du mec qui fait le service et d’un autre jeune de son âge. Je pense qu’ils sont ici pour pallier les éventuelles pannes des mâles présents dans la pièce. Y’a pas à dire mais les femmes ont plus de capacités que les hommes. D’un coup je respire. J’aborde un large sourire, je me la pète un peu en faisant le tour de l’assemblée en remuant du cul. De toutes façons, hormis les 2 jeunes hommes, personne ne s’attarde sur moi. Il faut dire que les honorables personnes de ce rassemblement ont changé de tenue, enfin changé pas vraiment changé puisqu’elles et ils sont toutes et tous tout nus.

  Je vais tenter de vous décrire fidèlement ce que je vois.

    Claudie est allongée sur un large tapis. Sous elle se trouve Sébastien qui est en train de lui pilonner l’anus. Sur son visage (que je ne vois plus) sont posées les fesses du bon docteur. Entre ses cuisses largement ouvertes, je vois les cheveux blonds platine de Sabine qui semble t il s’active à lui bouffer la chatte. De temps en temps j’entends ma femme adorée gémir, gémissements étouffés par le cul du doc qu’elle paraît bien nettoyer. Les couilles pendantes de Jacques (le doc, oui ben il faut suivre), bien pendantes lui tombent sur le nez.

    Pierre derrière moi m’entoure de ses bras. Il me caresse les seins, je me sens femelle. Sa femelle !

  Je tâche mon slip brésilien. Je sens son pénis grossir sur mes fesses. J’ai terriblement envie de lui. Pour la 1ère fois de ma vie j’ai envie de me sentir dominé par un homme, un mâle, un mâle dominant. Mes bras font le tour de son corps. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais lui aussi est nu. Je touche, enveloppe ses fesses, le contraint à me caresser la raie de mon cul avec son chibre. J’ai conservé mon slip brésilien mais il est maintenant sur le haut de mes cuisses. Je me rends compte que je veux être dominer mais en fait c’est moi qui est à la manuvre. Son membre est tendu au maximum. Il me désire, je le désire. Les ahanements de ma femme me stimulent. Je la regarde, je ne vois pas son visage mais je devine qu’elle a une nouvelle fois pris son pied.

    Pierre fait de petits mouvements pour me pénétrer. Mon petit cul s’ouvre pour laisser entrer son gland visiter ma grotte. J’aime. Il est doué le cochon. Je suis demandeuse la cochonne. Je découvre mon côté féminin. Mes mains ont quitté ses fesses pour le prendre par le cou qui est parcouru par sa langue. De temps en temps nos langues se rejoignent.

— je t’aime Pierre, je suis tienne .

  L’ai je dit ou pensé ?

  Je ne suis pas certain mais c’est tellement merveilleux. Je ne me suis jamais préparé mais son sexe est en harmonie avec mon conduit. En plus j’ai le sentiment de secréter un lubrifiant anal qui facilite l’introduction de sa belle et longue bite. Est-ce le plaisir de devenir sienne ou l’activation d’une glande que je ne connais pas. Je m’affaisse sur les genoux. Pierre me pilonne. Cette fois il est mon étalon. Je suis sa chienne. Claudie qui a les deux trous bien remplis est venue se coucher devant afin que je lui fasse un bon nettoyage. De temps à autres, Jacques et Sébastien m’offrent en cadeau leur queues à nettoyer. Ça les fait rire, moi j’exulte. J’ai envie de bouffer la chatte de Sabine pendant que Pierre me lime (depuis maintenant une vingtaine de minutes) mais elle est en 69 avec Claudie.

  Cadeau ? Oui je le pense, à l’instant où Pierre sent qu’il va jouir, il sort de précipitamment de  mon cul et décharge sur la fente de Sabine. Quel régal ! Putain quel régal ! Cette femme qui m’a fait tant fantasmer, je suis en train de lui déguster l’abricot recouvert du foutre de mon amant.

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