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Un quartier dépravé – Chapitre 3




Chapitre 3 : Caroline, super salope du lycée

  Cette mise en bouche avec le proviseur n’avait pas rassasié cette salope de Caroline. La lycéenne se trimbalait avec le sperme de son frère et du chef d’établissement dans l’estomac, mais il s’agissait pour elle d’un simple hors-d’uvre. La journée ne faisait que commencer.

Arrivée dans la salle de cours, Caroline ne put s’empêcher de pester. Le lieu était inoccupé. Certainement un changement de dernière minute. Elle décida de se rendre au secrétariat pour se renseigner.

Elle longea le couloir administratif désert puis frappa à la porte du secrétariat. Une voix familière lui dit d’entrer.

Mademoiselle Auboineau se tenait derrière son bureau, occupée à consulter ses mails. Elle posa un regard malicieux sur la nouvelle venue, détaillant sa silhouette sans vergogne.

C’est la journée, dis-moi. Qu’est-ce que je peux faire pour toi ?

Je n’ai trouvé personne dans ma salle de classe. J’aimerais bien savoir où ils sont tous. À moins que le prof soit absent.

Je vérifie ça tout de suite. Non, je ne vois rien, dit-elle en consultant son ordinateur. Pour ton problème, par contre… Ah, oui, je vois.

Elle relut l’information avant de s’adresser de nouveau à Caroline.

Il s’agit d’un changement de dernière minute. Mais je vais te dire tout ça après qu’on ait fini notre affaire.

Devant l’air interrogateur de l’adolescente, Mlle Auboineau poursuivit :

J’ai bien aimé ta prestation avec le proviseur et je voudrais en profiter aussi. Tu as déjà fait un cunnilingus ?

Heu ? Non… j’ai jamais eu l’occasion.

He bien, je te l’offre, cette occasion.

Joignant le geste à la parole, la jeune secrétaire retira ses chaussures et son pantalon avant d’ôter sa culotte blanche en coton.

Elle fit rouler sa chaise de bureau, de façon à reculer pour bien s’exposer. Pour rajouter à l’indécence de la scène, elle écarta les jambes, révélant son entrecuisse surmonté d’une touffe de poils bien taillée.

Allez, qu’est-ce que tu attends ? Viens me faire minette.

Caroline ne pouvait détacher son regard de cette chatte si agréable à contempler. Elle n’hésita pas plus longtemps et, faisant glisser son sac à terre, elle s’agenouilla entre le compas ouvert des jambes féminines.

La lycéenne sentit l’odeur forte du sexe de la jeune femme lui chatouiller le système olfactif. Bref, la secrétaire puait de la chatte. Mais cette puanteur ne résultait pas d’un manque d’hygiène. Cela n’aurait pas cadré avec l’aspect soigné de la propriétaire de ladite chatte. En réalité, cette odeur musquée traduisait le trouble qui s’emparait de la jeune femme. Se faire lécher la craque par cette élève la faisait mouiller d’avance.

Caroline ouvrit la bouche et passa un bon coup de langue bien baveuse sur les lèvres brunes et enflées qui encadraient la fente. Elle les écarta ensuite pour lécher l’intérieur du tabernacle. La salive et la mouille se mélangeaient en une sorte de liquide sirupeux et odorant que Caroline récupérait avec la langue avant de tout avaler. Voilà qui allait encore augmenter les ingrédients composant la bouillie qu’elle stockait dans son estomac.

La langue de Caroline se tendait, essayant de s’enfoncer au maximum dans la chatte de sa partenaire. Les allers retour de son appendice buccal reproduisaient les mouvements qui auraient animé une bite. Dans la pratique, l’effet se révélait le même puisque la léchée fermait les yeux en poussant des soupirs de plus en plus sonores. Caroline faisait reluire les muqueuses de la craque, bouffant de la tarte au poil au passage. Elle découvrait là un met qu’elle appréciait beaucoup. Voilà qui allait compléter la dégustation de toutes les bites et couilles du secteur. Bouffer les cramouilles des filles et de sa mère allait augmenter son territoire alimentaire.

Les talents de lécheuse de Caroline associés au tempérament de salope de la secrétaire provoquèrent une forte jouissance de cette dernière. Le jet de cyprine fut expédié directo dans le gosier de la lycéenne. Caroline découvrait le goût de ce liquide naturel. La saveur en était étrange, mais pas désagréable pour cette ado qui adorait se régaler de tous les liquides sexuels qu’elle pouvait s’envoyer dans l’estomac.

Mlle Auboineau reprit vite ses esprits et, tout en remettant le bas, dit à Caroline de se rendre à l’auditorium où le prof avait déplacé son cours. Mutine, la secrétaire ne fit pas remarquer à Caroline que de la mouille lui souillait le pourtour de la bouche. Le liquide terne et sirupeux lui engluait le contour de la bouche d’une auréole licencieuse et cradingue.

Ignorant ce fait, Caroline ramassa son sac et se dirigea d’un bon pas vers l’auditorium.

Son entrée dans la salle ne suscita pas le moindre commentaire. L’obscurité des lieux empêchait le prof et les élèves de voir la mouille de la secrétaire qui souillait la bouche de Caroline.

Seul problème, il ne restait plus de place assise.

Plusieurs élèves se dévouèrent pour prendre leur camarade sur leurs genoux. Caroline choisit un garçon qu’elle affectionnait tout particulièrement pour son sperme crémeux au goût agréable par rapport à celui de ses condisciples.

Le prénommé Quentin était doté d’un tempérament facétieux. Caroline put le constater une fois de plus en s’avisant que le garçon avait baissé son falzar jusqu’aux genoux. Pour faire bonne mesure, il baissa son slip, exhibant une bite encore recroquevillée mais qui se déployait à vue d’il.

Allez, Caroline monte là-dessus !

La jeune fille retroussa sa jupe et grimpa sur les jambes puissantes de ce beau brun, aiguisant la jalousie des autres élèves.

Caroline ne trouvait pas la position très confortable, son cul glissait sur les cuisses nues du garçon. La bite maintenant dressée venait compliquer le problème. Par ailleurs, la culotte de coton avait tendance à faire déraper le cul qu’elle contenait sur ce siège humain.

L’adolescente souleva son cul et ôta sa culotte. Elle la jeta vers un groupe de garçons qui regardait dans sa direction, histoire de contenter leurs instincts lubriques. L’un d’eux l’attrapa au vol et la sentit longuement, plaquant le nez et la bouche sur le renfort odorant de l’entrecuisse. La pièce de tissu était pleine de sécrétions que le garçon commença à lécher avec avidité.

Hey, nous aussi on veut goûter la mouille de cette pute !

Du calme, au fond ! intervint le prof qui devinait de quoi il retournait.

Pendant ce temps, la propriétaire de la culotte essayait d’améliorer son assise, se trémoussant sur les genoux de Quentin qui appréciait la douceur du cul de Caroline contre sa peau. La fraîcheur des fesses de l’adolescente sur ses genoux tièdes lui était très agréable.

Sa voisine Jessica, une jolie brune plutôt réservée habituellement, saisit les couilles de Quentin et se mit à les tâter comme pour en éprouver la fermeté.

Les papouilles que subissaient les calebasses firent se dresser le membre auquel elles se rattachait, plongeant Caroline dans une situation plus malcommode encore.

T’as qu’à t’empaler sur ma queue. Embrochée comme ça, tu ne bougeras plus.

Caroline accepta l’idée avec enthousiasme. Se faire rincer la bouche était bien, mais avoir le cul bien ramoné ne faisait pas de mal non plus.

Elle souleva ses fesses fermes et douces avant de s’empaler sur le gros braquemart désormais au terme de sa croissance. Jessica écarta les fesses de sa camarade, dégageant le sillon anal dans lequel le trou arrière se faisait à peine visible. Elle aida Caroline à bien se mettre dans l’axe de la bite à Quentin et bientôt la grosse mentule pénétra l’anus en une impulsion rapide et ininterrompue. Le boyau était fréquenté par toutes les bites du coin, aussi son élasticité lui permettait d’encaisser des gros calibres comme celui de Quentin.

Le garçon la prit aux hanches et commença un mouvement de va-et-vient. La verge allait e venait dans ce trou chaud qui l’emprisonnait dans sa gaine moite et accueillante. Les couilles battaient les fesses de Caroline en produisant un son bien audible dans le silence ouaté de l’auditorium. Les caractéristiques acoustiques du lieu donnaient à ce bruit obscène toute sa netteté, ne laissant planer aucun doute sur son origine. Tout le monde dans la salle pouvait savoir quel traitement Quentin infligeait à Caroline. Les détails parvenaient à leur sens auditif avec une précision telle qu’ils pouvaient suivre en direct l’évolution de ce coït public. Bientôt, des sons gutturaux rejoignirent les claquements de fesses et de couilles, emplissant la salle d’une atmosphère de baise.

Qu’est-ce qu’il lui met ! lança un garçon.

Silence, je vous prie ! Le cours est assez perturbé comme ça. Inutile d’en rajouter. Et vous savez bien que Caroline a besoin de sa dose horaire.

Quentin n’était pas mécontent d’afficher ainsi sa virilité devant toute la classe. Voilà qui allait lui faire une bonne réputation aux yeux des filles. Une étiquette de baiseur comme ça lui apporterait sûrement des satisfactions plus tard. Son plumard allait afficher complet pendant un moment.

Enfin, il sentit une drôle d’envie de chier et pisser en simultané. Il n’en fit rien, mais ses couilles expulsèrent leur trop-plein de sperme dans le fion à Caroline par bite interposée. La fille eut conscience d’un liquide épais qui lui humidifiait l’anus puis la grosse queue se ramollit, déculant d’elle-même.

La journée s’annonçait bien remplie. Pas autant que le cul et l’estomac de Caroline bien sûr, mais on glissait doucement sur cette voie.

À suivre

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