Mélissa :

J’étais fascinée par mes nouvelles amies : complètement nues, elles me racontaient leur histoire tout en se passant de temps a autre un doigt distrait sur les lèvres de leur sexe. Complètement détendue maintenant, j’étais heureuse de pouvoir me laisser aller entre filles : en effet, j’avais pris sans m’en rendre compte une pose alanguie. Je cois que je laissais apparaître ma culotte rose et blanche sous ma petite jupe de sport.

Christine :

Quand je proposais de boire quelque chose, Maggy répondit : ’ oh oui, ça se fête une nouvelle amie, aurais-tu du Martini ? ’

Pendant que je servais nos verres, elle continua à raconter nos souvenirs.

’ Plus haut, l’eau arrivait en cascade et nous étions juste devant une petite chute. Elle faisait un joli murmure. Mais devant nous l’eau était toute calme et plus profonde, se préparant à passer la chute suivante.

’ Là, sans même avoir à se le dire, on a laissé tomber nos robes. On savait que toutes les deux on était venues ici pour ça. Je profitais de la vue de nos corps nus. Je sentais aussi le soleil chauffer ma peau et mon sexe… Dis-je en coupant Maggy pour poursuivre l’histoire.

’ Nous passions par effleurement les doigts sur nos lèvres intimes et, sous ces caresses, l’idée de se masturber montait en nous de plus en plus intense.

’ Je sentais littéralement mon sexe devenir liquide. Glissant doucement mon majeur entre mes lèvres en m’effleurant le clitoris, je sentis tout mon corps résonner de plaisir et d’envie.

’ Maggy avait fait de même et je l’entendais dire ’hummm c’est trop bon, j’ai trop envie’.

’ Pour la première fois nous abordions le ’grand’ sujet, je veux dire vraiment, pas par des blagues ou des à peu près.

’ Maggy continua en disant, j’adore la masturbation et toi ?

Jusque-là, le mot ’masturbation’ nous avait paru tellement difficile à dire ! Aujourd’hui, il résonnait à nos oreilles comme si on l’entendait pour la première fois. Ce mot était devenu tellement naturel !

’ J’adore me masturber, lui confiais-je, et là j’ai une envie démente, j’ai comme une envie de pipi, l’impression que mon sexe s’écoule, comme quand on a le vertige.

’ Oh toi aussi, c’est formidable, regardes, moi aussi mon sexe coule ! ’

’ On était maintenant toutes les deux agenouillées, chacune, une main dans le sexe, l’autre parcourant nos seins, en face l’une de l’autre.

’ Je me rappelle très bien de la beauté de la scène, des taches de lumières qui couraient sur la peau de Maggy.

’ Bientôt ce fut un concert de murmures et de gémissements, de plus en plus fort, pour finir presque dans les bras l’une de l’autre. Mais ce jour-là c’était presque… Nous ne l’avons pas fait. Nos regards étaient tout brillants.

’ Notre amitié a vraiment commencé à être intime ce jour là, je veux dire intime sans secret, où l’on se dit tout, où on se montre tout, où la pudeur n’existe plus entre nous.

’ Après s’être assurées que l’on ne nous entendrais pas du sentier plus loin, nous sommes allées ensuite tous les jours dans notre petit coin de paradis secret, pour profiter de la nudité et des plaisirs de la masturbation partagés à deux.

’ Nous partions avec un sac à dos, quelques biscuits, deux essuies et l’on avait pris l’habitude d’enlever nos sous-vêtements et de les mettre dans notre sac. Puis arrivées sur place on laissait tomber nos robes.

’ Quatre jours plus tard, alors que nous étions allongées là le long de l’eau, à nous caresser doucement, l’envie nous gagnait, de plus en plus forte. Tu comprends, c’était une autre envie, ce n’est pas difficile de deviner laquelle, non ?’

’ Regardant Maggy je dis, l’ennui c’est que nous n’avons que deux mains, alors on ne peut pas se caresser les tétons et le clitoris en même temps.

’ Maggy sans un mot vint à croupetons derrière moi, elle me tira par les épaules sur ses genoux et me caressa les seins en me disant : ’caresse ton sexe exploses toi…’

’ Les doigts de Maggy effleurant mes tétons. Mes propres doigts entre mes petites lèvres je sentis mes tétons exploser de plaisir, et une jouissance partir de là vers les profondeurs de mon sexe, ce fut tellement fort que je me senti en train de la communiquer à Maggy.

’ Oui ajouta Maggy, c’était extraordinaire de la sentir jouir si fort contre moi, son corps humide contre le mien, avec ses mouvements de plaisir.

’ C’est vrais ajoutais-je, reprenant la parole, j’ai vraiment sentie Maggy jouir si fort que j’ai eu envie de glisser un doigt entre ses lèvres a ce moment là…

Je les écoutais, captivée, gagnée par une excitation indescriptible. Je sentais ma culotte se détremper. Sans m’en apercevoir j’avais appuyé mes doigts sur le tissu mouillé, sentant avec délices mes lèvres brûlantes en dessous.

Je passais mes doigts sous le tissu et je me tordais machinalement de plaisir. Quand mes doigts atteignirent mon sexe, ils glissèrent tout naturellement entre mes lèvres glissantes.

Nous la regardions, attendries par cette jeune fille avec ses yeux bleus si doux, qui se laissait aller avec nous. J’étais intensément heureuse qu’elle s’adonne à ce laisser aller si particulier que je connais si bien, d’une part parce qu’elle est très jolie et paraît si douce, d’autre part parce qu’une demi-heure avant nous ne nous connaissions pas. Cette soudaine proximité était pour moi un véritable enchantement. Sa jupe toute relevée lui donnait un air très sexy et sans pudeur.

Elle croisa notre regard et se mit à rougir, alors pour la détendre je dis :

’ Quel plaisir la masturbation entre filles, tu ne trouves pas ?

Et j’ajoutai en montrant ma vulve :

’ As-tu déjà essayé de te raser les lèvres, moi j’adore je ne pourrais même plus m’en passer ! La sensation sur les lèvres est vraiment douce, tu sais. ’

À mon grand étonnement, Mélissa répondit directement : ’ à vous voir depuis tout à l’heure j’ai vraiment envie d’essayer aussi, mais dites-moi, chez le médecin, ce n’est pas gênant ? ’ Mais en fait je ne tardais pas à comprendre que la rapidité de ses réparties cadrait bien chez elle avec une absence totale de préjugés. Son éducation n’avait pas été coincée. Elle avait été inexistante sur tous ces sujets. Aussi c’était par quasi-naïveté qu’elle allait directement droit au but. Et puis cette ambiance si particulière de ce jour nous portait toutes à plus de franchise que je n’en avait même habituellement avec Maggy.

’ Non dis-je, il suffit de laisser un peu repousser, mais de toute façon comme tu vois je ne rase que les lèvres et je garde le triangle en dégradé vers le bas, personne ne s’en préoccupe en fait. ’

De plus en plus gagnée par cette liberté nouvelle que j’avais trouvée ici, j’avais terriblement envie de me laisser aller avec mes deux nouvelles amies. Je demandais à Christine si elle avait un rasoir particulier pour son sexe… Comme elle approuvait, je lui demandais si je pouvais m’en servir.

’ Waw, Mélissa ! ’ sursauta Maggy, de plus en plus interloquée malgré sa nonchalance au fur et à mesure que la matinée avançait, alors que, pour mon compte, j’étais e plus en plus à l’aise, sentant monter une langueur que j’appréciais alors tout particulièrement. ’ C’est super alors, on est vraiment trois amies maintenant ! ’

’ Pourquoi, le signe de reconnaissance entre amies, c’est d’avoir le minou rasé ? ’ Demanda-t-elle avec ce mot enfantin, qui me fit littéralement fondre.

’ Viens ’ lui demandais-je en l’entraînant vers la salle de bain.

Alors que je lui tendais le rasoir, elle s’assit sur le bord de la baignoire et enleva sa culotte. Je jetais un coup d’oeil, puis pour confirmer mon impression je ramassais cette culotte et la tâtant, je sentis qu’elle était presque détrempée. Nous apparut à Maggy et à moi, alors une toison légère, fine, et d’un blond très clair, on sentait dans tout son sexe, l’appel du plaisir.

Cette fois c’est nous qui étions fascinées.

Mélissa fit tomber sa jupe et comme sa chemise venait dans le chemin, elle l’enleva timidement. J’étais surprise par cette soudaine timidité, elle qui jusque-là avait été si spontanée : ’ vous êtes sexy vous, regardez, moi je n’ai rien ’ dit elle en enlevant un petit soutien gorge.

’ Oh si ce n’est que ça ’ lui dis-je, ’ tu es ravissante et pleine de charme, avec ton regard tout bleu. Tes seins, ils sont tout mignons ! ’

Maggy ajouta, ’ petits mais tout jolis et bien faits, je t’assure qu’on est sous le charme. ’

Nous étions maintenant toutes les trois nues.

Mélissa avait un corps particulièrement sensuel, une taille toute mince et une peau fine : du velours !

Alors qu’elle passait avec attention le rasoir électrique, la peau douce de ses lèvres nous apparaissait laissant entrevoir ses petites lèvres roses particulièrement bien faites, fines et longues, elles se refermaient sur son clitoris qui avait quelque chose de particulièrement attirant.

Elle agissait, méticuleusement, sensuellement, le mouvement de ses lèvres au passage du rasoir était très érotique.

Alors en me regardant, elle demanda, ’ Pendant ces vacances, vous avez fini par vous masturber l’une l’autre ? ’

’ Ho oui dit Maggy, mais d’abord, je ne sais pas pourquoi ça nous est venu en premier, mais nous avions décidé d’essayer le rasage intime. Le lendemain nous sommes revenues avec un rasoir emprunté pour la circonstance, nous avions étendue nos essuies sous les taches de lumière très brillante sous les arbres à cette heure de la mi-journée.

’ Après s’être rasées on s’est regardées, comparées et la première impression passée, on a d’abord trouvée ça laid…

’ Mais comme l’envie de plaisir se faisait sentir de plus en plus fort, en passant nos doigts nous avons été de plus en plus submergée par la nouvelle sensualité de nos minous. ’ Tiens pensais-je Maggy prend le vocabulaire d’Mélissa, ça aussi c’est mignon.

’ C’est plus tard, continuais-je, alors que nous étions étendues laissant le soleil chauffer nos lèvres lisses, après les avoir caressées avec un plaisir de plus en plus fort, couchée sur notre essuie, c’est plus tard en chahutant que je me retrouvais étendue, en travers, sur Maggy.

’ Posant mon visage sur son ventre, je me retrouvais à regarder son sexe. Je passais presque machinalement trois doigts, oh très légèrement, sur ses lèvres lisses.

’ La sensation me parut si agréable que je me suis mise à passer et repasser mes doigts, à écarter ses lèvres. Puis, son sexe doux et glissant commença à m’exciter tellement fort, que je laissais mes doigts entre ses lèvres à glisser le long des petites, douces comme la soie.

’ J’ai approché mon visage, attirée par son sexe.

’ Tout en explorant son sexe, fascinée par son excitation, j’approchais encore mon visage pour être tout près, irrésistiblement attirée vers son humidité et sa chaleur.

’Je me retrouvais avec le visage tout proche avec cette envie terrible d’y poser les lèvres. J’en avais envie, tu ne devineras jamais pourquoi… Pas parce que c’était le minou de ma meilleure amie (tiens moi aussi je m’y mettais), mais parce que depuis longtemps, j’avais l’envie de faire la même chose sur le mien. Si je te jure ’

’ Tu ne m’avais jamais avoué ça ’ Déclara Maggy presque boudeuse. Mais je poursuivais.

’ Ce fut irrésistible, en posant mes lèvres sur ses lèvres humides, mon sexe brûlant d’envie embrouilla toutes mes idées. Je la sentais, la goûtais, je fut comme aspirée avec sur mes lèvres et ma langue, une incroyable sensation de délice.

’ Je passai ma langue entre ses lèvres, sentit le bouton dur de son clitoris, puis en descendant vers son intimité, je laissai ma langue pénétrer le plus profond possible.

’ La sensation, le goût qu’avait le sexe de Maggy me parut si bon, que je restais longtemps à tourner autour de l’entrée, puis je l’enfonçais le plus profond possible.

’ Pendant ce temps, je devinais que Maggy se caressait les tétons, et dans tout son corps, je la sentais prise par une inondation de sensations extraordinaires qui montaient depuis le sexe et l’envahissaient complètement…

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