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Le récit de ma vie – Chapitre 14




Chapitre 11 Rencontre avec mon fantasme

Partie 1/3

Vous vous souvenez de Jordan ? Si non alors vous avez raté un chapitre ! (cf chapitre 8 partie 1). Et bien Jordan organisait une soirée chez ses parents. Il avait invité plusieurs amis et amies à lui, et sa petite amie avait invité ses amies, notamment Elvina et Mélissa, ainsi que sa cousine Pauline. Et grâce à Elvina, Thomas et moi avons été invités également.

Le soir venu, le couple nous présente à tout le monde, et je ne vais pas vous lister toutes les personnes présentes mais sachez seulement pour l’histoire que je fais la connaissance d’une fille nommée Louise, petite blonde à lunette, qui a l’air de partager un trait commun avec moi : un humour stupide et communicatif.

Après les présentations, on passe à l’apéro. Nous sommes invités dans une grande salle à manger où deux grandes tables ont été mises bout à bout. La pièce est ouverte sur un salon dans lequel les meubles ont été poussés dans un coin de la pièce, libérant un espace de danse. Un ami de Jordan s’occupe d’ailleurs de brancher enceintes et table de mixage. En faisant connaissance avec lui, il m’apprend qu’il est DJ amateur. Au moins on devrait avoir de la qualité de son. Une fois à table, installé à côté de Thomas, je ne bois qu’un seul verre, car cette fois je veux rester lucide, au moins pour l’instant. Les amis de Jordan sont très sympathiques, et l’ambiance est au rendez vous malgré le fait que presque un tiers des invités ne connaît pas un autre tiers.

Alors que nous allions passer au repas proprement dit, nous avons entendus la sonnette de la porte. Quand Jordan est revenu dans la pièce, il était accompagné d’une retardataire. En la voyant, j’ai dû ressembler au loup de Tex Avery tant elle m’a séduit immédiatement. Je ne l’ai pas quitté des yeux tout le temps qu’elle fasse le tour de la table pour faire la bise à tout les invités. Lorsqu’elle est arrivée à ma hauteur, je l’avais déjà entièrement dévorée du regard. Elle n’était pas très grande, peut être un mètre soixante, qu’elle compensait par le port d’escarpins noirs à talons. Elle portait une robe bleue pâle, sous un long gilet fin et noir transparent, qu’elle portait ouvert, et une ceinture noire à bouche de papillon entourait sa taille de guêpe. Sa robe descendait jusqu’à mi cuisse, permettant d’admirer une bonne partie de ses jambes et en haut sa robe couvrait difficilement un soutien gorge rose pâle de très grande taille. Car oui, ce n’est pas galant de parler de la poitrine avant du visage, mais je vous jure que pour le coup, ça saute aux yeux ! Pour être devenu ami avec elle, et être suffisamment proche pour la voir régulièrement plusieurs années après cette soirée, je peux vous annoncer à l’avance que j’avais toutes les raisons d’être surpris par sa poitrine, puisque j’ai appris par la suite que la demoiselle faisait du 90E. La pauvre devait subir le regard des hommes depuis son adolescence. Pourtant son visage était magnifique : plutôt ovalaire, il était encadré par des cheveux châtains clairs ondulés, s’arrêtant aux épaules. Elle avait de jolis yeux verts parfaitement maquillés, avec de fins sourcils, et de petites lèvres bien dessinés. Elle portait bracelets, collier et boucles d’oreilles qui paraissaient ternes sur elle, ce qui renforçait notre regard sur elle plutôt que sur ses artifices. Sa robe laissait deviner un corps fin, une taille 36 (je l’ai appris plus tard également), de petites fesses mais de jolies hanches, sans être disproportionnées. Elle était simplement superbe. Et même bien plus belle que Mélissa.

— Salut, Emma, me dit-elle en se penchant vers moi.

Merde, je ne m’étais même pas levé, perdu dans ma contemplation.

— Moi c’est Max, répondis-je simplement, pris de court.

Elle continua son tour de table avant de prendre place, malheureusement assez loin de moi. Après le repas, assez alcoolisé pour certains d’entre nous, j’ai profité de l’espace de danse pour la rejoindre, ainsi qu’Elvina, très belle également ce soir là, qui portait une jupe noire et un haut rouge sans manches moulant son petit ventre et ses jolis seins. J’ai principalement dansé avec ma récente conquête ainsi qu’avec Emma, et j’en ai appris beaucoup sur elle, notamment son nom, et elle me proposa de l’ajouter sur facebook pour qu’on puisse ensuite ne pas se perdre de vue. Ce n’était pas de la drague toutefois, car elle proposait la même chose à beaucoup de personnes, hommes comme femmes, mais au moins, je pourrais apprendre à la connaître et l’inviter à une prochaine soirée.

Au fil de la soirée, alors que Thomas m’avait emprunté Elvina pour une danse, et que j’étais à la table, Pauline est venue me rejoindre.

— Alors, que penses-tu d’Emma ? me demanda-t-elle.

— Tu la connais ?répondis-je surpris.

— Oui bien sûr, c’est une vieille amie.

— Et bien elle est vraiment très sympathique, et avec tout le monde, c’est une fille très sociable on dirait.

— Et ton duo Elvina-Mélissa ça en est où ?

— Et bien avec Elvina on est plutôt amis en fait, et avec Mélissa… bah rien du tout, avouais-je.

— Alors debout et go la draguer, à moins que tu ne veuilles que je te montre comment on fait ? M’a t elle dit en rigolant.

— Non merci, je sais comment on fait, ai-je répondu en me levant.

C’est là que j’ai très clairement senti une main palper mes fesses, ce qui m’a stoppé net. Pauline s’est levée et s’est éloignée, hilare. Ça ne m’étonnait même plus d’elle, cette fille était tellement ambivalente.

Je suis allé rejoindre Mélissa. Le courant passait bien, on rigolait, et c’est avec joie qu’elle a accepté de rejoindre nos amis sur la piste improvisée pour partager une danse. On s’amuse, on change de partenaire, bref c’est super, bonne ambiance. Notre DJ nous a annoncé le moment du slow et nous a invité à constituer des duos, et je suis heureux de voir que Mélissa a accepté mon invitation. J’ai remarqué qu’Elvina était encore avec Thomas, avant me concentrer entièrement sur la danse. J’ai posé mes mains sur les hanches de la jolie fille du sud qui était contre moi, et j’ai plongé mon visage dans son cou. Je profitais un maximum de sa présence, son parfum, sa chaleur, son étreinte, mais je savais que ce moment s’arrêterait aussitôt la fin du morceau. Je me suis reculé légèrement afin de la regarder dans les yeux. Je ne savais plus ce que je faisais, entre elle, et Elvina, pour qui avais-je vraiment des sentiments ? D’ailleurs est ce que je connaissais réellement ces deux filles ? Perdu dans mes pensées, j’ai pris conscience que nous étions arrivés au refrain final de la chanson, c’était déjà fini. Sans réfléchir, j’ai posé mes lèvres sur les siennes. Qu’elle retira à peine une seconde après.

— Je sais ce que tu veux de moi, mais c’est non, je ne veux pas sortir avec toi maintenant, et jamais d’ailleurs. Je veux que tu me laisse tranquille si tu n’es pas capable de juste rester un ami.

Pour moi c’était la douche froide, l’ascenseur émotionnel venait de rompre ses câbles et filait à toute allure. Elle me laissa planté là, seul avec mes sentiments. Déception, tristesse, mais aussi colère se mélangeaient. J’ai quitté la pièce. J’avais besoin de calme, de réfléchir. Je ne la comprenait plus, elle était parfois si proche de moi, et parfois si distante. Son caractère qui m’avait pourtant séduit était en train de me dégoûter. En m’enfonçant dans la maison, j’ai décidé d’aller à la salle de bain pour me passer un peu la tête sous l’eau, qui évidemment était prise, ce qui m’énerva encore plus. Maintenant que je l’écris je sais que tout cela est normal, se sentir rejeté après un râteau (ce n’était d’ailleurs pas le premier), mais sur le coup je ne contrôlais pas mes sentiments, j’étais sous le coup de l’émotion, et les efforts que j’avais entrepris pour me rapprocher d’elle, mes sentiments pour elle, qui n’étaient pas réciproques, me faisaient l’effet d’une bombe qui venait de mexposer à la figure.

Je suis monté à l’étage pour voir si il n’y avait pas une autre salle de bain. Les escaliers débouchaient sur un couloir avec une porte au fond et plusieurs des deux côtés. J’ai avancé en cherchant une inscription sur une porte, jusqu’à la trouver. J’ai ouvert la porte pour découvrir Louise devant le lavabo. La pauvre n’avait pas l’air très bien. Elle avait les roues rouges et se tenait au lavabo. Les dégâts de l’alcool sans aucun doute.

— Désolé la porte était ouverte. Tout vas bien ? m’inquiétais-je.

— Ça va, j’ai dû aller aux toilettes en urgence et celles du bas étaient prises. Tu peux m’aider à redescendre ? Normalement je devrais pouvoir y arriver toute seule mais j’ai toujours peur de tomber dans les escaliers après avoir un peu bu., me demanda-t-elle.

— Si tu t’inquiète de ça, alors c’est que tu n’as pas trop bu, plaisantais-je.

Elle m’a saisi le bras pour se tenir, et c’est là que j’ai libéré ma frustration sur elle, pauvre Louise qui n’avait pourtant rien à voir avec mes déboires avec Mélissa. Je l’ai collée contre le lavabo et je l’ai embrassé avec fougue, plongeant ma langue dans sa bouche. Surprise quelques secondes, elle s’est ensuite débattue sans toutefois parvenir à me faire céder. Je l’ai prise sous les fesses pour la soulever, et je l’ai reposé sur un meuble de rangement. Je suis allé à la porte pour mettre le verrou, et je me suis retourné vers elle.

Louise avait un visage rond, portait des lunettes, était blonde aux yeux bleus, mais finalement je m’en foutais, je voulais me défouler. Elle avait été très sympathique toute la soirée, et j’étais sûr qu’elle était célibataire, alors où était le mal ? Je me suis rapproché d’elle et j’ai caressé ses cuisses. Elle n’était pas grande, environ un mètre soixante, mais était un peu en chair. Elle portait une jupe grise et des bottines courtes style country, et un haut blanc échancré réalisant un beau décolleté sur une voluptueuse poitrine.

Je me suis déshabillé rapidement sous ses yeux. Elle ne me quittait pas du regard mais ne disait pas un mot. J’ai à nouveau posé mes mains sur les cuisses de Louise, et je les ai remonté sous sa jupe jusqu’à son string, que j’ai retiré prestement.

— Max, qu’est ce que tu fais ? J’ai pas envie de faire ça moi, me dit-elle.

Sans répondre, j’ai placé son cul au bord du meuble, et j’ai mis un genou à terre afin d’être à la bonne hauteur. Ma langue a plongé sur sa vulve. Louise n’était pas épilée, mais je léchais tout ce que je pouvais atteindre.

— Putain Max, c’est bon ça. Mais je sais pas si je devrais.

J’ai caressé ses lèvres avec un doigt, avant de l’enfoncer en elle. Tout en augmentant l’intensité de mon cunnilingus, je la doigtais rapidement. Je sentais qu’elle commençait à faiblir dans cette position, alors je l’ai reprise dans mes bras pour l’allonger par terre sur le tapis. J’ai aussitôt remis mon doigt dans son intimité, pendant que ma langue tournoyait sur son petit bouton. Elle commençait à gémir bruyamment mais je n’y prêtai pas attention. J’ai continué pendant plusieurs minutes, la regardant jouir sous mes caresses. C’est tellement beau une femme qui ressent l’orgasme. C’était brutal et animal, et Louise, bien que sous le coup de l’alcool, était devenue entièrement consentante. Je n’ai pas résisté à replonger entre ses cuisses pour laper son jus. Sa cyprine et ma salive coulaient sur sa peau et tâchaient sa jupe.

Je l’ai redressée pour la mettre à genou, et je lui ai retiré son haut, avant de la forcer à prendre mon sexe bouillonnant en bouche. Elle me suçait maladroitement, mais se laissait faire. Voyant que je n’arriverai pas à jouir de cette manière, je l’ai remise debout et je l’ai plaqué contre le lavabo. Elle s’est cambrée d’elle même, comme si elle n’attendait plus que ça. J’ai relevé sa jupe, et j’ai guidé mon membre vers l’entrée de sa grotte humide. Je l’ai pénétré en douceur, en me retenant de ne pas la défoncer immédiatement. Je lui ai dégrafé son soutien gorge, qu’elle a ensuite retiré. Je voulais voir sa poitrine, alors je l’ai redressée la plus droite possible. Je pouvais la voir dans le miroir, haletante, en sueur, elle avait une main sur ma cuisse qui me caressait, m’invitant à continuer dans cette voie. Elle avait un petit ventre, un peu comme Pauline, et de gros seins, qui étaient déjà assez tombant et très écartés l’un de l’autre. En fait je ne sais pas si il étaient si gros que ça, car sur une fille de petite taille, un bonnet C paraît déjà gros. 95C ? ou D ? Du 100 ? Je ne lui ai pas demandé, la voir soumise, avec ma queue enfoncée en elle, n’attendant que le début des hostilités, m’a rendu comme fou.

Je l’ai repoussé contre le lavabo, j’ai saisi ses poignées d’amour et je l’ai baisé sauvagement. Il n’y a pas d’autres mots pour décrire ce qu’il s’est passé. Je me suis donné à fond, refusant la moindre attention à mes muscles qui se fatiguaient, à mon cur qui tambourinait dans ma poitrine. Je voyais dans le miroir le visage de Louise tordu par le plaisir. Ses gros seins qui pendaient sous elles se balançaient, rythmés par mes coups de reins. Elle gémissait son plaisir, la tête renversée, les yeux révulsés. Mais j’étais insensible à sa fatigue, ses tremblements dans les jambes, son corps qui était saisis de spasmes à chaque orgasme qui la traversait. Comme si ça ne suffisait pas, je me suis occupé de son clitoris d’une main, je le caressait encore et encore pendant que mes va-et-vient devenaient frénétiques. Elle était maintenant allongée sur le lavabo, qui devait pourtant être froid, mais ça ne l’a pas arrêté. Louise avait atteint un autre monde, elle ne ressentait plus qu’un mélange de sensations dexhalation et de bonheur, malgré la bestialité de notre rapport.

J’ai stoppé net cette violente levrette, et je l’ai soutenue pour l’allonger sur le sol et éviter qu’elle ne s’écroule. Elle était encore tremblotante et elle gardait les yeux clos. Je me suis placé sur elle, j’ai pris ses deux seins à pleine main pour former une gaine douce et chaude à ma verge, et j’ai baisé sa poitrine aussi fort que je venais de le faire pour sa petite chatte maintenant béante et dégoulinante. J’ai très vite éjaculé, et j’ai regardé mon sperme maculer en jet le visage et la gorge de Louise.

Après l’orgasme qui m’a traversé, je suis resté près d’elle quelques minutes. La musique au rez de chaussée m’a rappelé où nous étions. Je me suis rhabillé, en regardant le corps de Louise : à terre, couverte de sperme, les seins à l’air et la jupe relevée, ses jambes écartées montrant sa vulve encore entre-ouverte. Je prenais conscience de ce que je venais de faire. Quand j’ai voulu en parler avec elle, elle m’a remercier pour cette baise intense. Je n’ai pas trouver le courage de m’excuser de l’avoir quasiment violée. Je l’ai aidé à se laver un peu et se rhabiller. Sa jupe était encore un peu humide mais je ne pouvais rien y faire. J’ai nettoyé ma semence avec un gant de toilette, que j’ai passé consciencieusement sur sa poitrine, son cou, et son visage. Elle a nettoyé également ses lunettes, qui avaient reçues quelques gouttes, puis nous sommes descendus voir les autres.

A suivre…

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