Monsieur Martin est petit, à moitié chauve et bedonnant. Sa panse de bon vivant buveur de bière passe au-dessus de sa ceinture qui menace de craquer à tout instant. Une ceinture serrée au-delà du raisonnable pour empêcher son pantalon de glisser sur ses hanches grasses. Bref, monsieur Martin nest pas un top model, ce qui ne lempêche pas dêtre esclave dune libido exubérante quil assouvissait jusqualors sur sa femme. Celle-ci, bigote soumise, remplissait ses devoirs conjugaux avec abnégation mais sans plaisir, et avec un fort sentiment de honte et de répulsion.

Sa mère lavait prévenue : « Les hommes ne pensent quà ça, ma pauvre fille ; tous des cochons ! » Mais sa maman et son papa nétant plus de ce monde depuis quelques mois, les enfants volant de leurs propres ailes loin du nid familial, madame Martin, à la tête dun petit héritage, a introduit une demande de divorce et sapprête à recouvrir une liberté quelle se promet dutiliser à des fins plus charitables que satisfaire les besoins sexuels de son porc de mari. Ou de toute autre engeance masculine. Elle a le soutien de monsieur le curé, depuis quen confession elle lui a confié les exigences sexuelles de son goret de futur ex-mari. Qui, de plus, ne va jamais à la messe

Monsieur Martin na donc plus dexutoire à ses pulsions sexuelles. Le recours à des professionnelles est exclu car il ny en a pas dans leur petite ville de province, et la grande ville la plus proche est à une distance considérable. Au prix de lessence et en ajoutant la prestation de la dame, cela coûterait une somme rondelette. Car monsieur Martin, en plus, est radin

Heureusement, monsieur Martin a son royaume ! Son entreprise, une petite affaire dune quinzaine de salariés, qui tourne rond, rapporte assez pour vivre correctement et dans laquelle il peut se comporter en petit tyran. Cest bien le seul endroit où il se sent bien ! Un endroit où on ne conteste pas son autorité ni ses ordres. Un endroit où on lécoute quand il parle et où on ne divorce pas. La situation catastrophique de lemploi dans la région interdit à ceux et celles qui ont du travail de labandonner.

Cest à cela quil pense ce vendredi soir, en glissant une main entre les cuisses maigres de Sabine, debout, aux ordres, à côté du fauteuil directorial dans lequel il est vautré. Il est 17 h 30, le personnel est parti, ils ne sont que tous les deux. Il a attendu ce moment depuis le début de laprès-midi. Sabine était penchée et tournait les pages du parapheur quand la main de monsieur Martin est arrivée, rapide, jusquà ses fesses, sous la jupe, sans quelle ne bronche Elle sy attendait et elle a lhabitude. Sabine Dumont est la secrétaire de monsieur Martin depuis cinq ans. Assez grande, anguleuse, sèche, elle na ni fesses ni poitrine, aucun charme ni sex-appeal

Elle subit les assauts de monsieur Martin depuis la demande de divorce de madame Martin il y a six mois. La première fois que monsieur Martin sétait permis de lui mettre la main aux fesses, elle a été très surprise. À 45 ans, aussi fine desprit que de corps, elle na aucune illusion sur ses charmes. Lindifférence de son mari à son égard, au plan sexuel, lui démontrait tous les jours quelle nengendrait pas le désir charnel. Aussi était-elle restée clouée sur place par la surprise quand, sans un mot, monsieur Martin sétait mis à lui caresser le sexe au travers de ses collants et de sa culotte.

À aucun moment elle navait songé à protester, et quand monsieur Martin exhiba son sexe en lui enjoignant de le sucer, elle protesta mollement puis, sous la pression de la main du patron qui appuyait sur son épaule, elle glissa sur les genoux et prit le sexe en bouche. Ce fut une fellation maladroite qui sinterrompît rapidement. Monsieur Martin lui enjoignit de se relever et elle se retrouva assez brutalement à plat-ventre sur le bureau, la jupe troussée, les collants et la culotte sur les chevilles. Elle grimaça de douleur et protesta lorsque monsieur Martin essaya de sintroduire dans son sexe sec. La réponse à ses protestations fut immédiate : cétait ça ou la porte…

Pour faciliter son action, monsieur Martin avait enduit son membre de salive et parvint à pénétrer cette pauvre Sabine qui pleurnicha tout le temps de lacte. Lequel fut court car monsieur Martin nayant plus accès au sexe de sa femme se trouvait très frustré De plus, il nétait pas du genre à se soucier du plaisir de sa partenaire !

Une fois lacte terminé, monsieur Martin lui mit une claque sur les fesses maigres. Sabine remonta tant bien que mal sa culotte et ses collants que monsieur Martin avait filés, tout en reniflant. Elle rentra chez elle, les collants déchirés et les yeux rouges. Quand son mari lui demanda ce qui sétait passé, elle éclata en sanglots et raconta ce qui, à ses yeux, était un viol. Même si au fond delle-même, elle reconnaissait ne pas sêtre trop débattue.

Curieusement, la réaction de son mari fut très différente de ce quelle attendait. Il voulut connaître tous les détails, surpris que sa maigrichonne de femme excite des appétits sexuels. Elle dut expliquer. Il voulut voir et elle se rendit rapidement compte que son mari était très excité alors quil ne lavait pas touchée depuis trois bons mois. Rapidement, elle se retrouva à reproduire la scène, son mari jouant le rôle de monsieur Martin et elle prit du plaisir à le sucer puis à se faire prendre sur la table de la salle à manger qui joua le rôle du bureau. Sabine comprit que son viol avait ranimé la flamme de son mari et leur vie sexuelle, depuis, devint bien plus intéressante

Chaque fois que monsieur Martin la troussait sur le bureau, c’est-à-dire environ deux fois par semaine, le soir même son mari et elle rejouaient la scène en y ajoutant quelques suppléments, et chacun y prenait un plaisir intense Le feu rejaillit des anciens volcans

Aussi, ce vendredi, lorsque la main de monsieur Martin malaxe le sexe de Sabine, celle-ci ne bronche pas et se projette déjà dans laprès. Son mari lattend dans le petit hall dentrée. Ils iront au restaurant ; elle lui racontera à voix basse comment monsieur Martin laura prise tout en caressant son sexe au travers de son pantalon. Puis, une fois à la maison, ils rejoueront la scène en la pimentant

Monsieur Martin a déjà sorti sa queue et attend sa fellation. Sabine sagenouille et avale le sexe mou. Le patron nest pas en forme. Il a reçu cet après-midi une note de lavocat de sa femme et ça lui reste sur lestomac Du coup, il est de méchante humeur et il bande mou.

Vous vous y prenez comme une gourde, ma pauvre Sabine Relevez-vous !

Sabine est décontenancée. Cest la première fois quelle voit monsieur Martin ne pas frétiller du sexe dès le début de la fellation. Surtout quelle a limpression de sêtre améliorée dans cette technique. Une progression saluée par son mari ! Mais pour monsieur Martin, il en faut plus, aujourdhui, pour oublier ses soucis de pensions alimentaires et autres frais davocat. Il lui faut plus dexcitation. Une envie perverse lui traverse lesprit.

Déshabillez-vous, ordonne-t-il.

Obéissante, elle trousse sa jupe et fait glisser sa culotte le long de ses pauvres cuisses.

Non, complètement, enlevez tout

Elle hésite, regarde autour delle, perturbée par ce changement de programme

Mon mari Il mattend Dans le hall

Comment ? Vous discutez mes ordres ? éructe le tyran.

Alors Sabine se décide et se dénude sous les yeux du vicieux.

Gardez seulement vos bas

Elle se retrouve debout à côté de lui, vêtue de ses seuls bas, une main devant son sexe et lautre essayant de cacher sa petite poitrine qui pendouille comme deux gants de toilette greffés sur son torse maigre. Elle a honte et cela se voit. Un sentiment de toute-puissance fouette les sangs de monsieur Martin.

Vous avez osé contester un de mes ordres : vous méritez une punition !

Il la saisit par un bras et lattire violement vers lui. Elle bute contre le fauteuil et bascule en avant. Elle se retrouve à plat-ventre sur les cuisses de monsieur Martin et il lui assène une belle claque sur ses fesses plates. Elle sursaute et pousse un cri.

Taisez-vous ! Vous voulez que votre mari vous entende ?

Une deuxième claque sabat sur son derrière osseux et elle serre les dents. Les claques pleuvent maintenant régulièrement, et monsieur Martin sent monter une excitation sans égale. Il administre une fessée à sa secrétaire nue alors que le mari est à quelques mètres, séparé par une porte. Dailleurs, ce nest plus Sabine qui est sur ses genoux, les fesses offertes. Cest sa femme, cette emmerdeuse qui ose le quitter et quil punit en la fessant sans retenue. Son sexe gonfle alors que les fesses de Sabine rougissent.

Debout et en position.

Elle nhésite pas une seconde et se relève, pose son ventre sur le bureau, écarte les jambes et attend lassaut, pauvre vestale offerte au phallus patronal. Son arrière-train rougi par la punition est brûlant et elle est partagée entre un sentiment de honte de sêtre fait fesser comme une gamine et une excitation suspecte. Serait-elle maso ?

Monsieur Martin, lui, ne se pose pas de questions et sest introduit sans difficulté dans le sexe de Sabine.

Salope ! Tu aimes ça, la fessée : tu es toute mouillée, constate-t-il en lui donnant de furieux coup de boutoir.

Puis il ralentit. Ses yeux exorbités son rivés aux fesses rougies de Sabine. Le pauvre cul plat, les fesses tristes lexcitent comme jamais. Sil ny prend garde, il va décharger sur le champ. Alors il ralentit le rythme de ses mouvements et essaie de senfoncer le plus possible. Il aimerait quelle réagisse, quelle crie, que son mari entende sa femme brailler sous ses assauts à lui, le patron. Mais Sabine, aussi excitée soit-elle, reste silencieuse et immobile, attendant que monsieur Martin prenne son plaisir.

Hélas, celui-ci a envie dêtre violent, de faire mal, de se venger sur elle des ennuis que sa femme va lui créer. Sournoisement, il sort sa queue du sexe qui lhébergeait et pose le bout de son gland sur lanus de Sabine. Une pratique que sa femme naurait acceptée pour rien au monde, elle pour qui la fellation est déjà une abomination

Sabine a compris ce qui se passe dans la tête de monsieur Martin. Elle tente de se redresser, mais il appuie de tout son poids sur son dos avec son torse tandis que, le sexe dans une de ses mains, il tente de se guider entre les fesses de Sabine.

Non, non, pas par là, pas ça

Tais-toi ! Ton mari va tentendre.

Son gland vient de pénétrer ce petit trou serré. De la paume de sa main, Sabine étouffe son cri de douleur. Elle sent la progression de sexe de monsieur Martin dans son intestin. Elle a le temps de penser quheureusement il nest pas de la taille de ceux quelle a vus dans les cassettes que son mari ramène pour pimenter leurs ébats. Puis elle sent le ventre mou et rebondi de son patron qui pousse sur ses fesses. Il est entièrement en elle et simmobilise pour savourer son plaisir. Ce répit permet à Sabine de shabituer à cette sensation étrange. La douleur diminue maintenant quelle se décontracte. Puis monsieur Martin se met en mouvement. Dabord doucement, puis de plus en plus vite. Il grogne et tente à chaque aller et retour daller plus profond, pressant son gros ventre sur les fesses aussi maigres que rouges. Le silence règne sur le bureau, à peine perturbé par le souffle court de monsieur Martin et le claquement rythmique des chairs.

Enfin, elle le sent qui pousse une fois encore, sarrête, puis le sexe de son tourmenteur semble grossir et il explose. Monsieur Martin se vide en elle en soufflant fort. Sabine sent que son intestin est inondé. Son patron se remet à bouger lentement, un ou deux allers et retours comme pour extirper les dernières gouttes de son plaisir tout en respirant comme une locomotive. Après quelques moments pour reprendre son souffle, il retire son sexe presque mou de ce cul quil vient dhonorer. Les fesses rouge vif le font sourire et il plaque une dernière claque sur le derrière immobile. Mais cette claque-là est presque affectueuse.

Il se rebraguette tandis que Sabine se redresse doucement. Elle a les traits tirés, les yeux presque aussi rouges que son cul, et tandis quelle shabille lentement et sans un mot, monsieur Martin a un moment de vertige. Et si elle portait plainte ? Si elle allait consulter un médecin ? Comment faire croire quelle est consentante avec ces traces sur ses fesses ?

Elle met ses vêtements tandis quil fouille les poches de son pantalon.

Allez rejoindre votre mari, Sabine Et tenez, une petite prime. Vous irez avec lui au restaurant ce soir.

Il lui tend un gros billet quelle prend et disant machinalement merci. Elle qui connaît bien son avarice légendaire, elle se dit que cette sodomie a dû lui procurer un plaisir intense.

Lorsquelle arrive dans le hall, son mari qui trouvait le temps long se précipite.

Ce salaud ta baisée, hein ? Quest-ce quil ta fait ?

Elle lui fait signe de se taire et ils regagnent rapidement la voiture.

En route vers le restaurant elle commence à raconter. À lépisode de son strip-tease imposé, il conduit dune main alors quil se caresse de lautre. La scène de la fessée le met dans tous ses états. Il se gare sur le bas-côté de la route, heureusement peu passante, et Sabine, à genoux sur le siège passager lui prodigue cette gâterie dans laquelle elle commence à être experte. Il a relevé sa jupe et caresse les fesses encore endolories et chaudes. Dans son cerveau, le mari de Sabine vit la scène, imagine, brode, ladapte à son envie, à ses fantasmes Son excitation est telle quil se répand rapidement dans la bouche accueillante. Elle serre ses lèvres autour de la hampe et avale goulûment la semence de son mari. Encore une chose impensable quelques mois plus tôt.

Elle reprend une place plus normale sur le siège passager et prend le sexe de son mari dans sa main pour une longue caresse langoureuse tandis quà loreille elle lui raconte sa sodomie. Elle sent que son mari reprend immédiatement de la vigueur. Elle est aussi excitée que lui et ils abandonnent la voiture pour senfoncer dans le sous-bois où Sabine, après avoir rapidement troussé sa jupe et baissé sa culotte, se fait prendre debout, agrippée à un tronc darbre. Après un premier orgasme qui na pas échappé à son mari ravi, elle se cambre, saisit le sexe qui la fouille, lextirpe de sa chatte inondée et le positionne sur son anus. Elle est tellement trempée que la queue de son mari na aucun problème pour se frayer un chemin dans un anus décidément bien fréquenté ce soir

Tandis quil la besogne à grands coups de reins, elle ne peut sempêcher de rendre hommage à monsieur Martin : grâce à lui, sa vie de couple est repartie sur de bons rails ; son mari est ardent comme un jeune homme et elle découvre des plaisirs inconnus.

Elle sait désormais comment se rendre indispensable à monsieur Martin et comment faire pour que son mari redevienne lamant fougueux quil était voici vingt ans. Lavenir sannonce radieux

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