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Les amis de Jean-Claude – Chapitre 1




Je vous ai déjà parlé de mon copain,

C’est un vieux (presque vingt ans de plus que moi) que j’ai connu dans un sex-shop, du temps où je les fréquentais. C’est une tarlouze finie, qui suce et se fait mettre à volonté, à la vue de tous. Dès notre première rencontre, il m’a proposé de me recevoir chez lui. On s’est fait de nombreuses baises, mais cela fait un bon moment que je ne le vois plus.

Je suis seul chez moi, je me branle devant un film gay, j’ai gardé son numéro, et je l’appelle:

— Allo, Jean-Claude!

— Oui.

— Bonjour, c’est Eric, tu te souviens de moi?

— Ah, Eric, oui bien sûr, salut. Mais ça fait longtemps dis moi!

— Oui, plus d’un an je pense. Je suis en manque et je pense à toi. Tu aimes toujours la queue?

— Oh oui, je l’aimerais jusqu’à mon dernier jour.

— Je peux venir te voir demain?

— Attends, je regarde mon agenda. ……………… Ok, je suis libre, tu peux venir à partir de quinze heures, pas avant, je fais la sieste.

— Ok, ça marche, je serais là. Bisous mon chéri, à demain.

— A demain mon amant, bisous.

Je suis chez lui à l’heure prévue, et on s’empresse d’aller à sa chambre.

On se défringue, on s’installe sur le lit et il m’embouche.

— Hum, oh putain que c’est bon, tu pompes toujours aussi bien ma salope. J’en ai connu des trainées, mais tu es la meilleure de toutes, la reine des suceuses.

— Salaud, tu es toujours aussi pervers. J’aime ton regard cochon, j’aime tes mots orduriers, vas-y, insulte moi, fais toi plaisir, tu sais que j’aime ça, surtout si ça te fait encore plus bander.

— Mais je ne t’insulte pas ma salope, je te dis juste ta vérité. Tu es une vicieuse, une chienne, une sous-merde.

— Salaud, c’est bon comme tu me parles. Tu l’aimes la bouche de ta pute?

— Oui, je te l’ai dit, tu es la meilleure. Bon, maintenant tu la fermes et tu suces.

Il se soumet et me pompe en continu durant de longues minutes. Je m’efforce de me contrôler pour ne pas gicler trop vite, j’essaie de penser à autre chose que sa bouche divine. Un bon moment qu’il me turlute et je n’en peux plus. J’explose dans sa bouche en un feu d’artifice qui n’en finit plus. Quand ma bite s’est calmée, il se dégage et exhibe sa bouche pleine de mon sperme. On se roule une pelle et on salive tant que l’on peut. Nos lèvres se dessoudent et on a chacun la gueule farcie de nos jus mélangés. Il avale tout, je recrache mon contenu dans sa bouche, et il avale encore.

On a tout notre temps, et on se fait un câlin, le temps que je reprenne des forces pour l’enculer. Il me raconte ses aventures, hélas de moins en moins nombreuses. Il a près de quatre-vingts ans, et n’est plus aussi fringant qu’il y a quelques années. Il se déplace rarement au sex-shop, mais il lui reste trois habitués qui lui rendent visite; autant dire que ma venue est un bonheur pour lui.

Un de ses visiteurs, est un homme de quarante-cinq ans, un routier, de passage tous les quinze jours.

Il lui fait penser à moi, est aussi vicieux, a les mêmes goûts. Il aime se farcir des lopettes, mais aime bien sucer à l’occasion. Il ne pompe pas à fonds, ne se fait pas mettre, mais a de plus en plus envie d’essayer.

Jean-Claude me demande alors si ça m’intéresserait de baiser avec son copain, de m’offrir à lui, comme il va s’offrir à moi. Ca me tente, je pense de plus en plus à franchir le pas, et j’accepte.

Il appelle son ami, Philippe, me le passe, et on se met d’accord.

Ca se passera chez Jean-Claude, et il pourra nous observer en voyeur qu’il est aussi.

Ce coup de fil m’a excité, redonné vigueur, et je sodomise copieusement mon vieux, pour son plus grand plaisir. Je m’en vais.

Quelques jours plus tard, Philippe est de passage dans notre ville, et on prévoit un plan.

On se retrouve tous les trois chez Jean-Claude, pour une baise débridée.

Philippe souhaitait que l’on se travestisse, et que l’on s’aime au féminin, comme des transsexuelles. Jean-Claude a toute une panoplie de vestiaire de femme, qu’il utilisait pour aller au sex-shop, et on se déguise.

On est tous les deux, Philippe et moi, en tenue de pute: chemisier, mini jupe, bas, jarretelles, petite culotte, chaussures à talons demi-hauts, perruque, rouge à lèvres.

On est face à face, au salon, on se tient par les hanches, et il commence nos échanges:

— Hum, tu es belle ma chérie. Tu embrasses?

— Oui, je fais tout. Et toi?

— Moi aussi, donne moi ta bouche.

Nos lèvres se soudent, et on se roule une chaude pelle goulue. Il ouvre mon chemisier, me l’enlève, j’en fais autant et on se retrouve torse nu, on se caresse les seins. Nos mains glissent entre nos cuisses, j’ai un début d’érection dont il se rend compte:

— Mais tu bandes, petite  coquine. Elle te fait de l’effet ta salope?

— Oui, mais tu bandes toi aussi. Elle te plait ta pute?

— Oui, vicieuse, laisse moi voir ce que tu caches sous ta jupette.

Il s’accroupit, et dégrafe ma jupe qui tombe au sol. Je me retrouve en bas, jarretelles et petite culotte; une culotte que j’ai mis à l’envers, devant derrière, pour mieux emballer mon paquet.

Il me caresse à travers le tissu, puis écarte l’élastique de la taille. Ma queue en profite pour faire une sortie et libérer mon gland. Il l’embrasse, le lèche, le suce. Sa main dégage mon entre cuisses, et il me pelote les couilles avant de les brouter.

Je le relève, enlève mon dessous, puis m’accroupis à mon tour, pour arracher son string et câliner son magnifique sexe.

On est à nouveau debout, on s’embrasse, on se caresse intimement. Il est chaud, et me le fait savoir:

— Cette bite! Cette bite que tu as ma salope! J’ai envie de sucer, de te vider les couilles.

— Tu veux me sucer à fonds? Jean-Claude m’a dit que tu refusais.

— Oui, c’est vrai, mais j’ai décidé d’essayer. Et puis il m’a dit que ton foutre était aussi bon que le mien, alors comme j’aime bouffer mon sperme, je devrais aimer le tien.

Il se met à genoux, et me confirme ses intentions:

— Laisse toi aller, je vais te faire éjaculer, je veux que tu me donnes tout.

Il me turlutte, et je m’abandonne. Je suis trop excité par la situation pour pouvoir me contrôler, et je décharge rapidement. Il embouche tout, et avale, sans perdre une goutte.

On se roule une nouvelle pelle vorace, et c’est à mon tour de le sucer. Je n’ai jamais pompé à fonds moi non plus, mais je sais que c’est ce que je vais faire. Il ne résiste pas longtemps à ma bouche experte, et il me remplit la gueule de nombreuses giclées bien épaisses. J’engloutis tout avec délice.

Jean-Claude est comme un fou de nous regarder faire. Il adore les films gay, mais de nous voir en réel, cela est cent fois mieux. Il est à poil, s’est mis un gode dans le cul, et tripote son zizi dans l’espoir de bander et pourquoi pas jouir. Il est impuissant depuis longtemps, mais exceptionnellement il lui arrive de se faire éjaculer.

On s’embrasse encore avec Philippe, et Jean-Claude se joint à nous pour des patins à trois.

Nos bites sont fatiguées, et on s’installe sur le canapé pour regarder un film, de splendides transsexuelles brésiliennes montées comme des ânes.

Nos bites reprennent de la vigueur, et on va à la chambre pour l’étape suivante dans notre désir d’être des grosses salopes.

A suivre…

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