Ma première rencontre avec le sexe a été une expérience bi !
Lors d’un jeu de poursuite dans l’appartement, Jérôme et moi, nous nous sommes enfermés dans la salle de bains. Nous étions troublés, depuis le temps, mais il s’était bien débrouillé Maintenant, il me répétait sans cesse que, pour le "corriger", je pouvais faire ce que je voulais
— Mais quoi donc ?
— Ce que tu veux, répétait-il
J’ai fini par m’enhardir, je comprenais ce qu’il voulait
J’ai glissé ma main sous son pantalon, et il a écarté ses cuisses, me laissant la place Il a enfin dégrafé son pantalon, sentant que ma main ne pouvait pas aller bien loin !
Sa queue était toute droite, bien dure, lisse Je l’ai ainsi caressé pendant plusieurs minutes, et il y prenait manifestement beaucoup de plaisir, je l’entendais doucement haleter Je longeais sa tige, toujours prisonnière du pantalon, le lui caressais les boules, doucement Ce jeu n’a pas pu durer bien longtemps, notre poursuite continuait, d’autant que mon frère nous savait maintenant dans la salle de bains Il tapait à la porte, mais nous continuions notre petit jeu coquin, goûtant délicieusement à ces derniers instants Jérôme ne me caressait pas encore, mais je me disais que nous ne faisions que commencer !
Nous sommes enfin sortis de la salle de bains, et notre poursuite a repris.
Rapidement, Jérôme et moi sommes de nouveau seuls, mais cette fois-ci, dans les toilettes. Nous avons fermé la porte, et nos mains se sont immédiatement mises à "bouger". Cette fois-ci, Jérôme me caressait également, je sentais ses mains sur mon pantalon, il me caressait avec intensité
Je lui disais qu’il était un cochon, mais il en rigolait en redoublant ses pressions. J’étais dans son dos, je crois, et je me plaquais entre ses fesses, il se frottait le cul à ma bosse, sa main entre nous. Mes mains lui malaxaient la bosse de nouveau bien prononcée. J’ai ouvert son pantalon et me suis de nouveau emparé de sa verge, le prenant de mes doigts envieux Il s’est détaché de moi et j’ai ouvert mon pantalon. Ses mains ont disparu dans mon slip, et ce 1er contact me provoqua une décharge d’électricité de plaisir.
J’étais troublé de cette situation, dans le noir, aux toilettes, moi caressant la queue de Jérôme, lui me caressant la queue. Je nous sentais comme de petits vicieux
Hélas, nous devions encore nous arrêter
C’est le lendemain que les choses ont pris un bien plus intense tournure
Il est venu dans ma chambre, il était 18h, et l’air très gêné, il voulait me demander quelque chose, mais n’y parvenait pas J’avais beau lui répéter qu’il pouvait parler, il n’y arrivait pas, et je finissais par me douter de ce dont il voulait me parler. Je lui ai proposé de l’écrire le temps que je serais aux toilettes J’étais terriblement excité, j’ai profité des toilettes pour me caresser en me disant que nous étions de petits coquins
A mon retour, un petit mot sur la table Il était reparti dans sa chambre
— On fait comme hier ?
Je me rappelle en avoir ressenti énormément de plaisir, et me suis de nouveau caressé.
Le repas est ainsi passé, puis la soirée, normalement pour chacun d’entre nous, mais pour moi, j’étais impatient, terriblement excité Pour Jérôme, je ne sais pas
Arrivé minuit, je me levais. Il faisait bien noir mais je connaissais le chemin. Je suis entré doucement dans sa chambre, il ne dormait pas, il m’attendait ! Il a ouvert son lit, écartant les draps, découvrant son pyjama. Je me suis assis et ma main se porta immédiatement au bas de son ventre, et il fit descendre son pyjama. Dans la pénombre, je pouvais voir sa tige déjà droite et raide Il était totalement lisse
Je le caressais doucement, il gémissait doucement, en se cabrant sensuellementJe finis par approcher mon visage de son ventre, et doucement, ma bouche s’approcha. J’ouvris mes lèvres, en tenant sa queue de mes doigts désireux, tendant sa queue. Puis elles se refermèrent autour de l’extrémité de sa tige, de son gland. Je déposais un premier baiser, puis le gobais ouvrant totalement ma bouche, enfermant ses chairs dans ma bouche. J’avais maintenant sa tige dans la bouche, je commençais par aspirer, puis ma langue le léchait avec intensité.
Spontanément, je finis par monter et descendre le long de sa tige, tout en lui caressant les couilles, plongeant aussi ma main entre ses fesses, ma langue parcourant toute sa longueur
Ses cuisses se sont écartées, m’invitant à des caresses différentes. J’ai mis un doigt dans ma bouche, accompagnant sa verge, le lubrifiais avec abondance, de façon à ce que les jeux que je désirais soient les plus agréables possibles, tant pour lui que pour moi ! Longuement, je lui pompais la verge tandis que mes doigts s’aventuraient entre ses fesses à sa petite fleur anale
Son corps ondulait avec l’intensité des pressions de mes lèvres autour de sa tige
Je me suis ensuite séparé de lui, pour m’allonger sur lui. J’avais retiré mon caleçon, je voulais sentir nos deux verges se toucher. Je voulais l’embrasser en même temps, mais il me fit comprendre qu’il ne voulait pas que l’on s’embrasse
Nous continuions donc ainsi, il sa cabrait, j’en faisais de même et nos regards se portaient en ce même lieu : nos deux verges se croisant comme deux épées, mais là, c’était des épées de sexe, de plaisirs
Ce jeu dura quelques instants, mais il voulait ensuite autre chose
Il me demanda de m’allonger sur le dos, je le fis avec grand plaisir, sachant ce qui allait se produire J’écartais mes jambes, il se plaça entre, et sans hésiter, se courba en saisissant ma queue. Sa bouche s’ouvra et se porta à mon gland. Il s’ouvra totalement et commença à monter et descendre, tout en me tenant fermement la queue et en me branlant
Je me cabrais et gémissais à chacune de ses attentions Je crois qu’il devait y penser depuis longtemps, qu’il s’était déjà souvent masturbé en pensant à ce moment-là, il était expert, malgré son âge, il me faisait beaucoup de plaisir, savait comment me faire monter
Ce jeu continua un bon moment, cela faisait bien 30 minutes que nous étions en train de baiser, discrètement, il ne fallait surtout pas faire de bruits
C’est en étouffant mes cris que je finis par décharger, il n’avala pas, mais mon sperme giclant, il l’utilisa pour se lubrifier plus encore la main et me branler avec encore plus d’intensité Je bandais dur, me cabrais, amenant ma verge à la hauteur de son visage, et il finit par me reprendre ma queue dans sa bouche
Un bruit nous surprît, et nous arrêtions de suite, nous rhabillant très vite C’est le cur haletant que nous attendions de réentendre quelque chose Quelqu’un passa dans le couloir, pour se rendre dans la salle de bains, mais Jérôme continuait à me caresser la queue sous mon caleçon, sachant que nous n’allions pas être dérangés
Personne ne venait nous voir dans nos chambres, la nuit Heureusement d’ailleurs, nous aurions été souvent surpris et dans des situations bien plus que délicates et sans équivoque
Nos jeux ont duré près de 14 mois ainsi, toujours très discrets, toujours la nuit, soit dans ma chambre, soit dans la sienne, soit encore dans la salle de bains Nous ne nous rendions pas compte que cette salle de bains pouvait nous mettre dans une situation "délicate" pour nous Nous la fermions quand-même, mais qu’aurions nous pu dire si nous avions été surpris, la salle de bains fermée et éteinte, et nous sortant ensemble ? Je n’ose imaginer ! Mais cela ne nous a pas empêché de nous y retrouver et d’y baiser parfois dont cette fois-ci :
Notre code "signal" pour baiser le soir : "Tu me corriges ce soir ?"
Ce fût le cas un autre jour, et nous avons décidé de nous enfermer dans cette salle de bains Pourquoi ? Je ne saurais le dire, mais cette fois-ci, j’ai bien pris les choses en mains :
J’ordonnai à Jérôme de s’asseoir sur le petit fauteuil de tissus, et me mis en situation, écartant ses cuisses, à le sucer avec intensité J’étais agenouillé ma tête plongée entre ses cuisses, et sa queue profondément fichée en ma bouche Je le branlais avec intensité en même temps et il aimait :
— Mmmmhh, c’est bon ! répétait-il sans cesse
Cette nuit là, je voulais son sperme, son jus de jeune vicieux Curieusement, il ne jouissait jamais totalement mais prenait énormément de plaisir, ses paroles, ses positions, ses offres en disaient long sur ses plaisirs
Je le branlais avec force, lui malaxant la verge, son extrémité, bavant sur nos chairs toutes faites de plaisirs purs, montant et descendant, le suçant en le pompant avec force mais il ne venait pas En même temps, je me branlais
— Viens ! me dit-il
Je ne comprenais pas, et il me demanda de me lever
Je me levais, et c’est lui qui me prit par les fesses, m’approchant de son visage. Je comprenais qu’il voulait ma queue, et c’est avec plaisir que je me laissais disparaître entre ses lèvres Il imprimait un mouvement de va-et-vient, je l’aidais Je me tenais incliné, mes mains posées sur les accoudoirs du fauteuil et je lui fourrais la bouche. Je le regardais faire, ça m’excitait encore plus, et me durcissait encore plus
Puis, c’est moi qui me retirait, je me sentais monter et ne voulais pas encore jouir
— Ton cul ! lui murmurais-je
Il descendit au sol, se retourna, se mit à quatre pattes, et se cabra
Je lui caressais tant les fesses que la tige. Je lui posai des baisers sur ses fesses lisses, le mordillant, et je sentais son plaisir monter Sa petite queue pendait doucement, mais je la voyais bien droite Je lui écartais les fesses, puis ma langue se laissa aller Il était bien propre, son anus accueillit ma langue avec bonheur, puis-je entendre
— Ouhhhh, c’est bon !
Avec mes doigts lubrifiés de salive, je lui fouillais la fleur anale, sans y entrer, mais doucement, j’y pénétrais Mon index tendu finit par entrer et par de lents mouvements de va-et-vient, je commençais à lui branler l’anus
— Continue ! me répétait-il doucement
Alors, une fois bien préparé, je m’emparais de sa taille, puis m’avançais jusqu’à ce que ma queue vienne se loger entre ses belles fesses lisses Je m’emparais de ma verge pour me diriger vers sa fleur intime, mais notre inexpérience Je ne pus que poser mon gland à son anus, lui ne sachant pas comment mieux s’écarter, et finis par jouir Mon sperme gicla généreusement à son anus, à son cul, à ses fesses
Nous nous séparions toujours très rapidement, soit lui, soit moi faisant comprendre cette fin
Malgré cette habitude, il nous est arrivé de nous rencontrer la nuit sans signal. C’est lui qui a commencé cette "mode" et à quelques reprises, nous nous mettions à réveiller l’autre immédiatement par des contacts sexe
La première de ces fois-là, c’est Jérôme qui est venu dans ma chambre
Il m’avoua par la suite être resté plusieurs minutes à me regarder dormir, en se branlant doucement. Ce fût avec un bonheur intense qu’il m’extirpa de mon sommeil : il me suçait, et depuis déjà un moment, je bandais et j’étais déjà bien gluant Doucement, ma torpeur faisant place à un désir puissant, je me réveillais et le voyais, agenouillé, sa tête me cachant le bas de mon ventre.
Être ainsi réveillé est fantastique
Après quelques instants à me laisser aller à ses envies de ma queue, je l’invitais à se mettre au dessus de moi, en 69, afin que je profite également de sa tige Je peux dire maintenant qu’un 69 entre deux garçons n’est pas très pratique si les deux ont envie de parfaitement envie de jouer totalement avec la verge de l’autre Même si je parvenais à me fourrer la bouche de ses chairs, ce n’était pas très confortable, mais je jouais avec son cul, avec sa fleur rectale que je branlais abondamment de mes doigts agiles et coquins
Je lui demandais maintenant de se mettre sur le dos Je me plaçais entre ses cuisses qu’il écartait avec générosité et je voyais, dans la pénombre, son corps de jeune garçon, sa tige totalement lisse, droite et dure Je me léchais délicatement la main, le regardant se branler en brandissant son bâton, puis le lui saisis
C’est avec intensité que je le branlais, alternant mes jeux de mains avec des jeux de bouche, et ma langue lui parcourait parfois la tige comme l’aurait fait de même avec une sucette Il était devenu ma sucette
Nos histoires se sont terminées ainsi, curieusement, nous n’avons plus jamais baisé ensemble et n’en avons jamais parlé
C’était dans ma chambres, et après plusieurs nombreuses minutes de nos jeux de langue, je l’invitais à me prendre le cul Je me mis à quatre pattes, et instinctivement sachant comment faire pour le faire entrer sans problème et avec délice, je lui demandais :
— Viens, prends-moi
Il s’occupa de mon petit trou avec ses doigts, me branlant le trou avec agilité, douceur et intensité Puis je me cabrais plus encore le cul, en posant ma poitrine au lit, soulevant mes fesses Je sentais sa tige entre mes fesses, son gland me parcourir la raie, jusqu’à trouver mon petit trou Puis, doucement, il cherchait à s’enfoncer, je sentais l’extrémité de sa queue me pénétrer, mais tout à coup, il se retira : il saignait, un peu
Nous n’avons jamais recommencé, malgré mes demandes, il avait eu peur
C’est souvent que je repense à ces quelques moments, à ces contacts vicieux entre deux jeunes garçons découvrant leurs goûts bisexuels, leurs corps, leurs sexes, en me masturbant, et c’est peut-être pour ces raisons que j’adore les sexes lisses, rasés, épilés, tant de femmes que d’hommes Instinctivement, j’ai su comment faire pour me faire sodomiser, puisqu’un jour, un partenaire m’a dit être entré en moi "comme dans du beurre" alors que pour seules préparations, je l’avais juste sucé pour saliver abondamment sur sa queue, il était allongé et je me suis laissé aller en m’empalant assis sur sa tige
Voilà de très beaux souvenirs, excitants et délicieux