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Cathy et Richard 2: l'anniversaire – Chapitre 1




Cette histoire écrite pour deux femmes dominatrices. Puissiez-vous prendre autant de plaisir à la lire que moi à la leur écrire…

HAPPY BIRTHDAY !

Le téléphone sonna. Cathy soupira et alla décrocher le combiné du sans-fil. Elle songeait que cétait sûrement belle-maman qui venait souhaiter son anniversaire à Richard, comme chaque année. Ses beaux-parents habitaient Lille dans le nord de la France. Ils ne se voyaient finalement quune ou deux fois par an et cétait mieux ainsi. Mme Duport était toujours anxieuse pour son fils, sa santé, son boulot, sa descendance qui tardait à venirQuelle se rassure ! Cathy faisait tout pour son bonheur,surtout depuis deux ans et aujourdhui en particulier le 16 avril, jour de son anniversaire.

« Allo ? Cest Yvonne Duport à lappareil » « Oh, bonjour Yvonne ! Comment allez-vous ? » La conversation sengagea durant quelques minutes, puis elle appela Richard. Il attendait ce coup de fil depuis une heure et demie déjà A genoux Dans le hall… En slip… Devant le PC portable de sa belle épouse. Elle lui faisait taper ses résumés de commandes du mois de mars, histoire quil ne perde pas son temps à 100% ! Mais pourquoi lui mettrais-je un tabouret ? pensait-elle souvent :son rendement à genoux était bien meilleur ! Plus la douleur et la fatigue lui taraudaient les rotules, plus il abattait vite un travail qui prenait des heures aux autres vendeurs, ses collègues de travail. Les erreurs étaient dailleurs très rares car elles donnaient lieu à des châtiment sévèresRichard avait quasiment fini les états demandés. Il sauvegarda les précieux tableaux sur un zip et sapprocha, toujours à genoux, de Cathy.

Mais elle ne lui passa pas le combiné. Elle avait pris un malin plaisir à prolonger la conversation en demandant des nouvelles de sa chère belle-sur, quelle détestait cordialement dailleurs . Richard grimaça, exprimant son désaccord implicite. Alors Cathy attira un tabouret sous son charmant postérieur et sassit, histoire de montrer quelle était maître du jeu

Elle croisa ses jambes gainées de collants à maille résille du plus bel effet et présenta son pied droit chaussé dune bottine noire à lacets à son homme ébahi. Après une courte hésitation, celui-ci se mit à couvrir le bout de sa chaussure de petits baisers humides. Elle prolongeait à nouveau la conversation par plaisir. Non pas le plaisir de parler, mais celui dhumilier la belle-mère dun côté et son fils de lautre, quel touchant spectacle de les voir souffrant ainsi de devoir attendre ! Un vrai sport de haut niveau !

Elle lui fit signe de délacer ses beaux souliers, ce quil fit avec maladresse, le sang battant dans les tempes. Puis il dut sallonger sur le dos, sur le marbre froid, et mettre sa tête au pied du tabouret. Avec élégance, elle lui recouvrit le visage de ses pieds chauds et humides. A cette odeur familière de cuir et de pieds, une bosse commença à se former sous son slip. Il avait déjà subi ce genre de choses : et « subir » nétait pas le mot exact, cest lui-même qui lui avait suggéré un jour que cette situation (tant fantasmée) lui plairait en pratique Réticente au début (ces hommes sont bien des porcs !) elle avait fini par apprécier cette sensation valorisante de lui imposer des odeurs qui lincommodaient elle-même !

    Satisfaite par leffet produit, elle resserra ses pieds de part et dautre de son nez, comprimant également sa bouche pour quil nait pas la coupable tentation de sen servir. Richard étouffait, la panique commençait à lenvahir. Bizarrement son érection ne sen souciait guère, il avait même la sensation quelle se réjouissait ! Il maudit son sexe à qui il devait ces séances de plus en plus humiliantes. Mais pourquoi lui avait-il livré ses fantasmes ? Pourquoi navait-il pas su garder ça pour lui ? Comment pouvait-il un jour espérer être traité avec bienveillance et douceur, alors quil lui avait demandé de lattacher et de le rudoyer, cest à dire en lui donnant barre sur lui ?!

Il suffoquait à présent. Son visage rouge et chaud luttait pour aspirer quelques précieuses bouffées dair à travers les collants odorants de cette femme. Ces bouffées dair étaient chargées dun parfum entêtant, mais lui fallait expirer ensuite durant de pénibles secondes de manque et dasphyxie . Son cur battait à tout rompre. Il allait avoir recours à ses mains, pour écarter ces pieds cruels, (geste sacrilège qui lui vaudrait une bonne punition !) lorsquelle les souleva dun seul coup et lui passa le combiné.

« Je vous le laisse belle-maman, auplaisir ! » Elle le maintint au sol de son pied sur le torse en lui donnant le sans-fil. Il aspira une énorme goulée dair et se mit à répondre aux questions nombreuses et inquiètes de sa mère. Tel ces speakers de la télé arrivés essoufflés au journal de vingt heures et luttant pour intercaler des brèves inspirations, avec les expirations à usage vocal, il répondit assez bien dans lensemble.

« Tu as lair essoufflé, Richard fit-elle à un moment » « Oui ; euh non, enfinje faisais ma gymnastique quand tu as appelé » improvisa-t-il brillamment. Cest dailleurs ce sens de limprovisation, de la répartie, ce don de retourner des situations perdues en apparence qui avait valu à Richard un poste si élevé pour son âge. Et qui lui avait valu aussi le respect, ladmiration et lamour de Cathy durant cinq ans. Oui mais voilàCest ce qui agaçait profondément cette dernière depuis deux ans, ne supportant plus la réussite de cette larve hypocrite et paresseuse, alors quelle, travailleuse et obstinée était maintenue en situation de cadre au placard par un directeur dagence machiste et soucieux de maintenir ses petites prérogatives

La jeune femme vit rouge ! La conversation téléphonique portait à présent sur la santé du beau-père, lhospitalisation dune voisine, les nouvelles de leur quartier à LilleCathy entreprit de finir de le déshabiller profitant quil était toujours allongé sur le dos et rivé au combiné. Elle retira le slip sans ménagement, puis elle vint se placer debout entre ses jambes. Elle joua un moment du bout du pied avec son membre qui reprit de la vigueur.

Il avait de plus en plus de mal à suivre la conversation. Cathy sen aperçut et décida de le faire conclure rapidement. Des orteils, elle étira ses deux bourses jusquau sol. Le contact froid du marbre le surprit. Puis elle exerça une pression légère sur ses parties génitales. Il lui lança un regard interrogatif auquel elle répondit par un geste éloquent de lindex et du majeur en forme de ciseau. Cela voulait dire « coupe la discussion ! ». La pression se fit plus forte, soudain, et menaçante sur ses mâles attributsElle ne plaisantait pas ! La douleur lui remontait dans labdomen.

Richard attendait vainement un blanc dans le flot de verbiage de sa mère pour reprendre la parole et conclure. Pour le contraindre à oser couper sa mère, elle fit alors porter un poids plus important sur ses orteils bien déployés. Il grimaça : « Ecoute, maman, je suis en transpiration, je ne veux pas prendre froidalors je vais te quitter ! » Il allait encore sen sortir avec les honneurs, tels les chats qui dévissent et retombent sur leurs pattes Folle de rage, elle écrasa franchement cette fois-ci ! « Je..telaisseaaah à bientôt ooooh ! »

Elle lui arracha le combiné et le claqua sur sa base. Richard se releva en tout hâte, furieux « maistu es complètement folle ? Tu mas fait mal ! Et puis cest ma mère !? Jai »Une gifle magistrale sur sa joue gauche coupa net sa phrase. Une seconde sur sa joue droite lui remit la tête daplomb ! « A genoux sale porc ! Comment oses-tu me parler sur ce ton ? Qui ta permis de te lever ? » Elle avait eu très peur devant son sursaut de fierté, et maintenant elle devait lui faire payer cher cet instant de panique !

« Tu dois comprendre que je fais ce que je veux de toi Et puis, ta mère a trop dimportance à ton âge ! tu nes plus un petit garçon Enfin, si tu nes pas content, tu nas quà partir je ne te force pas à rester ! » Sa colère éclatait , elle avait des yeux durs, il décida de ne pas soutenir son regard : « Excuse-moi, fit-il, je regrette » « Si tu me résistes encore une seule fois, je ruinerai ta carrière de merde en publiant sur le site du lycée toutes les photos de toi nu et attaché !! Tu nauras plus quà quitter cette ville la queue basse ! » Plein de honte, la tête penchée en avant, il ne pipait plus un mot. « Et maintenant jattends tes excuses ! »fit-elle.

    Soudain, honteux de son audace et mesurant la gravité de ce quelle lui annonçait, il articula dune voix blanche : « Je te prie de bien vouloir mexcuser, je ne suis quun sale petit con égoïste et douillet. » « Bon début ! et après ? senquit-elle, savourant cette juste autocritique » « Je suis un prétentieux, un vaniteux » « Cest exact, mais je suis seule à voir que tu es une larve et que tu adores ramper » « Oui, je ne suis quune sale punaise que tu as eu raison décraser, une larve qui rampe devant toi » dit-il , des sanglots dans la voix , parce que cétait la vérité, et que ça faisait mal de le dire à haute voix.

« Cest parfait ! mets-toi à plat ventre, tu vas texercer jusquà la cuisine où une surprise tattend ». Il commença un tortillement de reptation, lorsquelle le bloqua dun pied énergique sur le dos « Pas comme ça !mets tes mains dans le dos le moment est venu dessayer ton cadeau danniversaire ! » Elle extirpa une paire de menottes flambant neuves de la poche de son tailleur et lui crocheta les mains au dos. « Allez, en avant ! Fanfare ! »

Lorsquil arriva à la cuisine, avec difficulté vu ce qui lui poussait entre les cuisses et labsence de slip… , il aperçut un gâteau superbe, le couvert pour deux et une bouteille champagne Mumm cordon rouge à rafraîchir dans un seau à glace. Layant fait remettre à genoux, elle sassit à table et coupa deux parts de gâteau quelle disposa dans les deux assiettes. « Bon anniversaire mon petit cur ! fit-elle en attaquant sa part avec appétit »

Richard ne comprenait pas où elle voulait en venir. Il supposait quil ne devait pas sasseoir sans y être invité. Elle doit vouloir se faire supplier encore pensa-t-il, prêt à de nouvelles avanies. « Sil te plait, est-ce que je peux manger avec toi ? » « Non, non ! ! » Alors, interloqué, il se décida à lâcher la question qui le préoccupait, la question quelle attendait, privilège de la personne dominante qui a toujours un coup davance « Mais pourquoi as-tu mis deux couverts ? interrogea-t-il » « En hommage à lhomme que tu fus et que tu nes plus fit elle en se servant une pleine coupe de champagne. »

    Alors sa gorge se noua. Là elle en fait trop ! sentant quune évolution, lente au début, était en train de saccélérer dans leur couple : un glissement vertigineux vers sa propre déchéance, un dérapage quil navait pas prévu malgré son esprit si brillant. Il ne souhaitait quune petite séance de ligotage de temps en temps pour son égoïste plaisir . Et, prudent, il écrivait auparavant le scénario du (faussement) dominé, juste pour son désir, alors que cétait lui le vrai maître, en réalité, il décidait de tout à lavance !… Il avait même été despotique avec elle parfois. En lempêchant par exemple de partir à Paris pour un poste plus élevé voici trois ans Mais maintenant la situation lui échappait totalement.

A cet instant il compris quil était totalement pris dans sa toile et que cétait lui qui lavait aidée à la tisser. Il fallait assumer le rôle du moucheron dont laraignée se délecterait à sa guise, par petits coups daiguillon selon les besoins de son appétit trop longtemps refoulé. Son appétit féminin du Pouvoir, le POUVOIR. Oui, cétait lumineux ! elle avait pris le pouvoir dans le couple, parce quil le lui avait donné, alors que cétait lui qui lexerçait. Elle avait hésité, puis maintenant, elle lexerçait à son tour, tout simplement !

Elle allait en chercher les limites comme un enfant découvre son jouet neufElle leva son verre avec un regard narquois et le but dun seul trait . La jeune femme finit alors son gâteau dune bouche gourmande. Ses joues rosissaient et elle commença à couler vers lui des yeux farceurs. « Allez, tu vas manger un peu de ce bon gâteau » Cathy coupa la part de Richard en cinq, lapprochant de sa bouche, elle déposa sur chaque morceau un crachat mousseux et abondant. En reposant lassiette sur le bord de la table devant lui, elle samusait de son regard ébahi : « Mange, etne laisse rien surtout » Un frisson dorgueil la parcourut lorsquil pencha la tête sur le côté et allongea la langue pour happer le premier bout. Son pouvoir tout neuf la grisait, ou bien était-ce le champagne ? Au cinquième morceau, il y eut un éclair et elle rit en reposant lappareil photo numérique. « Ah !Ah !Ah ! Si tes collègues te voyaient ! Mangeant comme un chien, les menottes aux mains ! »

Elle se servit une seconde coupe, pendant que mortifié, mais le sexe à nouveau bien dressé, il nettoyait servilement de la langue les miettes restées dans lassiette. « Tu as soif sûrement, fit-elle en regardant sa coupe déjà à moitié vide. Attends, la bonne Cathy va te servir le meilleur de sa cave » Ce quil lui vit faire lui souleva le cur, mais aussi le sexe. Puis elle lança sa culotte, lui pinça le nez, renversant sa tête en arrière et lui vida la coupe toute chaude entre les lèvres. Un goût dalcool et dammoniaque mêlés remplit ses sens. Il avala dun trait de peur de sétouffer. Son cur battait à tout rompre. Il naurait jamais imaginé quil puisse lui arriver pareille chose !

Puis, elle sassit en face de lui sur la table et commença à se caresser le sein droit de la main gauche et à fouiller son intimité de sa main droite. Débarrassée de ses inhibitions par les deux coupes de champagne, elle y allait de bon cur ! Rouge de honte et dhumiliation il suivait le manège de ses doits. Dun pied innocent, elle soulevait et relâchait son membre durci. Le plaisir de la jeune femme montait par vague. Une sensation quelle connaissait bien envahit ses reins. Ne détachant plus ses yeux du désir masculin de son homme, elle jouit dans un spasme qui secoua tout son corps.

Tout ceci était une excellente mise en forme pour ce qui va suivre songea-t-elle follement excitée. Et elle sortit pour aller chercher des cordes au cellier.

A SUIVRE

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