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Marie, enfin ma salope – Chapitre 2




Il vient de partir, je nai pas jouis comme ça depuis tellement longtemps, Sergio mon mari ne me fait plus lamour depuis de nombreuses années, Il faut dire quil ne mexcite plus et que je nai plus envie quil me touche

Tout est finalement dans lexcitation. Oui mais voilà, si je demande à Jules de me faire jouir encore, quest ce que je vais devoir lui offrir ? Jules que je connais depuis tellement longtemps, pas vraiment un bel homme mais tellement sur de lui et sa queue est tellement longue et grosse.

Non ! Cette histoire est terminée, je ne peux pas être dépendante de cette situation, lui être soumise. Il a failli me faire vomir à pousser sa queue ainsi dans ma bouche et pourquoi est ce que jai accepté dêtre sa chose pour cette fellation si sale ? Et comment est ce que jai fait pour avaler tout ce sperme ? Rien que dy penser, jai envie de vomir.

Oui mais voilà, je suis bien sur que si la situation se reproduisait, je le ferais encore. Je suis peut être une salope.

Le lendemain :

Jai eu du mal à dormir, Sergio viens de partir travailler et les enfants sont à lécole, Jules habite à 100 mètres, il sait que je suis là aujourdhui, il connait mon planning par coeur. Et si jai bien compris, il attendais de me prendre depuis de nombreuses années. Je nai pas envie que cela se reproduise, je ne veux pas que cela se reproduise.

On frappe à la porte ? Cest lui, il vient me faire jouir, encore… Cétait tellement bon, mon esprit veut refuser la situation mais mon corps veux le faire encore et encore. Je suis déjà toute mouillée. Jouvre la porte, mais mes espérances seffondrent, cest le facteur qui me donne un recommandé

Bonjour !

Bonjour madame, une signature sil vous plait.

Voilà, bonne journée.

Egalement !

Je referme la porte, mais elle se bloque. Je regarde, cest un pied… Celui de Jules. Il est là, il me sourit, je suis tétanisée, je ne lui dis rien.

Tu me laisses entrer ?

Oui.

Je narrive pas à lui dire autre chose, mais je suis tellement émue, tellement troublée.

Il me suis, referme la porte. Je suis en peignoir, avec juste une culotte en dessous.. Au moins il naura pas à me déshabiller.

A peine la porte fermée, Jules me touche les fesses. Je rigole, il me colle et me plaque contre la table. Il commence à membrasser dans le cou

Tu veux jouir ? Je peux men aller si tu veux ?

Je nen peux plus, je suis trempée, je le veux en moi encore et encore. Tant pis si il abuse de moi ensuite, je veux bien tout lui donner pour recevoir son sexe si gros en moi.

Je ne lui dis rien et il prend ça pour une acceptation de ma part.

Il me pousse sur la table et je me retrouve penchée sur celle ci. Il remonte mon peignoir et baisse ma culotte dans la foulée; voilà, je suis offerte et trempée. Quil me pénètre vite, vite, quil me pénètre… Je nen peux plus.

Baises moi, baises moi vite. Prends moi

Je suis au bord de jouir alors quil nest même pas encore en moi. Ma culotte sur les chevilles, je ne suis pas coiffée et je commence à me demander si je suis si désirable que ça lorsquil passe une main entre mes cuisses et mintroduit un doigt, je pousse un cri de plaisir. Mon sexe coule, son doigt na pas de mal à sinsérer et il est rapidement accompagné dun autre.

Je vais jouir Jules, sors ta queue et baises moi. Sil te plait

Ma supplique me surprend moi même

Doucement Marie, une salope comme toi ça se déguste. Surtout quen suite, je te mange tout entière.

Ses mots me rendent folle. Je me retourne pour lui déboutonner son pantalon tout en le poussant vers le canapé. Il se retrouve le pantalon et le caleçon sur les chevilles lui aussi, notre ballet est quelque peu original.

Dun mouvement de jambe, je jette ma culotte dans un coin et me débarrasse de mon peignoir. Je suis nue devant lui, il a une belle érection et je veux mempaler le plus vite possible, ce que je fais en expresse.

Oh putain, cest trop bon, je veux passer ma vie sur ta queue.

Et je commence à remuer à ma cadence en ne pensant quà mon plaisir. Cest le moment quil choisit pour me saisir et m’arrêter net… Je le regarde en fronçant les sourcils

Tu te souviens ? Tu jouis ensuite ton corps est à moi et jen fais ce que je veux !

Un dixième de seconde, je songe à lui dire non, mais je ne peux pas, je veux remuer sur ce pieu incroyable.

Oui, oui tout ce que tu veux, mais laisses moi bouger sur ta queue.

Il me relâche et je suis libre de prendre mon plaisir. Je bouge, des vas et viens, jai les mains sur son torse, il a gardé son tee shirt, mais je sens sa musculature très agréable.

Tes une belle salope Marie ! tu es très belle à regarder quand tu prends ton pied comme ça.

Ses mots mexcite encore un peu plus… Je sens le plaisir monter, alimenter par ma cadence régulière, sa queue est toute en moi. Elle est si longue que jai limpression quelle me transperce.

Il ne faut pas plus de quelques minutes de ce traitement pour que je jouisse, et il me semble que ce fut encore plus violent que la veille. Pourquoi est ce que je suis resté si longtemps sans baisé. Javais Jules sous les yeux depuis tellement longtemps et je navais jamais vu que je lui plaisais tant.

Je mécroule de fatigue après cette jouissance extrême et Jules me retiens de tomber. Je suis sur lui ma tête sur son épaule.

A moi de jouer maintenant. Il me faudra bien dix années de baise avant de pouvoir réaliser tous les fantasmes que jai avec toi. Reposes toi un peu et ensuite mets toi à genoux par terre au milieu de la pièce, les mains dans le dos.

Je me remets doucement puis me désincarcère de son sexe. Cest un grand vide pour moi. Je suis nue et je me positionne comme il le veut.

Tu es une salope Marie, mais tu aussi une chienne.

Pas trop de vulgarité sil te plait.

Tais toi salope !

Et il mattrape par les cheveux en me regardant dun regard noir qui en dis long sur la violence quil me réserve. Je men veux davoir une fois de plus succombé à mes pulsions, je deviens sa chose, mais je sais que si je lui résiste aujourdhui, il ne viendra plus me remplir et ça je ne suis pas près à men abstenir, je dois tout accepter si je veux encore quil me baise.

Jules si sympathique est un vrai diable dans lacte sexuel

Je ne veux plus jamais que tu me résistes lorsque cest à moi de profiter ! Je suis ton maitre et tu dois mappeler ainsi !

Je mets quelques secondes à lui répondre et il me tiens toujours les cheveux, mais je finis par le lâcher.

Oui maitre !

Tu es une chienne nest pas ?

Oui maitre !

Dis le !

Je suis une chienne !

Il pousse ma tête contre le sol et introduit un doigt dans mon sexe puis tire dessus pour relever mes fesses, même cette pénétration me donne du plaisir.

Il na pas débandé depuis le début et se positionne maintenant derrière moi, je nespère quune chose quil me baise encore. Et cela ne loupe pas, il maccroche les hanches et sintroduit en moi. Je cri de bonheur ! Cest bon !

Il me lance des insultes

Salope, baisé au milieu de son salon dans la position dune chienne.

Il avait raison, pour jouir jétait tombée plus bas que tout, mais cette situation mexcitait au plus haut point.

Il me baisait plus que voilement en sintroduisant sans ménagement. Il lâcha une main pour menvoyé une claque sur les fesses, ce qui eu pour effet de me faire crier.

Tes une salope Marie !

Jétais la joue contre le sol entrain de me faire ramoner à grande vitesse et je sentais une fois de plus le plaisir arriver. Il contrôlait totalement la situation, jétais sa chose et au moment même ou jai jouis il resta en moi tout au fond et mattrapa les cheveux pour les tirer en arrière. Je me retrouvais la tête à côté de la sienne et il me susurrait à loreille sans arrêter de pousser son sexe toujours plus profondément

Salope ! Belle salope

Et je jouissais de cette profonde introduction, mais aussi de cette vulgarité qui finalement me ramenait à létat de chose, de corps à prendre, et jaimais cela.

Jétais donc une salope.

Lorsque jai fini de jouir, jétait tellement fatiguée que je ne me tenais plus.

Il se retira et positionna sa queue sur mon anus.

Je navais pas pratiqué la sodomie depuis mon adolescence, mon mari navais jamais utilisé cette voix car je lui avais toujours refusé.

Il commença à pousser, je navais plus de force, mais jessayais tout de même de lui interdire le passage. Il me tenais fermement le cheveux et poussait sa queue à sec dans mon cul… Je me souvenais quà lépoque javais souffert et la queue dalors navait pas le diamètre, ni la longueur de celle ci.

Je ne veux pas, non !

Tais toi salope ! Moi jai envie, cest tout ce qui compte ! Alors détends toi, remets ta tête par terre et ouvre tes fesses avec tes mains.

Son ton autoritaire avait une fois de plus le pas sur moi et après quelques secondes je me suis placée dans la position quil attendait. je passais mes mains en arrière et écartais mes fesses.

Je vais tenculer comme jai envie ! Violemment ! Et tu vas crier !

Jétais à sa merci. Il plaça son gland sur mon cul, introduit la moitié de son gland, ma corolle se dilatait et déjà je sentais la douleur. Il maccrocha les hanches et poussa de toute ses forces vers mon cul

Prends ça !!!

Toute son sexe sintroduit en moi en un seul coup, javais limpression dêtre déchirée en deux. Il était tout au fond de mes entrailles. Si je me souvenais de la douleur dune sodomie, le souvenir était bien loin de la réalité. Je hurlais et ramenais mes mains vers lavant. Je grattait le sol pour tenter de me sortir de cette étreinte anale, mais Jules me tenais fermement les hanches et il commençait ses vas et viens. Mon cul était en feu, je hurlais de plus belle lorsquil repris sa marche en avant dans mes intestins. Au bout dune vingtaine de seconde et de quelques mouvements daller et retour, la douleur diminuait, mais était loin de sévanouir.

Pitié Jules, sil te plais arrêtes !

A ses mots il se retira net. je soufflai et respirai bruyamment, javais limpression quon mavait introduit une batte de baseball dans le cul.

Tu me donnes ce que je veux, cétait tes paroles. Sinon sen ait fini de cette relation.

Mon cul était en feu et ma tête aussi… Et cest là que ma conscience cessa de me contrôler. Je me suis repositionnée comme précédemment et jai ouvert mes fesses avec mes mains. Mon corps voulait encore sabandonner, se donner à cette Jules que je connaissais si bien et si mal, cet homme qui me donnait tant de plaisir et de souffrance.

Je ne dis rien, jattendais la sentence.

Il ne mis pas de temps à se repositionner derrière moi et sintroduit de la même manière que la première fois, violemment et fougueusement. Mon anus avait beau sêtre déjà fait malmené quelque secondes auparavant, il ne sétait toujours pas habitué. Jules se raccrocha à mes hanches et il était déjà reparti dans sa folle course à la défonce.

Je serai les dents et tentait de supporter du mieux que je pouvais ce supplice. Après le plaisir quil mavait donné, je pouvais bien souffrir un temps.

Oui mais voilà, ma défonce dura et dura encore et je nentendais pas monter sa jouissance. Jeu limpression que cette sodomie dura depuis de heures et je commençais à ne plus sentir mon cul.

Puis enfin, Il se retira,

Ton cul est ouvert maintenant !

Mais il se re-introduit de plus belle, toujours très en forme. Je narrivais pas à prendre du plaisir

Je commençais à avoir les membres engourdis, il se retira me tira les cheveux pour relever ma tête et positionna sa queue face à mon visage. Il allait me faire subir lhumiliation suprême. Il allait inonder mon visage de sperme, jamais personne ne mavait fait cela auparavant mais je navais plus la force de protester. Jétais au plus bas, plus aucune force, le cul dilater, jétais devenu un pantin quil utilisait pour son plaisir. Jamais je naurais cru tomber si bas.

Il ne mis pas de temps à masperger de son sperme chaud, il jouis en saccade, plusieurs fois, de long jets puissants et épais recouvraient mon visage. Jétais devenue la pire des salope.

Il secoua sa queue au dessus de mon visage pou y lâcher les dernières gouttes et fini par me lâcher les cheveux.

Bouffes ma queue salope !

elle sortait de mon cul ! Cétait la pire des dépravations mais, épuisée, je capitulais à cet ultime humiliation et engloutissait sa bite. Le gout était horrible, du sperme et des excréments mélangés, mais je suçait.

Nettoies moi bien la queue Marie !

Je faisait entrer et sortir sa queue avec dégout. Jétais salis, soumise et je mouillais comme une chienne !

Cest bien Marie, tu es super bonne ! Restes comme ça pendant que je me rhabille.

Il remettait ses vêtements et je restais en position, le visage couvert de sperme. Une fois terminé, il sortis son téléphone et me pris en photo, je ne protestais même pas, jétais anéanti, il avait réussi à me faire devenir son esclave.

Tu es à moi maintenant ! Tu es mon esclave sexuel ! Jai plein de surprise pour toi ! A bientôt donc !

Il parti en claquant la porte, il avait eu de moi bien plus que je nimaginais pouvoir donner un jour, mais jétais heureuse. Ce que jattendais de tout mon être, cétait notre prochain rendez vous.

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