Vendredi
Ce matin, mon maître n’a pas joui quand je l’ai sucé. Il m’a arrêtée avant.
J’ai mis une jupe et un débardeur. Au moment de partir, mon maître m’a enculée dans l’entrée. La porte était entre-ouverte. Les voisins auraient pu nous voir.
Une fois qu’il a joui, il m’a donnée une grande claque sur les fesses comme à son habitude .
Je suis parti sans avoir eu le droit d’aller aux toilettes. Le sperme allait couler le long de mes cuisses.
Je prends mon bus. Un homme se colle à moi. Il bande et me le fait sentir. A chaque mouvement du bus, il appuie sur mes fesses. Je sens son souffle sur ma nuque. S’il continue , il va jouir dans son pantalon.
Je descends à mon arrêt et attends Corinne. Elle arrive. Nous marchons vers le bureau. Elle me raconte sa soirée chez un couple d’amis. Elle s’est faite draguer par les deux. Mais , ils ne le savent pas. Chacun croyant que l’autre est fidèle. Corinne s’est amusée à les allumer à tour de rôle. Elle avait une jupe très courte et un corsage transparent et sans sous-vêtement. Elle a cru que le mec aller faire une apoplexie. Corinne s’est baissée plusieurs fois au cour de la soirée en faisant exprès de faire voir son intimité. Le couple ne la quittait pas des yeux. En partant, quand elle les a embrassés, elle a passé une main sur leurs sexes. Lui bandait comme un taureau, et elle, sentait la chatte en chaleur.
Corinne est repartie sans rien leur faire. Le couple était dans un tel état d’excitation qu’elle les a entendus. Ils ont baisé dans l’entrée la porte à peine refermée.
Je ris.
— Tu es vraiment une belle salope. Mais toi, tu devais être excitée?
— Moi, j’ai fait un petit détour vers la boite échangiste, pas de souci, j’ai eu mon compte.
-Bon , on se dépêche Il faut que j’aille aux toilettes. Mon maître m’a enculée juste avant de partir et le sperme a coulé.
Nous arrivons au bureau. Je file aux toilettes et après je vais à mon bureau.
Qui mon maître a t il pu invité? Cette question me taraude. Il a dit qu’on aurait un we chargé
Je ne sais pas et cela m’ennuie.
Le troisième fait marquant c’est avec ma fille Chloé.
Nous avons eu deux filles.Elles ont 27 et 24 ans maintenant. Celle de 27 s’appelle Céline et celle de 24 Chloé.
Je me suis sentie soumise et humiliée à cause ou grâce à Chloé.
Cela s’est passé quand Chloé avait 18 ans. Depuis qu’elles étaient petites, mes filles me voyaient nue et étaient habituées. Chloé a toujours été proche de son père alors que Céline est proche de moi.
Ce jour là, Céline était absente et nous étions dehors entrain de se faire bronzer. Moi, nue à même la pelouse. Chloé sur un transat en maillot deux pièce noires. Le haut qui lui couvrait la pointe des seins, le bas en forme de string. Son corps était splendide. Des seins assez petits. Un corps ferme et musclé. Elle a la peau mat comme son père. Mon maître était dans un hamac, en boxer. Jaime regarder mon maître. Je le trouve beau.
A un moment Chloé dit :
— Maman, j’ai soif, va me chercher à boire.
— Vas y toi même, tu as deux jambes que je sache
— Non, c’est à toi de me servir comme tu sers papa.
— Ton père, c’est autre chose dis je.
— Oui, parce que papa c’est ton maître et tu es là pour le servir.
Je ne savais plus quoi dire devant cette sortie
C’est là que mon maître est intervenu : Sers ta fille. Tu es là pour cela.
C’est la première fois qu’il disait cela devant Chloé.
J’ai été humiliée très profondément. J’ai compris que maintenant, ma fille me commanderait et que je n’aurais rien à dire. J’ai aperçu le petit sourire de satisfaction de ma fille.
A ma grande honte, j’ai senti une excitation montée. Je me levais et la servais.
Elle ne m’a même pas dit merci. Elle discutait avec son père sans faire attention à moi.
Céline est arrivée et à dit bonjour à tout le monde. Elle s’installe à coté de moi en restant vêtue. C’est à ce moment que Chloé a dit à Céline :
— Mets toi nue. Fais comme maman. Les soumises se mettent nue dans cette maison.
J’espère que mon maître va demander à Chloé de se taire mais il n’en fait rien. Il regarde, amusé de la tournure des événements.
Céline hésite . Chloé insiste :
-Et ne me dis pas que tu n’es pas soumise.
Céline se lève et, sans rien dire, se met nue. Elle est belle. Elle a une belle poitrine bien ferme et quelques poils au pubis .elle les a taillés en ticket de métro. Des fesses bien fermes. Quand elle s’assoit j’aperçois son anus. Il s’ouvre facilement. Ma fille s’est déjà faite enculée pensais-je et pas qu’une fois.
Depuis ce jour, les rôles sont bien clair à la maison. Quand les filles viennent chacune à sa place.
Moi, je suis heureuse pour mes filles. Céline me raconte ses aventures et son envie et me demande des conseils. Un jour, je sais qu’elle trouvera un maître ou une maîtresse. Mais celui là ou celle là devra passer devant Chloé et mon maître. C’est seulement avec leurs accords que cela se fera.
Chloé sera dominatrice à la grande joie de son père. Et pour ceux qui se soumettront à elle, il faudra qu’ils soient très obéissant.
Elles sont toutes les deux perverses et ont des besoins sexuelles important. Remarquez, elles ont de qui tenir.
Mais ce n’est pas elles qui vont venir. Ce n’est pas la peine que je cherche. Je fais de toute façon confiance à mon maître.
Je me replonge dans mon travail. Un SMS. Je le lis, me lève et ferme la porte de mon bureau.
Je retourne masseoir, Lève mon débardeur, sort ma trousse de chienne et prend une chaîne avec pinces croco. Je tire sur mon téton gauche et pose la pince. Cela fait mal. La barrette qui traverse mon téton et la pince par dessus rend cela douloureux. Je fais de même sur le téton droit. Une fois la chaîne en place , je baisse mon débardeur. Voilà, j’ai obéi à mon maître. Je dois garder ma chaîne jusqu’à midi.
Ce que m’a imposée mon maître commence à faire son effet. J’aime être contrainte et même si mes tétons sont douloureux, l’excitation est là. J’ai envie de me caresser et dire qu’il n’est que 11H30. J’en ai encore pour une demi heure et je n’arrive pas à me concentrer.
A midi, Corinne rentre dans mon bureau. Elle me voit..Ho, toi tu es encore excitée dis donc.
Je lui demande de fermer la porte, je soulève mon débardeur et enlève la première pince. Je gémis . Corinne s’approche et suce mon téton pour faire mieux circuler le sang. J’enlève la deuxième pince. Corinne recommence. Je lui demande d’arrêter sinon je vais jouir et je n’en ai pas le droit.
Corinne s’arrête à contre-cur. Dommage, dit elle, j’aurais bien aimé continuer. Allez on va manger.
Je range ma chaîne dans ma trousse de chienne et nous partons.
Il fait beau, nous choisissons un resto avec terrasse. Le soleil n’arrange rien et mon état d’excitation a du mal à tomber. Le soleil nous chauffe, Corinne remonte sa jupe à la limite acceptable. Elle me regarde et me dit :
— Un petit cuni, là maintenant, serait un vrai délice.
— Et bien, tu n’as qu’à appeler Estelle
— Estelle travaille et toi dommage que tu ne puisses pas
Nous repartons au bureau.
L’après midi se passe . Le soir nous rentrons, je souhaite un bon WE à Corinne et je prends mon bus. La fille est là, mais elle, ne s’approche pas.
Arrivée à la maison, je me déshabille, finis de préparer la chambre pour nos invités. Mon maître arrive. Je lui sers son apéritif, je bois le mien. Il regarde mes tétons et les prends dans ses doigts. Je grimace. Ils sont sensible. Mon maître sourit. Je lui dis que j’avais envie de jouir ce midi et que Corinne était prête à m’aider. Mon maître ne dit rien prit deux pinces avec poids et tira sur mes petites lèvres. Il les posa. Ainsi, mes petites lèvres étaient étirées et ballottées quand je me déplaçais.
Mon maître me dit qu’il faut que l’on se couche de bonheur, on a un WE chargé.
Juste avant d’aller au lit, mon maître enlève les pinces, je crie. Il prend les petites lèvres dans ses mains et les bouge pour que le sang circule plus vite.
Il met un doigt dans mon vide couille.
— Tu es trempée femelle. Tu es vraiment une bonne soumise.
Il me donne ses doigts à lécher.
Nous nous couchons, lui dans le lit moi comme d’habitude au pied du lit.