La solitude affective , le manque de présence , l’éloignement furent les détonateurs de notre première étreinte . Notre relation n’a jamais baissé ni en force ni en intensité . Ce n’était pas une simple envie physique l’un de l’autre mais un besoin d’union charnelle , amoureuse et sentimentale .
Je me souviens de ce premier été , de nos soirées , enlacés sur la balancelle après le repas et la douche nus sous nos peignoirs . Mon bras autour de ses épaules , sa tête sur la mienne , ma mère se laissait aller dans mes bras ne refusant aucune de mes caresses , surtout les plus intimes .
Je la tenais contre moi , ma main dans son peignoir entre ouvert , caressant ses hanches et ses flans , glissant un doigt dans sa fente , remontant sur sa poitrine que la chair de poule rendait encore plus ferme . Je palpais ses seins doucement , les caressais du bout des doigts , vers les bouts je sentais sans regarder la boursouflure que faisait les auréoles . Je prenais les tétons entre le pouce et l’index , les pressais , les roulais entre mes doigts délicatement comme des fruits dont on veut en extraire le jus . Tout en gémissant , ma mère m’embrassait maintenant ma main sur son sein , ne tardant pas à me demander que l’on aille se coucher .
Ce qui nous chagrinait le plus , c’était de ne pas pouvoir afficher ouvertement notre relation . A part le fait que ma mère me tienne par le bras ou que je pose ma main sur son épaule à certains moments , tous les autres gestes amoureux ne nous étaient pas permis .
Pour être tranquille , hors saison ou certains samedis nous allions , quand le temps le permettait , passer la journée sur les plages de Camargue où nous pouvions nous laisser aller .
Le soir quand nous rentrions , après quasiment 24 heures sans étreinte , c’était presque devenu un rituel dont ni l’un ni l’autre s’est lassé , après le repas ma mère prenait sa douche en premier , moi ensuite , elle m’attendait toujours nue sur le lit ouvert , assise appuyée sur ses bras placés derrière elle , les cuisses légèrement écartées , offrant à mon regard sa toison et sa fente entre ouverte . Je m’approchais , retirais mon peignoir , ma mère se redressait , une main s’emparait de mes testicules , l’autre mon pénis tendu ,entre le pouce et l’index elle retroussait mon prépuce , décalottait mon gland , approchait son visage , et moment délicieux entre tous sa bouche chaude et humide se refermai sur moi .
Bien que ma mère n’ai jamais eu d’expérience dans ce genre de caresse avant moi , c’était fantastique . Sa tête bougeait peu , elle me tenait prisonnier entre sa langue et son palais , faisait de longues sucions qui dilataient mon gland .Me sentant bien tendu elle interrompait sa caresse et s’allongeait . Je me mettais à genou , remontait mon visage entre ses cuisses , déposant des baisers sur son pubis , glissant ma langue dans sa fente , respirant la chaude senteur qui débordait de son puits d’amour.
Elle repliait ses jambes très haut en écartant ses cuisses . Je venais sur elle , les yeux dans les yeux je m’enfonçais lentement au plus profond , appuyant mon gland à l’entrée de son utérus , j’ondulais doucement des hanches , je sentais mon orgasme monter , son regard se troublait , sa respiration s’accélérait , gémissait , son orgasme éclatait . Elle me tenait serré contre elle , me griffant parfois . Quand je sentais mon éjaculation arriver , je glissais mes bras sous elle pour maintenir son ventre contre moi , elle était prisonnière à son tour . Elle devait sentir ma semence jaillir à l’entrée de son nid d’amour car un gémissement suivait mes contractions . Nous restions soudé l’un à l’autre jusqu’à ce que ma semence ait fini de s’écouler de mon pénis .
Quand elle refaisait surface , qu’elle ouvrait ses yeux , je sentais en elle une femme heureuse d’avoir recueilli la semence , de se sentir avoir été inséminé par l’homme qu’elle aimait .
Les caresses , les baisers , les mots tendres recommençaient , et les yeux dans les yeux une nouvelle étreinte ne tardait pas à venir .
C’est à l’occasion de ses premières règles de notre relation qu’elle me prit dans sa bouche , elle me vida entièrement , un plaisir fantastique , et quand après ma dernière contraction plus rien ne sortait , elle appliqua son pouce à la base de mon pénis , le fit glisser sur toute sa longueur pour extraire la semence restante , se releva , noua ses bras autour de mon cou et m’embrassa longuement , me faisant goûter pour la 1ere fois à mon sperme.