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Evolutions – Chapitre 24




EVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 24 : Rêve & fantasme.

Lorsque nous sommes tombés dans les bras de Morphée, nous nous étions remis en cuillère, dans le but d’être enlacés. Pourtant, et sans que je m’en sois rendu compte, lorsque je me réveille le lendemain matin, mon petit bout de femme s’est séparé de moi. Elle est à nouveau allongée sur le dos, les jambes écartées, et en train de ronronner. Je la regarde dormir en souriant, épaté de la chance que j’ai d’avoir rencontré une femme aussi belle, et avec laquelle je me sens en parfaite communion.

Lorsqu’elle ouvre les yeux, son corps n’a pas eu le moindre frémissement, ce qui démontre qu’elle trouve à présent la position qu’elle adopte pendant son sommeil tout à fait naturel, et qu’elle n’éprouve plus le besoin de cacher son intimité lorsqu’elle reprend conscience.

Mais le plus merveilleux pour moi, c’est le magnifique sourire qui illumine son visage lorsqu’elle se tourne sur le côté pour me faire face, et qu’elle me voit, car il exprime sa joie de me retrouver, et ce constat fait de moi le plus heureux des hommes.

J’approche ma main de sa joue pour la caresser, et je lui demande :

Tu as bien dormi, ma Chérie ?

Oui mon Amour, comme un bébé. Mais j’ai fait un rêve très étrange. Je lavais ta voiture, la rouge, sur une place de village entourée sur les trois de ses côtés par des maisons à plusieurs étages, et le quatrième donnait sur une superbe vue avec au fond une vallée. J’étais complètement à poils, mes cheveux attachés en queue-de-cheval, avec juste mes mules aux pieds et autour du cou un collier en cuir, comme en ont les chiennes. Je savais qu’il y avait dessus, même si je ne pouvais pas la voir parce que mon harnais était serré me laissant juste la place de respirer normalement, une plaque en métal sur laquelle était gravé mon prénom.

Alors que je l’écoute religieusement, de peur qu’elle n’ose pas aller jusqu’au bout, mon petit bout de femme marque une légère pause, puis elle continue :

J’avais le ventre rond, parce que je devais être enceinte de plus de six mois, pourtant je n’en ressentais aucun désagrément, mais au contraire la joie profonde de celles qui vont bientôt être mères. Je portais mes mules à talons en bois, et ils résonnaient sur les dalles de pierre lorsque j’allais puiser avec un seau, lui aussi en bois, de l’eau dans un puits. Il se trouvait à une vingtaine de mètres dans un coin de l’esplanade, et sous un olivier probablement très vieux, mais lui aussi magnifique.

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Je trouve le récit d’Alice, raconté avec sa voix grave et sensuelle, à la fois très beau et émouvant. J’en comprends parfaitement le sens, pourtant je la laisse terminer avant de lui dire ce que j’en pense :

Bien entendu, le puits était à l’ombre, mais l’auto en plein soleil, et je transpirais légèrement de devoir faire tous ces allers et retours. Cependant, je n’étais pas triste, mais plutôt fière d’accomplir pour mon maître ce travail pourtant fatigant. Il y avait des gens aux fenêtres qui me regardaient, cependant je n’éprouvais aucune honte d’être sans vêtements, comme si c’était une chose tout à fait normale.

Mon petit bout de femme marque un nouveau temps d’arrêt, comme pour rassembler ses souvenirs, puis elle reprend :

Même les maquignons, habillés comme dans les films d’un autre temps, et qui faisaient des commentaires à mon sujet, n’arrivaient pas à faire que je me sente gênée. Ils étaient trois, et l’un d’entre eux a dit aux deux autres en parlant de moi : « Elle n’est plus toute jeune cette jument, mais elle ne va pas tarder à mettre bas et nous faire une superbe pouliche ». Le deuxième a approuvé : « Oui, et bien qu’elle soit grosse, elle n’est pas fainéante comme le sont certaines, tout juste bonnes à se faire prendre par leur étalon, et ensuite parader en attendant que la relève soit assurée ». Et le troisième a conclu : « Ne rêvez pas mes gaillards. Elle appartient à Mestre Lorenzo. Non seulement il n’a pas l’intention de la vendre, mais en plus il n’y a que lui qui soit autorisé à la monter ».

Alice fait une troisième pause, tandis que je continue à me taire, puis elle reprend sa narration :

Le premier homme a aussitôt démenti : « Pourtant, il paraît que les amis du Mestre sont autorisés à la chevaucher eux aussi » « Oui, mais seulement pour l’enculer. L’entrée de sa couveuse est réservée à son Patron, et personne ne peut lui contester ce droit ». C’est à ce moment-là que je me suis réveillée, absolument pas troublée par ce rêve, mais au contraire complètement sereine, comme si cette situation étrange était dans l’ordre des choses.

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Je reste quelques instants silencieux, tandis qu’Alice me regarde en attendant ma réaction, puis je lui dis :

Bien entendu je ne suis pas psychologue, mais pour moi, ton inconscient ou ton subconscient, car je t’avoue que je ne fais pas très bien la différence entre les deux, a travaillé de cette manière pour t’envoyer deux messages. Le premier étant que soit tu es déjà enceinte sans le savoir, soit tu as envie d’avoir un autre enfant.

Mon petit bout de femme devient immédiatement écarlate, et elle me demande :

Et tu en penses quoi ?

Bien que j’aie déjà 45 ans, et qu’avant de te rencontrer je pensais être trop vieux pour retenter ce genre d’aventure, ma seule ambition depuis que je te connais est que tu sois heureuse. Par conséquent, si tu veux avoir un petit avec moi, nous l’aurons.

J’ai droit au plus beau des sourires de sa part, et elle s’exclame en prenant mon visage entre ses mains :

Tu es la crème des hommes, mon Amour !!

Sa réaction me fait énormément plaisir, même si au fond de moi subsiste un doute sur les moyens qui me seront nécessaires, pour élever cet enfant. Car en admettant que je survive jusqu’à ce qu’il arrive à l’âge adulte, s’il veut faire des études, ce n’est pas avec ma retraite que je pourrai les lui payer. Cependant, je ne fais pas part de mes craintes à Alice, et une fois qu’elle m’a lâché, je change de sujet de conversation, pour revenir un peu plus en arrière :

En ce qui concerne le deuxième message, je suis peut-être allé trop loin pour ce qui est de l’enjeu de notre premier pari. Par conséquent, si tu ne te sens pas capable de laver mes voitures nue, tu pourras le faire habiller. Et on va revenir à la condition de départ, c’est-à-dire que tu ne devras effectuer cette corvée que quatre week-ends de suite seulement.

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À ma grande surprise, mon petit bout de femme n’apprécie pas cette généreuse remise de peine de ma part, puisqu’elle s’écrie :

Tu me prends pour une poule mouillée ?! Je t’ai déjà dit que je ne suis pas en sucre, alors je le ferai !

En entendant sa réaction outrée, j’éclate de rire, avant de lui répondre :

Une poule mouillée, tu en seras une pour de bon lorsqu’il te faudra passer le jet sur mes bagnoles, et que l’eau t’éclaboussera. Et pour ce qui est d’être en sucre, j’espère bien que non, sinon en le faisant, tu vas fondre comme neige au soleil.

Après un sourire à peine esquissé, j’ai droit de la part d’Alice à une tape sur l’épaule, comme si elle était en colère alors que je sais parfaitement que ce n’est pas le cas, puis elle me dit sur un ton boudeur :

Parfois angélique et parfois langue de vipère, tu es difficile à cerner mon Amour.

Quitte à me comparer à un serpent, tu aurais pu en choisir un autre, comme un boa ou un cobra par exemple.

Là tu te surestimes, mon Amour.

Ah bon ? Mets-toi sur le dos, je vais te prouver le contraire.

Non ! C’est toi qui vas te mettre sur le dos, car j’ai envie de récompenser l’aspect lumineux qui est en toi, de manière à ce que tu ne plonges pas entièrement du côté obscur de la force.

Cette référence à La Guerre Des Étoiles me plaît énormément, car même si nous n’avons jamais pris le temps de discuter de nos goûts respectifs au sujet des films, et que malgré son écran de très grande taille qui a tant plu à mon petit bout de femme, la télévision n’a jamais été allumée depuis que nous nous connaissons, cela montre que ma compagne et moi avons les mêmes références cinématographiques. Cependant, ce n’est pas pour cette raison que je lui obéis, mais pour lui faire plaisir, et également parce que je suis curieux de découvrir ce qu’elle a en tête.

₪₪₪

C’est pourquoi je m’installe confortablement, en mettant un oreiller sous ma tête, et Alice ne tarde pas à venir se mettre à quatre pattes en face de moi, son visage juste à l’aplomb de mon sexe encore au repos. Tout en me fixant avec un air que je trouve moqueur, elle sort sa langue, qu’elle fait alors frétiller pendant quelques instants, avant de la poser sur mes bourses chauves qu’elle commence à lécher.

Tandis qu’elle continue à me regarder, elle met ensuite un de mes testicules dans sa bouche, et elle entreprend de le sucer lentement, avant de le recracher pour faire subir le même traitement à son jumeau. Ce qu’elle est en train de me prodiguer est tellement délicieux, que ma queue qui a peu à peu pris de volume finit par se dresser, et je me paie à présent une solide érection.

Cependant, Alice ne s’occupe de mon membre que le temps de décalotter délicatement mon gland avec ses lèvres, puis elle redescend lentement le long de ma hampe. Elle s’arrête quelques instants sur mes bourses, puis elle attrape le deuxième oreiller, avant de me dire sur un ton autoritaire :

Soulève ton cul, mon Gros !

J’obéis immédiatement pour qu’elle puisse placer le coussin sous mes fesses, et comprenant là où elle veut en venir, je plie les jambes avant qu’elle ne me le demande. Lorsque je suis dans la position que je présume être la bonne, mon amante s’allonge la tête entre mes cuisses, elle écarte doucement mes miches, et elle vient donner un coup de langue sur toute la longueur de ma raie.

Au moment où son dard vient frotter contre mon anus, je sens un frisson de plaisir traverser ma colonne vertébrale, et je me retiens de pousser un petit gémissement de plaisir. Cependant, ma réaction qui n’est pas très virile n’a pas échappé à mon petit bout de femme, puisqu’elle revient à la charge, en se concentrant cette fois sur mon illet que je sais, pouvant être fripé, sans ne l’avoir jamais vu.

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La langue d’Alice est agile, surtout si l’on part du principe qu’elle n’a jamais dû s’en servir de cette manière avant aujourd’hui, et elle la fait balader entre mes couilles et ma rondelle, que je sens peu à peu se dérider sous ses caresses buccales. Mon sexe quant à lui, qu’elle néglige sans aucun doute consciemment, ne tarde pas à être agité de soubresauts, comme s’il appelait désespérément mon amante à venir s’occuper de lui, ne serait-ce qu’en le branlant.

C’est dans cet espoir que je décide de venir placer mes propres mains sous celles de mon petit bout de femme, en les insérant, de manière à tenir moi-même mes fesses écartées. Mais la coquine en comprenant mon intention me lance un regard narquois, et elle ne fait pas mine de changer de tactique. C’est pourquoi je lui demande :

Tu attends que je te supplie ?

Elle ne me répond pas, continuant à caresser en alternance mes testicules qu’elle gobe de temps en temps, et mon anus qui s’est ouvert petit à petit, et dans lequel elle peut à présent insérer le bout de sa langue. Je pense alors qu’un bras de fer s’est instauré entre nous, et étant donné que j’ai la ferme intention de ne pas craquer le premier, je continue à subir cette douce torture imposée par ma partenaire.

Cela arrive à un point que mon sexe me fasse mal tant il est tendu, et désespéré que personne ne s’occupe de lui. Cependant, je ne me résous pas à le faire, alors que je pourrais tout simplement me masturber, parce que je suis trop fier pour capituler face à elle, et que c’est probablement ce qu’elle attend.

Mon anus quant à lui réagit de manière inédite, puisqu’étant érogène et stimulé depuis déjà un petit moment, je sens la montée d’une jouissance à la fois persistante et inconnue. Au point qu’à un moment donné je n’arrive pas cette fois à réprimer un petit gémissement, qui est bientôt suivi par d’autres, et je me mets alors à couiner comme un cochon d’Inde.

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C’est sans aucun doute ce moment qu’attendait Alice, que je rende les armes et que je me laisse aller pleinement à mon plaisir sans aucune retenue, puisqu’après m’avoir fait un petit sourire satisfait, elle se décide à changer de tactique. Elle vient en effet mettre mon gland dans sa bouche pour le pomper, tout en faisant coulisser un de ses doigts dans ma rondelle.

J’ai tellement attendu cet instant, avec une frustration qui devait être affichée sur mon visage, que je ne tarde pas à éjaculer, et je vois mon amante avaler mon sperme au fur et à mesure qu’il gicle, en déglutissant à chaque fois. Lorsque j’ai fini de me vider, elle recrache le bout de ma queue, qu’elle lèche pour y enlever toute trace de son passage, avant de sucer son index gauche avec un air que je trouve gourmand.

A suivre…

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