AVERTISSEMENT: L’histoire qui suit n’est que pur fantasme. Ceci n’est jamais arrivé. Toute ressemblance avec un fait réel ou une histoire similaire ne serait que pure coïncidence.
On sonne à la porte. Je suis en chemise de nuit, je m’apprêtais à passer à la salle de bains. Jean, qui lit son journal, se trouve au salon. Il est dix neuf heures et je me demande qui çà peut être. Comme je passe devant la porte, je demande:
— Oui? C’est pourquoi?
Une voix masculine répond derrière:
— C’est votre nouveau voisin. Je viens d’emménager et je venais voir si vous ne pourriez pas me prêter une rallonge électrique!?
— Oui une seconde, mon mari arrive.
J’appelle mon mari en lui expliquant la situation. Je ne savais pas que nous avions un nouveau voisin! Il est tard et il commence à faire nuit. Je pense qu’il doit avoir un problème d’électricité. On ne va quand même pas l’envoyer sur les roses, ce ne serait vraiment pas la meilleure façon de lui souhaiter la bienvenue. Mon mari me regarde, interrogateur:
— Tu sais qui c’est? Tu l’as déjà vu?
— Non! Je ne savais même pas qu’il y avait un nouveau dans le quartier. Ne le laisse pas attendre écoute, il doit être en panne. Je suis à la salle de bains!
Là-dessus, je me dirige vers la salle de bains en prenant soin, tout de même, de tirer la porte derrière moi, bien que l’intérieur de la salle d’eau ne soit pas visible depuis l’entrée.
J’entends le verrou de la porte d’entrée s’ouvrir, puis des voix, puis plus rien. Je n’y prête plus attention, préparant mes affaires, quand soudain, la porte de la salle de bains s’ouvre à toute volée.
Je sursaute. Un homme fait irruption dans la pièce, m’attrape par le bras, et m’attire à lui en gueulant. Je n’ai même pas le temps de réagir, juste le temps de hurler sous la terreur. L’homme m’envoie une gifle à toute volée et m’intime l’ordre de me taire. J’aperçois mon mari, tenu en respect par un autre homme, un revolver sur la tempe. Je suis tétanisée.
L’homme qui me tient me retourne et m’attache les mains dans le dos avec une cordelette qui dépassait du panier à linge, puis me retourne face à lui.
— Hum! T’es pas mal toi! Et déjà en tenue. C’est bien de nous accueillir comme çà ma poule!
— Si vous croyez . Ahh!
— Ta gueule!
Je prends une seconde gifle. Mon oreille siffle. Le rapport de force m’oblige à me calmer, je ne fais pas le poids, et l’homme semble aimer taper. Je ne tiens pas à faire les frais de sa violence, d’autant que Jean est hors combat également. L’autre est entrain de l’attacher sur une chaise.
Je prends soudain conscience de ma tenue: je suis en chemise de nuit transparente et je ne porte qu’un petit slip dessous. Mes seins son parfaitement visibles et l’homme ne se prive pas pour lorgner dessus. Je rougis, si tant est que je puisse encore rougir après ces deux gifles. Mon cur cogne dans ma poitrine et mes seins se soulèvent au rythme de ma respiration.
L’homme me prend violemment par un bras et me plaque au mur. Je ne bronche pas. Sa main libre se porte sur ma poitrine. Je tente de m’y soustraire mais il me serre le bras et gueule à nouveau:
— T’en veux une autre? Tu veux que je t’attache au radiateur?
— Non! S’il vous plaît me faites pas de mal
— Ta gueule!
Je ne réplique pas et laisse sa main se poser sur moi. Je sens ses doigts parcourir mes seins, l’un après l’autre, sa main se referme dessus, malaxant mes chairs, puis ses doigts se saisissent de mes tétons et les font rouler. La réaction physique me gêne, mes bouts durcissent instantanément et l’homme me regarde d’un drôle d’air. Mes tétons pointent au travers du tissu transparent et l’homme les fait rouler dans ses doigts, vigoureusement, un sourire moqueur au coin des lèvres.
— Tu sens? Je te fais bander les nichons! Çà te fait du bien, pas vrai?
Je ne réponds pas. Mes seins durcissent effectivement, mais uniquement par réaction physique. Je suis loin d’éprouver du plaisir, ce serait plutôt de la peur. Il insiste cependant.
— On dirait que tu aimes te faire peloter, toi! Ton mari ne doit pas s’ennuyer! Tu ne serais pas une petite cochonne!?
Je ne réponds toujours pas. L’homme insiste sur ma poitrine, me caresse franchement, passant sa main sous la chemise. Ses doigts sur ma peau, sur mes seins, me donnent des frissons, je ne sais si ce sont des frissons de terreur ou de dégoût, mais je ne veux pas croire qu’ils sont provoqués par ses attouchements. Il n’est plus violent, soudain, et même assez doux, il me caresse longuement, doucement, s’amusant à me titiller les tétons. Je souffle sous les caresses. Je ne sais si c’est la peur, mais un mélange d’émoi et d’appréhension m’étreignent la poitrine et je souffle de plus en plus fort tandis que l’homme me caresse de plus en plus intimement.
Puis soudain, il retire sa main et descend sur mon ventre.
Je fais non de la tête. Il me regarde fixement et ses yeux m’ordonnent littéralement de ne pas bouger. Je suis convaincue que si je bouge, je vais en prendre une, mais je ne peux me contraindre à me laisser faire comme çà.
— Non non, s’il vous plaît pas çà
Cette fois, l’homme ne répond pas, son regard devient dur. Je souffle de plus en plus bruyamment. Sa main parvient à hauteur de mon sexe, se pose à plat sur le bombé de mon intimité puis ses doigts glissent entre mes cuisses par-dessus la chemise. Je serre les jambes dans une dernière tentative.
— Écarte! Laisse moi passer ou je t’assomme!
Je le regarde, il me défie des yeux, l’air menaçant. Je me résous à le laisser passer. J’écarte légèrement les jambes, juste assez pour le laisser passer ses doigts. Sa main glisse entre mes cuisses et je sens ses doigts appuyer sur la fente de mon vagin. Plusieurs doigts massent ma fente, caressent mon sexe à travers le tissu. Je suis complètement affolée de sentir cet homme disposer de moi, de mon sexe. Je me demande ce qui va se passer, ce qui va m’arriver quand soudain je sens ses doigts sur ma peau. Un doigt, puis deux, glissent entre mes cuisses. Il a passé la main sous ma chemise, ses doigts courent entre mes cuisses, à la limite de mon slip. J’ai peur, je fais non de la tête, je souffle bruyamment quand j’entends une voix gronder depuis le salon:
— Alors! Qu’est-ce que tu fous? Arrive!
Je pense avoir un instant de répit en entendant son compère l’appeler. Il va me lâcher! Notre regard se croise. J’ai peur, je lis beaucoup de violence dans le sien. Je fais à nouveau non de la tête. Et puis, tout à coup, je pousse un cri: " Crac". L’homme vient de m’arracher brutalement mon slip. Il tire violemment, ramenant le sous vêtement triomphalement dans sa main. Le frottement m’a brûlée sur le côté, je suis sure d’avoir une marque. Il me regarde à nouveau avec un drôle de sourire. Il me toise puis son bras tenant le revolver passe sous ma chemise. Je sens le froid du canon glisser entre mes cuisses, se poser sur ma vulve. Je suis tétanisée, je n’ose plus bouger, que va-t-il faire? Il force sur mon sexe, force mes lèvres, me fait mal, je râle de douleur, je continue de faire non de la tête. Il ne va quand même pas me l’enfiler, non, pas comme çà, pas çà!? L’acier froid me glace les veines. Il fait tourner le canon et finit par m’écarter les lèvres, forçant mon vagin à s’ouvrir. Il force encore un peu et me fait mal, m’obligeant à écarter les cuisses pour ne pas risquer d’être blessée. Je sens le bout du canon s’enfoncer entre mes lèvres ouvertes, glisser vers mon orifice. Le sourire de l’homme fait place à une drôle de grimace, ses yeux se plissent, comme s’il faisait un violent effort. J’ai de plus en plus peur, je suis affolée. Il a un rictus sur le coin des lèvres, méchant:
— Regarde chérie il glisse tout seul ont dirait qu’il connaît le chemin, tu sens? Tu le veux? Tu le veux dans la chatte? Ouais! Laisse le passer ouais
— Non pitié s’il vous plaît!
— Ta gueule! Ouvre ta chatte! Ouvre toi il a envie de te baiser lui aussi. Allez ouvre, ou je tire! Pan!!!
— Ahhh! Non!
Je hurle, je crie, j’ai eu peur, très peur. Il m’a fait sursauter. J’ai bien cru mon dernier moment arrivé! Je me résous, c’est infernal. Cet homme est capable de tout. Le bout force sur mon orifice et j’ouvre les jambes, morte de trouille.
— Non! Me faites pas de mal s’il vous plaît!
— Je ne te ferai pas de mal chérie promis si t’es bien sage! Seulement si t’es sage!
— Oui, oui me faites pas de mal
— On te fait pas de mal!? Il veut juste voir dedans ouvre!
Je le laisse passer. Le bout du canon déjà en position dans mon orifice depuis quelques secondes force mes chairs, pénètre ma vulve. Mon vagin l’accueille et se laisse enfiler. Pas profond certainement, mais j’ai l’impression d’en être totalement habitée tellement j’ai peur. L’acier froid me pénètre sur quelques centimètres. Je râle, autant de douleur que de dépit, de trouille aussi; j’ai peur. J’ai peur qu’il appuie sur la détente, j’ai peur que le coup parte, peur d’entendre la détonation. Je transpire à grosses goûtes. L’homme me scrute, plonge dans mon regard en même temps que son pistolet plonge dans mon ventre.
— Alors comment c’est? Çà te plaît? Tu t’étais jamais fait ramoner la cramouille par un gros calibre, hein? Çà t’excite, pas vrai?
— S’il vous plaît arrêtez pas çà!
— Non, pas çà, t’as raison. On va te mettre autre chose, viens!
Sur ce, il retire brutalement son pistolet de mon vagin, me faisant râler de douleur. Il me prend le bras et m’entraîne rudement, me pousse plus exactement vers le salon.
Je remarque mon mari, assis sur une chaise, attaché solidement par une corde, un collant sur la bouche. Il semble terrorisé, me regarde ahuri. L’autre semble fouiller dans les tiroirs, se retourne à notre arrivée, un sourire étrange au coin des lèvres:
— Alors! Qu’est-ce que tu foutais?
— Regarde la belle pouliche que j’ai dégotée, et elle a une belle paire de nibards en plus, tu devrais l’essayer, regarde!
Il montre triomphalement mon petit slip rouge déchiré tenu à bout de bras. Son complice acquiesce:
— Ah! Je vois ce que c’est! T’as pas perdu de temps à ce que je vois. Tu l’as pas baisée, j’espère? Du moins, pas encore?
— Non, t’inquiète pas encore. Je l’ai juste chauffée un peu!!!
— Bon, viens m’aider. On verra après pour la bagatelle ! Attache là!
— Ok!
S’adressant à moi, mon geôlier me traîne sur une chaise qu’il place de trois quarts à côté de mon mari, et m’attache avec une cordelette.
— Sois sage "bébé". Je reviens. On va finir ce qu’on a commencé, tous les deux. Attends faut que ton mari en profite un peu aussi.
Là-dessus, l’homme retrousse ma chemise jusqu’en haut et me force à écarter les cuisses en faisant passer mes pieds de chaque côté des pattes avant de la chaise puis les attache dans cette position. Je suis rouge de honte. Mon mari le regarde m’attacher et pose ses yeux sur mon sexe complètement dégagé. A mon tour, il me place un sparadrap sur la bouche. Je souffle par le nez. Je pleure, mes yeux me brûlent. Ces brutes ont l’intention d’abuser de moi. Je suis paniquée, prise d’une envie de vomir. Que vont-ils faire de moi? Qu’ont ils l’intention de me faire??? J’ai peur. Je regarde mon mari, il semble complètement absent, regarde le sol.
Les deux hommes fouillent méthodiquement les meubles, comme s’ils cherchaient quelque chose, mais ne prennent rien, remettant même chaque chose à sa place.
L’un monte à l’étage pendant que l’autre continue de fouiller en bas en nous surveillant. Nous ne pouvons pas bouger, nous sommes à leur merci. Je regarde Marc. Il me fait un petit signe amical des yeux puis détourne son regard sur mon sexe une nouvelle fois. Je remarque qu’il tente de se dégager de ses liens, sans y parvenir. J’admire son calme. Je suis terrorisée car j’ai peur de ce qui va se passer quand ils auront fini leurs recherches. Je ne me fais aucune illusion sur la suite, les allusions proférées à mon encontre ne font aucun doute: ils ont bien l’intention de s’occuper de moi!
Du bruit nous parvient de l’étage; l’homme redescend et nous rejoint.
— Bon, il est temps de s’occuper d’eux, tu ne crois pas?
— Hum!? Ouais, j’allais te le proposer!
Terrorisée, je vois les deux hommes attraper la chaise de Marc et la tirer au sol, la plaçant face à moi. Marc me regarde, les yeux brillants. Je ne remarque pas qu’il reste pourtant passif sur sa chaise, n’esquissant aucun mouvement de révolte. Les deux hommes viennent me détacher. Le sparadrap reste en place sur ma bouche mais mes liens sont retirés. Je suis littéralement soulevée de terre et portée sur la table de salon. On me retire brutalement ma chemise et je me retrouve à poil, allongée sur le dos. Je sais déjà ce qui va m’arriver. Je ne peux me résigner à laisser ces hommes abuser de moi, les laisser me prendre sans combattre, pourtant, c’est bien ce qu’ils ont l’intention de faire, et en présence de mon mari. Je tente de me dégager mais ils me plaquent sur la table, l’un me tire les bras en arrière. Ils sont bien trop forts pour moi. Je vais devoir subir, subir leurs assauts, sentir leurs mains sur moi, en moi, les laisser profiter de chaque parcelle de mon corps nu, les laisser abuser des parties les plus intimes et les plus secrètes de ma personne: mes seins, mon sexe, mais aussi mes profondeurs intimes. Le plus terrible, c’est que Marc va assister à tout çà, mon mari va devoir subir également cette humiliation: laisser ces deux hommes s’approprier mon corps et les regarder m’enfiler sous ses yeux. Je résiste encore, mais on tire sur mes bras et ils me font mal. Je cède, je lâche prise en soufflant, ils le sentent aussitôt, mon corps se détend. Dès lors, ce sont quatre mains qui parcourent ma peau, mon corps. Quatre mains et deux bouches qui me pelotent, me caressent et me sucent. Mes tétons sont happés par une bouche qui les aspire tour à tour, les faisant durcir. Mon sexe est visité par une langue avide qui plonge en moi, glisse entre mes lèvres, une bouche débusque mon clitoris et l’aspire à son tour. Bien malgré moi, cet attouchement très intime provoque une crampe fulgurante qui me traverse le bas ventre, et provoque un hoquet. La sensation est proche d’une jouissance et çà me fait ouvrir les cuisses et pousser un râle profond. L’homme en profite pour me plonger un doigt au fond de la chatte tandis que sa bouche aspire mon bouton. Je perds pied, l’homme est habile, un point sensible est visité dans mon vagin. Je râle, je rue, ma tête roule de droite à gauche, je ne comprends plus rien, je ne comprends plus ce qui m’arrive. On me pelote, on me caresse, on me branle et on me suce le sexe, et je m’ouvre de plus en plus, j’offre pratiquement mon corps, sans en avoir conscience. Le sparadrap est retiré sans ménagement puis on m’écarte les cuisses. Je sens les mains sur mes chevilles, on me relève les jambes vers le plafond. J’ai vaguement conscience qu’on s’apprête à m’enfiler. Je ne sais plus si ce qui m’arrive est forcé ou naturel mais mon corps est pris de spasmes, je râle sans discontinuer sous les caresses. Quelque chose de chaud et doux se pose sur ma chatte, glisse dans ma fente. Une main guide une queue raide entre mes cuisses. Je suis ouverte, je mouille et je coule, j’attends la pénétration, la queue va s’enfoncer dans mon ventre et me baiser, comme une femelle, je ne suis plus qu’une femelle!
Des mains s’agrippent à mes jambes à hauteur de mes genoux. L’homme qui s’apprête à me baiser souffle et râle à son tour. Il me regarde et une lueur de folie passe dans ses yeux. Il s’agrippe à moi et pousse violemment. Sa bite m’ouvre la chatte. Je crie sous la pénétration soudaine.
— Oôôaaahhh! Noooonnnn! Maarcc! Oh Marc!
Mon corps est pris, ma chatte est remplie, il me baise, il me pénètre en profondeur, me plante une queue raide et longue au fond de la chatte.
— Han! Han! Tiens! Baise salope! Han!
— Oh! Aahh! Non! Oh non!!!
L’homme me pistonne longuement, profondément. Il me labour le vagin et m’enfile une queue énorme au fond du ventre. Je crie, je râle, je suis prise de crampes dans le ventre, les mêmes crampes qui annoncent généralement ma jouissance. Je ne veux pas jouir, pas de cette façon, pas en étant forcée, mais mon corps réagit contre ma volonté. L’homme pousse toujours plus fort, toujours plus loin. L’autre me suce les seins.
Tout à coup, je pars. Je crie, je hurle. Ma jouissance arrive, par vagues successives. Je ne peux la contenir, je ne comprends pas pourquoi.
— Oh non! Oh non! Marc, non! Oh Marc! Je je viens je veux pas non pas çà pas çà ôôôaaaahhhh!
— Ouais! Viens! Baise chérie! Jouis! Tiens, prends moi, salope! Prends moi! Ouaiiisss!
— Oh! Oh non pas çà nooonnn!
Et l’homme se plante au fond de mon ventre Sa queue se raidit soudain dans ma chatte, et c’est l’explosion. Inconsciemment, j’attendais de le sentir décharger au fond de moi. C’est une lance chaude qui me remplit le ventre à grands traits. Cette fois, je ne tiens plus, je pars instantanément.
— Oouuaaaahhhh! Oh oouuuaaaaahhhhh! Pourquooiiii!!!
Je jouis sous les assauts de l’homme tandis qu’il me remplit la chatte en criant son plaisir de se vider en moi. Il se retire aussitôt et je suis retournée sur la table. Je n’ai pas le temps de réaliser ce qui arrive que l’autre est entre mes cuisses. Il me soulève par les hanches et me fait mettre à genoux. Cul tendu vers lui, il m’écarte les fesses. Je comprends qu’il va me sodomiser. J’ai peur mais je n’ai pas le temps de réfléchir. Il me plante sa queue profondément dans le vagin puis se retire. Son gland force aussitôt sur mon anus. L’homme me tient par les hanches. Il pousse violemment et me pénètre par le cul, jusqu’à la garde. Je sens ses couilles venir taper contre mes fesses. Je n’ai pas eu mal, il est entré jusqu’au fond. A présent, il me lime, de plus en plus vite, de plus en plus fort, et je pars. Je pars à nouveau dans une folle jouissance non désirée. Je jouis en criant quand je le sens se raidir dans mon cul. Il pousse violemment tout au fond et jouit dans mon cul. Il se vide en moi et me remplit tandis que je crie, emportée par la jouissance.
L’homme se calme puis se retire de mon corps. Je n’ose bouger, retombe à plat ventre sur la table. J’entends des voix, je tourne la tête. Les deux hommes se sont rhabillés. Mon mari a été libéré, il est debout. Les deux hommes sortent, étrangement, sans que mon mari ne tente quoi que ce soit. Un instant, j’ai même l’impression que l’un des deux hommes le salue de la main, mais non, je dois rêver. J’ai mal vu. La porte claque, ils sont partis, emportant juste une petite caissette contenant 500 Euros.
Mon mari vient vers moi, me relève, me prend dans ses bras et me cajole. Il se met à me caresser, tendrement, puis il me chuchote à l’oreille qu’il m’aime.
— Ma chérie, je t’aime tu sais. C’est une drôle d’expérience que tu viens de vivre. Tu as beaucoup joui, tu sais?! Tu as joui les deux fois! J’espère qu’ils ne t’ont pas fait trop mal avant.
Je reste interloquée. Avec Marc, nous avons souvent mêlé nos fantasmes dans nos joutes amoureuses. Je resterai toujours avec des doutes. Qu’étaient venus chercher ces deux hommes chez nous, sinon moi? Et surtout mon mari aurait-il joué un rôle dans tout çà???
Et vous!? Qu’en pensez-vous?