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La nouvelle vie d'Angela – Chapitre 1




— Casse donc ton image de bonne copine.

Cette phrase, sans que je le sache allait complètement changer ma vie sur le plan sexuel. Je me présente Angela, 31ans aujourdhui et je suis seule. Quand je dis seule, je veux dire que je nai pas de petit ami comme toutes mes amies. Et pourquoi cela ? Parce que je nai jamais eu la taille mannequin. Le culte de la minceur a fait que je suis juste la bonne copine. Celle à qui on se confie quand on vient de rompre ou lorsque lon a des doutes sur son couple. Cette même bonne copine quon considère comme une sur, mais dont jamais personne ne tombe amoureux. Bien sûr, jai déjà couché, mais on ma vite larguée

— Hey Angel tu mécoutes oui ?

Elle cest Marie, ma meilleure amie et une des seules. Elle sait mise la classe à dos en 5ème pour mavoir défendue et être devenue ma meilleure amie. Cétait la nouvelle et elle a pris ma défense, quelques en soient les retombés.

— Merci Marie, dis-je en pleurant et en la serrant dans mes bras

— De quoi ma belle ? me demanda-t-elle interloquée

— Dêtre là.

— De rien, me dit-elle en embrassant mes joues rondouillardes. Tu as compris ce que je voulais dire toute à lheure ? Si tu veux améliorer ta sexualité, couche dès le premier soir !

— Hein ? Mais tes pas bien !

— Tu veux rester vieille fille ?

— Mais jveux pas passer pour une traînée

— Y a pas de mal à se faire du bien, du moment que les 2 parties sont consentantes. Tu prends ton pied et tu ten vas. Devient, une femme fatale ! Celle que toutes les femmes craignent de voir lorgner sur leurs hommes et celle que tous les mâles désirent sans relâche.

En mexpliquant cela en détail, Marie fouille dans ma garde-robe.

— Et tu me jettes tout ce qui ne te met pas en valeur

— Bordel Marie, tu mas bien regardée ? Jsuis grosse putain.

— Tu vas arrêter de pleurer sur ton sort oui ? Regarde-toi dans la glace et décris-moi ce que tu vois, me dit-elle en me poussant devant le miroir.

Je fixais mon propre reflet et ne mis pas longtemps à me décrire.

— Je vois une bonne femme aux longs cheveux bruns et qui est en surpoid Elle a pas lair daimer la vie

— Cest catastrophique. Moi jvais te dire à mon tour ce que je vois :

Je vois une jolie jeune femme de tout juste 31ans avec des cheveux bruns qui descendent en cascade jusquau milieu de son dos. Si je baisse un peu les yeux, je vois un regard de femme triste mais de jolis yeux marron. En dessous un joli petit nez que des lèvres pulpeuses complètent. Encore plus bas, cest carrément deux boules de bowling qui mapparaissent Un ventre un peu fourni, de longues jambes dodues emprisonnées dans un jeans bleu délavé très moche.

Tu es très jolie Angela, ne laisse personne te dire que tu es grosse ma belle. Personnellement, je me battrais pour avoir une paire de seins aussi grosse au lieu de mes piqûres de moustiques.

— Tu tu penses vraiment tout ça ?

— Tu mériterais des baffes pour en douter Fais-moi confiance, tu vas en accrocher des proies à ton tableau de chasse, à condition de jeter ces fringues et de refaire ta garde-robe.

— Je te rappelle que jai un salaire de prof pas de ministre.

— Et bien considère que la femme du plus riche entrepreneur du pays te fait un cadeau danniversaire hors norme et te paye la totalité de ta nouvelle garde robe.

Elle est complètement folle Marie Unique au monde.

— Merci encore Marie dis-je en pleurant de plus belle.

— Je veux plus dentendre te lamenter sur ton sort Cest promis Angel ?

— Bien sûr. Tes vraiment la meilleure

— Arrête tu vas me faire rougir Bon cest pas tout ça, mais faut vraiment que je rentre avant quon se mette à pleurer comme des gosses. Et noublies pas « Tu es une femme fatale ».

— Bonne nuit Marie. Je taime ma blondasse.

— Moi aussi je taime mon ange.

Elle claqua la porte, me laissant seule avec mes pensées Je ne devais pas la décevoir. Jallais me transformer des le lendemain en femme fatale.

Le lendemain à 10h je faisais les boutiques avec ce que toutes les femmes au monde désirent Un plafond de dépense illimité. En effet, dès ce matin 8h, Marie mavait téléphoné.

— Jai vu avec ma douce moitié pour ton cadeau danniversaire et on a pensé quaprès ce que tu as fait pour nous, on ne pouvait pas timposer de plafond. Tu mets tout sur notre compte, tu te fais plaisir et surtout tu tachètes des fringues sexys en diable. Fais toi plaisir ma belle, beaucoup de femmes tueraient pour pouvoir faire du shopping « no limit ».

Sans que je puisse protester, Marie raccrocha Je commençais par une boutique de lingerie. Je fouinais dans les rayons à la recherche de la perle rare. Les prix étaient exorbitants, même sans limite de payement, je ne pouvais mempêcher de restreindre mon envie. Au fur et à mesure de mon avancée, je finis par dénicher une superbe guêpière. Après avoir trouvé ma taille, je mavançais avec la pièce en direction de la cabine dessayage. Enfilant la tenue, je la trouvais trop petite, mais elle faisait ressortir mes gros seins. Désireuse de faire le premier pas dans mon nouveau mode de vie, je sortis parader dans le magasin. Je maffichais au début avec pudeur, puis commençais à déambuler dans la boutique. Ma volumineuse poitrine ressortait énormément et un je vis un vigile sapprocher de moi, le regard fixé sur mes nichons.

— Bonjour madame, veuillez me suivre sil-vous-plaît.

— Que me voulez-vous demandais-je faussement étonnée.

— Je vous ai vue mettre des sous-vêtements dans votre sac. Ne rendez pas la situation plus compliquée et suivez moi.

Je lui emboitais le pas, bien quinnocente. Le salaud voulait me sauter, cest certain !

— Entrez madame me dit-il en ouvrant la porte de la réserve.

— Vous allez vérifier si je nai rien volé dans la réserve ? Et jai laissé mon sac en cabine.

— Ne vous inquiétez pas, une vendeuse à déjà récupéré votre sac. Elle devrait lamener dici peu.

En effet à peine eut-il achevé sa phrase quune vendeuse entra avec mon sac.

— Merci Virginie. Vérifions si mes accusations son exactes.

Il attrapa le sac et retourna tout son contenu. Quelle ne fut pas ma stupeur de découvrir pêle-mêle, des petites culottes, des soutiens-gorges et autres sous-vêtements.

— Mais je je nai rien fait

Bien sûr que jai rien fait, la vendeuse doit-être une complice de mon salaud. Plutôt que de proposer de payer, je continuais mon jeu de jeune allumeuse.

— Je nai pas les moyens de payer dis-je en baissant la tête.

— Si vous vous montrez coopérative, joublierais cet incident.

— Coopérative ? Vous voulez me sautez cest ça ?

Hum un beau black comme punition.

Le vigile étonné me vit sortir mes deux énormes seins aux aréoles dures comme des mines de crayon. Lui déballait sa belle queue couleur chocolat en semi-érection. Je mavançai pour lui faire une fellation. Je nétais pas une pro, mais javais regardé quelques films cochons lors de mes longues heures de solitudes. Il grogna en même temps que ça bite grossissait.

— Caresse-moi les seins mon connard dis-je entre deux aller et retour sur sa queue qui prenait des proportions affolantes.

Le vigile safféra à me caresser les obus et moi jétouffais sous son gros membre. Je crachai pour éviter de vomir. Je cessai ma pipe pour une branlette espagnole (avec des montgolfières pareilles, cela allait être le coup de grâce)

Son énorme mandrin bien calé entre mes deux seins, je le branlais énergiquement alors quil avouait mavoir piégée.

— Roooh putain jai eu raison de te piéger Huuuurg cest si bon salope ! Aaaaah je viiiiiiens !!! Ouiiii !!!

Il éjacula quantité incroyable de sperme sur mon visage et me seins en reprenant son souffle.

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