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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 29




Mon réveil fut des plus charmants. La table était dressée et mes trois femmes petit-déjeunaient. Appuyée sur le coin du chambranle, je reste un moment à les observer. Elles sont magnifiques. Je m’avance lentement vers Malika qui me tourne le dos et en mettant mon doigt sur ma bouche afin de prévenir les filles de se taire. J’arrive dans le dos de ma charmante négresse et lui mord l’épaule. Elle a un léger sursaut.

— Hummm, ma vampire préférée… Hummm ; oui, mange-moi…

— Bonjour ma puce…

Elle frissonne et me prend par la nuque pour attirer mes lèvres aux siennes. Théna et Aléxia continuent de manger sans s’occuper de nous. Je lâche Malika et vais les embrasser. Je m’installe en bout de table et comme une reine, je suis servie par mes princesses. Café, viennoiseries, pain toasté, confiture et jus d’orange. Le pied.

Malika, qui s’est rassise en tailleur, me demande si je veux bien les emmener à Ibiza. Je n’y vois pas de problème. On finit notre petit repas et on se prépare.

Après notre cérémonial matinal, c’est-à-dire douche, lavement, brossage des chicots, pose de nos colliers et de nos plugs on opte tous pour la même tenue. Un tee-shirt ample sans manche au décolleté provoquant et d’une mini-jupe, tout cela blanc. J’enfile un tanga blanc pour pouvoir y ranger mon "Popol". On prend nos petites pochettes et on passe dire bonjour, au revoir à Maria. Domi, David et Caro étant partis de bonne heure vers la France.

On descend dans le garage. La grosse berline n’y étant pas, mon choix va pour le Range-Rover blanc, ce qui suivra parfaitement avec nos tenues. Lunettes de soleil calées, nous voilà parties.

Il faut vingt bonnes minutes pour arriver à destination. À l’arrière ça chahute gaiement. Malika, amoureuse me caresse le bras. On stationne sur un parking près du bord de mer.

On parcourt les petites rues ombragées de la vieille ville. On s’arrête à un petit troquet, on s’installe en terrasse et on commande quatre "H" (mon péché mignon et ça nous changera du champagne). Le patron revient avec quatre bouteilles d’un demi-litre. Les filles regardent ces canettes hors-normes en faisant un "OH’ d’étonnement. Je rigole et prends une gorgée de bière et fais un "AHHH" de satisfaction. Elles m’imitent et trouvent cela désaltérant. Malika me caresse la cuisse en me regardant tendrement. On regarde la foule hétéroclite. Les mecs nous matent, les filles aussi. Elles sont toutes court vêtues, soit de jupes minimalistes ou de mini-shorts. Je regarde plus les nanas que les mecs. Ils sont soit bourrés ou émergent d’une nuit un peu trop arrosée. Passe une gonzesse, un peu forte, mais avec une poitrine énorme et un cul, mais un cul. Son mini-short lui rentre dans la raie des fesses. Elle est petite, blonde, des yeux verts (je crois), un petit nez en trompette, une large bouche aux lèvres pulpeuses et un sourire éclatant.

Elle n’a pas vingt ans. Je la fixe et elle le remarque, elle rougit. Je décide de la brancher et lui fais mon plus beau sourire. Elle parle à ses deux copines qui l’accompagnent et viennent s’asseoir à une table de nous. Elle se place de façon que l’on peut échanger des regards.

— Tu as fait une touche, me dit Malika, tu devrais aller aux toilettes, je suis sûre qu’elle te suivra.

— Pas de suite, je vais la faire languir. Lui dis-je avant de lui rouler un patin d’enfer.

La petite boulotte a, tout d’abord, un geste de déception, vite effacé quand je lui envoie un smac. Elle me répond en léchant le goulot de son Orangina. Je lui souris. Elle ne perd rien pour attendre.

Malika, qui a vu notre jeu, remonte sur ma cuisse pour arriver à la limite de mon tanga. Je la stoppe. La boulotte n’en peut plus.

— Je vais aux toilettes, avec toute cette bière…

Je me lève en ignorant cette jeune fille. Je demande au patron les WC pour dames et je me dirige lentement vers ceux-ci. Ils sont accueillants, propres et spacieux. Je me mets face au miroir et me refais une beauté, même si cela est bien inutile. Je n’ai pas longtemps à attendre, la porte s’ouvre. La petite blonde est surprise de ne pas me voir dans une des cabines. Elle hésite.

— Rentre, lui dis-je doucement pour ne pas la brusquer, il y a de la place pour deux.

— Merci, dit-elle très timidement, c’est sympa.

— À quoi tu joues, tu me branches ?

Elle rougit comme une tomate trop mûre. Elle fouille dans son sac à main et trouve des lingettes pour se rafraîchir le visage. Je rigole intérieurement. J’ai envie de lui sauter dessus, mais je veux également la faire attendre, ce ne sera que meilleur. Je la mate. Son cul rebondit, ses seins qui ne demandent qu’à s’échapper de son soutien. J’aperçois des "flayers" de différentes discothèques, restaurants et bars. Un m’attire, celui d’un sauna libertin, apparemment à deux pas d’ici.

— Comment tu t’appelles ?

— Gladys…

— Jolie. Moi c’est Vanessa. Je t’attends là-bas d’ici un quart d’heure, lui dis-je en lui donnant le petit bout de papier glacé.

— Euh, et mes copines ?

— Si tu as envie de moi, viens seule.

Je la laisse avec ses lingettes et ressors pour aller expliquer le programme de l’après-midi, voire de la soirée à la compagnie.

— Humm, de la chair fraîche… Dit Aléxia.

— Vanessa, tu es trop forte… Me dit Malika.

— Vous vous amuserez sans moi… J’ai d’autres projets. Leur répondis-je en montrant la petite blonde en train de se rasseoir avec ses copines, elles sont en grande discutions.

On se sauve après avoir payé nos consos. Cent mètres et quelques ruelles plus loin, on arrive au lieu-dit " Ibiza Curaçao" (ne cherchez pas, pure invention de ma part). L’intérieur est plutôt sympa, tout de bleu éclairé et décoré. On paie une somme dérisoire, nous sommes des filles. On nous file des serviettes et on nous indique les vestiaires. J’ai envie de m’amuser, je mets ma serviette sur mon épaule. Ma bite se balance fièrement au gré de mes pas. Malika s’en amuse. Je vois la petite rondelette en train de prendre une serviette à l’accueil. Je planque ma bite derrière ma serviette.

— Ouf ! J’ai eu chaud…

On s’arrête au bar et je m’installe au milieu de mes princesses. Elle s’engouffre vers les vestiaires. On me demande ce que je veux boire. Une bière, je vais en avoir besoin. Elle s’installe à deux mètres, sur un tabouret de bar. Son énorme fessier prend toute l’assise, ça va être agréable d’y fourrer ma queue. La petite peste ne me calcule pas, elle me tourne le dos. À quoi joue-t-elle ? Je me lève et le l’embrasse dans le coup. Elle sursaute et se retourne, sous les rires moqueurs de mes trois mouettes. Je la prends par la main et m’éloigne vers les cabines de sauna. Je fais signe aux filles que je vais me régaler en montrant sa croupe. Les rires continus. Il y a deux types de cabines. Plusieurs pour les couples, j’entre dans la première.

— Alors, on faisait sa fière ?

— Non, je ne voulais pas que mes copines pensent que…

— Que tu es une goudou ?

— Oui… Non, fit-elle timidement, je suis bi et puis tu m’impressionnes…

— Il y a de quoi, lui dis-je en ôtant ma serviette.

Elle reste interdite devant mon sexe. La bouche ouverte, elle regarde mon phallus.

— Tu es une trans ?

— Non, connasse. Je suis une fille qui a des attributs d’homme.

Je la plaque face contre la paroi en bois. Son cul est toujours caché par sa serviette. Je lui demande de l’enlever. Elle obtempère enfin et se décrispe. Quelle croupe, quelles cuisses, quels mollets. Je bande comme une folle (Je sais, une folle ne peut pas bander, mais je ne parle plus de moi qu’au féminin). Je cale ma queue entre ses deux fesses. Elle clôt ses yeux.

— Ouvre tes yeux, je lui susurre au creux de son oreille, ils sont si beaux. Il serait dommage de les cacher.

Je lui gobe le lobe de l’oreille, elle tressaille.

— Tu as toujours envie de moi, de ma queue ?

— Humph…

— Répond, connasse.

— Ne me faites pas mal…

— Mal, non. Je vais te donner du plaisir à ne plus savoir quoi en faire. Je vais te remplir de mon foutre à ne plus savoir quoi en foutre. Tu vas jouir jusqu’à l’épuisement, je te le garantis. Mais d’abord, les préliminaires. À GENOUX !

Je crois qu’elle a compris ce que je lui demande. Elle se retourne et s’accroupit. Elle me regarde, je lui flatte ses deux joues avec ma queue. Elle hésite, il faut dire qu’elle n’a pas dû en voir souvent, des spécimens si imposants. Je ne veux pas l’effrayer, je la laisse dompter la bête à son rythme. Elle hume ma hampe. Sa petite langue sort enfin de sa cachette et délicatement, lentement, elle la pose sur la base et remonte jusqu’à mon gland. Du liquide séminal perle déjà. Enfin quand je dis perler, je devrais dire couler. Elle me regarde avec étonnement.

— Et oui. Je t’ai promis une avalanche de foutre. Tu vas l’avoir.

J’appuie un peu à l’arrière de sa tête. Elle me gobe et c’est l’extase pour moi. Une déferlante chaude me parcourt l’échine. Je gémis comme une folle (eh oui). Elle me regarde avec intérêt.

— Oui, c’est bon, je jouis comme toi tu jouiras quand je me déverserai dans ton sexe… Je t’ai dit que j’étais une nana, tu en as la preuve… HAN… Continue…

Elle s’applique, elle joue de sa langue sur mon frein et mon méat. Elle regarde ma queue avec envie, elle est en extase. Elle bave mais elle récupère tous les sucs qui en sortent. Elle est belle ma petite grosse. Mon bassin s’anime. Je lui plaque la tête contre la cloison et burine sa bouche. Je jouis de la voir déglutir et d’éviter de vomir en éructant. Les bruits que fait sa bouche sont obscènes. Elle prend ma bite sur la moitié de la longueur, mais elle s’y prend bien. Je viens, pas envie de me retenir.

— Salope, tu vas me faire jouir… HUM, HAN, PRENDS CA SALE PETITE PUTE… OUIIIIII…

Elle en recrache, mais elle y met du cur pour en avaler la plus grande partie. Ses yeux sont humides, sa salive dégouline sur ses gros seins. Je ressors ma queue et l’aide à se relever. Je l’embrasse à pleine bouche, ce qui la choque quelque peu, mais elle est partageuse. Nos langues virevoltent dans nos bouches et on se partage sa récolte. Elle me fixe, je lui souris.

— Lève-toi, allez !

Je la prends par les bras et la mets debout, bras tendus sur les couchettes en bois. De ce fait, j’ai une vue sur sa vulve légèrement poilue et sa rosette. Elle ne mouille pas, elle inonde ses cuisses. Je pose mon gland sur sa touffe, eh oui, elle se néglige. Je pousse sans m’arrêter. Elle a un cri de peur, de stupéfaction. Une fois contre son col, je me retire et la reprends d’un coup. Elle gémit. Je recommence cette opération à plusieurs reprises. Elle couine. J’écarte ses grosses fesses et les malaxe fermement tout en massant son anus. J’y vais à un rythme soutenu, sans violence, mais en faisant claquer mon ventre sur ses deux ballons d’Alsace (je sais, c’est con, bizarre, mais c’est à quoi ils me font penser).

— Putain, que t’es gros… Han, Han. Tu me perfores… Han, Han.

— Je vais te limer jusqu’à tu me demandes grâce, ma petite truie.

Ses gros seins ballottent dans tous les sens. Ses fesses ondulent sous mes coups de boutoir. Je sens ma jouissance libératrice arrivée. Je vais tout lui lâcher maintenant. Le premier jet arrive dans un cri de gonzesse. C’est moi qui jouis à en perdre mes repères. Les papillons annoncés sont là.

— HAN… HUMPF… OUIIIII…

— Putain, salop…

Une grosse claque s’abat sur sa fesse droite.

— Salope, je suis une grande salope.

Une autre sur la gauche.

— OUIIII… JE JOUIIIIIIISSS…

Je me retire dans un grand "BLOPPP". Elle veut se relever.

— Garde ta position ! J’en ai pas fini avec toi. Je pose mon gland sur sa rondelle.

— Non ! ! ! Pas par là, tu es trop gros…

— T’inquiètes, ce ne sera que pur plaisir pour toi et moi.

Je pousse et je rentre avec difficulté, mais ça rentre. Son conduit est serré et accueillant. Je lui demande si elle est vierge du cul, elle me réponde que non. Je rentre lentement jusqu’à la buttée. Je reste dans la position.

— Humph… Humph… Tu es trop gros, tu m’as déchiré le cul !!!

— Arrête de geindre, je vais te défoncer et tu vas aimer.

Je me retire en laissant mon gland à l’intérieur. Je sens que ma bite aspire son colon. Je replonge à fond, mais je n’attends plus. Je la prends en force. Je ferme les yeux pour profiter de son petit conduit anal et de jouir de sa jouissance naissante. J’alterne les entrées profondes et les sorties furtives. La vue de son sphincter ouvert est des plus excitantes.

Cela fait dix minutes qu’elle se fait troncher par mes soins. Elle vient même au contact de mon ventre. Elle s’est avachie sur ses avant-bras. Elle tourne la tête, aucun son ne sort de sa bouche ouverte. J’atteins de nouveau l’extase et me libère au fond de ses entrailles. Mon jus, beaucoup plus épais que la première fois, est expulsé avec force dans son cul qui reste ouvert.

— OUIIIIII, JE TE SENS….. C’EST BONNNNN… HARGH… HAN… HUMPH… Salop… peeeuuuu.

Je ne crie pas, je prends mon pied en silence, mais ce n’est pas un manque de respect, c’est juste que c’est trop puissant pour pouvoir l’exprimer. Je m’effondre sur son dos et on bascule sur le sol. Je l’embrasse sur le dos.

— Putain, qu’est-ce que tu m’as mis…

— Tu en veux encore ?

— Tu en es encore capable ?

— Oui, si tu me le demandes gentiment.

Elle se retourne et m’embrasse passionnément. Elle me demande si mes copines ne sont pas jalouses. Je la prends par la main et on se relève.

— Non, du tout… Dis-je en l’emmenant hors de la cabine. Tu vas vérifier par toi-même…

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