Si vous avez manqué le début.
Je m’appelle Patrick et je suis en vacances pour deux semaines chez ma tante Véronique, sur de ma mère Anne à Bordeaux.
Elle a 42 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 23 ans 1m80 pour 75 kg étudiant.
Nous sommes en "couple" depuis 6 jours et rentrons d’un séjour à Biarritz, ma tante s’étant fait passer pour ma copine auprès de mes potes
Un grand soleil faisait son apparition en début d’après-midi et ma tante, toute réjouie de retrouver son chez-soi s’absentait une petite heure le temps de faire les courses.
La fin de semaine s’annonçait calme, Véro ayant décidé de pas répondre au téléphone ou plutôt de filtrer les appels. Je nageais dans la piscine quand ma tante arriva chargée de courses. Le temps de me sécher, j’étais dans la cuisine pour lui donner un coup de main.
— Ca n’était pas la peine Patrick
— Allez tout est rangé, Mets-toi en maillot et viens me rejoindre. Lui lançai-je.
— Ah tu ne perds pas de temps, je monte en haut et j’arrive.
Aussitôt Véronique se présenta toujours aussi ravissante en bikini blanc. Elle savait fort bien l’attirance qu’elle exerçait sur mon humble personne dans une telle tenue. Malgré le haut de son maillot, il était aisé de deviner ses seins vigoureux en forme de poire. Je l’attendais au beau milieu de la piscine et la voir de derrière prendre les marches de l’escalier ne fit qu’attiser mon désir secret.
Comme dit dans les chapitres précédents, cette envie grandissante de lui faire du bien dans cet endroit défendu devenait omniprésente dans mon esprit. Fort d’une fellation quasi parfaite lors de notre séjour à Biarritz, je n’avais désormais qu’un seul but, l’étape ultime. Tel un chevalier de la Table ronde, le cul de ma tante était devenu mon Graal, ce vase au contenu inépuisable. Chacune de ses fesses, je souligne au passage que le créateur ne s’était pas égaré à ce sujet, n’était que source d’inspiration fantasmagorique inépuisable.
Je ne me lassais pas de les contempler à chaque occasion. Ma tante, loin d’être dupe de mes idées relativement déraisonnables voire inconcevables entre une tante et son neveu, feignait en se remplissant de joie pour se baigner à mes côtés.
— Comme elle est bonne. Dit-elle en faisant des brasses.
— Ca détend, on reprend des forces. On en a bien besoin.
— Oui on a pas beaucoup dormi ces derniers jours
C’était une allusion directe concernant notre séjour à Biarritz où l’amour fut roi entre nous deux. Cette dernière remarque n’empêchait pas ma tante de me faire un petit sourire en coin, preuve de son bien-être actuel. Après quelques galipettes, je quittais ce bassin pour envelopper Véronique dans une grande serviette en la séchant vigoureusement.
— Tu es à mes petits soins Patrick. S’adressa-t-elle à moi radieuse de se faire chouchouter.
— Je prends soin de toi, un rhume est vite arrivé. Plaisantai-je avec un ciel sans nuages.
— Bon maintenant que nous sommes entre nous, je me mets à l’aise pour bronzer, depuis le temps que j’attendais ça !
Je n’en croyais pas mes yeux, ma tante si pudique auparavant dégrafa le haut de son bikini puis se débarrassa du bas. L’effet Biarritz sans aucun doute
Elle s’étendit entièrement nue sur le transat. Sans voix, j’étais simple spectateur devant son corps éblouissant. Elle lisait un magazine tandis que je ruminais dans mon coin. Je ne savais pas par où commencer pour lui proposer ma petite idée et je ne souhaitais pas être trop pressent. Que cela vienne d’elle relevait de l’hérésie la plus totale, aussi je convenais de rester sourd à mon fantasme royal pour le moment.
Sans le lui demander, je déposais une noisette de crème sur le bas du dos.
— Ah la délicate attention et dire que j’allais oublier, heureusement que tu penses à tout.
— Je ne voudrais pas que tu attrapes un coup de soleil sur ta peau blanche. Précisai-je en passant mes mains sur la peau fine à la naissance de ses fesses exquises.
— J’aime quand tu t’occupes de moi Patrick, tu es très attentionné.
Le téléphone sonna, c’était ma mère très proche de sa sur. Véro se retourna pour prendre le portable tout en m’offrant la panoplie complète de sa plastique tant désirée.
— Bonjour Anne, oui Patrick est là et tu veux que je te le passe ?
— Bonjour maman tu vas bien ? Lui demandai-je tandis que je caressais lascivement le ventre de sa sur.
— Bonjour mon grand oui ça va, écoute ta grand-mère vient samedi nous voir et elle aimerait tant te voir, tu pourrais faire un saut pour le week-end et tu repartiras à Bordeaux rejoindre ta copine ? Allez dis que c’est ok Me supplia-t-elle.
— Je vais prévenir ma copine et je prendrais le TGV demain dans ce cas. Répondis-je avec une voix atone à l’instar de mes passages incessants sur le bas ventre de ma tante.
— Tu sais que Mamie t’adore, bon je t’embrasse et passe-moi Anne.
J’avais la mine des mauvais jours, mon plan tombait à l’eau. Il m’était impossible d’ici demain de concrétiser ce projet insensé par un manque de temps évident et j’étais dans l’obligation d’accepter. Sans perdre la tête, mes caresses se faisaient plus précises pour stimuler, par des passages aléatoires, la zone érogène de son intimité. Entre-temps Véronique reprenait la conversation et ma mère Anne pensait décidément à tout.
— Véro, j’ai dit à Patrick de venir voir maman, elle m’a appelée hier mais je n’arrivais pas à te joindre ? S’inquiéta-t-elle.
— Ah bon ? Pourtant je n’ai pas bougé ! Mentit-elle avec aplomb en invitant ma main à rester entre ses cuisses.
— Ce n’est rien mais dis donc, tu pourrais venir toi aussi, ça fait un bail que tu ne l’as pas vue !
— Euh oui Admit-elle en se trémoussant.
— Bah Véro ? C’est oui ou c’est non ? S’interrogea ma mère de son attitude nonchalante.
Face à cette réponse déconcertante, il est nécessaire d’ajouter à la défense de ma tante sa situation encore une fois confuse du fait d’éléments extérieurs.
En effet elle avait ses longues jambes écartées et je parcourais la moiteur de son vagin et force fut de constater que l’agitation de mon doigt dans son intimité perturbait fortement Véronique dans ses propos.
Décidément, à chaque fois que ma mère téléphonait, il fallait que sa sur soit près de moi et dans une tenue légère ou carrément sans rien.
— Non Anneeuh j’ai cru qu’on sonnait Bredouilla-t-elle en serrant farouchement sa main sur la mienne.
— Prenez le train et vous serez à la maison demain pour midi. Proposa-t-elle.
Ma tante bloqua le son dans un geste désespéré, elle gémissait à n’en plus finir. Je la doigtais avec une facilité déconcertante et à sa manière de se tortiller, cette fin d’après-midi s’annonçait palpitante.
Je lui fis chut avec l’index en reprenant le téléphone.
— Maman ?
— Oui mais où est passé Véro ?
— Finalement on a sonné et elle est allée ouvrir ! Son amie Patricia vient lui rendre visite et je les entends arriver. Répondis-je en excitant sa sur au maximum, mon doigt se révélant diabolique au cur de son intimité.
— Bon il faudrait que je sache pour demain si on vous cherche à la gare, demande à ta tante, ça devient agaçant avec elle. Dès que j’appelle elle fait toujours quelque chose !
— Attends
Ma tante me regardait les yeux brillants en creusant son ventre et sa respiration était devenue saccadée. D’un hochement de tête, elle me signifia un non pour le train.
J’en déduisais que nous prendrions la voiture mais tout à coup, au plus fort de mon agitation entre ses jambes, Véronique émettait un lent gémissement en se raidissant.
— Allo ? Il y a quelqu’un ?
— Oui man ! Je disais bonjour à Patricia, excuse-moi et Véro m’a dit qu’on viendrait en voiture. Expliquai-je en scrutant ma tante perdue dans son bonheur.
— Alors vous serez là dans l’après-midi donc je ne vous compte pas pour le déjeuner.
— Non non, bon je te dis à demain, je t’embrasse. Terminai-je tandis que Véro revenait dans le monde réel.
— Je vous embrasse bien fort !
Dès le téléphone coupé, ma tante tellement gênée de s’être donnée en spectacle se levait immédiatement en se dirigeant vers la cuisine. Elle n’avait que sa serviette pour se protéger le buste et la voir de derrière ranima instantanément ma flamme. Elle buvait de l’eau à la bouteille en maintenant ce bout de tissu pour me cacher sa nudité.
— Patrick, je ne sais ce qu’il m’a pris. Dit-elle debout dans la cuisine.
— J’ai très envie de toi.
— Moi aussi Patrick, tu dois t’en douter. Murmura-t-elle en prenant une voix enfantine.
— Je veux te prendre par derrière, j’en meurs d’envie. Osai-je en me mettant nu.
Véro était embarrassée devant ma proposition totalement déplacée, elle qui était toute disposée pour une relation sexuelle traditionnelle se retrouvait dans un contexte bien particulier.
L’expression de son visage ne dégageait qu’une envie de s’affranchir des interdits en copulant une nouvelle fois avec son jeune neveu, point final (!).
Au beau milieu de la cuisine, elle laissait tomber sa serviette affichant sa poitrine enflammée pour venir se coller contre moi. Ma demande maladroite et prématurée partait aux oubliettes quand elle me chuchota dans l’oreille des mots apaisants.
— Je ne veux pas te décevoir alors on verra plus tard, prends d’abord soin de moi.
Une fois de plus l’échéance était retardée, mais à qui la faute ? Je devenais exigeant et soudain je prenais conscience du chemin parcouru. Dorénavant ma tante me sommait en quelque sorte que je la baise, comportement inimaginable de sa part il y a quelques jours, devenu réalité dès à présent.
Sans perdre le nord ou le sud, peu importe, je choisissais sa chambre pour y assouvir nos besoins respectifs. Tels deux ados nous nous précipitions au 1er étage et ma tante si pudique par nature s’affichait étendue dans le lit.
Cette fois je n’eus pas le temps de savourer son petit malaise lorsqu’elle devait me montrer sa belle chatte. Elle écartait les jambes, mettait ses bras en croix derrière la tête, avec en prime un large sourire révélateur du plaisir de venir s’accoupler avec son neveu.
— Je suis peut-être excitée mais toi, tu tiens la grande forme ! S’exclama-t-elle en fixant mon gros sexe désireux d’enflammer son corps à sa guise.
— Bah tu deviens bien à l’aise, voir ma belle Tatie toute nue et prête à se faire baiser, je ne sais pas quoi dire. Ajoutai-je en caressant posément la peau de ses cuisses succulentes.
— Tu me regardes comme si tu allais me dévorer ! Alors qu’est-ce que tu attends pour prendre soin de ta Tatie ?
Véro n’avait plus de scrupules, elle osait prononcer des mots de filiation directe entre nous deux. Je saisissais l’un de ses pieds et je portais ses fabuleux orteils le long de mes lèvres. Ma tante savait l’adoration que je leurs portais, aussi elle s’en amusa en amenant le deuxième, comme on amène à un gosse une double part de gâteau.
J’éprouvais autant de plaisir à la baiser que de lui sucer ses pieds sublimes.
Je passe sur les détails de notre ébat dans ce cas précis et je m’attarderai plus lors de l’étape ultime, encore faudrait-il savoir si ma charmante tante succomberait aux charmes de ma proposition inédite la concernant.
Fort d’une jouissance intense et ayant changé de positions de nombreuses fois, ma tante plus que satisfaite de ma prestation me posait des questions inédites. Je la sentais fortement amoureuse et curieuse de me connaitre davantage.
— Patrick, qu’est-ce que c’est bon de faire l’amour avec toi. Ca a toujours été comme ça avec les autres, je veux dire aussi intense, j’aimerais savoir ? Demanda-t-elle en me caressant les poils du torse comme à son habitude.
— Tout est différent. D’abord tu es ma tante, ma Tatie adorée et si tu veux tout savoir, tu es plus réceptive que les autres. Et puisc’est compliqué de te répondre. Physiquement tu ne peux pas imaginer combien tu me plais et j’aime ta façon d’être, t’es mon rêve éveillé.
Véro en avait les larmes aux yeux, je pensais vraiment ce que je disais mais au fond de moi, j’échafaudais mon plan drague. Sans avoir peur des mots, le fantasme de sodomiser Véronique me taraudait dans tous les sens. C’était devenu ma quête de l’absolu, le faire avec elle dépassait l’impensable et c’était peut-être cela qui m’excitait inconsciemment. Ma tante plus terre à terre n’y pensait même pas, nous avions déjà franchi un pas en baisant ensemble et elle de son côté, en pratiquant une fellation qualifiée de royal à Biarritz avait atteint voire dépassé ses interdits. Je restais le fils de sa sur avec lequel elle entretenait des relations sexuelles, ne l’oublions pas.
Le fait de repartir chez mes parents, de voir ma mère allait la faire sombrer dans la culpabilité, la honte de s’être abandonnée à son neveu.
— Je suis ton rêve éveillé ? Alors tu es amoureux de moi pour me dire ça ?
— Euh Véronique Tu m’embarrasses avec cette question. Et je crois que c’est déjà pas mal les sentiments que nous avons entre une tante et son neveu. En fait j’ai dépassé ce clivage entre toi et moi et je te considère comme ma copine désormais. Mais je dois bien t’avouer que de toutes les femmes que j’ai connues, tu es vraiment réceptive.
— Mais qu’est-ce que tu as avec ce mot, je suis réceptive ? Dit-elle en relevant sa belle frimousse.
— Tu te rappelles quand j’étais en train de te sauter ? Tu m’as dit "tu fais tout ce que j’aime". Et bien pour moi, c’est pareil et je n’ai jamais rencontré une femme que j’aime autant lécher, t’as une chattec’est une merveille.
Cette fois la mine de Véro changea.
Elle détestait que je lui parle de son anatomie, qui plus est quand il s’agissait de son intimité. Néanmoins elle ne se laissait pas démonter.
— Oh te voilà à nouveau en train de me parler de mon sexe ! Je ne vois pas ce que j’ai d’extraordinaire ! On en reparlera ce soir Patrick et je voulais te dire que je me sens bien quand tu es là. Ajouta-t-elle d’un ton attendrissant.
— Oui on en discutera ce soir et fais-moi un baiser.
Elle se pencha sur moi et notre baiser fut à l’image de notre conversation. Nos langues se cherchaient pour mieux se retrouver et nos lèvres se fondaient entre-elles. L’harmonie parfaite.
II devait être 19h et nous prenions notre apéritif. Un petit coup de sonnette résonna.
— Ca doit être le voisin qui me demande son courrier, je l’ai gardé pendant ses vacances. Patrick tu peux lui ouvrir et le lui donner ? Je ne peux pas dans cette tenue.
— J’y vais.
— Merci beaucoup !
Ma tante n’avait mis qu’un tee-shirt et un slip. Ouvrir dans une tenue pareille aurait été osé de sa part et je donnais au voisin, un type rondouillard fort sympathique ses lettres tant attendues. Il me remerciait mille fois en me demandant de saluer Véronique de ma part.
En repartant sur mes pas, j’apercevais dans le couloir une silhouette loin de m’être inconnue. Ma tante avec son simple tee-shirt et ses longues jambes perchées sur ses escarpins à talon haut m’attirait de plus en plus, avec un côté volontairement provocant. Ses talons affinaient l’ensemble de sa jolie personne et encore une fois, la voir ainsi me mit dans un état
— Il est sympa, tu lui as donné le courrier ?
— Oui. Enlève voir ton slip Véronique.
— Oh quand même Patrick, je vais être à poil ! S’insurgea-t-elle.
Sans répondre, je croisais mes bras et je m’adossais près du mur.
Avec légèreté ses mains glissèrent le long de ses hanches attrapant l’intrus au passage, puis d’un mouvement sec avec sa chaussure, elle s’en débarrassa.
— Bon monsieur est satisfait ? Je peux préparer à manger ? Me lança-t-elle en se dirigeant vers la cuisine, sans ignorer que je lorgnais sa paire de fesses.
— Si tu veux un coup de main, tu m’appelles.
— Ca ira ! Répondit-elle enjouée par ce petit jeu.
Véro prit soin de poser un coussin sur sa chaise. Je lui servais du rosé pour trinquer ensemble en échangeant un petit regard complice. Ma tante avait pour habitude de manger à son rythme, c’est à dire lentement ce qui lui donnait une certaine élégance. Notre repas du soir se termina avec deux bougies en guise d’éclairage, venant de ma propre initiative, pour donner un aspect plus romantique à notre soirée.
Une fois terminé, je prenais les deux assiettes direction la cuisine et le tour était joué. J’avais enfin ma belle Véro pour moi et en suivant notre petit rituel de fin de soirée, je lui offrais une cigarette.
Prompte à discuter, elle ne me cachait pas sa nudité au moment de croiser ses jambes. Je crois bien qu’elle s’affirmait dans cette tenue pour s’abolir de ses propres principes relatifs à la morale ou aux murs de notre société. J’en déduisais rapidement qu’elle s’apprêtait à débattre de ma fameuse proposition. Farouchement opposée même si elle me laissait croire à une ouverture possible, je la soupçonnais d’être curieuse d’essayer avec moi. Je n’en oubliais pas moins la prudence, puisqu’elle était vierge de ce côté-là, malgré les quelques sous-entendus comme quoi elle s’y serait risquée.
Fort décontracté, j’abordais la question au gré de la conversation.
— Alors tu vas trouver un stage pour l’année prochaine Patrick, tu me disais que tu avais des pistes ?
— Oui j’en ai des sérieuses et même une dans la région, ce serait sympa si j’y parvenais. Le stage dure environ 4 mois. Dis-je sans rien ajouter sur la possibilité de se voir.
— Ce serait pas mal pour toi et si tu trouves dans le coin, je pourrais t’héberger dans un 1er temps. Ajouta-t-elle en jouant avec son rond de serviette.
— C’est une piste qui devient très sérieuse, trouver un stage ici avec une région en fort développement, c’est une aubaine. J’ai un rdv avec le DRH mi-aout et le père de Yan connaît le boss, donc ça devrait le faire.
— Le père de Yan et s’il remontait jusqu’à nous ? Oh Patrick on a fait une bêtise d’aller à Biarritz. S’inquiéta-t-elle légitimement.
— Non Véronique, ne crains rien. Yan ne le saura jamais. Tu as belle allure ce soir et je te sens très détendue.
J’amorçais le sujet. Véro ne mouftait pas et allumait une deuxième cigarette pour me signifier son désir de poursuivre notre conversation, fort intéressante au demeurant même si je n’allais pas tarder à aborder mon sujet brûlant. D’autant plus brûlant qu’à force de la regarder uniquement vêtue de son tee-shirt, mon sexe me faisait des misères. Sans savoir si ma tante le fit exprès, elle partit vider le cendrier.
C’était encore une fois l’occasion de contempler ses deux belles pommes, si fermes et si harmonieuses. De retour, elle me fixait longuement du regard en tirant des bouffées sur sa cigarette. J’adorais tout en elle, sa poitrine, ses lèvres, ses doigts fins, ses pieds élancés et sa maturité. Elle secouait la tête pour dégager des mèches rebelles sur son visage, geste d’une sensualité extrême.
— Patrick, tu conduis demain ?
— Oui nous partirons vers 9h et nous y serons dans l’après-midi. C’est sympa de revoir la famille.
— J’espère que je vais surmonter le regard de ta mère.
— Tu y arriveras et puis nous sommes si proches, on a tout fait ensemble ma belle Tatie. Insinuai-je en attente de sa réaction.
— Sexuellement je suis comblée avec toi. Je ne suis pas à plaindre ! Il faut suivre ton rythme.
— VéroTu suis mon rythme avec une aisance déconcertante ! D’ailleurs ma proposition tient toujours.
C’était fait, j’avais lâché ma flèche. Véro se devait de répondre par oui ou un non. La connaissant, elle allait se dérober. Sans lui laisser le temps de réfléchir, j’enfonçais à nouveau le clou.
— Tu ne sais pas quoi répondre. Je sais qu’au fond de toi tu ne dirais pas non, tu ne l’as jamais fait et en plus ce serait avec moi. Tu connais ma délicatesse, donc tu n’as rien à craindre. En plus ce serait carrément magique que ce soit moi Véronique.
Après la longue tirade, ma tante éteignit sa cigarette et s’adossa contre la chaise en décroisant les jambes. Sa belle intimité était à découvert, était-ce une provocation ou une invitation ? J’étais dans le brouillard total. Je fixais intensément ma tante qui ne baissait pas le regard. Elle aussi se retrouvait perdue mais à sa façon de m’observer, je la savais pensive, hautement pensive.
— Patrick, tu peux me masser les pieds ? Ca me soulagerait. Dit-elle en les allongeant sur mes cuisses.
Je passais mes mains sur le dessus de ses orteils pour savourer cette peau si délicieuse au toucher. Vache ! Elle savait s’y prendre avec moi et connaissait mon péché mignon. Je ne suis pas fétichiste mais ma tante possédait des pieds d’une rare élégance et cela ne faisait que rajouter un charme supplémentaire à sa personne. Elle en jouait et j’ajouterai qu’elle déjouait par la même occasion mes plans mais c’était mal me connaitre.
— Comme tu as la peau douce à cet endroit, c’est agréable de te détendre de cette manière. Précisai-je en passant et repassant le long de sa voute plantaire.
— Tu sais comment me relaxer Patrick, j’en profite. Tu me connais par cur.
— Oui et j’adore te faire jouir, tu es très belle au moment de jouir.
— Euh ouiRépondit-elle en manipulant son rond de serviette mal à l’aise.
Véro me jetait un bref regard, le fait de lui avoir dit qu’elle était belle au plus beau des moments l’avait déstabilisée. Lui dire cela, c’était comme si j’avais fouillé dans son âme, que je transperçais la barrière tante-neveu. Moi la locomotive, je raccrochai ce wagon se perdant au loin pour le ramener au plus vite auprès de moi.
— Remarque, c’est très flatteur pour moi. Je te fais ressentir des émotions que je croyais enfouies depuis un bon nombre d’années. Dis-je sans me poser en psychanalyste.
— Oui tu me l’as dit, ça me gêne de t’en parler mais tu as effectivement raison, ce ne sont pas des émotions enfouies mais plutôt refoulées si tu vois ce que je veux dire. Me confia-t-elle en se laissant dorloter les pieds.
— Bah je peux te le dire, émotions refoulées ou enfuies, avec toi c’est la foudre !
— Pour moi aussi Et puis Patrick, j’ai connu peu d’hommes et maintenant je suis avec toi. Tu es beaucoup plus jeune que moi et paradoxalement, tu en connais plus sur le sujet. Je me sens presque ridicule vis à vis de toi. Murmura-t-elle de peur que quelqu’un n’entende (!).
— T’es devenue ma copine.
— Oui enfin tu couches avec ta tante quand même ! Je commence à te connaître de mieux en mieux et il me faut beaucoup de confiance pour me lâcher totalement, si tu vois ce que je veux dire et j’ai une grande confiance en toi Patrick. Reconnut-elle en me jetant un regard profond.
C’était le moment ou jamais. Elle m’avait tendu une belle perche en m’avouant sa confiance et qui dit confiance dit aussi audace. L’équation simpliste était la suivante. Ma tante me disait être en confiance avec ma personne, donc quoi de plus naturel que d’ouvrir la porte vers un chemin inconnu accompagné de son neveu en qui elle a confiance ?
— Je voulais te demander, t’aimerais pas essayer un truc un peu nouveau ? Dis-je en parlant avec assurance.
— Oh je te vois venir comme tout à l’heure et je t’ai dit qu’il me faut du tempsRépondit-elle en évacuant une nouvelle fois le sujet.
— Je sais qu’intérieurement tu ne dirais pas non et que tu aimerais que ce soit moi.
Un silence s’en suivit, Véro allumait encore une cigarette et croisait puis décroisait ses jambes, signe qu’elle était tracassée. J’attendais posément sa réponse, sachant que je lui demandais beaucoup. Puis après un long soupir, elle se décida en m’exposant la situation.
— Patrick, nous faisons l’amour et tu es un amant merveilleux mais là tu me demandes un peu trop. Déjà je ne l’ai jamais fait et je suis un peu effrayée à cette idée et en plus faire ça avec toi, toi qui es mon neveu ! Ca dépasse les bornes. On va trop loin tu ne crois pas ? Me demanda-t-elle droit dans les yeux.
— Non je ne crois pas. Je crois que nous devrions essayer, en plus tu ne sais pas ce que c’est. Lui confiai-je.
— Mais tu l’as déjà fait ? Dit-elle curieuse et mordant à l’hameçon.
— Oui et c’était assez génial alors j’imagine avec toion va atteindre les sommets. Lui répondis-je enthousiaste.
— Oh avec toi ! tu m’as fait atteindre l’Himalaya !! Par moment je me dis que je suis devenue complètement dingue. Et le plus dingue, c’est que tu insistes tellement
— Je veux t’emmener plus haut Véronique, viens parce qu’une petite voix te dit pourquoi pas et que risques-tu après tout ? Argumentai-je en gardant mes mains posées sur ses délicieux orteils.
— T’es un sacré dragueur et tu sais t’y prendre avec moi. C’est pas croyable quand même ! Dit-elle en s’étonnant toute seule.
— Allez ma belle Véro à moi. Insistai-je en parlant avec une voix atteignant le mont Olympe.
Avec ma dernière tirade, je vidais toutes mes cartouches en l’appelant ainsi. Je la flattais comme elle aimait en lui faisant comprendre qu’elle m’appartenait affectueusement et une fois encore, elle était en pleine réflexion mais la balance penchait de mon côté avec un léger sourire de sa part.
— Écoute c’est parce que tu insistes et si je refuse, tu vas m’en vouloir. Alors je veux bien essayerMurmura-t-elle.
— T’es sûre ?
— Oui je veux le faire avec toi, j’ai pleinement confiance en toi Patrick. Répondit-elle avec une grande sincérité.
— Viens avec moi. Lui dis-je la main tendue.
— OuiSoupira-t-elle en se levant.
Je ne réalisais pas ce qui m’arrivait. J’étais dans la chambre de ma tante et je m’apprêtais à la sodomiser, tandis qu’elle faisait sa toilette intime. Et dire qu’elle ne l’avait jamais fait et que c’était à moi qu’elle allait m’offrir sa virginité anale (!). Rien que d’y penser et mon sexe se mît dans un état jamais vu. Bref j’étais excité comme un beau diable.
Véro se présenta à moi, fraichement démaquillée et tout sourire avec juste son tee-shirt. Elle vint m’enlacer avec un élan de tendresse et prit du recul pour me regarder.
— Je ne sais pas ce que je fais Patrick. Se lamenta-t-elle.
— Ne crains rien.
Visiblement elle devenait pensive, donc avec des idées peu brillantes sur elle-même, aussi je décidais de l’embrasser en plongeant ma langue dans son palais. Elle m’accompagna farouchement durant ce baiser en me caressant la nuque.
Je la guidais vers le lit puis j’eus le privilège de soulever son débardeur. Une fois encore, je prenais mon pied en déshabillant ma tante. Elle leva les bras en m’offrant au passage une vue sur ses seins si fermes et s’assit au bord du lit.
J’avoue que ce fut l’instant magique.
Entièrement nue face à son neveu, elle écartait ses jambes sans pudeur pour me dévoiler sa si jolie chatte.
— Euh tu veux que je reste comme ça ? Me demanda-t-elle innocente.
— Oui pour l’instant.
Accroupi, je débutais une savoureuse dégustation de l’intimité de Véronique. Elle se contractait et me prenait la tête entre ses mains. Elle mouillait comme une folle et c’était le moment précis où j’intervenais. Je léchais sa belle chatte trempée pour descendre plus bas.
— HummOuiiiGémit-elle.
— C’est bon de te lécher et tu aimes ma belle Véro
— Oh oui j’aimeDit-elle en se relâchant.
— Retourne-toi maintenant.
Ma tante se positionna en levrette, bien campée sur ses coudes. Je ne pouvais m’empêcher de la contempler, ses fesses aux courbes arrondies me suggérant des vagues assoupies après avoir été déchainées par la tempête et ses seins brûlants ne demandant qu’à être cueillis comme deux fruits bien mûrs. Qu’elle pouvait être bien foutue et si alléchante dans cette position de soumission.
Je caressai sa croupe dont la peau avait la finesse d’un bourgeon et la souplesse du vent. Mes doigts semblaient danser sur ses dunes, je humais ses odeurs intimes.
— Tu me fais faire de ces chosesDit-elle pour se déculpabiliser.
— Avoue que tu ne dis pas non. Ajoutai-je.
— Avec toi je dis toujours oui.
J’avais son cul face à moi, rien que de le voir et je tremblais intérieurement. Ma tante avait beau avoir 42 ans, elle avait été gâtée par la nature et la voir ainsi, soumise et docile me renvoyait au passé.
Moi qui en avait tant rêvé, j’avoue que sur l’instant je flottais sur un nuage. J’en étais arrivé à me croire simple spectateur de mes propres gestes en me disant que je vivais un moment unique de ma vie.
La réalité reprit le dessus et ma langue, habituée à s’introduite dans son intimité la délaissait pour se diriger vers son second orifice, le capricieux qu’il fallait amadouer. Elle fit connaissance en tournoyant puis en le léchant lentement. Cette fois, la dégustation de ma tante était dévolue à son joli derrière avec d’amples caresses sur son bas ventre.
— Oh ouiiMurmura ma tante.
— C’est bon, tu aimes te faire lécher le cul
— Oui, j’adore que ce soit toiDit-elle en forme de confidence impudique.
Véronique ne disait rien, inquiète de la suite mais se laissait faire en relâchant ses muscles sous l’impulsion de mon doigt, puis du deuxième
Le terrain était fin prêt et pour le lui faire comprendre, j’appuyais sur sa croupe pour la faire se cambrer davantage. Mon sexe, veines sorties était au bord de l’implosion pour effleurer l’entrée de son époustouflant derrière. Véro se montrait craintive.
— Patrick, tu y vas doucement, n’oublie pas que je ne l’ai jamais fait. Déclara-t-elle apeurée.
— Oui, détends-toi Dis-je sans forcer son entrée très rétive.
— Fais doucement ! S’exclama-t-elle
Au beau milieu de sa chambre, je comprenais le sens du mot béatitude en la pénétrant à une allure peu vivace, presque langoureuse. Je n’oubliais pas que c’était sa première fois, aussi je m’immobilisais en elle, le gland rentré en elle. J’attendais que ses muscles soient détendus pour alterner des petites entrées pour faire place à de vastes sorties.
Mon travail de fond prenait forme une fois la moitié de mon membre enfoui entre ses deux belles fesses à la peau blanche. Les entrées-sorties se dissipèrent au fil du temps, mon sexe parcourant à un train de sénateur son étroit canal. Je caressais sans relâche toute sa croupe pour qu’elle se relâche davantage.
— Ca va ma Véro ?
— Oui pour l’instant. Répondit-elle tout bonnement.
Nous étions dans l’étape normale et Véro n’aspirant à aucun désir, était dans l’anxiété de me recevoir à un endroit inhabituel.
Mon sexe ardent commençait à apprivoiser cet orifice délicat, son canal perdant ce côté exigu par mes mouvements timides. Véronique ne disait toujours pas un mot et désormais ma verge vaillante, bien installée dans cette partie si intime se montra plus virulente. Le moment de grâce se fit jour à l’instant même où j’entamais ma première ruade. Véro émettait enfin un son.
— Oh ouiSoupira-t-elle.
— Détends-toitu aimes ? Lui demandai-je en imprimant une bonne cadence avec mes mains posées sur sa croupe.
— C’est pas mal. Concéda-t-elle.
Je n’étais pas déçu de ces derniers mots, Véro étant à l’orée d’un orgasme inconnu, je dirais même d’un tsunami orgasmique (!). Elle était loin de le savoir, puisqu’un intrus se mouvait dans un endroit inconnu de son corps.
Je parlais précédemment de béatitude.
Je baignais dans tous les sens du terme et voir ma tante, telle une belle pouliche se faire prendre ainsi m’interpellait. Sans qu’elle le sache, je dépassais tous les codes confondus.
En apercevant mon sexe disparaître dans son cul féerique, non seulement j’entretenais des rapports incestueux, mais de plus j’entraînais ma propre tante dans cette pratique peu répandue qu’est la sodomie.
Malgré mes ruades, je sentais Véro peu à son aise. Je pris la décision de la décoincer directement par la parole.
— Tu aimes ma belle ? Dis-je en lui en imprimant un rythme soutenu entre ses fesses aux courbes parfaites.
— Oui c’est mieux Patrick.
— Lâche toi ma chérie ! Hurlai-je en sentant ma verge se déployer dans son canal devenu fleuve.
— Ah ouiOuiiS’exclama-t-elle.
— Alors tu aimes ?
— Oh ouiDéfonce-moi Patrick ! Je te sens grossir Dit-elle sans complexe.
— Oh bordel que t’es belle ! Répondis-je en pilonnant son beau derrière.
— Oh la vachec’est fantastique ! S’écria-t-elle en allongeant ses avant-bras sur le lit.
Je me croyais dans le film d’apocalypse now, la chevauchée fantastique de Wagner débutait (!).
Voir ma femelle de tante dans cette position docile me faisait prendre conscience de mon degré d’influence sur elle.
A chaque coup de reins dans ce corps apprivoisé, j’entendais dorénavant ses petits cris étouffés et je la savais au bord de la jouissance.
A l’instar d’une fellation, je lui imposais un rythme brutal et soutenu et l’effet ne se fit pas attendre. Ses doigts pressèrent le drap ainsi qu’une une partie de l’oreiller et sa respiration s’accentua constamment. D’un coup je pétrissais ses fesses puis je la saisissais fermement par les hanches et l’arc en ciel pour Véronique apparut.
— N’arrête plus PatrickDit-elle dans un souffle haletant.
— Jouis ma bellejouisRajoutai-je pour la décoincer de plus belle.
— Oh ouiOui ! Oui !.Hurla-t-elle dans un lent râle profond.
— C’est bon ma belle Véro
— Ouiiiiiilaisse-moi jouir mon amourDit-elle se faisant silencieuse en savourant son émotion nouvelle.
Son corps se raidit excepté son orifice trop dilaté par mon sexe agité. Elle respirait fortement et émettait encore de lents gémissements, le temps de lui laisser passer son tsunami. Je caressais la peau humide de son dos transpirant tout en continuant mes mouvements en elle.
La notion de temps avait disparu et à mon tour en voyant sa chute de reins, sa croupe superbe et ses épaules gracieuses, mon sexe se mît à rugir en elle.
D’une Véro silencieuse, j’entendais une Véro jouisseuse, jouisseuse de me savoir venir en elle. Elle s’apprêtait à accueillir la semence de son neveu dans la virginité de son cul.
Elle se retourna, les mèches dans le visage et se repositionna cette fois avec les coudes posés, bien disposée à recevoir une seconde vague de plaisir, la mienne.
— Viens mon amourDit-elle se rapprochant à son tour de l’extase.
— Je viens ma Véronique ! M’exclamai-je la verge en feu.
Ma jouissance se préparait, l’envie irrésistible se muait en un plaisir animal. Peu de place à la tendresse, mais de purs gestes mécaniques déclenchèrent en moi un déferlement confus, sans maitrise de mon corps.
— Ah oui ! Hurlai-je à mon tour.
— Hummcontinue mon amourDit-elle haletante, toujours les coudes posés en se laissant prendre, telle une chienne en chaleur.
Je jouissais de toutes mes forces et j’obligeais Véronique à étendre à nouveau ses bras sur les draps, ne résistant pas à rester sur ses coudes face à la pression émotionnelle reçue.
— Oh PatrickOh ouiiiGémit-elle.
— Vache que t’es belle ma chérie ! M’exclamai-je au plus profond de ma jouissance.
— Ouiii mon amourje t’aime Patrickje t’aimeMurmura-t-elle.
Je pilonnais son derrière, j’en avais tellement rêvé que je ne m’arrêtais plus. Elle qui ne connaissait pas la sodomie découvrait enfin ses vertus.
— Ouii mon chériHummMurmura-t-elle en se mettant à gémir du bonheur reçu.
— Oh c’est bon avec toi !! Lui déclarai-je subissant mes propres émotions foudroyantes.
— OuiBaise-moi à fond ! Hurla-t-elle en oubliant qui j’étais.
Je la baisais durant de longues minutes malgré ma jouissance passée, uniquement par plaisir de la posséder de cette manière, c’est à dire totalement soumise. Mon sexe baignait dans la moiteur de son cul, rentrant à sa guise dans son orifice dévoué. Je caressais son ventre doux pour prendre un congé bien mérité quand Véro contracta ses muscles.
Exténué, je me dirigeais vers la salle de bains, Véro m’emboitant le pas.
Une fois sorti, je restais debout dans la chambre et Véro se présenta à moi, nue également. La notion ou parenté tante-neveu avait disparu, envolé par cet acte si profond. Véro s’était donné à moi pour la première fois de sa vie.
Je l’attirais contre moi pour lui faire un baiser tant désiré. Elle m’embrassait avec amour, me prenant le visage dans ses mains et était-ce une intuition (?), je crus bien que ma tante éprouvait plus que de la tendresse envers moi.
Une chose était certaine, ayant acceptée et appréciée fortement cette nouvelle pratique, notre relation prenait une nouvelle tournure. Véro ne se contentait pas de m’embrasser, le besoin de se confier était tout aussi important lorsqu’elle m’accompagna pour se blottir contre moi au fond du lit.
— Patrick, je suis un peu bouleversée après ce que nous faisons de faire. Et puis je ne pensais pas que nous irions si loin ensemble, enfin tu vois ce que je veux direDit-elle émue.
— Continue
— Et bien comment dire ça Disons que je me sens bien près de toi et malgré le fait que je reste ta tante, tu es un garçon qui me plait beaucoup. Poursuivit-elle.
— Ah mais toi aussi figure-toi, tu me plais depuis mes quinze ans ! Plaisantai-je en faisant rigoler ma tante.
— Enfin je me sens heureuse avec toi et si tu veux savoir, j’ai beaucoup apprécié ce soir.
— J’aime bien ta façon de dire les chosesApprécié ? Bah je dirais plutôt que tu as aimé follement te faire baiser. Rajoutai-je en caressant sa hanche.
— Oui tu t’y es pris comme un chef ce soir et j’étais loin de penser que je le ferais un jour, alors imagine-toi à ma place ? Je l’ai fait avec toi, mon propre neveu en plus !
— Alors si je comprends bien, tu ne diras pas non la prochaine fois ? Lui dis-je en passant ma main sur l’une de ses fesses.
— Je ne te dirai pas non, c’est certain, t’es un amour.
— T’es ma chérie ma belle Véro ! Dis-je ironique.
— Oh Patrickje suis ta tante pas ta chérie ! S’emporta-t-elle.
— Bon je stoppe mais tu m’appelles bien mon amour ! Dis-je en mettant face à elle.
— Oui bon je t’ai dit que je me sentais proche de toi, t’as été génial ce soirallez bonne nuit mon Patrick. Conclut-elle en approchant ses lèvres.
Un long baiser sensuel, synonyme de sous-entendus réciproques entre nous nous plongea dans un sommeil mérité.
Désormais, j’étais aussi proche de ma tante qu’un couple ordinaire et suite à ses dernières confidences, je me rendais à l’évidence. Véro éprouvait des sentiments la dépassant elle-même.
Elle ne voulait pas admettre la réalité, cette réalité étrange d’être tombée amoureuse de moi. Mais finalement, hormis le fait qu’elle soit ma tante, elle n’en demeurait pas moins une femme avec ses forces et ses faiblesses.
Fallait-il la blâmer d’éprouver de nouveaux sentiments après tant d’années d’abstinence et d’avoir été ignorée par un époux que je ne jugerais point ?
Je la contemplais près de moi, son bras étendu sur mon torse et je compris dès lors que la dernière semaine à venir allait s’avérer inoubliable.
J’avais en tête de lui faire des trucs fous, qu’elle se sache désirée comme jamais elle ne l’a été, qu’elle conjugue l’amour bestial avec la pureté des sentiments.
Mais demain, une autre aventure nous attendait, rendre visite à mes parents. J’avais déjà en tête le mal-être que Véronique allait ressentir en étant face à ma mère, sa propre sur.
Je me fixais un autre objectif, le défi final. Baiser ma sublime tante sous le toit parental.
Je devenais complétement fou