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Caroline et la famille – Chapitre 2




Le lendemain, j’étais quand même partie en étudier à la faculté du 16e arrondissement. Bien sûr, en cours, je n’avais nullement la tête à écouter quoi que ce soit, et d’un point de vue social, cela n’était guère mieux. J’étais sortie dans le but de prendre l’air et de me changer les idées, mais cela n’avait pas eu l’effet escompté tant attendu. Il est évident que cela occupait mon esprit et qu’il fallait absolument que je trouve une solution pour m’en soulager.

Après avoir mûrement réfléchi, la seule solution qui me venait à l’esprit, était que lui et moi ayons une conversation à ce sujet-là, bien que le sujet fût difficile et totalement tabou chez nous. Avec mon père, et mon frère, nous ne parlions jamais de sexe dans la maison. D’ailleurs, quand il y avait des scènes un peu torrides dans un film télévisé, mon père venait à changer de chaînes comme si de rien n’était, perdant totalement le fil de l’histoire. Au vu des faits, en parler avec lui, me demanderait beaucoup de courage et de volonté, mais cela restait une nécessité me concernant. Je ne pouvais pas continuer ainsi à vivre dans cette maison en sachant que mon père pouvait se branler en pensant à sa fille.

Arrivé le soir, je suis entrée dans le salon et j’ai fait la bise à mon père et à mon frère en guise de bonjour comme je le faisais quotidiennement. J’étais arrivée au bon moment, puisque mon frère, Fred, s’apprêtait à sortir rejoindre des amis pour aller au cinéma. Cela allait me laisser le champ libre pour avoir une discussion en tête à tête avec mon père.

Juste après que Fred soit parti, je me suis rendu dans le salon rejoindre mon père qui était assis sur le canapé à regarder les informations télévisées. Assise à côté de lui, je faisais semblant de m’intéresser à ce qu’il se passait à la télévision, et tentais de trouver le bon moment pour lancer une conversation avec lui. Mon père fut le premier à faire le pas.

— Caroline ? On dirait que tu as quelque chose à me dire, ou à me demander, non ?!

Bien que j’avais grandement envie de discuter avec lui de l’évènement d’hier, je ne sus point lancer le sujet par timidité et je lui répondis :

— Non, pas spécialement.

Quelle idiote je fis. Je m’étais préparée psychologiquement à discuter avec lui et voilà qu’au moment opportun, je n’ai su placer les bons mots. Nous restâmes tous deux sur le canapé à regarder la télé et n’arrivant pas à relancer une conversation avec lui, je décidai de me lever pour aller dans ma chambre. A ce moment-là, mon père me dit :

— Caroline, tu veux bien me passer la télécommande avant ?

— Oui. lui répondis-je en hochant la tête.

La télécommande se trouvait dans une petite corbeille en oseille placée sur la table basse. Cela arrivait souvent qu’il me demandait de lui passer la télécommande quand je quittais le canapé en sa présence. Avant, je me serais exécutée sans trop réfléchir et je lui aurais donné la télécommande, mais là ce fut différent. Je restais un moment devant lui à analyser la situation et je me rendis compte qu’il avait juste à faire un petit effort et à tendre le bras pour récupérer la télécommande. C’est aussi à ce même moment-là que je me suis rendu compte que si j’allais chercher cette télécommande, j’allais me retrouver dos à lui, et que mes fesses seraient à quelques centimètres de son visage.

Pendant que je rêvassais, jentendis une voix me dire :

— Tu comptes me la donner quand cette télécommande ?

Surprise, je lui répondis :

— De suite ! De suite !

J’avançai d’un grand pas vif vers la table et me mise face à la corbeille où se trouvait la télécommande. Je finis par réaliser dans mon éland que j’étais dos à lui, que mon cul se trouvait à hauteur de son visage, et que j’allais devoir me pencher pour récupérer la télécommande. Avant, je le faisais cela rapidement parce que je ne doutais point qu’il me demandait de faire ça dans l’objectif de me mater les fesses. Mais aujourdhui, sachant cela, mes cuisses et jambes ne me répondaient plus, ce qui fut que j’ai mis du temps à fléchir mes jambes, lui laissant le temps de bien en profiter. Il eut largement le temps de voir mes hanches s’écarter et mes fesses s’élargir. Étant trop loin pour récupérer l’objet, j’ai dû me cambrer davantage pour réussir à l’avoir en main. Soudainement, j’étais restée comme tétanisée quand j’ai senti son nez effleurer mon sexe. Mon short legging étant tiré au maximum par ma cambrure et ne portant pas de culotte une fois de plus, c’était comme si j’étais nue devant lui.

Je ne savais pas combien de temps j’étais restée dans cette position, mais suffisamment longtemps pour l’entendre me dire :

— Salope ! d’une voix faible mais suffisamment forte pour que je l’entende bien.

Je me raidis tout de suite en lui tendant la télécommande sans le regarder tellement que j’avais honte et je l’entendis me remercier. Je fis un pas sur le côté pour m’extraire, et parti en direction de ma chambre en marchant houleusement sans que mon regard croise le sien ou même qu’il ne voit mon visage rougit par la honte.

Comme le jour d’avant, je me suis mise sur mon lit, jambes fléchies, tête baissée et posée sur les genoux à me ressasser l’évènement qu’il venait de se passer. Au lieu de discuter avec lui pour faire cesser ce côté malsain entre nous, je venais juste d’empirer la situation. Il avait dû croire que j’avais fait exprès de me cambrer et de rester aussi longtemps le cul accolé à son visage pour l’exciter, alors que j’étais tout simplement apeuré.

Certes, je m’en voulais d’avoir réagi ainsi, mais, ce qui me mettait dans tous mes états, c’était que je me revoyais toutes les autres fois où il m’avait demandé de lui passer la télécommande. Combien de fois avait-il senti mon entrejambe sans que je m’en rende compte ?

Néanmoins, ce qui ma choqué le plus n’était pas que le fait qu’il voulait voir mon cul de très près mais surtout qu’il m’ait dit le mot « salope » afin d’attirer mon attention. Pourquoi l’avoir dit aussi fort ? Peut-être qu’il n’a pas su se maîtriser sur le moment même. Mais que serait-il passé si j’avais relevé le mot qu’il venait de me dire ? Je devais me faire dans l’idée que toutes ces questions allaient rester sans réponses et que j’allais me les poser souvent dans les jours à venir.

Après avoir longtemps sangloté dans mon lit, je me suis ressaisi. Ce qu’il venait de se passer n’était en rien de ma faute, mais la sienne. Il est évident qu’il doit cesser rapidement la manière dont il me voit et que je dois tout faire pour que cela cesse.

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