Le lendemain, mère supérieure pense à la rencontre promise à Sur Jeanne. Elle pense à la plus salope des Surs avec laquelle elle s’amuse souvent : Sur Louise la responsable informatique. Elle avait confié à Mère supérieure après son aventure avec le dépanneur d’ordinateurs qu’elle était en manque de vraie bite. Après 13h, au moment du temps libre, Mère supérieure se rend dans la chambre de Sur Louise. Personne. Peut-être est-elle au bureau en train de travailler. Oui, effectivement elle est bien au bureau de mère supérieure.

« Vous ne prenez pas de temps libre Sur Louise ? Je suis allé vous voir dans votre chambre mais vous étiez là. »

« Vous avez besoin de mes services ma Mère ? »

« Pas exactement, je viens vous proposer une rencontre avec une de nos toutes dernières. Elle n’arrive pas à couper le lien physique avec son ancien statut de vie civile. Je pense qu’elle a besoin de réconfort que je vous sais capable de lui donner. Accepteriez-vous ? »

« Qui est-ce ma mère ? »

« Pour l’instant, elle souhaite garder l’anonymat mais si vous acceptez, j’essaierai de la convaincre de vous rencontrer à visage découvert »

« Si je comprends bien, ma Mère vous me demandez d’être la pute de service ? »

« Comme vous réagissez Sur Louise, je n’ai pas employé ce mot mais je vous ai fait comprendre qu’il s’agissait de réconfort physique. J’ai testé cette petite qui, jen suis certaine, vous plaira. »

« Je vous fais confiance ma Mère. Est-ce vous qui me la présenterez ? »

« Oui, ici dans mon arrière-bureau où nous avons nos habitudes. Je vous le redirai en temps voulu. Je vous laisse finir votre travail »

En quittant sur Louise la Mère Supérieure s’approche très près d’elle et lui caresse le haut de sa robe au niveau de la poitrine, s’ensuit un baiser fougueux à langues fourrées.

Maintenant, il faut convaincre Sur Jeanne de rompre son anonymat lors de la partie spéciale annoncée.

Surprise ! Au détour d’un couloir, La Mère Supérieure rencontre Sur Jeanne.

« Bonjour ma Sur comment allez-vous depuis hier ? »

« Bien ma Mère, vous m’avez libéré et je vous en sais gré. Je ne sais comment vous remercier de m’avoir permis de m’ouvrir à vous et de passer ce moment agréable. »

« Faisons quelques pas ensemble. Nous sommes seules. Je vous ai proposé de vous faire rencontrer une de vos surs. Je lui en ai parlé, mais elle souhaite plutôt vous voir à visage découvert. Je sais votre désir d’anonymat mais ce ne sera pas facile, notre congrégation n’est pas très importante en nombre. Si vous acceptez, je peux vous dire dès maintenant de qui il s’agit. »

« Puisque c’est ma supérieure qui me le demande, j’accepte avec un peu de réticence mais j’accepte. »

« Il n’est pas question de hiérarchie dans nos moments de détente qui sont des parenthèses de notre vie dévouée au Seigneur et à Marie. Nous sommes à ces moments, toutes égales et passionnées. Il s’agit de Sur Louise la responsable informatique. Vous ne la connaissez peut-être pas car en dehors des repas et des offices, elle est très souvent devant ses ordinateurs et vous êtes toute nouvelle. Je lui confirme votre accord et je vous ferai signe. »

Au cours du souper de 18h, Sur Jeanne scrute les Surs parmi les plus anciennes mais c’est trop difficile, « trouver une aiguille dans une botte de foin ». Certaines figures qu’elle trouve jolies la mettent en émoi et elle imagine les rencontrer dans l’intimité mais peut-être sont-elles « très sages » et quelle serait leur réaction en découvrant (sans jeu de mots) son anatomie. Elle n’ose pas demander à ses voisines de table qui est Sur Louise.

Le lendemain, Sur Jeanne n’a toujours pas de nouvelles de la Mère Supérieure. Au repas de midi, Jeanne essaie de croiser le regard de Mère Marie mais aucun signe tangible ne se manifeste. Au moment du dessert, Sur Jeanne sent un regard appuyé d’une des Surs lui faisant face. Serait-ce Louise ? Après avoir quitté la table, Sur Louise s’approche de Sur Jeanne.

« Bonjour ma Sur, Mère Marie m’a parlé de vous et elle nous attend à 20h30 après l’office dans son bureau »

Sans rien ajouter, Louise s’écarte dans une autre direction que Jeanne.

Pendant le temps libre qui s’ensuit, Jeanne reste dans sa chambre pour prendre un peu de repos et surtout imaginer la rencontre prochaine. La brève entrevue avec Sur Louise l’a laissé dans un état second. Etendue sur son lit, elle se caresse lentrecuisse, s’imagine en train de déshabiller Louise devant la Mère Supérieure. Elle bande fort mais ne souhaite pas se branler pour garder des réserves pour ce soir.

A la reprise du travail, Jeanne est à la buanderie avec deux autres surs mais son esprit est totalement occupé à fantasmer sur une éventuelle partie endiablée en fin de soirée.

A l’approche de l’heure de rendez-vous, Jeanne se prépare. Elle sait qu’elle va faire la salope. Directement sous sa robe, elle met un soutien-gorge rehaussant bien sa poitrine, un porte-jarretelles avec des bas noirs et une petite culotte en dentelle suffisante pour dissimuler ses attributs.

20 h30 elle frappe à la porte du bureau. Une voix lointaine demande d’enter. Personne en vue. La voix de Mère Marie retentit à nouveau :

« Fermez la porte à clé derrière vous, nous sommes au salon dans l’arrière-pièce. »

Après s’être dirigée vers la pièce indiquée, la porte s’ouvre sur un spectacle inattendu. Marie Mère supérieure et Sur Louise sont assises chacune dans un fauteuil d’osier comme dans « Histoire d’O » dans une tenue qui n’a rien d’ecclésiastique et encore moins orthodoxe. Nos deux accueillantes sont offertes cuisses écartées chattes bien visibles, porte-jarretelles soutenant chacun des bas résilles, soutiens-gorge assortis, le tout légèrement voilé par une nuisette transparente.

« Approchez Jeanne. Nous ne sommes plus des surs mais des partenaires d’une partie de plaisir comme dans la vie extérieure. C’est Louise qui va commencer à vous aider dans votre quête d’apaisement sexuel. Nous verrons pour la suite »

Dans sa tenue ultra-bandante, Louise se lève vers Jeanne la prend par les cheveux et colle sa bouche sur la sienne. S’ensuit un baiser fougueux à langues fourrées pendant que Louise lâchant prise sur les cheveux de Jeanne, descend lentement et sensuellement ses mains sur la poitrine de sa partenaire qu’elle caresse sous le tissu puis remonte ostensiblement la robe de Jeanne en lui caressant les fesses et s’oriente vers l’entrejambe.

Soudain Louise a un mouvement de recul qui sépare les bouches.

« Oh ! Jeanne mais c’est un sexe d’homme tout chaud et bien raide »

« Oui je suis transsexuelle. Mère Marie est au courant et mon péché de certains instants, c’est d’avoir encore envie des femmes. La vue de vos deux corps offerts de cette façon, ne fait qu’exacerber mon désir »

« Quelle surprise agréable, inespérée dans notre vie de recluses, une vraie queue, une vraie bite qui va nous baiser, subitement je mouille comme une salope »

« J’espère que toutes les deux vous allez être de vraies salopes car j’ai terriblement envie de vous baiser et de me faire sucer. »

Approchez Marie, caressons-nous, je garde ma robe je trouve excitant que vous me caressiez par-dessous, la bite, le cul, les seins »

Cela dit, les trois actrices s’enlacent, chacune fouillant le corps de l’une et de l’autre.

Louise s’insinue sous la robe de Jeanne jusqu’à atteindre cette queue hyper bandée et après l’avoir bien décalotté, se met à la sucer langoureusement du bout des lèvres au début puis après avoir bien entouré le gland de sa bouche, l’enfourne à fond de gorge.

« Branle-moi Jeanne » lui demande Marie « Tu vas me faire mouiller et tu pourras lubrifier mon cul pour me baiser »

« Fais une pause Louise, j’ai peur de partir et d’abréger la partie » demande Jeanne.

Louise cesse de pomper Jeanne et se positionne derrière Marie pour lui peloter les seins.

« Moi aussi, lui dit Louise, tu vas me baiser le cul et je voudrais sentir ton foutre me remplir les entrailles Tu pourras me prendre à sec, j’adore avoir mal à l’introduction mais après c’est merveilleux de jouir par le cul, Marie le sais quand elle me baise avec son gode ceinture »

« Marie, si je baise Louise, j’aimerais que vous m’enculiez avec votre gode »

Après s’être absentée un instant, Marie revient harnachée d’un imposant gode noir et entreprend de caresser le cul de Jeanne.

« Oui, baisez-moi j’ai envie pendant que je défonce Louise »

Debout toutes trois, les ramonages vont bon train.

« Attention Louise, je vais partir »

« Oh oui ! Lâche tout dans mon cul je sens l’orgasme monter pour moi aussi »

« Marie allez-y défoncez-moi en même temps que je jouis. C’est sublime »

La séance de double enculage se termine sous les soubresauts et les cris de plaisir.

Chacune de nos salopes reprend une position « normale » La partie est terminée.

Marie reprend la parole et son statut de Mère Supérieure :

« Alors mes Surs, êtes-vous satisfaites ? Nous allons nous quitter et bien entendu, rien ne doit transparaître dans notre vie courante au couvent. »

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