Cette histoire se déroule dans les années 70 à l’époque du développement des nouveaux centres commerciaux en banlieue parisienne, qui n’étaient pas encore protégés par des caméras de video-surveillance, ni par des portiques détecteurs. Le chapardage, le vol à l’étalage, y était beaucoup plus facile, mais tout de même risqué..

Ma femme, Françoise, aimait aller y faire un tour de temps en temps. Nous avions la trentaine, de bons métiers, suffisamment d’argent pour vivre confortablement sans être trop dépensiers, et c’était un petit plaisir que de traîner dans les rayons, achetant quelques objets superflus mais bien tentants.

Ce jour-là, je craque pour une nouvelle ceinture, Françoise pour un nouveau parfum et deux ou trois t-shirts à la mode. Elle s’attarde devant des carrés de soie de grandes marques, superbes mais tout de même très chers. Par jeu elle me chuchote : «On dépense beaucoup ici..», et hop, elle glisse un des foulards sous son t-shirt.. C’est une belle journée de printemps, elle est habillée assez légèrement, un t-shirt au col évasé et plutôt ample, comme souvent sans soutien-gorge, ses petits seins en pomme n’en nécessitant pas, une jupe courte mais décente, jambes nues, et des tennis blanches.

Je la savais un peu cleptomane mais quand même.. «Tu es sûre ?» – «Mais oui, regarde, on ne voit rien !». En effet, elle avait glissé le fin carré de soie sous le bas de son t-shirt en le coinçant dans la ceinture de sa jupe, et on ne le remarquait vraiment pas. Du coup nous passons en caisse sans problème, elle prend le sac avec nos achats, y met le ticket de caisse, et on se dirige vers la sortie.. Un vigile nous arrête devant la porte : «Bonjour Monsieur, bonjour Madame, je vous prie de bien vouloir me suivre». Le cur battant, «Mais..» – «Madame, vous avez été signalée pour un vol à l’étalage. Nous devons contrôler, veuillez me suivre, ne vous inquiétez pas c’est une simple formalité, il y en a pour quelques minutes», et il nous montre le chemin, en nous suivant.

Nous n’en menons pas large, n’osant même pas nous parler.. Tout au fond du magasin il ouvre une porte avec une plaque «Sécurité». Dans la pièce, assez grande, deux autres vigiles, des noirs comme celui qui nous arrêtés à la sortie, l’un tape un rapport à la machine, l’autre lit un journal. «Voilà Madame : nous sommes assermentés, avec des compétences précises et limitées. Vos droits sont protégés. La procédure est la suivante : nous devons vous fouiller pour vérifier s’il y a eu vol ou non. Vous avez le droit de refuser, mais dans ce cas nous devrions appeler le commissariat pour qu’ils prennent l’affaire sous leur responsabilité, avec les conséquences judiciaires que cela pourrait impliquer», et il me fait signe de m’asseoir sur une chaise dans un coin de la pièce.

Françoise reste plantée au milieu, pâle, face au vigile. Elle me regarde, interrogative. Je ne sais que dire.. D’une voix un peu tremblante : «Qu’est-ce que je risque?» – «Cela dépend de l’importance du vol. Au minimum une amende. Pour les cas les plus graves ça peut aller jusqu’à de la prison avec sursis. Alors ?».. Françoise est blême, je la sens presque vacillante sur ses jambes, mais elle ne peut s’asseoir.. «Alors Madame ? Il faut vous décider, de suite».. Les yeux baissés, elle balbutie «N’appelez pas la police..» – «Bien..», et il s’approche devant elle, tout près..

Avec attention, sans brutalité, il soulève un peu le bas du t-shirt, découvre le carré de soie coincé dans la ceinture de la jupe, le tire et le lui montre : «Vous voyez..». Elle garde les yeux baissés, honteuse de cette situation humiliante. Je pense qu’elle avait été vue par quelqu’un, dénoncée, mais que c’en est terminé et qu’on s’en sortira en payant le foulard.. mais le vigile reprend : «Vous êtes convaincue d’un vol à l’étalage. Je dois m’assurer que vous n’avez rien volé d’autre» – «Je vous jure que c’est tout, je n’ai rien pris d’autre» – «Très bien Madame, vous n’avez donc rien à craindre». Françoise balbutie, les yeux baissés : «Noon, je vous en prie..». Le vigile se fait persuasif : «Écoutez, je ne suis pas obligé de vous croire, n’est-ce pas ? Et je ne fais qu’appliquer le règlement». Il ajoute en me regardant, tout sourire: «Et puis votre mari est présent, vous ne risquez rien».

Je ne sais que répondre, Françoise me regarde, implorant mon soutien. Je me dis que normalement en cas de fouille pour une femme, à une douane par exemple, c’est une fonctionnaire qui le fait, mais j’hésite à le dire. Et puis c’est vrai qu’en ma présence il ne devrait rien se passer, mon témoignage serait accablant. Devant mon silence le vigile se rapproche à nouveau de Françoise et avance les mains vers sa taille pour les passer sous son t-shirt.. Elle réagit vivement en lui saisissant les poignets.. «Bon. Nous allons appeler la police», et son collègue décroche le téléphone.. – «Nooon… Je vous en prie..», mais elle ne lui lâche pas les poignets.. Il change d’attitude et se fait autoritaire : «Ça suffit avec vos simagrées ! Vous avez volé, et vous n’avez qu’à vous en prendre à vous-même ! Quand on commet des fautes, il faut les assumer ! Alors..?». Françoise, la tête baissée, honteuse, relâche lentement sa prise, et reste les bras ballants, passive, presque chancelante.. Et le vigile passe lentement ses mains sous son t-shirt, examine interminablement les hanches, les reins, les ramène devant au niveau du ventre.. C’est clair pour nous tous dans la pièce, les tétons de Françoise pointent fermement sous le tissu..

Le vigile n’insiste pas, retire ses mains, pour venir effleurer du bout des doigts les pointes dardées.. Françoise ne résiste plus, elle oscille des hanches, ne sait plus comment se tenir sous cette caresse, dont je sais bien qu’elle l’apprécie tant.. Puis, brutalement, sans prévenir, il lui pince les tétons entre le pouce et l’index, elle sursaute en lâchant un petit cri, la tête jetée en arrière.. Il insiste, il insiste.. Elle n’en peut plus, va pour lui prendre les poignets et l’empêcher de continuer.. Un des deux autres vigiles se lève, s’approche rapidement, vient derrière elle, lui saisit les mains et les lui maintient dans le dos.. Elle est immobilisée, comme paralysée..

L’autre se recule un peu, souriant de l’état dans lequel il a su mettre Françoise, qui reste comme prostrée, la tête baissée.. De mon côté je reste aussi tétanisé par l’aventure qui se déroule sous mes yeux.. Ma femme, ma complice de tous les moments, s’est abandonnée à quelques caresses appuyées.. Est-ce cette situation particulière, humiliante, prise la main dans le sac, ce chantage à la police, qui l’ont amenée à se laisser aller de la sorte? Ou bien a-t-elle eu la révélation de sa féminité, de celle dont les machos se complaisent à dire «toutes des salopes» ? Je n’en sais rien.. Et je reste sidéré.

J’aurais manqué de me lever de ma chaise, mais le responsable des vigiles vient de me regarder, l’il mauvais.. Je manque de courage, et reste là, comme un gamin, qui sent bien qu’il va se faire déposséder, non par brutalité, mais parce que le désir se manifeste en elle. Il se rapproche lentement, tout près d’elle, lui prend le menton d’une main, lui redresse la tête, lui plante les yeux dans les yeux, à quelques centimètres.. Je vois la scène de profil, les seins de Françoise bandés, le menton tenu, l’autre qui lui tient les poignets dans le dos, la main du black qui descend doucement, effleure les seins, descend encore, le ventre, la hanche, le haut de la cuisse, la cuisse nue, passe sous la jupe, revient entre les cuisses, l’entre-jambes, lentement, je vois la main sous le tissu, elle ne bouge guère, un petit mouvement seulement, tranquillement..

Il est content de lui le black.. Il retire sa main de sous la jupe, exhibe son majeur tendu, luisant.. l’amène au contact des lèvres de ma femme, l’y fait glisser, insiste, les écarte peu à peu, elle cède, entrouvre la bouche, il introduit le doigt, tâte l’intérieur, et, plus brutalement, lui fouille la bouche.. Le second, derrière elle, s’est rapproché au plus près, et vient se frotter contre les paumes ouvertes de Françoise. Je n’y peux rien du tout, je bande colossal.., moi qui aurait cassé la gueule à quiconque aurait touché ma meuf..

Le mouvement s’accélère.. Le black de face s’accroupit vivement, lui baisse brutalement son slip sur les genoux, l’empoigne d’une main violente, comme un pack de bière, comme disent les salauds, par les deux orifices à sa disposition, la soulevant presque, l’autre dans son dos a sorti une sacrée bite, vient se branler dans les mains, de cette femme dont je ne sais ce que sont ses râles et ses cris, de douleur ou de jouissance.. Mystère..

[Nul besoin de rédiger la suite, je vous la confie..]

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