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Souvenirs d'hier et d'aujourd'hui – Chapitre 2




2e épisode

Résumé : Je suis en vacance avec mes parents, ma sour et ma cousine. Mon père doit repartir à cause de son travail. Je découvre que ma cousine dévergonde ma sour. Ma mère a sympathisé avec un maître nageur très sympa d’origine africaine : Akim.

Un soir, maman nous annonça qu’elle avait appris par une des copines que notre père la trompait. Elle avait décidé de se venger. Elle était sur les genoux d’Akim qui les caressait ouvertement ses gros seins devant nous.

— Bon ! Grosse salope, je vais te défoncer la chatte ! fait Akim à ma mère.

Je me demandais si j’avais bien entendu où si mon imagination me jouait des tours. Ma mère se leva. Akim lui donne une claque sur une de ses fesses. Maman rigola et se laissa transporter dans sa chambre.

Je suis resté quelques instants immobile sur la chaise. Ma cousine et ma sour étaient aussi surprises que moi.

Ma cousine Marie entraîna ma sour avec elle et elle se mit à regarder à travers la serrure. Curieux, je les ai suivi.

On entendait des gémissements, des hurlements.

— Salope, tu en veux de la bite ! Tiens prends ça !

— Ouuuui, encorrrre hurlait ma mère en prenant un pied d’enfer.

Mon cousine regardait avec avidité

— Putain, qu’est-ce qu’il lui met à ta mère fit ma cousine. Quelle chienne ! Tiens regarde.

Elle laissa la place à ma sour dont le visage devint rouge comme une tomate.

— Viens, j’en peux plus fit ma cousine à ma sour.

Elles partent alors dans leur chambre. Je me glisse à hauteur de la serrure et je me met à mater la scène. Je voyais ma mère à quatre pattes qui se faisait baiser. Ses gros seins ballotaient au rythme des coups de bite. J’en pouvais plus. Je suis allé dans ma chambre pour me branler.

****

Le lendemain matin, je suis allé dans la cuisine pour le petit-déjeuner. Tout le monde y était. Je m’assied à ma place habituel et pris un bol de café. Maman était sur les genoux d’Akim et la pelotait devant nous.

— Alors les jeunes, on vous a pas trop dérangé cette nuit, fait Akim. Votre mère est une grosse salope insatiable. Elle adore les grosse bites.

— Oh ! Quand même pas ! essaya de protester maman.

— Oh ! Si , tu es une salope…

Il se mit à la branler. Maman se débattit un instant puis se mit à haleter.

— Tu aimes cela, salope !

— Ouuuui ouuuuuui, continue…

Incroyable, maman prenait son pied devant nous.

Je bandais à mort. J’en pouvais plus.

Soudain, maman se mit à jouir. C’était tellement fort que j’ai joui dans mon pyjama.

— Alors, fait Akim à ma mère. T’es quoi ?

Maman, gémissant, lui répondit :

— Je suis une salope.

— Répète !

— Je suis une salope hurla maman.

— Bon ! Allez, grosse truie ! Je vais te ramoner ta grosse chatte et te défoncer le cul.

Akim se leva et emmena maman dans sa chambre.

De la cuisine, on s’est mis à entendre maman qui se faisait à nouveau défoncer.

Marie, ma cousine, m’a regardé et me dit :

— Alors, cousin, tu a aimé le spectacle. Ta mère est une vraie pute. Bon, allez, on va à la plage. On rentra que ce soir. Ma sour et ma cousine se sont levées et ont quitté la maison.

Moi, je suis allé à la salle de bain pour prendre une douche.

Quand, à mon tour, j’allais partir à la plage. Le téléphone se mit à sonner. J’ai décroché. C’était mon père qui prenait des nouvelles et qui voulait parler à maman. Je lui ai dit qu’elle était à la plage. En fait, j’entendais encore ses gémissements. Elle était encore en train de se faire bourrer.

D’un côté, j’étais heureux de quitter la maison. La situation me mettait vraiment mal à l’aise.

***

Quand je suis arrivé à la plage, j’ai rencontré un copain que je n’avais pas vu depuis longtemps : Thomas. Il avait mon âge et nous nous retrouvions tous les étés sur la plage. C’est lui qui m’avait emmené voir sa grande sour en cachette. Nous étions plaqués dans le placard de sa chambre et nous l’avons vu se déshabiller. A l’époque, c’était la première fois que je voyais une fille à poil. Elle avait des petits seins et une chatte assez large. On s’était branlé ensemble dans le placard. On y était retourné plusieurs fois. L’année dernière, il m’avait fait découvrir un coin isolé de la plage. Là, une hollandaise, d’une quarantaine d’année, se faisait baiser par tous ceux qui passaient. C’est là, en attendant mon tour, cinq autres mecs étaient devant moi, que j’ai vraiment baisé pour la première fois. On y était retourné plusieurs fois mais il y avait vraiment beaucoup de monde (parfois plus d’une trentaine de mecs). Alors, il fallait prendre son mal en patience.

Aujourd’hui, il avait un bon plan à me proposer : une pute black acceptait de faire un prix à condition d’être au moins 4. J’ai accepté aussitôt. Cela faisait 15 euros par personne. On est monté dans la voiture de Thomas à la recherche de la pute.

Je n’ai pas été déçu. On a récupéré la pute qui faisait le va-et-vient sur le bord de la route. Elle est montée avec nous en voiture et nous a emmené dans un coin discret, dans un petit bois de sapins.

Nous sommes sortis de la voiture. Elle n’était pas particulièrement belle. Elle était un peu grosse. Elle portait une petite robe légère qui laissait voir les bouts de ses gros seins. Elle glissa les bretelles de sa robe et sortit une paire énorme de seins. Soulevant le bas de sa robe, on a pu voir sa chatte rasée. On s’est mis d’accord et empocha l’argent.

Elle a viré sa robe et s’est mise à genoux. Elle a pris une bite dans la bouche et une dans chaque main. Elle nous a pompé et branlé. C’était terrible. Nous avions bien du mal à nous retenir. Puis, elle s’est allongée sur le sol et a écarté les cuisses. Pendant que nous la baisions à tour de rôle, on lui malaxait ses gros seins et elle nous pompait la bite. Puis, elle s’est mise à genoux. Là, on l’a enculé chacun notre tour pour aller jouir dans sa bouche. Son trou du cul était aussi large que sa chatte. Elle avait dû se faire enculer des milliers de fois. Elle nous excitait à mort. On l’a enculé chacun deux fois. Ses gros nichons qui pendaient et bougeaient sous nos coups de bites nous mettaient dans tout nos états. De grands traînées de sperme coulaient de sa chatte pendant que nous lui défoncions le cul. C’était géant.

— Putain, les mecs, vous en aviez besoin ou c’est moi qui vous fait cette effet là ? nous fait la pute en se mettant à terre.

— Non, non, c’est vous qui êtes géniale répondis-je.

Elle s’est mise à rire et comme deux d’entre-nous bandait encore. Il fallait voir le spectacle. Du sperme coulait de son visage sur ses gros seins et elle avait le cul et la chatte qui dégoulinait de sperme. Elle a pris les deux bites à la fois dans la bouche et les a sucé à mort. On a pas été long à juter dans sa bouche vorace. Elle a tout avalé et s’est léché les lèvres.

Puis, elle nous a demandé naturellement de pisser sur elle.

— Je suis une grosse pute. Donnez à boire !

Elle ouvrit la bouche. On lui a pissé dessus. Dès qu’elle avait la bouche pleine, elle buvait avidement et en réclamait encore. J’avais déjà vu cela dans les films mais j’avais toujours pensé que c’était bidon et que cela n’existait pas dans la réalité. Je me trompais.

Puis, elle s’est levée et a franchi le petit bois. Là, se trouvait un petit ruisseau. Elle s’est mise à se laver. Elle devait avoir l’habitude de venir ici car il y avait plusieurs serviettes et du savon dans un sac sur le sol.

Elle est revenue vers nous et a remis sa petite robe. Elle nous a demandé de la raccompagner là où on l’avait trouvé car sa journée n’était pas finie.

Au cours du trajet, on a continué de jouer avec ses gros seins. Quand elle est descendue de la voiture, elle nous a embrassé l’un après l’autre.

— Si vous m’amener des clients, vous pourrez me baiser gratuitement.

On lui a promis que l’on lui ferai de la publicité et on est repartis.

La fin de la journée a été calme et on est parti jouer au volley.

***

Il était pas loin de 19 heures quand je suis rentré à la maison. J’ai été attiré par le son d’un film porno qui passait sur la télévision du salon. Là, je suis resté stupéfait.

Ma mère, nue, à quatre pattes, pompait l’énorme bite d’Akim qui regardait un film porno à la télévision. Quand, il m’a vu. Il m’a demandé de lui apporter une bière. Je suis allé lui en chercher une et je lui ai amené. Ma mère continuait à pomper voracement la grosse bite devant moi. Je lui tendis la canette qu’il ouvrit et se mit à boire. Puis, il me dit :

— Ta mère est vraiment une grosse salope. T’aime cela, hein salope !

Ma mère sortit la queue de sa bouche et répondit que oui. Akim lui fourra à nouveau sa bite dans la bouche et l’enfourna jusqu’aux couilles.

— Aaaah ! Bouffe tout salope fait Akim en jouissant dans la bouche de ma mère.

— Montre à ton fils comme tu aimes le foutre, salope ! Ouvre la bouche !

Ma mère ouvrit la bouche. Elle était remplie de sperme. Elle l’avala devant moi.

Putain, quelle journée. La scène me fit à nouveau bander.

Tandis que ma mère avait repris la grosse bite dans la bouche. Instinctivement, je me suis éloigné d’eux pour regarder dans le jardin.

C’est là, que j’ai vu mon père qui entrait dans le jardin.

(A suivre)

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