Chapitre I (partie 2/2)
Nous passons à table, les enfants nous racontent leur journée, mon fils me fait le topo sur les chantiers en cours, nous discutons de tout et de rien, tout à coup, Benoît se frappe le front du plat de la main,
« Ah oui, j’oubliais, un Monsieur B… a sonné au bureau, il souhaitait te parler, j’ai dis que tu n’étais pas là, que j’étais ton fils et qu’il pouvait me dire le motif de son appel, il nous invite tous ce samedi midi dans sa villa près de Lyon. Sachant qu’on avait rien de prévu, j’ai accepté son invitation, çà nous fera une petite sortie ».
« Qui c’est ce type ? Tu aurais pu m’en parler avant d’accepter son invitation ! »
« C’est le gars qu’on a dépanné sur l’autoroute en revenant des vacances, tu sais celui qui a une jolie femme ».
« Oui » surenchérit Aline « celle dont tu matais sans arrêt le décolleté plongeant, tu ne te souviens pas, tu m’étonne ! »
Je suis pris au piège, confus je bredouille quelques mots, ils rient tous les trois à gorge déployée, j’abandonne une fois de plus, ce n’est pas mon jour, je passe à la salle de bain, enfile un short pyjama et descend m’asseoir dans le divan, j’allume la télé un petit sourire au coin des lèvres je repasse dans ma tête les images de cette belle blonde de l’autoroute.
Il est 22h30, Aline qui m’a rejoint dans le divan s’étire, elle passe sa main dans mon cou, dépose un baiser sur mes lèvres et m’invite à la suivre. Arrivé dans la chambre, elle me pousse sur le lit, passe ses mains sur mes cuisses, les glisse sous les jambes du short et vient serrer ma verge d’une main et caresser mes bourses de l’autre, toutes les frustrations endurées cet après-midi sont oubliées, je pousse un soupir et me laisse aller à ses caresses. Par l’intérieur elle enlève mon short, mon sexe tendu est devant sa bouche, elle m’englouti jusqu’au fond de sa gorge, sa langue entoure mon gland, titille le méat et lèche le frein, les va et vient de sa bouche experte font monter ma jouissance au point de non retour, dans un cri de bûcheron devant l’effort, j’explose dans sa bouche, plusieurs giclées de sperme tapissent le fond de sa gorge, elle serre les lèvres sur ma hampe, avale ma semence et me suce pour recueillir les dernières gouttes. Je m’écroule sur le dos, heureux, enfin soulagé. Après quelques instants, Aline vient s’étendre près de moi, je m’appuie sur un coude, la regarde, sous sa nuisette transparente, ses seins sont gonflés, les bouts se dressent insolents et durs comme la pierre, je lui enlève le vêtement tout en caressant son corps, puis retire sa culotte et doucement, mes doigts la parcoure.
Chaque centimètre de peau est l’objet de toute mon attention, ma bouche est aussi entrée en action, je lèche son cou, descend sur ses seins, mordille les tétons, je descend vers le nombril, y enfonce ma langue, son corps est parcouru de frissons, elle gémit de plus en plus, je continue à descendre, arrive sur son pubis, je passe rapidement la langue sur son clitoris, ses gémissements s’accentuent, je glisse entre ses lèvres et suce doucement l’intérieur de ses cuisses, cette partie si sensible qui bien souvent la fait partir vers des sommets. Aline pousse son bassin en avant, je sais qu’elle veut que je revienne vers son minou en feu, mais je veux me venger, je passe outre, remonte vers son ventre évitant cette zone de tous les désirs, j’embrasse ses flans, revient vers ses seins et le reprend dans ma bouche faisant des mouvements rapides de ma langue sur le bouton tendu. Aline se mord la main, sa tête est secouée de gauche à droite, elle se soulève, retombe sur l’oreiller et repart dans des mouvements désordonnés. Son corps décolle, par moment il n’y a plus que ses pieds et sa tête qui posent sur le lit, elle est tendue comme un arc, ses mains ont empoigné le drap et le serre, la pression est si forte que ses phalanges blanchissent, elle hurle de désir, elle m’invective,
« Je t’en supplie, prend moi, je n’en peux plus, je t’en prie »
« Tu me veux vraiment ? »
« Oui salaud, viens, tu gagnes, je n’en peux plus, tu me fais mourir ».
Ma main posée sur son ventre descend vers son triangle, j’insinue un doigt entre les lèvres trempées, son sexe est un véritable cloaque, ses sécrétions maculent l’intérieur de ses cuisses, se répand dans le sillon de ses fesses noyant son petit trou plissé, je passe plusieurs fois entre ses lèvres descendant jusqu’à l’anus pour remonter vers son clitoris, je présente enfin un doigt devant son puit d’amour, pénètre doucement, elle jette à nouveau son bassin vers moi, mon doigt s’enfonce, un deuxième, un troisième et un quatrième prennent le même chemin, mes quatre doigts la pilonnent pendant que mon pouce vient tournoyer sur son clitoris. Un râle sort de sa gorge, elle se redressent, saisi mon poignet à deux mains et se déchaîne sur ma main, son visage se déforme, devient pourpre, ses yeux s’humidifient et se révulsent, une longue plainte sort de sa gorge, elle se raidit, serre ses cuisses sur nos mains, tremble comme une feuille et retombe sur le lit où pendant plus de deux minutes, son corps est secoués par les spasmes.
Quand elle reprend ses esprits, elle m’attire contre elle, étendu dans son dos, je la caresse sur le ventre, des frissons témoignent encore du plaisir qu’elle a ressenti, mon sexe à nouveau tendu glisse entre ses fesses, elle lève une jambe, passe sa main entre ses cuisses et le guide à l’entrée de sa grotte, je la pénètre et ne m’arrête qu’au moment où mon gland vient buter sur le col de sa matrice. Nous restons un moment sans bouger, savourant cet instant merveilleux où nos corps soudés sont à l’unisson du plaisir.
Après quelques instants, je commence mes va et vient, Aline, réceptive accompagne mon mouvement, ondulant de la croupe et se masturbant en frottant ses doigts sur son clitoris, je sens la jouissance envahir mon corps, au moment où je me libère dans son vagin, un nouvel orgasme la secoue, je reste en elle jusqu’au moment où ayant perdu sa rigidité, ma verge sort de son étui. Aline se lève, passe à la salle de bain, je l’y rejoint, ensemble sous la douche, je l’embrasse dans le cou, elle se tourne vers moi et me tend ses lèvres. En sortant de la douche, nous nous essuyons mutuellement,
« Qu’est-ce que tu m’a fait, j’ai cru mourir ? ».
« Tu n’as pas aimé ? »
« Oh si mon amour, tu me le feras encore ainsi, c’est tellement bon ? »
« Oui viens » dis-je en riant.
« Ah non, demain, un autre jour, tu m’as tuée, je crois que je vais m’écrouler avant d’avoir atteint le lit »
Je la prend dans mes bras, la porte sur le lit, je me couche sur le dos, elle vient se blottir dans mes bras, la tête au creux de mon épaule, elle est chaude comme la braise, je la regarde un moment, elle s’est endormie, je ferme les yeux et la rejoint dans un sommeil réparateur.
Fin du Chapitre I.
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