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Soumise, sinon rien. – Chapitre 1




Je m’appelle Fabien. L’archétype même du grand blond aux yeux bleus. Sportif.

26 ans au moment du début de l’histoire.

Elle, c’est Stéphanie. Une mignonne petite brune de 24 ans aux yeux noisette.

Sportive, mais avec de belles formes là où il faut.

Un bon p’tit cul et surtout une paire de seins assez énorme pour son gabarit.

On s’est rencontré au hasard d’une soirée. Elle était avec un mec qui était une connaissance d’un pote… Bref.

Durant toute la soirée, je n’ai pas arrêté de reluquer ses seins. De son côté, je pense ne pas l’avoir laissée indifférente. Des regards, des sourires, des affleurements. On s’est quitté là-dessus.

Quelque temps plus tard, durant l’été, nouvelle soirée. J’étais invité. Elle aussi (toujours avec son mec).

Et pour le coup, c’est elle qui est venue à ma rencontre. On a commencé à bien discuter. Elle avait ouvert deux boutons de son chemisier, qui laissait entrevoir ses 2 monts. Mon regard ne pouvait s’en détacher.

L’alcool coulait à flots lorsque notre hôte nous a proposé de nous baigner. Ca me rafraichira les idées, pensais-je. Et ni une, ni deux, j’enfilai un maillot et plongeai dans l’eau. C’était bon. Petit à petit, la piscine se remplit.

Merde, j’étais bien, tout seul et tranquille…je sortis de l’eau pour me sécher quand apparut Stéphanie, moulée dans un maillot 2 pièces, blanc.

Ce blanc mettait en valeur sa peau légèrement hâlée. Et ses seins, bordel, bien trop gros pour ce petit bout de tissu. Je ne voyais que ça. Je l’ai regardée et lui ai adressé un sourire coquin. Elle m’a répondu en me faisant un smack de loin.

Etait-ce un signal ? C’est décidé, j’en saurais plus. Mais préférant jouer l’indifférent, je repartais me servir un verre et m’installer un peu à l’écart, dans le jardin. Je la vis arriver vers moi, telle une naïade sortant de l’eau, me demandant si cela ne me dérangeait pas d’aller lui chercher un verre à elle aussi.

Ce que je fis. En retrouvant ma place, elle s’était emmitouflée dans un drap de plage.

— Tiens, voilà ton verre.

— Merci. Tu es seul ?

— En ce moment, oui. Je sors d’une relation un peu longue, alors, je profite de mon célibat pour m’amuser un peu. Et toi, ça fait longtemps que tu es avec Marc ?

— 5 ans… On s’est connu au lycée.

— Si je peux me permettre, j’ai flashé sur tes seins. Sacrée paire que tu as.

— Hi hi hi… merci. J’ai bien vu que tu les matais. Mais merci, un compliment, ça fait toujours plaisir.

— Et sinon, tu fais quoi dans la vie ?

— Je suis secrétaire. Et toi ?

— Je bosse dans l’informatique.

— Et avec ton mec, Marc, je crois ? Ca se passe bien.

— Oh, tu sais, ça fait longtemps qu’on est ensemble. Ce n’est que mon deuxième mec. J’ai des idées, j’ai des envies, mais lui, la vie qu’on a lui convient. Alors, je fais avec.

— Mouais !! Excuse-moi, mais c’est quand même con qu’à ton âge ne puisse pas profiter de la vie comme tu l’entends. Ce n’est pas quand tu auras 50 ans que tu t’éclateras !

— Je sais bien, oui. Mais je n’ai pas une situation exceptionnelle. Je gagne peu d’argent. Lui a un travail qui paye pas mal, et ça nous permet d’avoir notre petit appart et notre petite vie tranquille.

— Ok. Ton raisonnement se tient. Je peux comprendre. Ca te dirait qu’on se fasse un ciné un de ces 4 ?

— Volontiers. Je suis même partante à 100%. Tu veux aller voir quoi ?

— Là, comme ça, j’en sais rien. Ecoute, tu me laisses ton numéro. Je t’appelle et on se cale çà.

— Allez, ça me va. Je compte sur ton appel.

— De mon côté, je ne vais pas tarder à y aller. J’ai un peu de route à faire et je voudrais rentrer avant d’être trop saoul.

C’est sur ces bonnes paroles que je me levai et partis m’habiller. Une fois vêtu, je fis le tour des invités pour les saluer. Arrivé au niveau de Stéphanie, elle m’enlaça et se serra fort contre moi. Je pouvais sentir ses seins pointer contre mon torse.

— Toi, tu n’as plus ton maillot sous ta chemise.

— Il était tout mouillé et je n’avais pas pris de rechange. Alors, je préfère ne rien avoir.

— Tu sais quoi. J’adore ça. Je déteste les soutifs !!

On se fit la bise et je partais.

Le lendemain, alors que j’émergeais de ma torpeur matinale, j’entendis mon téléphone sonner. Signal de SMS.

Je me levai et alla me faire mon café. C’est alors que je découvrais un SMS de Stéphanie.

[SMS]

> Coucou toi. Super contente d’avoir pu discuter avec toi hier. N’oublie pas qu’on doit se faire un ciné. A tout bientôt. Bises

Dans ma tête, ça y’est, elle était "dispo". J’allais pouvoir "ferrer le poisson" comme on dit. Et pour commencer, règle numéro 1, ne pas répondre tout de suite et laisser mijoter…

Ce n’est donc qu’en début d’après-midi que je lui répondais.

[SMS]

< Salut Miss. Content également. Je regarde pour le ciné et je te tiens au jus. Bises

> Coucou. Au top. J’ai trop hâte. Sinon, je peux te poser une question ? Tu m’as dit que tu bossais dans l’informatique, je crois. Est-ce que tu pourrais m’aider, stp. Mon ordi ne fonctionne plus

< C’est bien çà. Que se passe-t-il ?

> Je pense que j’ai dû chopper un virus. Dès que je lance internet, il y a plein de pages qui s’ouvrent, des trucs de cul…

< Ecoute, si ça peut attendre un peu, je compte poser une RTT dans la semaine. Avant d’aller au ciné, je pourrais en profiter pour passer voir dans l’après-midi ?

> Super. Merci. Oui, quand tu veux tu viens. Merci encore

Je lui annonçais que je passerais le mercredi. Elle m’a demandé de venir prendre le café vers 14h00. A l’heure dite, je sonne chez elle.

Elle est habillée d’une petite robe noire, très moulante. Ses fesses et ses seins sont mis en valeur… et surtout je note l’absence de soutien-gorge, ce qui provoque chez moi, un début d’érection.

— Waouh ! T’es habillée super sexy, dis donc. J’adore.

Elle rougit…

— Merci. J’ai voulu me faire un peu belle pour toi.

— Ben, c’est plutôt bien vu. Tu es ravissante. Je note que tu n’as pas mis de soutifs. Ca me plait. Mais avec une robe aussi moulante, tu aurais peut-être dû t’abstenir de mettre une culotte. Ca marque

Elle parut gênée par ma remarque.

— Ah !! Ok !!

Sur ces entrefaits, elle me réexpliqua son problème d’informatique. Problème récurrent dû à un virus que je m’empressais de résoudre dans la demi-heure.

— Voilà, c’est fait. Ton problème est résolu.

— Merci Fabien. Je te dois quelque chose pour ton intervention ?

— Non, c’est bon, laisse tomber… quoique…

— Oui, dis-moi

— Vu qu’on va se faire un ciné et que l’on va être vu ensemble et que ta culotte est un tant soit peu disgracieuse sous ta robe ultra moulante, penses-tu que tu pourrais remédier à la chose en l’enlevant ?

Je me disais alors que j’étais allé trop loin. Que j’allais recevoir une paire de gifles…

Mais elle se leva et s’en alla, pour revenir 30 secondes plus tard… sans plus aucune trace de culotte sous sa robe.

— Ah, beaucoup mieux ! C’est nickel comme ça.

— Merci…

Fin de la première partie.

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