Ceci est lhistoire dérivée de lhistoire « voisine enceinte », un spin-off pour les anglicistes.
Elle commença quelques semaines après la fin de mon aventure avec N. celle-ci avait accouchée et je ne la voyais plus quépisodiquement avec son bébé et souvent avec son mari. Notre histoire avait réellement prit fin et elle semblait ne plus prêter attention à mon existence. Seulement, avant de se quitter, elle mavait glissée une phrase dans loreille que je navais pas oubliée:
« Ne tinquiète pas, tu recevras prochainement une visite qui ne te fera plus penser à moi. »
Seulement, les jours, voire semaines, sécoulaient sans nouveauté pour moi. Je bossais en semaine, tentais des sorties le soir ou certain w.e. mais mes très rares aventures me semblaient bien terne par rapport à ce que javais vécu avec N. Et puis, comment dépasser un certain cap sans passer pour un obsédé voir détraqué sexuel. Les seuls souvenirs de cette période étaient les deux culottes que javais conservées et qui maidaient dans mes longues soirées de solitude.
Ainsi sécoulait mon existence durant ces vacances. Jusquà un samedi soir où lon sonna à ma porte.
Qui cela pouvait- il bien être ?
Quelle ne fut pas lagréable surprise de voir C sur le pas de ma porte. Elle navait plus son ventre proéminent et avait quelque chose de différent que je ne pouvais déterminer.
Elle était vêtue dune jupe large de couleur rouge tenue par une large ceinture noire et dun chemisier blanc dont les deux boutons du haut ouvert laissaient entrevoir un décolleté vertigineux et où les yeux avaient envies de se perdre.
« Bonsoir ! » dis je enchanté. « Quelle surprise de te voir. »
« Bonsoir ! » me lança-t-elle dans un franc sourire.
« Entre ! Je ten prie. » Du fait de mon inactivité, mon intérieur était des plus rangé mais restait un studio de 24m².
« Si je mattendais ! Comment vas-tu ? » On se fit les bises de courtoisie.
« Très bien merci. »
« Et le bébé ? »
« Adorable ! dit-elle en continuant de sourire, Il commence à faire ses nuits ce qui me permet de récupérer un peu. »
« Et tu ne las pas emmené ? »
« Non ! Je voulais décompresser un peu. Ce nest pas facile un premier enfant même sil ny a rien de comparable au niveau bonheur que cela puisse apporter. Alors je lai laissé à mon mari et puis je suis passé voir N. Je ne lavais pas vue depuis notre dernière entrevue à trois.
Le sien est aussi adorable. On a papoté ainsi toute laprès-midi. Cest en partant quelle ma annoncé que tu habitais toujours au-dessus. Alors me voilà ! ».
Le moment de surprise passé, je lui offris un verre pour détendre latmosphère et on se mit à discuter. Le temps sécoulant, je me surpris à linviter à diner au restaurant. Mes maigres pitances ne me permettaient pas de linviter dans mon studio. Et oh joie ! Elle accepta. Sa présence me redonnait du baume au cur. Et son décolleté, laissant entrevoir la naissance de ces seins, me mettait tout en émoi. Cest ça qui avait changé, ces seins avaient pris quelques proportions supplémentaires. Elle mavait glissé quelle allaitait son bébé et quelle avait du lait à en revendre. Je ne pouvais mempêcher de les revoir, pendants, ballotés, caressés, aspergé lors de notre unique rencontre. Mon sexe commençait à se sentir à létroit et il me fallut de la concentration pour ne pas montrer mon excitation. On finit par prendre sa voiture pour se rendre en ville et on entra dans une crêperie que je connaissais. Elle en fut étonné et ravie car cela la changeait des restaurants habituels. On commanda puis continuâmes notre discussion. Au cours du repas, on arriva sur les circonstances de notre 1ère et unique rencontre puis je lui posai la question qui me trottait dans la tête.
« Tu nous avais dit ce jour-là, que tu jouais à touche-pipi avec un cousin ? Tu le faisais souvent ? »
« Disons que cela a duré un certain moment. Cest comme cela que jai découvert ma sexualité. Mais ce nest pas lendroit pour en parler. »
« Mais si ! Raconte sil te plait. Il y a suffisamment de bruit pour que personne dautre nentende. »
C. regarda autour delle un peu gênée puis se lâcha :
« Bon daccord. Mais cest une longue histoire »
« A vrai dire, jai tout mon temps. Cest à toi de voir.
« Ne ten fait pas, jai demandé ma soirée à mon mari. Il a compris que javais besoin de décompresser. Je lui ai dit que N. mavait invité pour toute la soirée que lon devait la passer entre femme. »
C. se mit à me raconter alors :
« Ma vie sexuelle a commencé un jour précis de ma vie. Cétait à un mariage, celui du plus jeune de mes oncles du coté de mon père. Mon père avait 2 frères et 3 surs. Il était lainé de tous et la plus jeune de mes tantes (quon appelait tantine) navait que 3 ans de plus que mon grand frère.
Il avait 18 ans et moi 3 ans de moins. Jétais déjà bien formée (du moins le pensais-je avec mon 85b) et était réglée depuis 2 ans, depuis que mes poils avaient commencé à pousser. Jétais cependant un vrai garçon manqué car mes parents neurent que moi et mon frère qui men faisait voir de toutes les couleurs. Je mhabillais toujours en pantalon car à la campagne cétait plus pratique. Mais là, au vu des circonstances, la robe était de mise, blanche immaculé comme la mariée. Je te fais grâce de la cérémonie des plus ennuyantes pour des enfants de nos âges puis on arrive au restaurant. Cétait une sorte de manoir transformé en restaurant qui faisait réception et hôtel en même temps. Mon oncle, qui était alors directeur dune grande entreprise, avait loué des chambres pour ceux qui habitaient loin, ce qui était notre cas. A larrière, souvrait un grand parc ou les enfants pouvaient samuser avec au fond une ouverture entre 2 rangées de buissons qui délimitait le parc et un petit bois de chênes et châtaigniers ou les gens pouvaient se promener. On était au début de lété et ce samedi là, il faisait très beau.
Pendant que les grands prenaient lapéritif à lintérieur, nous, les enfants, avions investis le parc qui résonnait de nos cris. Il y avait une dizaine denfants de moins de 10 ans, moi et un cousin dun an plus âgé que moi T. Au vu du bruit, on nous fit comprendre avec mon cousin quil serait bien dencadrer les plus jeunes. Mon cousin proposa alors de faire une partie de cache-cache. On définit quon ne devait pas rentrer dans le bois et mon cousin se mit à compter. Tous les enfants partirent dans tous les sens. Pour moi, un peu grande, je navais pas beaucoup dendroit où aller ; je me dirigeai alors vers le bois mais me dissimula juste derrière les buissons. Ceux-ci entraient dans le petit chemin sur 2 ou 3 mètres sur un côté comme un L. Cela faisait un espace avec derrière des buches de bois entassées et protégées par une bâche blanche. Cela me permettait de voir ainsi tout le parc et dêtre « camouflé» pour le jeu. Je ne trichais pas puisque je nétais pas dans le bois.
Mon cousin navait pas encore finit de compter et je pus voir mon frère et tantine prendre le chemin en direction du bois. Cest parfait, je verrais ainsi si ma cachette était bonne. Mon frère avait un costume clair.il avait laissé la veste au restaurant et se promenait en chemise. Ma tante avait un léger ensemble bleu à boutons par le devant sarrêtant à mi-cuisses. Elle avait les cheveux châtains, les yeux verts et des seins que je trouvais bien plus gros que les miens à cette époque. Ils arrivaient à lentrée du chemin quand mon cousin commença sa recherche des enfants. Jétais en position accroupie et je commençais à avoir envie de faire pipi. Je me disais que le jeu prendrait vite fin et que je pourrais ensuite aller aux toilettes. Le moment fatidique allait tomber. Mon frère et ma tante passaient à coté de mes buissons. Je vis alors mon frère se retourner et après également avoir regardé devant, il prit la main de tantine et il la tira derrière un grand châtaigner par lautre côté du chemin. Jétais contente, ils ne mavaient pas vu.
Ce qui se passa alors me figea sur place. Je les vis sembrasser comme le font les amoureux : sur la bouche. Ils senlacèrent et de là ou jétais, je pus même remarquer quils sembrassaient en y mettant la langue. Cela ne pouvait pas être possible, ils ne pouvaient pas faire ça ! Ça ne se faisait entre tante et neveu ! Mais je nétais pas au bout de mes surprises. Mon frère regarda de nouveau en direction du parc et pendant ce temps-là ; ses mains se mettaient à caresser ma tante sur tout le corps. Au bout dun instant, elle fit de même avec lui. Mon frère commença alors à lui ouvrir 2 ou 3 boutons du haut et je vis une de ses mains disparaitre dans son décolleté. Jai pensé « Il va se prendre une gifle. » Ma mère mavait toujours dit que le jour où quelquun chercherait à me caresser des parties sensiblement féminine, je navais quà lui foutre une gifle pour quil me laisse tranquille. Mais au contraire, ma tante se laissait faire et commençait à gémir ce qui me semblait être de plaisir. Je détournais mon regard pour voir ce qui se passait dans le parc. Mon cousin avait presque retrouvé tous les enfants. Jentendis :
« Oh oui, cest bon » Je regardais de nouveau mon frère toujours affairé sur les seins de tantine. Celui-ci regarda une nouvelle fois dans le parc et sortis sa main du décolleté pour la descendre plus bas. Il alla jusquau bas de la jupe et remonta par en dessous. Cest sûr, il allait se prendre un aller-retour direct ! Sa main se calla sur la culotte blanche de tantine et commença à la caresser à travers le tissus. Ma tante se recula alors et se reposa sur le tronc de larbre. Elle gémissait sous leffet de la caresse de mon frère. « Huummm » Faisait elle en se mordant les lèvres. Un nouveau regard de mon frère vers le parc et sa main remonta pour sinfiltrer sous la culotte. « Oh oui… continue »
Jétais sidéré. Cétait la première fois que je voyais un couple se donner du plaisir mais il sagissait de mon frère et de ma tante. Que pouvait-il bien se passer pour quelle puisse gémir ainsi ? Elle aurait dû le chasser mais au contraire elle semblait en redemander. Une fissure venait de souvrir dans les convictions que lon avait bien voulut minculquer. Je voyais les doigts de mon frères remuer dans la culotte et ma tante de remuer de son bassin en gémissant de plus belle « oh oui encore…encore continue »
Elle aussi avait baissé sa main et frottait le sexe de mon frère à travers le pantalon. Je me posais mille questions sur ce que je voyais. Mon frère et ma tante se frottaient leurs sexes et ils avaient lair dapprécier. Alors par curiosité, je relevai aussi ma robe déposa ma main sur ma culotte et me mis à me caresser. Je ne voyais rien de spécial. Sauf que lenvie de faire pipi était toujours présente. Je descendis ma main un peu plus et accentua la pression pour voir. Je regardais de nouveau mon frère. Sa main gesticulais de plus en plus et ma tante sagrippait à son coup « oh oui oh oui encore encore » Sa main ne bougeait plus sur le sexe de mon frère tellement elle semblait concentré sur son plaisir. Ma main elle était toujours sur ma culotte. Je commençais à ressentir de petit picotement et je pouvais sentir à travers un renflement comme un petit bouton qui me faisait bizarre. Je décidai de me concentrer dessus malgré mon envie de faire pipi. Je vis tantine alors se tendre et gémir dans lépaule de mon frère « huuummmm. » Cela dura quelques secondes puis elle serra les jambes et enleva la main de mon frère de sa culotte.
« Oh mon dieu. Merde que cest bon tu es doué tu sais »
« Les enfants à table !! On vous attend » Un adulte était venu dans le parc pour nous
appeller. « Quelquun aurait vu C. ? » non ! Personne ne répondit tous affamés quils étaient.
Les enfants rentrèrent pour manger. Tantine à cet appel se réajusta correctement. Mon frère,
lui, regardait de tous les côtés. Avait-il compris que je pouvais être là à les épier ? Peut-être,
mais il ne devait pas penser que je pouvais être aussi prêt. Tantine sexclama. « Viens allons-
y, on va remarquer notre absence » elle fit un pas vers le chemin mais mon frère la retint.
« Eh là ! Pas si vite ma beauté, tu ne vas pas me laisser comme ça ! » Dit-il en lembrassant de nouveau.
« Mais ils vont sinquiéter ! »
« Et alors, on aura juste à dire quon sest promené dans les bois. » et il lembrassa de nouveau. Je le vis prendre la main de tantine et la poser sur son sexe comme avant.
« Cest mon tour sil te plait ! »
Et une nouvelle fois, je vis quelque chose dahurissant. Tantine en lembrassant caressait le sexe de mon frère à travers le tissu. Déjà depuis tout à lheure je voyais quil y avait une bosse à cet endroit-là. Et cest cette bosse quelle caressait. Dans ma jeunesse, mes parents ne mavaient rien appris en matière de sexe. Ils avaient toujours pensé que le temps nétait pas encore venu et attendait que je grandisse encore un peu. De mon côté, garçon manqué, je trainais parfois avec des garçons mais ils navaient jamais abordé ce sujet en ma présence. Et ce que je voyais ce jour-là était des plus déboussolant pour une fille de mon âge.
La main de tantine ne sarrêtait pas là. Je la vis déboutonner le pantalon et le faire descendre. Elle reposa sa main sur le slip de mon frère ce coup-ci et refit des mouvements de bas en haut mais très vite, elle baissa ce slip et laissa apparaitre quelque chose qui resterai gravé dans ma mémoire. Un sexe en érection. Javais déjà vu mon frère nu il y avait quelques années mais son sexe ne ressemblait en rien à celui que je voyais actuellement. Il était grand, gros, dressé droit comme un I. La main de ma tante arrivait tout juste à en faire le tour et je la voyais sactiver de bas en haut dessus de mon côté, cette scène ne me laissais plus de marbre. Inconsciemment, ma main sétait fixé sur ce bouton que je sentais à travers ma culotte et passait dessus, tournoyait autour, le pinçait. Une douce chaleur envahissait mon bas ventre. Je sentais mon cur semballer, ma respiration saccélérer. Je sentais un changement seffectuer dans mon corps et cette sensation de pipi qui sintensifiait. Je ne pouvais pas bouger sans trahir ma présence. Il fallait absolument que je me retienne. Mais je nétais pas au bout de mes surprises. Je ne savais vraiment pas ou tout cela allait sarrêter. Javais limpression que les choses empiraient et je me demandais si je naurai pas mieux fait daller me cacher ailleurs.
Tantine saccroupie tout en continuant de caresser le sexe de mon frère. Une fois, elle cracha dans sa main avant de continuer son mouvement puis cest là que tout bascula. Mon frère avait mit ses deux mains sur le haut de sa tête quelle avança, sa bouche arriva au niveau du sexe puis elle louvrit pour sortir sa langue quelle passa sur le haut du sexe. Ce coup-ci, ce fut mon frère qui gémit « humm ne tarrête pas. » et alors, ma tante ouvrit sa bouche et y enfonça le sexe de mon frère.
Cela fut comme un choc dans ma tête. Mais comment était-ce possible ? Ce que je voyais me semblait inimaginable ! Comment pouvaient-ils faire ça ? Comment ma tante pouvait accepter de mettre ce qui servait à faire pipi dans sa bouche ? Celle-ci se mit à faire des aller retours, je voyais dans sa bouche sa langue bouger. Mon frère semblait aux anges. Il avait fermé les yeux et rejeté sa tête en arrière. « Oh que cest bon, continue, ça va venir. » Quoi ? Quest ce qui allait venir. ? Je me mis naïvement à regarder dans le parc et autour de moi mais tout était vide. Tout le monde était rentré manger sauf nous. Javais arrêté de me caresser car les sensations que je ressentais sur mon bouton avaient accentué mon envie de faire pipi. Javais limpression que jallais bientôt ne plus pouvoir tenir. Ma vessie de par ma position accroupie commençait à me faire mal.
Tantine avait accélérer son mouvement de va et vient avec la bouche. Mon frère gémissait de plus en plus. « Oh oui ! Ça vient, narrête pas continue » Javais limpression que cétait mon frère avec ses mains et ses mouvements de bassin qui donnait le rythme « oh oui ça vient… ça vient »
Mais de quoi il parlait ? Quest ce qui venait ? Tout à coup mon frère sarc bouta. Il immobilisa la tête de ma tante avec son sexe entièrement à lintérieur. Et il lança un grognement bestial puis il donna deux ou trois coup de bassin dans la bouche de ma tante. Celle-ci ne bougeait plus. Le sexe de mon frère devait luis remplir la bouche. Quest ce qui se passait ? Il lui faisait pipi dans la bouche ? Mais je ne la voyais pas avaler. Alors ?
Mon frère arrêta de bouger ma tante ouvrit légèrement la bouche et un filet blanc en sorti. Cela était trop blanc pour que ce soit de la bave et ce nétait certainement pas du pipi. Elle finit par sortir le sexe de sa bouche. Elle avait du blanc partout autour de sa bouche maintenant et le sexe en était recouvert. Ma tante passa sa langue pour récupérer ce quelle avait sur le visage puis ressorti la langue pour lécher le sexe qui avait diminué de volume. Il nétait plus très droit. Ma tante le reprit complètement en bouche mais elle navait plus lair dêtre aussi remplit quil ny a quelques instants encore. Et elle le ressorti tout propre. Elle avait tout avalé. Tout ce jus blanc quelle avait eu à lintérieur et autour de sa bouche ainsi que ce quil y avait sur le sexe de mon frère.
Elle finit par se relever. « Hummm tu ty es prise comme une déesse » dit mon frère
« Et moi jai adoré ton jus » répondit-elle. « Ça vaut tous les apéritifs du monde » et ils sesclaffèrent. Elle lembrassa de nouveau et se réajustèrent. Ils finirent par sortir de derrière les arbres et retournèrent tranquillement vers le restaurant.
Je ny tenais plus, mon envie me faisait mal, les voir marcher doucement comme si de rien était puis tourner au coin de la bâtisse fut un véritable supplice. Une fois disparut je me précipitai sur ma culotte. Je navais plus le temps pour me relever. Quelle ne fut pas ma surprise de la toucher humide. Je navais pas limpression pourtant davoir lâché ma vessie. Je navais plus le temps de me poser des questions. vite jen écartais le bas pour enfin libérer mon pipi. Jamais je ne métais autant retenu que ce jour-là et jamais je ne vis mon jet aller aussi fort et aussi loin. Je ressentis alors une sensation de béatitude et je ne sais ce qui se passa dans ma tête mais je crois quà ce moment-là, jeu eut un pseudo orgasme. Javais limpression que jallais mévanouir tant de sensations traversaient mon corps et mon esprit. Il me fallut un certain temps pour me ressaisir. Mon jet sétait tari et mon ventre ne me faisait plus mal. Linconvénient avec les robes de cérémonies, cest quelles nont pas de poche. Je navais donc rien pour messuyer. Tant pis. Je remis ma culotte en place, regarda en direction du parc et ne voyant personne, finit par me relever. Ce ne fut pas sans mal car jétais resté un long moment accroupie. Puis je pris la direction du restaurant. Je me sentis les doigts pour voir si mes doigts ne sentaient pas trop le pipi mais oh surprise ! Je marrêtai sur le chemin car ce que je sentais navait rien à voir avec lodeur de lurine. Elle était bien différente presque enivrante pour la première fois que je la sentais. Je repris alors rapidement le chemin du restaurant et prit la direction des toilettes. Je menfermai et enleva ma culotte. En effet celle-ci était humidifié à lentrejambe une tache sy était formé mais presque translucide. Je la portais à mon nez pour la renifler. Jy retrouvais lodeur que javais sur les doigts même si maintenant une odeur durine sy dissimulait du fait que je navais pu me nettoyer. Je massis alors sur la cuvette des WC et releva ma robe. Je me remis à me caresser. Jessayais de retrouver le bouton que javais sentis à travers ma culotte. Je le trouvais bien vite. En le cherchant, je maperçus que tout mon sexe était humide, plus que dhabitude. Je mouillais mes doigts avec et les portait à mon nez. Je reçus de nouveau un choc car je sentis lodeur à létat brut. Je les remouillai pour les sentir de nouveau. De mon autre main, je retrouvai mon bouton et me mit à le caresser. Cette chaleur que javais ressentie plus tôt revint. Mon cur et ma respiration saccélérèrent. Et cest ainsi que je ressenti de nouveau cette impression de béatitude. Puis arriva une autre sensation. Cela arriva doucement puis augmenta, semblait sen aller alors je me caressais autrement, cela revint plus fort puis semblait repartir, alors je forçais de nouveau sur mon bouton tout en continuant de sentir mes doigts et cela recommença et ainsi de suite comme des vagues qui allaient de plus en plus loin sur un rivage pour finir au bout dun court instant par une déferlante. Je me suis laissé emporter par ces flots, si je puis dire et je me suis surprise à gémir comme lavait fait ma tante sous les doigts de mon frère. Jeu du mal à refaire surface. Cela navait rien de comparable à ce que javais ressenti derrière les buissons. Je pris quelques secondes pour men remettre. Ma main toujours sur mon bouton qui me lançait quelque décharge électrique maintenant. Je descendis cette main sur mon sexe et le sentit encore plus humide que quand jétais entrée.
Mais quest ce qui métait arrivé ? Certes je venais de me donner mon premier orgasme mais je nen étais même pas consciente. Pourquoi mes parents ne mavaient ils jamais parler de tout ce qui venait de marriver ? De tout ce que je venais de voir ? Devais-je dailleurs leur en parler ? Est-ce que je devais leurs dire ce que javais vu entre mon frère et ma tante ? Et quavait il fait au juste ? Est-ce normal de prendre un sexe en bouche ? Ma tante navait pas eu lair de sen offusquer et même, navait-elle pas montré quelle aimait ça ? Des milliers de questions se mélangeaient dans ma tête mais le temps commençait à être long dailleurs, la porte des toilettes souvrit et jentendis mon nom appelé. Cétait ma mère qui me cherchait sinquiétant de ne plus me voir. Je lui répondis que jétais là et que jarrivais. Je messuyai comme je pus, remit ma culotte encore humide, sentis mes doigts une dernière fois et sorti de la cabine. Je me lavai les mains sous les réprimandes de ma mère qui me disait me chercher depuis des lustres et je dû lui prétexter des problèmes intestinaux pour quelle me laisse tranquille.
On revint ensemble dans la grande salle ou visiblement les entrées étaient quasiment finies. Je massis pas loin de mon frère mais avec les enfants et celui-ci me dévisageait légèrement livide. Il devait se demander si mon absence navait pas été provoquée par son escapade avec ma tante. Mon assiette étant encore servit, je la vidai rapidement car tous ces évènements mavaient mise en appétit.
A suivre