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Ma vie de lopette cocu – Chapitre 4




Le bruit de la clef dans la serrure me réveilla, un coup dil à mon réveil, il était 3 heure du matin .Elle se glissa a pas de loup dans la chambre et se glissa dans la salle de bain attenante pour prendre une douche. Je guettais le moindre de ses bruits à laffut dun quelconque indice qui pourrait mindiquer le déroulement de sa soirée. Que faire, lui montrer que je suis réveillé ou lui faire croire que je dors profondément ? Je choisis finalement la deuxième option. Au bout dun quinzaine de minute elle se glisse dans le lit. Je lai juste aperçu avec la lumière de la salle de bain qui sest rapidement éteinte, elle ne porte rien (il fait particulièrement chaud en ce début de printemps. Cela est suffisamment rare pour être souligné, car la plupart du temps elle porte au moins une nuisette. Etant toujours insomniaque, au bout dune demi-heure, je me colle à elle et pose ma main lair de rien contre sa hanche : je ne métais pas trompé, elle était nue.

Je mimaginais ce quavais pu être sa soirée, elle sendormit rapidement, quant à moi je restais avec mes questions. Je me relevais en direction de la salle de bain, et vérifiais le bac à linge. Je fermais la porte, et fouillait méthodiquement. Un bel ensemble noir et blanc avec le string « T » et un jolie soutien-gorge brodé, avec des bonnets de taille respectable pour contenir sa généreuse poitrine. Les bas était roulé en boule, javais donc vu juste ! Une idée ma traversée lesprit : essayer sa lingerie, cétait risqué, dautant plus quelle mavait bien dit de ne pas y toucher. Mon esprit était encore en pleine réflexion, mais mes mains avait déjà déroulé les bas noirs, impossible de résister à la tentation ! Jai humé son string avant de lenfiler, et jai complété par son sous tif ! Ma cage mempêcher de bander, sinon jaurais déjà été au garde à vous !!

Ainsi affublé je me regarde dans la glace, décidemment, cest moche avec ces poils, il faut vraiment que je rectifie cela, mais pas évident pour les finitions avec la cage !

Je nai pas entendu ma femme qui sétait levé pour voir ce qui se tramait dans la salle de bain !

Nat : « Mais tes vraiment un gros pervers ! Je tai dit darrêter de toucher à mes sous-vêtements, je tai donné mes culottes, cest tout ce que tu as le droit de porter !!!! », Son ton était ferme, mais posé. Une fois de plus je me sentais ridicule mais elle était magnifique avec son assurance dans la voix.

Elle reprit avec néanmoins un petit sourire ironique : « Et puis franchement tu ressembles a rien avec tous ces poils, le string transparent ça ne pardonne pas !!! Moi jai du tout raser !! ». Je ne métais même pas aperçu que son minou était lisse ! Cest incroyable, jusqualors elle a toujours gardé une toison bien fournie, malgré mes suggestions pour quelle la débroussaille. Elle avait dhabitude la toison en forme de « carte postale » plutôt que « ticket de métro ». Bref cela nétait pas pour me déplaire, mais pour lheure je mempressais de me dévêtir, et en passant devant elle, elle me claqua gentiment la fesse et dit « Petite coquine au lit ! »

Le lendemain, je pouvais espérer la grasse matinée, cétait samedi, mais elle me secoua à 8h pour que jaille lui préparer son petit déjeuner et au lit sil vous plait !

20 Minutes plus tard, je lui apportais ce quelle mavait demandé.Elle me remercia et mindiqua ce quelle attendait de moi en ce début de weekend : Remplir le frigo, ménage, lessives, suivre les devoirs des enfants, les emmener aux activités auxquels ils étaient inscrit. Bref une journée bien remplie !!!

Elle resta au lit jusquà 10heure, quand elle se leva, elle était apprêtée et sortit en me disant quelle sortait avec sa cousine Déborah aujourdhui, quelle ne rentrerait quen fin daprès-midi. Je nen savais pas plus sur son emploi du temps, et je me retrouvais comme un con à récurer la maison et jouer les maris modèle.

Sa cousine est une jolie femme blonde de 42 ans, divorcée, plutôt déçu des hommes. Elle était depuis quatre ans célibataire, collectionnant les conquêtes. Ma femme était toujours proche delle, comme une sur ;

Elle ne rentra finalement que vers 22h, en me laissant néanmoins un texto sur mon portable pour me prévenir. Je lui ai demandé comment sest passé sa journée, elle semblait heureuse, mais pas moyen den savoir plus.Elle me libéra de ma cage pour le nuit, sans pour autant me toucher, et me prévint que je navais pas intérêt à ma masturber !

Le dimanche se passa sans heurt, en famille, le soir elle me demandait si javais tenu le coup sans me toucher, elle se doutait que jétais à bout et jai préféré jouer la franchise : je lui avoue mêtre masturbé dimanche matin rapidement et mécaniquement sous la douche, ne tenant plus à ce besoin de me vider. (En temps normal je me branle une à deux fois par jour)

Sa réaction est immédiate : elle semble fâchée, et me remet aussitôt la cage. Elle mavoue trouver cela moche, mais que pour linstant, visiblement cest le seul moyen de garder le contrôle sur ma sexualité. Cest la première fois quelle parle de « contrôle » avec un air sérieux.

Une semaine sécoule et cest les vacances scolaires, les enfants filent chez mes beaux-parents pour quinze jours .Je vais avoir ma femme pour moi tout seul, jaspire à une trêve de sa part. Le traitement de choc de ces derniers jours mavait mis à bout !!! Je ne pensais pas que cela allait déraper un peu plus !!!Ma femme avait décidemment de me torturer psychologiquement. La semaine elle shabillait toujours un brun sexy, juste ce quil faut pour être affriolante : jupe, bottes, collant. Une chose qui ma frappé cest la façon dont elle est devenue accro à son portable : la reine du texto ! Bien sûr elle ne me disait rien. Pendant cette semaine de vacance, elle est sortie au moins deux fois, sans men dire plus. Le samedi matin elle ma enlevé ma cage et ma caressé les testicules et la base de mon pénis jusquà ce que je jute, en prenant soin comme je le lui avais appris à retirer sa main au moment de léjaculation, pour limiter au maximum mon plaisir, et maintenir ma frustration.

Nat : « « Jai une bonne nouvelle, on sort en ville ensemble. Nous allons passer à la boutique du nouveau copain de Déborah. Je suis sûr que cela va te plaire Mais avant jaimerais que tu fasses beau et que tu me rases tous ces poils disgracieux, cela fait décidemment trop viril, on ne peut pas vraiment dire que cest ce qui te caractérise ».Trop heureux de sortir avec elle, je ne relève pas, mempresse de me raser le corps, et mhabille en jean chemisette. Nayant pas de cage, je choisis de ne pas mettre de culotte. Le contact de mon sexe fraichement rasé sur le jean est plus que troublant.

ON rejoint Déborah dans le centre de Lyon, après avoir embrassé sa cousine, elle me fait la bise, prend ma femme par la main, et nous sommes en route vers la boutique de son copain. Jusque-là je nen sais pas plus.

Dans les petites rues du centre de Lyon, on finit par passer devant une petite boutique de piercing et tatou, Débo pousse la porte et on se retrouve à lintérieur « Bonjour Franck » dit Déb a un grand brun barbu dau moins 1m90, je tai emmené le mari de ma cousine pour lui faire son petit piercing

Je suis figé et me tourne vers ma femme, qui sourit et me dit : « cest Franck qui ma fait mon papillon, il fait du très beau travail. »

Ne comprenant toujours pas, Franck nous fait signe, et nous nous retrouvons dans larrière-boutique. Il tire le rideau et me demande de me déshabiller derrière le paravent.

Je suis surpris, je me regarde ma femme dun air interrogateur.

Nat : « Je tai payée un beau piercing, chérie, ta cage, nétait pas très jolie, et pas très hygiénique »

Incroyable, elle parle de ma cage librement de ma cage devant Déborah et son mec, je ne sais pas ou me mettre.

Franck me prend par le bras et me pousse vers le paravent.

F : « Allons, pas de chichi déshabille toi »

Je mexécute, ne sachant toujours pas à quoi tout cela rimait, en un rien de temps, je suis à poil, ne gardant que ma chemisette.

Ma femme me demande expressément de sortir de derrière le paravent. Je me retrouve donc ridicule devant Franck, Déborah et ma femme, cachant mon sexe.

F : « Assied toi sur le fauteuil ». Il me montre ce qui ressemble à un siège de dentiste.

Je massois et il me demande de me détendre. Crispé au départ, je me détends, ne comprenant toujours pas ce qui marrive.

Deb. et Nat restent en retrait et feuillète le catalogue de Tatou.

F : « Bien, tu sais que ta femme veut te faire un cadeau ????Non, évidemment elle ma dit que tu nétais pas au courant Il parait que tu es un petit branleur !!! Et que tu adore te masturber en douce

Il prend un coton et me passe de la Bétadine sur mes bourses et mon sexe.

A sa voix, je commence à bander, jadore être humilié, cest la première fois que cela se passe en direct, devant ma femme et ma cousine, qui se sont rapprochée.

F : Mais tu bandes dès que lon te touche ! Tes vraiment un sacré pervers dis-moi ! Profites en, je vais te poser un Prince Albert a la demande de ta femme. Et hop aussitôt dit aussitôt fait, je débande instantanément à cause de la douleur. Ma femme et sa cousine sont à la première loge.

Franck se tourne vers ma femme et lui demande si il peut poursuivre, ma femme acquiesce, et mon sang se glace lorsquil me montre un autre anneau en me disant :

F : « Je vais te poser cet anneau a la base de tes bourses, et lattacher avec un petit cadenas a ton autre anneauCest une demande expresse de ta femme, apparemment tu nas pas ton mot à dire »

Il me tend une glace et me demande de constater lopération : cest incroyable, mon gland est attaché à la base de mes bourses. Ma femme exprime sa satisfaction, et Déborah ne peut dempêcher de rire.

Nat : Eh bien on verra si je te détache de temps en temps. Mais honnêtement, je te trouve très bien ainsi.

Cette fois ci le retour en arrière est impossible.

A suivre

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