Quelques jours après, Antoine m’a appelé.
David était un peu plus calme, mais commençait à s’agiter Il me réclamait. Il scandait mon prénom en demandant à son père que je vienne
Antoine a demandé mon aide, et je m’étais attaché à lui, et surtout à David aussi. Je comprenais aussi bien la détresse du père, comme celle du fils
Je savais que je pouvais faire du bien à David Avec mon don de moi, sans limites, mais aussi avec ma tendresse, ma douceur. Il avait envie de moi, certes, mais aussi de mon aide pour le sortir, peu à peu, dans ce carcan dans lequel il était enfermé.
Le lendemain, je suis allé chez Antoine, qui m’a accueilli à bras ouverts, et j’ai eu beaucoup de plaisir à me sentir contre lui, humer ses odeurs de mâle, et avoir son sexe qui grossissait contre mon ventre.
« David recommence à s’agiter Je ne sais pas ce qu’il se passe avec toi, mais tu sembles le seul à lui procurer un certain apaisement. De plus, j’ai eu beaucoup de travail ces derniers temps et comment dire Je n’ai pas pu m’occuper de lui. »
J’avais compris, David était en manque de sexe et il n’avait pu se satisfaire que manuellement, ce qui ne lui plaisait pas trop. Dans ces cas-là, il régressait dans les progrès que je lui avais fait accomplir et réclamait cet accouplement bestial que j’avais connu lors de nos premières rencontres.
Antoine me prit dans ses bras, commença à m’embrasser et à me caresser, partout. A prendre ma main pour la mettre sous son tee-shirt et caresser sa poitrine velue. Il connaissait mon attirance pour les poils, ce contact soyeux sur le corps de l’homme.
« Il n’y a pas qu’à David à qui tu as manqué, moi aussi j’ai trop envie de toi »
Sa barre de chair, énorme et dure plaquée contre mon ventre m’en donnait la preuve ainsi que sa main qui s’était introduite dans mon bermuda, malaxait mes lobes et s’insinuait dans ma fente, la caressant de mouvements circulaires. J’ondulais des fesses, prenant plaisir à ces caresses, laissant courir mes mains sur ce corps velu, jusqu’à atteindre la ceinture de son short que je baissais d’un coup.
Rien dessous, et la poutre apparut devant moi, se jetant sur mon visage, avec ses effluves de mâle, cette odeur forte, remplie de testostérone, de phéromones, de sexe qui a mariné pendant dans un boxer pendant toute une journée de travail. Antoine, comme David, était circoncis, donc pas d’odeur de « fromage » ou de pisse, désagréable pour moi, juste ce parfum suave que dégage naturellement le membre de l’homme.
Ma bouche s’est posée sur son gland, mes mains sur ses couilles, grosses, pendantes et velues et je l’ai avalé, petit à petit, presque à le prendre en entier alors qu’il appuyait sur ma tête pour s’enfoncer jusqu’à la gorge.
Dans un hurlement, Antoine s’est vidé dans moi, a offert à mon palais son délicieux nectar, j’avais l’impression que le jet ne se tarissait pas, encore et encore
« Désolé d’avoir été si rapide, mais j’étais trop en manque moi aussi Ta bouche est du velours, mais c’est ta chatte que je veux »
Son membre était toujours droit, aussi raide, n’ayant rien perdu de son ampleur, prêt à prendre possession de moi, à s’enfoncer dans ce réceptacle qu’il avait si bien préparé avant.
Je me suis retourné, et d’une formidable poussée, il s’est enfoncé dans moi, franchissant toutes les barrières, son pieu me dévastant jusqu’au plus profond de ma chatte, ses couilles battant sur mes fesses, me tenant solidement par les hanches pour me pénétrer le plus profondément possible, cherchant très loin sa jouissance.
Son torse velu frottait mon dos, mes mains caressaient à la fois ses jambes couvertes de poils noirs et ses fesses, tout aussi poilues pour les pousser à s’introduire encore plus profond dans moi. Moi aussi j’étais en manque, et trop heureux de me faire bouriner par un mâle aussi viril et puissant. J’ai senti son sexe grossir encore, se tendre, et dans une poussée, tiré violemment par les hanches vers son ventre, Antoine a explosé en moi. Il venait de jouir peu de temps auparavant et pourtant, j’ai senti ses jets chauds me remplir, la jouissance ancestrale du mâle qui « féconde » sa femelle.
Après un peu de repos, un thé bien mérité, Antoine m’a encore repris, avec plus de douceur cette fois, et c’est collé à lui, ma main sur sa fourrure, qu’il m’a dit :
« Va voir David, il a besoin de toi Toi seul peux le calmer et le rassurer Mais tu le sais, il risque d’être assez violent au début, tu le connais »
« Oui, mais je sais le calmer aussi »
« Il va te défoncer »
« Tu m’as bien préparé pour ça, non ? » Avec un clin d’il vers lui
Je suis monté à l’étage, à la chambre de David Il était presque nu sur son lit, juste un slip genre Kangourou et un sourire radieux quand il m’a vu arriver.
« Baiser envie baiser… »
« NON !!!! Non David Bisous !!!! »
Et nos lèvres se sont jointes, pendant que je m’allongeais à ses côtés, non sans avoir auparavant ouvert la fenêtre pour aérer cette pièce qui sentait une odeur de phoque.
« Je suis là maintenant, David »
J’ai senti son corps se coller contre le mien, ses poils sur moi, mes mains caressant son dos velu aussi et son membre démesuré s’incrustant sur mon ventre
Il bandait comme un âne, ses mains trituraient mes fesses comme pour chercher la pénétration immédiate. Je me suis un peu éloigné de lui, ai pris son sexe entre mes mains, et j’ai commencé à le lécher, lui faire des bisous dessus, l’enfonçant de plus en plus dans ma bouche, tout en caressant ses poils, son corps d’homme, l’odeur de testostérone et de phéromones qu’il dégageait Pour ça Il n’en avait pas été privé Du Poppers puissance 10
« Calme-toi David Laisse-toi faire Laisse-moi m’occuper de toi Je veux ton plaisir et le mien »
Je l’ai caressé, embrassé partout, mais mon désir a été plus fort
« Prends-moi maintenant Défonce-moi »
Il ne s’est pas fait prier plus longtemps et j’ai senti cette énorme barre de chair s’insinuer dans moi J’étais sur lui et il s’enfonçait de plus en plus Ce monstre sans fin s’enfonçait dans moi, au plus profond, cherchant à aller toujours plus loin, plus profond.
J’avais David dans moi, au plus profond de son désir et du mien
Je ne sais plus combien de fois il m’a pris cette nuit-là, mais j’étais trop content de lui appartenir, de lui procurer le plaisir qui lui avait tant manqué.