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En couche, quand je le veux ! – Chapitre 1




J’ai la trentaine, et depuis quelques mois, j’ai des petits ennuis de vessie.

Hélas, ça m’a coûté ma dernière relation : elle n’a pas supporté de se réveiller à plusieurs reprises complètement trempée ! Elle reviendra…quand j’aurai réglé mon problème de pipi au lit.

Pour y remédier, j’ai acheté des culottes pour incontinent en Super par correspondance (c’est plus facile !) et j’en suis plutôt satisfait : j’enfile une couche quand je reviens du travail et je l’enlève le lendemain matin, complètement trempée. J’ai très vite compris que ça me plaisait beaucoup !

Les week-ends, je les porte jusqu’à ce que je commence à avoir des fuites, que le pipi chaud dégouline sur mes cuisses. Heureusement, chez moi il y a du carrelage dans toutes les pièces (pratique pour le nettoyage !). L’odeur de mon pipi ne me dérange pas du tout, c’est même le contraire, sentir mes doigts odorants me fait bander très fort et je ne peux me retenir de me branler plusieurs fois par jour ! Pour mon lit, une bonne alèse imperméable m’a permis d’éviter d’abîmer le matelas (déjà taché) mais je ne change pas mes draps mouillés trop souvent, et parfois j’ai l’impression de dormir dans des pissotières publiques !!

Je n’étais pas encore sorti, protégé par une couche, mais j’ai fais un essai la semaine dernière et ce fus vraiment très excitant ! Un réel plaisir à uriner devant les gens, au marché au café, jusqu’à ce que ma couche ne puisse plus absorber une goutte. Finalement, j’ai du me résoudre à rentrer chez moi, mon jean était trempé, je bandais comme un fou et plusieurs personnes on remarquait mon état. Personnes qui n’ont pas osé faire la moindre remarque car je suis plutôt costaud et musclé. Je me suis masturbé dès que j’ai trouvé un endroit tranquille (une ruelle qui avait un parfum attirant) et j’ai cru que j’allais m’évanouir tellement le plaisir était intense !

Hier, après un « accident volontaire », je me réfugiais dans des toilettes publiques, au fond d’un parc. Ma couche débordait, mon jean était à tordre et mes chaussettes bien mouillées. Je m’enfermais dans un cabinet, retirais mes chaussures, chaussettes et jean. J’étais très excité alors je glissais ma main dans ma couche chaude et me branlai vite. Ce fus si bon que je me retrouvais à genoux sur le sol souillé de pisse. L’odeur était si forte que j’avais la tête qui tournait. Je me penchais et reniflais doucement, l’effet ne se fis pas attendre longtemps, je retirais ma couche et à quatre pattes, je me redonnais du plaisir. Cette fois, je dus perdre conscience quelques secondes car quand je repris mes esprits, j’étais couché de tout mon long sur le sol froid et trempé.

Je n’avais pas remarqué que mon pied passait sous la porte du cabinet. Mais quand une voix me demanda : « Ça va ? Vous allez bien ? Vous voulez que j’appelle les pompiers ? », Je réussi à répondre que ça allait bien. Je me dépêchais d’enfiler mon jean humide, j’essayais d’arranger les dégâts mais il n’y avait pas grand-chose à faire.

J’attendais encore un peu puis je sortais. Je me lavais les mains et le visage puis quittais les WC. Mais celui qui m’avait interpellé était là, assis sur un banc. Il souriait et me dis « viens t’asseoir ici ». J’hésitais mais je finis par obéir, il devait avoir plus de 50 ans, pas mal et ne me faisais pas vraiment peur. Il me tutoya tout de suite : « Hé bien, tu t’en ais mis vraiment partout ! » puis sa main se posa sur ma cuisse, très doucement. Puis il murmura : « t’aimes çà la pisse, ça te plaît ? » Je gémis car il venait de m’empoigner le sexe : « oui, j’adore ça ». Je fermais les yeux, trop gêné, il venait de sortir ma bite et la branlait très doucement « elle est belle dit donc ! » puis il se pencha et commença à me lécher, puis à me sucer. Au bout de 10 minutes, je me vidais dans sa bouche, sans pouvoir retenir un gémissement de plaisir.

Il finit par se relever et essaya de m’embrasser sur la bouche. Je le repoussais doucement en disant : « Je ne suis pas un homo » ce qui le fis rire « ça t’a pas empêcher de gicler dans ma bouche dis donc ! » Il me pris la main et la posa sur son entrejambe gonflée « vas-y, me laisse pas comme ça ». J’hésitais à peine et libérais son sexe dur, pas aussi long que le mien mais plus épais. Il était humide et l’odeur que je sentais me fis comprendre qu’il avait du bien mouillé son caleçon. Je le caressai un moment et il finit par jouir dans ma main. Il me dit juste avant que je me sauve « tu aurais pu me sucer, ou…T’as jamais sucé de mec ? » Il vit à ma tête que c’était ça, il se leva et essaya encore de m’embrasser. J’étais plus grand que lui et je me laissai faire, même quand sa langue entra dans ma bouche. C’était plus agréable que je le pensais mais je finis par le repousser car son sexe devenait de plus en plus dur contre ma cuisse.

On se sépara mais je promis de revenir au parc. Il me murmura avant que je parte : « tu me suceras la prochaine fois ? » Je n’en avais pas trop envie mais il me décida en ajoutant « après je te pisserai dessus, si t’aime ça ? ».

Chapitre 2

Je me suis enfin décidé à y retourner, ça fais 2 semaines que je pense à cet homme qui m’a sucé, alors que ma couche trempée débordait de pipi. Je ne suis pas homo mais le plaisir que j’ai ressenti était vraiment trop intense et je suis privé de femmes depuis plus d’un mois.

Je passe la matinée en ville, je me balade, prend un sandwich, 2 cocas, et quand j’arrive au parc, ma couche, pourtant renforcée par 2 couches droites et recouverte d’une culotte plastifiée, fuit entre mes cuisses et mouille mon jean (acheté 2 tailles de plus que ma taille habituelle !). Je fais le tour du parc, il n’est pas là, ce qui me chagrine beaucoup, parce que je suis vraiment très excité.

Je fais un tour dans les toilettes publiques, il fais déjà chaud et l’odeur pisseuse est très forte, décuplant mon excitation. Je finis par sortir, de peur de me soulager tout seul. Une demi-heure plus tard, il arrive, avec un grand sourire qui me gêne un peu. Il s’assied près de moi et sa main me tâte à travers ma couche épaisse « hé bien, tu m’as l’air drôlement énervé », je rougis et il rit, puis il se penche, frôle mon cou de sa bouche et murmure « viens, je vais te faire passer ça ».

A peine entrés dans un cabinet, il m’embrasse, sa langue fouille ma bouche avidement, et je ne sais pas trop quoi faire. Il bande et se frotte contre mon bas-ventre gonflé, puis il s’agenouille et me déshabille lentement, mon jean, ma culotte plastifiée, je suis gêné et j’ai peur qu’il se moque (vu les petits motifs enfantins dessinés sur la culotte !), mais il me sourit. Enfin, il retire ma couche, je suis trempé, mon membre se dresse sous son nez et il commence à me lécher très doucement. Il me suce vite, je gémis et gicle abondamment dans sa gorge, j’ai bien essayé de me retenir mais il est trop habile et moi trop excité.

Il me lèche encore, me retourne, sa langue fouille mon derrière et je ne peux m’empêcher de gémir, je n’aurai jamais cru que se faire lécher le cul pouvait être si bon ! Il finit par se relever, il libère son sexe, m’embrasse et me murmure d’une voix rauque « allez, suce moi, vite » J’hésite à peine, je m’agenouille, son sexe dur se frotte sur mon visage, je ferme les yeux, ouvre la bouche et je le suce. J’aime son goût, sa chaleur, je dois bien me débrouiller car il jouit vite, son sperme est chaud, gluant et abondant, j’avale tout même si je n’aime pas trop ça.

Il s’agenouille, me sert contre lui, m’embrasse, plus tendrement, je pousse un petit gémissement quand il frotte son sexe gluant entre mes fesse « non, pas ça, arrête ». Il n’insiste pas « Bébé ne veut pas de la grosse sucette dans son petit cucul ? », je sens que je rougis et répond « non, je ne veux pas ! », il soupire « comme tu veux, mais ça t’aurait plu ! ».

Je finis par le sucer encore, j’avale tout, puis il me suce, en pénétrant doucement mon cul d’un doigt, et mon plaisir est si fort que j’ai l’impression de m’évanouir. On reste enlacés son sexe est encore dur et il finis par se glisser entre mes fesses, son bout appuie sur mon anus, mais il n’essaie pas de s’enfoncer et je sais que s’il fait ça, je vais sûrement avoir très mal. Je ne sais pas trop si j’en ai envie ou pas, c’est quand même très agréable de le sentir là.

Il se relève, me retire mon tee-shirt, je comprend vite quand il commence à pisser, il me conseille « ferme les yeux », c’est chaud, ça dégouline partout, ça coule entre mes cuisses, mes fesses et ça me brûle l’anus. Ça dure un long moment et quand il finit, je suis complètement trempé de pipi. Je bande et il me suce à nouveau, pour la troisième fois je jouis, il a forcé doucement mon trou de deux doigts et c’est bon. Je dois le soulager, avec ma bouche, j’avale son jus mais je commence à me sentir écuré, ce n’est pas vraiment mauvais mais j’ai du mal à avaler.

On fais un brin de toilette, je ne remet pas ma couche, il me lèche partout, puis m’éponge avec du papier, puis avec mon tee-shirt mouillé au robinet. Le résultat n’est pas génial, mais je ne suis pas loin de chez moi. On sort, puis on s’assied sur un banc, je suis torse nu, mon tee-shirt sèche à coté de moi, sur le dossier. On discute un long moment, il me pose pleins de questions sur mes couches, si je fais caca aussi dedans et je lui avoue que l’ai déjà fait, mais chez moi seulement. A cause de l’odeur, quand ma couche est bien pleine de pipi, j’attire déjà les regards mais du caca…

Il me propose de venir prendre une douche chez lui, de boire un verre, j’hésite mais je finis par accepter.

Chapitre 3 : L’appartement

Il n’habite pas loin, heureusement, parce que dans mon état, j’attire les regards. Je suis trempé, je dégage une odeur de pissotières au soleil mais il me rassure « t’inquiètes pas, je vais te donner le bain »

Son appartement est sympa, sur 2 étages, mais on va directement dans la salle de bain, il me déshabille, après avoir fait couler un bon bain, avec plein de mousse.

Je rentre dans la baignoire, lui est nu, à genoux, il me lave longuement, doucement, ses doigts n’arrêtent pas de me fouiller le cul, je lui dis que je ne veux plus mais il me fais taire avec un baiser et murmure « bébé dois être obéissant ! ».

Après le bain, il m’essuie partout, puis il m’emmène dans sa chambre, je me retrouve sur le lit, couché sur le dos. Il bande et essaie encore de se coucher sur moi. Mais ça me fais peur, il est trop gros, je ne sais pas si j’en ai envie.

Je finis par le sucer, il met longtemps avant de jouir dans ma bouche et j’ai mal au cur en avalant. Il se lève, ouvre l’armoire, il y a plein de couches, des culottes colorées, et plein d’autres vêtements bizarres. Il sourit « je vais te langer et on boira un bon bibi » Je commence à trouver la situation étrange, je sais que je suis très uro mais là…

Une couche propre, beaucoup plus épaisse que les miennes, une culotte plastifiée rose, et on va au salon. Je me sens un peu mal à l’aise, la couche m’écarte les cuisses mais il me caresse les fesses et me dit que je suis très mignon comme ça.

« Tu veux du lait ? » je réponds que je préfère quelque chose de plus fort et il me sert une bière dans un grand biberon.

On discute, on boit, on mange en regardant la télé, des films ABDL que je découvre, un univers où les adultes sont des bébés, il me pose des questions, me dis qu’il veut que je sois son Baby Boy, il m’embrasse, son caleçon est tendu par son désir et ça finis par m’exciter très fort.

Il est 22 heurs, retour dans la chambre, il me retire la culotte et la couche, me suce, me caresse l’anus avec une pommade douce, ses doigts s’enfoncent peu à peu, 2, 3, je suis au bord du plaisir quand il remplace ses doigts par son gland.

Je me défend un peu, pas assez et il me pénètre très lentement, je n’ai pas mal, juste un peu, mais il fais très attention. Il prend tout son temps, je finis par éjaculer dans sa main, très fort. Lui est sur moi, en moi, il accélère peu à peu, son membre s’enfonce de plus en plus, je commence à souffrir, juste un peu, ça me brûle à l’intérieur.

Je le supplie « tu me déchires, t’es trop gros » il ralentit, il jouit, je pousse un cri en sentant son sperme qui gicle en moi.

Il me libère enfin, puis il me nettoie, je gémis « j’ai envie de caca » il sourit et me remet couche et culotte plastique. J’essaie de me retenir mais je cède à ses demandes, je pousse à peine, c’est chaud, mou, sa main tâte mon entrejambe « c’est bien, te retiens pas ».

Je suis épuisé et je m’endors dans ses bras, avec ma couche souillée, je me sens bien.

Au réveil, il me lave, me change, il a envie mais j’ai mal aux fesses alors je le suce, et j’avale, encore, je commence à m’habituer à son sperme abondant et chaud.

Je m’en vais, je me sens fatigué mais j’ai pris un plaisir dingue, le cul brûlant, douloureux, même mes couilles me font souffrir. En plus il a tenu à me remettre une grosse couche, et j’ai l’impression que tout le monde regarde mon gros derrière.

J’ai promis de revenir, il veut que l’appelle « Daddy », il m’aime et moi je crois que je craque pour lui. Je crois que la prochaine fois, il pourra me faire tout ce qu’il veut….

Histoire écrite entre février 2007 et juillet 2009 par ZOOMAN

Révision 1 (Février 2007) Révision 2 (Novembre 2008) Révision 3 (Juillet 2009)

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