Elle vient datterrir à laéroport, prend ses bagages, Marc est là qui lattend.
— Bonjour maman, tu as fait bon voyage ?
— Très bien! Merci, cela ma étonné que ce soit toi qui me répondes au téléphone! Ou est ton père?
— Il est parti au chalet avec Sylvie, je devais y aller aussi mais on c’est un peu pris la tête avec papa, alors je suis resté, heureusement sinon tu aurais trouvé porte clause.
— Jai mes clés et les taxis servent à ça mon chéri!
— Tu veux aller à la maison ou tu veux quon rejoigne papa au chalet?
— Nous allons les rejoindre, quelques jours de repos seront les biens venus!
— On ne tattendait que demain soir!
— Jai fini avant et jen ai profité.
Les 150 km en voiture furent accomplis en 2 h dautoroute et de routes de montagnes. Ils arrivèrent au chalet vers 10 h du matin, personne pour les accueillir, ils entrent tout est calme, Corinne va à la chambre, la porte est ouverte et le spectacle quelle y découvre la submerge de douleur.
Il y a deux corps nus enlacés sur le lit et on voit bien, quils ont fait lamour, dailleurs lodeur de cyprine et de sperme, qui règne dans la chambre en témoigne.
Elle ne peut plus bouger, Marc est derrière elle et regarde le spectacle par-dessus son épaule, il est comme sa mère, il reste bouche bée.
Elle recule et se cogne à Marc, elle se tourne vers lui les larmes aux yeux, il la prend dans ses bras et lentraîne jusquau divan du salon et la fait asseoir.
Corinne pleure à chaudes larmes, elle vient de voir sa fille dans les bras de son père et nul doute quils ont fait lamour ensemble.
Elle ne réalise pas encore et ne sait que faire, Marc et à ses pieds et la regarde avec des yeux de chien battu.
— Maman, Marc! Que faites vous ici?
Cest Sylvie, vêtue dun peignoir de bain, qui est dans lencadrement de la porte.
— Et toi! Tu faisais quoi dans le lit de papa, tu peu me le dire?
— Mais, mais! Ho non!
Sylvie par en courant dans sa chambre, en pleurs. Roger entre dans le salon, il porte un jean et un polo, il vient vers le divan, Corinne se lève et lui administre une paire de claques retentissantes.
— Espèce de gros salop, tu baises ta fille mais tu es devenu fou!
— Je ne sais pas, ça naurait jamais du arriver, bien sur jai eu tort!
— Tu as eu tort! Tu as eu tort! Cest tout ce que tu trouve à dire, elle a à peine 18 ans connard et tu la baise dans mon lit, Marc fous moi cette ordure dehors et casse lui la gueule !
— Part papa, ce nest pas le moment de discuter, tu reviendras plus tard!
— Toi le petit merdeux tu la fermes, je suis ici chez moi et je pars si je veux!
— Ne moblige pas à te virer papa, tu sais que je le ferais si maman me le demande et je suis deux fois plus costaud que toi!
— Casse lui la gueule Marc, à ce fumier!
Roger partit quelques minutes plus tard, sans un mot, la carrure de son fils étant plus dissuasive que lenvie de sexpliquer.
Elle sécha ses larmes et alla à la chambre de sa fille.
— Sylvie, ouvre moi, il faut que lon parle!
— Laisse moi maman!
— Non, ouvre ou je dis à Marc denfoncer cette maudite porte!
La porte souvrit sur une Sylvie en pleurs, qui alla se jeter sur son lit.
— Mais enfin Sylvie, tu peux me dire pourquoi, tu couches avec ton père et depuis quand ça dure ce cinéma, tu prends la pilule au moins, tu te rends compte des conséquences!
— Oui je prends la pilule, ça fait deux mois quon couche ensemble!
— Comment cest arrivé? Il ta obligé?
— Non maman, cest arrivé quand jétais à la fac, un matin il est passé me voir, jétais en nuisette, je ne savais pas que cétait papa, je pensais que cétait Marc, jétais nue dessous et! Et! Je me suis laissée faire voilà, il ma embrassé et caressé et on a passé la journée au lit !
— Tu reçois ton frère en nuisette nue dessous, tu me prends pour une idiote?
— Non maman, Marc ma déjà vu nue!
— Comment ça il ta vu nue ! Tu veux dire que tu te promènes nue devant ton frère?
— Je ne me promène pas maman, Marc est mon amant depuis longtemps et si je pleure cest parce quil va me laisser tombé maintenant, il sait que je le trompe avec papa!
— Mais vous êtes tous fous dans cette famille! Tu veux dire que tu es la maîtresse de ton frère?
— Cest Marc qui ma dépucelé, je laime et jai eu tort de coucher avec papa mais il en avait envie et moi aussi!
— Je deviens folle, ce nest pas possible, Marc! Dis quelques chose!
— Que veux-tu que je dise, ce quelle dit, est vrai, jétais son amant, on avait le projet de prendre un appartement ensemble quand elle aurait fini ses études et de vivre tous les deux mais maintenant ce nest plus dactualité!
— Marc mon amour non, ne me laisse pas tomber, je te promets, il ne me touchera plus!
— Tu te souviens de ta promesse, Marc je te resterais fidèle?
— Si tu étais venu ce matin la comme tu devais le faire, rien ne serait arrivé et depuis tu ne viens plus!
— Je suis venu mais tu étais déjà occupée, je vous ai vu dans le lit avec papa quand je suis venu, je suis reparti sans faire de bruit!
— Tu savais cest pour cela que tu nes plus venu me faire lamour, pourquoi nas tu rien dit ce jour la, jaurais réalisé mon erreur et ce serait terminé!
— Il ne servait à rien de faire des histoires, tu fais ce que tu veux de ta vie, tu mas trompé, cétait ton choix, je ne pensais pas que vous seriez assez bête pour vous faire surprendre par maman, cest tout!
— Il faut que jaille prendre une douche, me remettre les idées en place sinon je vais exploser !
— Marc mon amour tu me pardonneras, ne me laisse pas tomber, je tassure quil ne me touchera plus, reviens avec moi!
Mais Marc est un garçon têtu et il aimait vraiment sa sur, il a mal depuis deux mois mais ne veut plus reprendre sa vie avec elle, il ne laime plus, du moins cest ce quil croit, il est simplement jaloux à en crever.
Trois jours plus tard, Corinne sest un peu calmée et a discuté avec son fils et sa fille, si elle ne comprend pas trop ce qui les a poussés l’un vers lautre et a du mal à se faire à cette idée. Elle en veut à Sylvie davoir couchée avec son père, elle pense que cest bien plus grave car en même temps elle a trompé Marc.
Une idée germe dans sa tête, une idée qui lui fait peur, elle voit que Marc crève damour et de jalousie pour sa sur mais quil ne veut pas revenir sur sa décision de ne plus avoir de rapport avec Sylvie et que sa fille en est malheureuse car elle passe le plus clair de son temps à pleurer dans sa chambre.
Elle va parler à Marc, il faut quil change davis et elle ne trouve quun seul moyen. Corinne à 40 ans et est une très belle femme, petite brunette de 50 kg la poitrine ferme et de jolies petites fesses, elle nest pas très grande, son 1m60 nest pas la taille mannequin de sa fille mais elle est encore comestible.
Quand elle se regarde dans une glace elle voit une très jolie brunette au corps de jeune fille.
Elle va dans la chambre de son fils, elle est habillée dune blouse en soie qui se boutonne devant et qui lui arrive mi-cuisses, un joli soutien gorge en dentelle, un porte jarretelle, des bas blanc et une petite culotte assortie, des talons haut, un léger maquillage sur ses yeux verts.
Elle entre dans la chambre de Marc et sapproche de lui.
— Marc, je sais que tu es malheureux de ce qua fait ta sur, tu lui en veux et ne veux pas passer léponge car tu voudrais lui rendre le mal quelle t’a fait. Tu aurais pus la tromper avec une de tes copines mais la punition ne te paraît pas assez forte. Dit moi si je me trompe!
— Non maman, tu ne te trompe pas, oui je voudrais quelle souffre comme moi je souffre mais je nen ai pas les moyens !
— Marc si je te donne ce moyen en seras tu heureux? Si elle souffre au moins autant que toi!
— Comment comptes-tu faire pour me donner ce moyen?
— Tu me trouve comment en tant que femme?
— Tu es très belle maman!
— Hé bien voilà!
— Je ne comprends pas, que veux tu dire?
— Je te propose de devenir mon amant voilà tout:
— Mais maman, cest, je ne sais pas, je ne, oui tu voudrais que lon soit amants?
— Je te le propose, à toi de voir mon amour!
— Bien sur que oui mais tu disais que!
— Jai changé davis voilà tout et je trouve que cest un bon moyen de nous venger tous les deux!
Marc prend sa mère dans ses bras et pose délicatement ses lèvres sur la bouche maternelle, sa langue cherche dans la profondeur de la bouche, la langue douce et fine au bon goût de bonbon à la menthe.
Les seins de Corinne sont fermes, les tétons dressés, sa liqueur coule entre ses jambes, Marc la caresse divinement, ses doigts sont sur le sexe maternel et entrent en elle, il la couche sur le lit et senfonce en elle, elle en a trop envie et le reçoit au plus profond de son ventre, pas besoin de préliminaire, elle est offerte, ils auront tout le temps après pour se caresser et se faire du bien, la cest un coït bestial, dirigé par lamour, lenvie, le besoin inavoué mais bien présent, les corps se trouvent enfin.
Elle a besoin du sexe de son fils en elle et lui veut labourer le ventre de sa génitrice, elle jouit dans un cri quand il se déverse en elle.
Ils passent plus de deux heures à saimer, à se manger, à se mordre, il prend sa mère plusieurs fois de suite, la faisant jouir de tout son corps et de toute linavouable lubricité de cet acte.
Elle sait, elle, quelle a toujours voulu un jour lavoir en elle et cest enfin arrivé, elle a eu le courage daller au bout, grâce à linceste adultère de son mari mais surtout pour assouvir enfin son amour pour son fils, lavoir en elle est le cadeau divin.
Son corps, son âme, son sexe, ses seins tout appartient à Marc et quand il pousse son gland sur son anus elle le laisse entrer, sécartant les fesses pour faciliter le passage du pieu de son fils, cest sa première sodomie mais elle le veut dans son ventre et elle lui donnera tout ce quil voudra.
Les deux amants, repus de sexe et damour, ont après une douche réparatrice regagné la cuisine, il est lheure du repas et Sylvie fait son apparition, les yeux gonflés de pleurs et la mine triste mais elle ne sait pas encore que son frère et sa mère sont amants.
Le repas et la soirée se passent dans le calme, jusquau moment ou ils regagnent le salon pour voir un film.
Corinne vient se lover sur le divan, dans les bras de son fils, elle na sur elle quun tee-shirt long, juste en bas des fesses et elle est nue dessous.
Sylvie voit bien que les rapports entre sa mère et son frère ont évolués, ce nest quau moment dallé dormir, quelle comprend enfin létendu de son malheur.
Les deux amants, main dans la main regagnent la chambre de Corinne, Sylvie comprend que son frère est devenu lamant de Corinne.
Son hurlement de douleur atteint les deux amants enlacés dans la chambre, ils sont bouche contre bouche et se dévorent des mains.
Le cri de Sylvie est celui dune bête aux abois, le cri dun animal blessé à mort, elle vient de comprendre toute la douleur de Marc, quand il lavait surprise, dans les bras de son père lui faisant lamour. Elle comprend enfin tout le mal quelle lui a fait et la douleur de celui ci depuis deux mois.
Corinne regarde son fils dans les yeux et lui dit.
— Tu es vengé mon amour et moi aussi!
— Je laime maman mais je suis enfin heureux et je ne la veux plus!
— Tu ne veux pas lui pardonner ! Pour moi?
— Pas pour le moment quelle paye et quelle est mal autant que moi!
Sylvie est dans sa chambre et pleure, pas de son amour perdu mais du mal quelle sest fait à elle-même, elle savait ce jour la que Marc devait venir, pourquoi navait-elle pas repoussée son père, il était facile de le faire et elle aurait gardé Marc.
Il était trop tard.
Ce matin la, comme tous les matins ou presque, Marc devait venir la rejoindre dans son appartement, elle avait ouvert la porte à son père et surprise par sa réaction de passer ses mains sous sa nuisette, elle navait plus pensé à Marc mais à lenvie quelle avait de son père, enfouie au fond de son être, cette envie sourde qui la taraudait et auquel elle avait succombé, cette envie était la cause de son malheur actuel.
Elle savait son frère et sa mère faisant lamour à deux pas delle, cela la rendait folle, son cur allait exploser.
Elle cria sa haine delle-même une nouvelle fois.
— Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, pardon, pardon mon amour, pardonne moi !
Merci de me lire.
La suite bientôt !