Elodie était estomaquée d’entendre son patron lui parler de cette manière. Les sentiments de colère et de peur se mêlaient dans sa tête.

— Ecoutez Marc, je vous demande de bien vouloir oublier tout cela. Vous savez ce que c’est, on dit des choses stupides lorsque l’on est excitée et que l’on veut émoustiller son conjoint. Il s’agissait d’un simple jeu stupide, je le reconnais. Je vous serais très reconnaissante de me supprimer cet enregistrement, et que nous reprenions une relation de travail normale, comme si tout cela ne s’était passé.

— Elodie, je veux bien passer à autre chose et oublier cette histoire. En revanche, sachez que je n’ai pas une « petite bite » comme vous le prétendiez. Je ne suis pas non plus un pervers vicelard qui passe son temps à vous désirer contrairement à ce que vous avez dit à votre mari.

— Je le sais bien Marc… enfin, je sais bien que vous n’êtes pas un vicieux… j’ai dit ça uniquement … enfin vous avez compris…

— Oui, j’ai compris, merci, vous pouvez disposer. Je supprime cet enregistrement.

— Merci mille fois Marc.

De retour dans son bureau, Elodie ne tenait plus sur ses jambes. Le souffle court et les mains tremblantes, elle composa mon numéro et me raconta toute l’histoire.

— Ne t’inquiète pas, s’il a dit qu’il supprimait l’enregistrement et qu’il tirait un trait sur cette histoire, tout est donc rentré dans l’ordre.

— Tu as raison mon chéri, vivement ce soir que l’on se retrouve.

Comme tous les soirs, Elodie rentrait dans la ligne 1 du métro pour rentrer à notre domicile.

Elle sentait que les regards des hommes avaient changé depuis cette opération d’augmentation mammaire.

Il faut dire qu’en passant d’un 85 A à un 85 E, la silhouette de mon épouse avait bien changé.

Elodie se tenait à la barre pour éviter de chuter, même si à cette heure de pointe la rame de métro était bondée. Perdue dans ses pensées, elle sentit soudainement que quelqu’un se collait de manière insistante à elle.

Elodie n’osait se retourner et faisait mine de ne s’être rendu compte de rien. Elle baisse le regard et scrute ses chaussures. L’homme qui se trouvait derrière elle ne se contentait plus maintenant de se coller à elle, mais profitait des remous du métro pour littéralement se frotter.

Elodie sentait clairement que l’individu commençait à avoir une érection mais décidait malgré tout de ne pas réagir. Après tout, elle était en sécurité au milieu de cette foule.

Elle était si pudique qu’elle n’assumait pas le regard des hommes et considérait même qu’en ayant augmenté la taille de ses seins, elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle si elle attirait les hommes encore plus qu’avant.

La porte du métro s’ouvre et l’homme lui souffle à l’oreille :

— Dommage que je sois déjà arrivé, j’aurais adoré continuer à frotter ma queue sur ton joli petit cul… t’es vraiment trop bonne…

Elodie se retourne alors, et regarde fixement cet homme d’une cinquantaine d’années en costume-cravate descendre du métro.

J’étais pour ma part déjà à la maison lorsqu’Elodie rentra en jetant son sac et sa veste sur une chaise de l’entrée.

— Je n’en peux plus de cette journée, après mon boss qui voit une vidéo intime de moi, je me fais peloter dans le métro, c’est un enfer !

Elodie s’assoit sur le canapé à mes côtés et me raconte alors ce qui lui est arrivé sur le trajet. Son récit a pour effet de m’exciter immédiatement.

— Qu’est-ce que tu veux que je te dise, il avait raison ce mec, t’es vraiment bonne. D’ailleurs regarde comme tu me fais bander.

J’ouvre alors ma braguette et laisse sortir ma queue déjà bien raide.

— Ohhh, arrête voyons, tu n’as que ça en tête !

— Je sais que tout ça t’a excitée toi aussi. T’aimes ça sentir que les hommes te désirent, hein ?!

— Non pas du tout voyons.

— Menteuse, regarde !

Je plaçais ma main droite sous sa jupe et je sentais le tissu soyeux de sa petite culotte totalement trempée.

— Quelle salope tu es. T’aurais bien aimé qu’il te baise ce mec dans le métro ?!

— Mais non voyons !

— C’est ça ouai, tiens avale ma queue pour la peine !

Je prenais Elodie par les cheveux et lui poussais la tête vers mon entrejambe.

Elle ne se fit pas prier et ouvrit grand la bouche pour commencer à me sucer comme elle sait si bien le faire.

— C’est ça, vas-y, avale bien ma grosse bite. Gobe la toute entière sale chienne.

Elodie s’était mise à quatre pattes sur le canapé et avalait goulument ma queue tout en la branlant.

J’en profitais pour soulever sa jupe, écarter son string et enfoncer deux doigts dans sa chatte toute douce et toute trempée.

— T’aimes ça que les autres types aient envie de te défoncer. Tu le sais qu’ils voudraient te baiser comme une bonne petite salope que tu es. Ah putain doucement tu vas me faire jouir avec ta bouche de pute, arrête, je vais te baiser pour te calmer un peu.

Aussitôt Elodie retira ma bite de sa bouche souleva sa jupe, se retourna et me montra son joli petit cul tout en se cambrant.

— Prends-moi s’il te plait, j’en ai tellement envie !

Je mis mon visage juste au niveau de sa chatte et je commençais des va et viens avec ma langue sur sa chatte tout en remontant jusqu’à la rondelle de son cul. Elle mouillait énormément et son jus coulait sur ses cuisses.

— Ah la vache, j’en peux plus, il faut que tu me baises. J’ai envie de ta queue. J’ai envie d’une bonne queue tout de suite.

Je me redressais et plaçais ma queue à l’entrée de sa chatte. Elle mit un grand coup de reins et s’empala d’un seul coup sur ma bite.

— Ah, salope, t’es effectivement bien excitée ! Ça t’a bien chauffée de te faire tripoter espèce de chienne ! Tiens prends ça !

Je lui attrapais ses gros seins qui ballotaient et les malaxaient fermement.

— C’est comme ça qu’ils voudraient te prendre les autres mecs ! Ces enfoirés voudraient tous te mettre leur queue en te tripotant te gros nibards. Et toi espèce de salope t’aimes bien les allumer. C’est pour ça que tu t’habilles comme ça. Tu sais très bien que les mecs tripent tous sur les nanas en tailleur et talons aiguilles.

— Oui, c’est vrai j’adore ça ! Il m’a trop excitée l’autre en frottant sa queue sur mon cul, j’en pouvais plus…

— Tiens sale pute ! Je vais te montrer, moi, comment je traite les bouffeuses de bite dans ton genre ! Tu veux que je t’encule ?

Je sortis alors de la chatte trempée de ma femme et Elodie cria aussitôt.

— Oh oui vas-y, encule-moi !

Je plaçais ma queue devant le petit trou d’Elodie et l’enfonçais d’un seul coup dans son cul.

— Ah putain, il est bien étroit ton cul. Tiens salope, t’aimes ça te faire enculer, vas-y gueule, je veux t’entendre !

— Ah oui, je suis ta pute, vas-y, défonce-moi le cul comme tu le ferais à une vulgaire pute.

A ces mots, je ne tins plus et je me déchargeais dans le cul de ma femme.

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